BulgarieInquiétude généraleLa Bulgarie, le pays le plus pauvre de l’Union Européenne a bénéficié des avantages économiques provenant deson intégration à l’UE. Cependant, malgré <strong>les</strong> déclarations du Gouvernement assurant que l’économie est solide, <strong>les</strong>investissements et <strong>les</strong> exportations chutent et le PIB va bientôt diminuer. Il est probable que <strong>les</strong> mesures du Gouvernementpour atténuer <strong>les</strong> effets de la crise mondiale ne seront pas suffisantes. Les ONG demandent aux employeurs et auGouvernement de prendre des mesures d’urgence pour juguler l’inflation, convenir d’accords salariaux pour augmenterle revenu réel et d’évaluer l’impact de la crise sur <strong>les</strong> secteurs <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong> de la société.Bulgarian Gender Research Foundation yBulgarian-European Partnership AssociationIndice des Capacités de Base (ICB) Indice d’Equité de Genre (IEG)100100100ICB = 97 94IEG = 73Enfants atteignantEmpowermentla cinquième annéeMême si la Bulgarie n’a pas encore subi le plein impactd’écolede la crise économique mondiale, 44il y a déjà eu des protestations53socia<strong>les</strong> en réponse à la décision de la Com-mission Européenne pour couper le financement de préadhésionen raison de la corruption rampante. En janvier0002009, <strong>les</strong> citoyens ont manifesté devant le Parlement989999pour exiger des reformes économiques et ont appelé100 100 65100100 100100 72100le Gouvernement à agir ou à démissionner. Le 97mêmeAccouchements assurés par du Survivance jusqu’à96mois, des agriculteurs ont manifesté dans tout le pays personnel médical spécialisél’âge de 5 ans Activité économiqueÉducationet ont bloqué le seul pont IEG vers of la Brasil Roumanie, = 68,2 exigeant duBCI of Bulgaria = 97,3IEG of Bulgaria = 73,4Gouvernement de fixer un prix minimum pour le lait et lation crédit / PIB a explosé passant de 36 % en 2004 à L’agitation financière globale et l’aversion pourde mettre fin aux importations des produits laitiers à bas 67 % en 2007. Vers 2008 <strong>les</strong> afflux de capitaux constituaientle risque des investisseurs vont probablement réduireprix. Les agents de police, qui n’ont pas de droit de grève30 % du PIB 1 .<strong>les</strong> afflux de capitaux vers l’Europe Centrale et Orien-légal, ont fait depuis décembre des manifestations « silencieusesL’augmentation de capitaux externes a produit une tale, dont la Bulgarie. Il est peu probable que <strong>les</strong> filia<strong>les</strong>» pour obtenir une augmentation de salaires forte hausse du PIB mais a accentué <strong>les</strong> déséquilibres loca<strong>les</strong> des banques continuent à recevoir <strong>les</strong> grandset de meilleures conditions 100 de travail.internes et externes. Le 100 PIB a 98augmenté avec plus du transferts de capital provenant 100 de leurs maisons mè-88res qui avaient financé l’expansion du crédit. Sanscompter sur ce financement, 73 <strong>les</strong> entreprises réduirontleur production et leurs services ou fermeront leursportes définitivement, augmentant ainsi le chômage.La métallurgie et le bâtiment ont déjà subi une réduc-0tion. D’après <strong>les</strong> données officiel<strong>les</strong> de l’Institut destatistiques, en janvier 2009 la production industriellea chuté de 19 % par rapport au mois précédent.100 68100En même temps, la réduction de la 94demandeexterne et la baisse des prix des matières premièresEn dépit du malaise social et d’une crise financière 6% annuel, un des taux <strong>les</strong> plus rapides d’Europe 2 . Laglobale qui a incité la révision des politiques économiquesactuel<strong>les</strong> dans le monde entier, la remise en ques-Cependant, la croissance de la demande domestique acroissance s’est maintenue à un solide 6,25 % en 2008.tion approfondie du modèle néolibéral et à demander un dépassé celle du PIB accentuant le déficit du compte25contrôle renforcé du Gouvernement, le modèle néolibéra<strong>les</strong>t encore à la mode en Bulgarie. Le Premier ministre D’après l’Institut National de Statistiques cet écart s’estcourant de 5 % du PIB en 2003 à plus de 24 % en 2008.00Sergey Stanishev reconnaît que la Bulgarie connaît sa accentué en raison de la concentration de la croissance93 première crise économique 54 en tant que pays capitaliste dans le1009662bâtiment, l’immobilier et <strong>les</strong> services financiers.100 100 100100 100et qu’elle n’est pas à l’abri des difficultés affrontées par Parallèlement le chômage a diminué, le marché duses partenaires économiques. Cependant, il continue à travail s’est resserré et la hausse des salaires s’est en-BCI of Alemania = 99,3insister que <strong>les</strong> problèmes du pays sont moins gravesIEG of Eritrea = 47,1que ceux des autres membres de l’Union Européenne.volée à 24 % en juin 2008. La surchauffe de l’économie pourraient conduire IEG à of la diminution Germany des = 78,2 exportations etainsi que la hausse des prix des produits alimentaires du tourisme. Les dernières prévisions du Fonds MonétaireLe boom et la criseInternational (FMI) signalent une contraction deet du pétrole, a accéléré l’inflation jusqu’à atteindre unrecord de 14,7 % en juin 2008 et une flambée des prix plus de 0,5 % du PIB du G-7, laquelle pourrait réduire laEn 1997 le contrôle monétaire a été instauré après une des aliments à plus de 25 %. La hausse du prix du gaz croissance et <strong>les</strong> exportations de l’Europe de l’Est.grave crise du système bancaire national ayant entraîné naturel, de l’électricité, du chauffage central, de l’eau, dul’hyperinflation, la fermeture des banques, une crise transport routier et de chemin de fer, etc. fera monter le Perspectives économiques100100100politique aigüe et l’appauvrissement massif. Depuis, coût de la vie autour d’un 17 % 92 de base annuel, alors que Il est probable que la croissance du PIB en 2009 se réduisechaque gouvernement, indépendamment de son orientationpolitique, a décidé de le conserver pour éviterune autre crise généralisée. La stratégie du contrôlel’inflation pour l’ensemble de l’année sera probablementsupérieure à 12 %. L’inflation estimée pour 2009 estd’environ 4 % 3 . Cependant, <strong>les</strong> experts du Centre pourà environ 2 % ou encore à 0 % (d’après une prévisionrécente) 4 . Avec une croissance plus lente, on prévoit uneréduction du déficit du compte courant à 15 % du PIB,monétaire a consisté à stabiliser l’environnement le développement économique signalent que le véritable même si la brusque chute du prix des matières premièresdevrait modérer l’inflation. 0 6,2 Cependant la croissance11macroéconomique empêchant 0 en même temps, toute danger à venir est la déflation 0 et non pas l’inflation.hausse de salaires – bien que la Bulgarie ait <strong>les</strong> salaires<strong>les</strong> plus bas de l’UE.1 FMI, Bulgarie. 98 Consultation sur l’article IV. Report 97 durisque de ralentir encore davantage. Heureusement <strong>les</strong>36,2<strong>finances</strong> publiques du pays sont en bonne santé, ayant 100100 100 personnel. Déclaration du personnel ; Note d’informationDepuis 2004, 81100100 100100 100100lorsque l’accord d’adhésion 85 à l’UE<strong>les</strong> excédents commerciaux <strong>les</strong> plus élevés d’Europe.publique sur le débat du comité directeur ; Déclaration du98,4a été conclu, la Bulgarie a connu une augmentation de directeur exécutif pour la Bulgarie, février 2009, p.25. Cependant, le changement dramatique dans la balancel’afflux de capitaux et l’expansion des crédits. L’attentedes paiements montre le grave choc que vit le pays.2 Banque Mondiale. Report économique ordinaire UE 10,d’une convergence immédiateIEG of Kenyaavec l’UE= 59a stimulée <strong>les</strong>BCI of Líbano = 95,6IEG of Lebanon = 46,9février 2009.afflux de capitaux, accrus par l’existence du contrôlemonétaire et d’une politique fiscale rigoureuse. La re-3 Confédération des syndicats indépendants (2009). « Qualitéde vie ». Disponible sur : .4 FMI, Bulgarie – Visite des experts en avril 2009 ; Déclarationfinale de la mission du FMI. Voir : .100100Rapports nationaux 70 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>10010088100
Dans <strong>les</strong> cinq mois qui ont suivi le mois d’octobre,l’afflux net de capitaux s’est élevé à seulement 800 millionsd’EUR, en comparaison avec <strong>les</strong> 6100 milliards d’EUR descinq mois précédents et <strong>les</strong> 5600 milliards d’EUR de lamême période l’année précédente. Les exportations desdeux premiers mois de 2009 ont été de 27 % de moinsque cel<strong>les</strong> des deux premiers mois de 2008, tandis quela chute des importations a été encore plus dramatique(32 %), laissant supposer que la demande nationale arapidement diminué. Comme résultat, le déficit du comptecourant a baissé d’un taux annuel de 25,8 % du PIB pendant<strong>les</strong> deux premiers mois de 2008 à 11,6 % pendant<strong>les</strong> deux premiers mois de 2009 5 . Effectivement, <strong>les</strong> principauxindicateurs de l’activité économique suggèrentque l’économie peut être en train de se contracter. Le FMIa récemment annoncé que l’économie de la Bulgarie va secontracter autour de 3,5 % en 2009 et de 1 % en 2010, soit2 % de moins que la projection d’avril 2009. 6En janvier 2009 la crise internationale du gaza pratiquement effacé toute impulsion positive quipouvait rester de 2008. Lorsque le conflit entre la Russieet l’Ukraine a coupé l’approvisionnement de gazen Europe, la Bulgarie se trouvait parmi <strong>les</strong> pays <strong>les</strong>moins préparés, sans approvisionnement alternatifde gaz. Le coût des pertes de production a été estiméà plus de 250 millions d’EUR (environ 333 millionsd’USD). Le Gouvernement a demandé officiellementune compensation à la Russie, mais même s’il en arrivaitune, <strong>les</strong> effets de l’arrêt de la production peuventposer des risques à long terme pour l’économie.Priorités du Gouvernement en politique fiscaleDans cet environnement difficile, il est crucial demaintenir la confiance tant pour le contrôle monétaireque pour le système financier. Ils sont mutuellementdépendants : il faut un système financier solide avecune capacité de récupération pour soutenir le contrôlemonétaire ; et la confiance en celui-ci renforce le systèmefinancier. Le FMI croit que le contrôle monétairepermettra au pays de surmonter la turbulence étantdonné que Bulgarie a des réserves fisca<strong>les</strong> et monétairessuffisantes. Le FMI n’a pas jugé bon de considérerdes mesures alternatives pour compenser la balance depaiements négative, tels que la dévaluation monétaireou l’adoption de l’Euro.RecommandationsMaintenir <strong>les</strong> excédentsLa politique fiscale doit viser à maintenir des excédentsimportants, non seulement parce qu’ils ont été le pilier ducontrôle monétaire mais aussi pour conserver l’équilibredu compte de la réserve fiscale – c’est un bon amortisseuren cas de problèmes. Pour 2008 le Gouvernementa visé un excédent égal à 3,5 % du PIB. Conserver <strong>les</strong>excédents à un moment où la croissance des revenusest lente exigera de ralentir la croissance des dépenses.Cependant, ni <strong>les</strong> revenus ni <strong>les</strong> dépenses projetés dansle budget actuel ne reflètent la baisse prévue du PIB.5 Gouvernement de Bulgarie. « Plan de stabilité et deprogrès économique pour 2009 ». (seulement en bulgare).Disponible sur : .6 FMI. World Economic Outlook, avril 2009.Transparence de l’exécution de la règle de10 % du budgetLe Gouvernement a prévu de stopper la croissance desdépenses en limitant cel<strong>les</strong>-ci à 90 % du montant originellementbudgété pour 2009, au lieu de faire la révision du budget.Le 10 % restant sera dégagé selon le développement dubudget 7 . Cette solution peut être pragmatique mais elle n’estpas du tout transparente. En effet, des observateurs étrangers,certainement pas au courant de la règle du 10 %, perçoiventun budget élaboré sur des revenus peu réalistes.Il est important de s’assurer que <strong>les</strong> mécanismesd’exécution de la règle du 10 % soient clairementcompris. Des plans et des programmes devraient êtreproposés. Les ministères devraient établir au plus tôt lapriorité des dépenses et s’assurer qu’el<strong>les</strong> soient bientransmises à la population. La rigueur d’exécution dubudget est essentielle. La mise en œuvre de la règle du10 % ne ferait que ralentir la croissance des dépensesinitialement budgétées à 17 %, à 11 % en termes réels.Si la croissance du PIB diminue des 2 % projetés, l’excédentfiscal chutera alors probablement à 2 % du PIB 8 .Accélérer <strong>les</strong> reformesLes réformes fisca<strong>les</strong> et structura<strong>les</strong> devraient s’accélérer,malgré la période électorale. Les problèmes concernantle déboursement des fonds de l’UE soulignent la nécessitéd’approfondir <strong>les</strong> systèmes de contrôle. Le Gouvernementa introduit plusieurs changements concernant<strong>les</strong> apports de la sécurité sociale et <strong>les</strong> politiques socia<strong>les</strong>– par exemple, une diminution des taux de contributionà la sécurité sociale payés par <strong>les</strong> employeurs et uneaugmentation des allocations de maternité. Au momentde mettre en application <strong>les</strong> nouvel<strong>les</strong> réformes, il estessentiel de maintenir la neutralité fiscale pour garantirque <strong>les</strong> <strong>finances</strong> publiques 9 soient durab<strong>les</strong> à long terme.Pour accélérer la convergence avec <strong>les</strong> standards del’UE, l’État doit compléter la réforme de l’éducation, fairedes progrès dans le domaine de la réforme de la santé etaméliorer l’efficacité des secteurs public et privé.Augmenter <strong>les</strong> salaires à mesure que laproductivité augmenteLe Gouvernement est conscient qu’il ne pourra pasmaintenir le taux élevé de croissance des salaires de2008. Bien que <strong>les</strong> salaires soient encore bas en comparaisonavec ceux de l’Europe Occidentale, <strong>les</strong> nouvel<strong>les</strong>augmentations devront être accompagnées d’uneamélioration de la productivité. D’après le FMI le tauxactuel de croissance des salaires est trop élevé comparéà la productivité relativement faible. En outre, commel’expérience dans d’autres pays a pu le montrer, durantune récession, plus <strong>les</strong> salaires augmentent vite et plusla probabilité d’augmentation du chômage est forte 10 .7 Ministère des <strong>finances</strong>. Report to the Draft Law on StateBudget for 2009 [seulement en bulgare]. Disponible sur :.8 Gouvernement de Bulgarie (2009), op. Cit., p.1.9 Confédération des syndicats indépendants, op. cit.10 Les travailleurs et employés bulgares continuent à recevoir lerevenu le plus bas de l’Europe, alors que le niveau des prix encomparation reste élevé, avec un salaire moyen de 255 EUR (339USD). Cela signifie qu’avec 20 % du salaire moyen européen lapopulation doit se débrouiller avec des niveaux de prix supérieursd’environ 46 % de la moyenne européenne. Ceci est une desréclamations principa<strong>les</strong> de la Confédération des syndicatsindépendants pour un salaire juste et raisonnable, mai 2008.Il est essentiel que <strong>les</strong> augmentations du coût travail/productionsoient modérées, étant donné que <strong>les</strong> ressourcesdevront être déplacées vers <strong>les</strong> secteurs orientésvers l’exportation. Alors que la croissance du secteur dumarché interne ralentit, la croissance du PIB ne peut semaintenir que si <strong>les</strong> exportations sont relancées, mais <strong>les</strong>deux secteurs doivent rester compétitifs. Il reste à savoirs’ils le sont réellement, c’est là toute la question. Mêmesi le gouvernement exprime sa confiance en la rentabilitédes entreprises, <strong>les</strong> ONG en sont moins certaines de parle manque de données disponib<strong>les</strong>.Le secteur financierLes politiques rigoureuses vont aider également <strong>les</strong>ecteur financier qui actuellement est bien capitaliséet rentable. Il est probable que dans un futur prochela rentabilité diminue étant donné que le financementétranger se fait rare, la forte concurrence pour <strong>les</strong>dépôts internes a élevé le coût des fonds et on attendun ralentissement de l’augmentation des prêts. Dansle même temps la dépendance des banques pour lefinancement étranger concernant <strong>les</strong> nouveaux prêts<strong>les</strong> rend vulnérab<strong>les</strong> face aux perturbations des marchésinternationaux. Cependant <strong>les</strong> banques sont bienpréparées pour faire face à un ralentissement et possèdentune bonne réserve de capital et de liquidité.Il est probable que le chômage n’atteigne pas <strong>les</strong>deux chiffres. Ceux qui ont plus de probabilités d’êtrechômeurs sont <strong>les</strong> jeunes en raison de leur manqued’expérience professionnelle, <strong>les</strong> travailleurs peu qualifiés,<strong>les</strong> travailleurs âgés, <strong>les</strong> handicapés et <strong>les</strong> femmes.Il faut souligner que le nombre de chômeurs noninscrits est au moins égal à celui des inscrits et qu’ilpourrait bien encore être supérieur. Les travailleursimmigrés sont en train de revenir et ils ont cessé d’envoyerdes fonds à leurs famil<strong>les</strong>. D’après <strong>les</strong> projectionsil est estimé qu’environ 20 % des travailleurs immigréspourrait rentrer à court terme – principalement deGrèce, d’Espagne et de plusieurs autres pays de l’UE oùle chômage est en hausse.La perspective de la société civileLes ONG et <strong>les</strong> syndicats ne sont pas d’accord sur le faitque la réduction des dépenses socia<strong>les</strong> soit acceptable entemps de crise. En effet, <strong>les</strong> dépenses ont été faib<strong>les</strong> depuisla création du contrôle monétaire. Une autre réductionpourrait ruiner la paix sociale. Même si <strong>les</strong> expertsdes ONG soutiennent l’augmentation de la proportiondes investissements affectés à l’infrastructure du transport,ils critiquent fortement l’échec du Gouvernementconcernant l’usage des fonds structuraux de l’UE affectésà la Bulgarie pendant ses deux premières années en tantque membre à part entière. Fin 2008, seulement 0,6 %des 2,2 milliards d’EUR avait été dépensé. Le manquede capacité financière, une bureaucratie excessive et desprocédures peu transparentes ont empêché <strong>les</strong> fondsd’arriver jusqu’à leurs destinataires.Les ONG insistent sur le fait que, aussi bien <strong>les</strong>employeurs que le Gouvernement doivent prendredes mesures d’urgence pour contrôler l’inflation,négocier des compensations pour la diminution desrevenus réels, garantir <strong>les</strong> salaires, évaluer l’impactde la crise dans <strong>les</strong> groupes le plus vulnérab<strong>les</strong> de lasociété et protéger <strong>les</strong> droits économiques et sociauxde base. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>71Bulgarie
- Page 3:
SOCIAL WATCH RAPPORT 2009
- Page 6:
SOCIAL WATCHCOMITÉ DE COORDINATION
- Page 9 and 10:
y Promoción de Derechos Humanos(CI
- Page 12 and 13:
• République de Moldavie :Nation
- Page 14 and 15:
Le numéro 0 du rapport, publié en
- Page 18 and 19:
LIBAN..............................
- Page 21 and 22:
D’abord les gensRoberto BissioSec
- Page 23 and 24:
Le ralentissement peut être dramat
- Page 25:
Le rapport de Social Watch local es
- Page 29 and 30:
Une réponse à la crise financièr
- Page 31 and 32:
contenues dans les accords commerci
- Page 33 and 34:
L’égalité de genre et la crise
- Page 35 and 36: La crise en Europe de l’Est : les
- Page 37 and 38: La crise mondiale et le prix des al
- Page 39 and 40: de fruits et légumes pour les expo
- Page 41 and 42: Justice pour refroidir la planèteL
- Page 43 and 44: pres, mieux ce sera pour la planèt
- Page 45 and 46: Défis énergétiques pour l’Euro
- Page 47 and 48: Les obligations des entreprises tra
- Page 49: dissuasif dans les corporations pot
- Page 52 and 53: «Au Kenya nous avons commencé à
- Page 56 and 57: les possibilités de création d’
- Page 58 and 59: qui emploie d’ores et déjà un s
- Page 60 and 61: un « processus de sélection ouver
- Page 62 and 63: tions du FMI, les mêmes vieilles r
- Page 64 and 65: Rapports thématiques 48 Social Wat
- Page 66 and 67: AlgérieHors du système mais, à l
- Page 68 and 69: 100Allemagne100100945344Avant la te
- Page 70 and 71: ArgentineNouveau contexte, ancienne
- Page 72 and 73: ahrein BAHREÏNL’impact de la mon
- Page 74 and 75: angladeshDavantage de pauvreté, de
- Page 76 and 77: Belgique49Les coûts élevés du sa
- Page 78 and 79: BéninLa société civile à l’av
- Page 80 and 81: 100birmaniePlusieurs crises sans r
- Page 82 and 83: olivieLe moment de la véritéLe pa
- Page 84 and 85: BrésilEn train de nager en plein t
- Page 88 and 89: CambodgeRediriger la croissance éc
- Page 90 and 91: CanadaRelance économique 2009 : un
- Page 92 and 93: Chili10056Les répercussions social
- Page 94 and 95: 8Chypre10056Voici venu le temps d
- Page 96 and 97: 100Costa RicaUne crise, deux37visio
- Page 98 and 99: Égypte100Une économie vulnérable
- Page 100 and 101: 100el salvadorLa crise et les chang
- Page 102 and 103: 100Érythrée10076Une prison en38pl
- Page 104 and 105: Espagne100On ne s’attaque pas à
- Page 106 and 107: 100États-Unis d’Amérique5345Opp
- Page 108: France1001008752Chômage, marginali
- Page 111 and 112: lieu d’augmenter entre 6 % et 8 %
- Page 113 and 114: De nouvelles menaces pour la popula
- Page 115 and 116: une baisse du pouvoir d’achat de
- Page 117 and 118: plus que prévu dans un premier tem
- Page 119 and 120: la période 2007-2008 (d’avril à
- Page 121 and 122: mariage, le divorce, la succession,
- Page 123 and 124: es adoptées sont absolument défic
- Page 125 and 126: de redistribution, investissant le
- Page 127 and 128: la nécessité d’un engagement na
- Page 129 and 130: aux fonds de garantie et d’autres
- Page 131 and 132: des bases financières solides - l
- Page 133 and 134: autour de 15 % du salaire minimal i
- Page 135 and 136: aggravés par la crise : 1) la spé
- Page 137 and 138:
tégrité Publique, mettent l’acc
- Page 139 and 140:
soudaines des lacs glaciaires (phé
- Page 141:
foyers. Il est possible également
- Page 144 and 145:
Ouganda100 9810045Objectifs du Mill
- Page 146 and 147:
100PALESTINe43Pauvres et incarcér
- Page 148 and 149:
100paraguayDéveloppement d’un pl
- Page 150 and 151:
Pérou100Proposition des travailleu
- Page 152 and 153:
100PhilippinesDe mal en pis 3010099
- Page 154 and 155:
Pologne10095Un scénario de dévelo
- Page 156 and 157:
100portugal39Une crise ancienne et
- Page 158 and 159:
République centrafricaineRéduire
- Page 160 and 161:
100République de Moldavie54La cris
- Page 162 and 163:
100République tchèqueLa démocrat
- Page 164 and 165:
100République-Unie de Tanzanie1009
- Page 166 and 167:
100Roumanie52Perspective funeste0La
- Page 168 and 169:
Sénégal10044L’agriculture est l
- Page 170 and 171:
SerbieCrise mondiale, malaise natio
- Page 172 and 173:
100SlovaquieLes plans sont 34 révi
- Page 174 and 175:
90100SlovénieLes défis pour une s
- Page 176 and 177:
Somalie100Sans défense contre la c
- Page 178 and 179:
100Thaïlande1007747Une réponse à
- Page 180 and 181:
100VENEZUELA100 9753Une démocratie
- Page 182 and 183:
100Viet Nam42Le progrès national m
- Page 184 and 185:
Yémen100Le pétrole ne suffit pas0
- Page 186 and 187:
Zambie100100 9942Le Gouvernement re
- Page 189:
Le progrès vers lesobjectifs trac
- Page 192 and 193:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 194 and 195:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 196 and 197:
ÉDUCATIONLes écarts se creusentTa
- Page 198 and 199:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 200 and 201:
ÉDUCATIONLes écarts se creusentam
- Page 202 and 203:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 204 and 205:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 206 and 207:
AIDE AU DÉVELOPPEMENTToujours plus
- Page 208 and 209:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 210 and 211:
SANTÉAmélioration inégaleTableau
- Page 212 and 213:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 214 and 215:
SANTÉAmélioration inégaleGRAPHIQ
- Page 216 and 217:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 218 and 219:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 220 and 221:
RATIFICATIONS DES CONVENTIONS FONDA
- Page 222 and 223:
Membrede l’onudepuisA B C D E F G
- Page 224 and 225:
Notes méthodologiques : tableaux t
- Page 228:
Cette publication est financée par