olivieLe moment de la véritéLe pays a vu passer un cycle de croissance globale mais a été incapable d’en tirer profit pour établir sonpropre rythme de développement. Maintenant que la crise globale s’aggrave, l’économie boliviennea ressenti à peine <strong>les</strong> effets de cette croissance et la regarde déjà s’éloigner. Ces tendances indiquent lefaible effet de distribution des processus économiques récents. En Bolivie, d’autre part, la réaction del’entreprenariat face à la crise consiste à encourager <strong>les</strong> négociations inéga<strong>les</strong>, dont <strong>les</strong> effets retomberont sur<strong>les</strong> épau<strong>les</strong> des travailleurs, réduisant ainsi <strong>les</strong> avantages et <strong>les</strong> salaires et augmentant <strong>les</strong> licenciements.85CEDLAMM. Javier Gómez et Gustavo Luna 1100Indice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 7983 Enfants atteignantla cinquième annéed’écoleIEG = 66Le premier résultat de la crise économique a été d’enfinir avec le mythe de la capacité du système capitalisteà développer des processus soutenus pourl’amélioration des conditions de 18vie des travailleurs0et de leurs famil<strong>les</strong>. Cette situation, qui se manifeste0à présent d’une façon plus concrète dans <strong>les</strong> pays <strong>les</strong>100plus riches du monde 55 (l’épicentre du 5494dernier tremblementde terre financier) a été plus tenace dans Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à61100 100100 100<strong>les</strong> pays <strong>les</strong> moins développés, dans la périphérie personnel médical spécialisél’âge de 5 ansdu monde.La Bolivie constitue un témoignage irréfutablede l’incapacité du capitalisme, de par sa nature mêmeet sa structure, antérieure à cette dernière manifestationde la crise du capitalisme. En ce sens, l’insertionprécoce de la Bolivie sur le marché global commefournisseur de matières premières 100 n’a pu être modifiéependant presque 200 ans de vie républicaine,la liant de façon permanente à la vulnérabilité structurelle.Par conséquent, le pays ne profite pas descyc<strong>les</strong> économiques expansifs de manière adéquate,alors que <strong>les</strong> « épisodes » critiques 15 ne font qu’exacerbercette vulnérabilité face aux chocs0externes.La crise100 100De nos jours, la crise économique globale ne 91consti-tue pas un « grave épisode » supplémentaire causépar l’absence de règlementation IEG of Egypt des = 43,9 marchés financiers; il s’agit d’une crise systémique de la totalitédu capitalisme, faisant ressortir toutes <strong>les</strong> contradictionsinternes des secteurs de production (énergétique,alimentaire, écologique, social et culturel),concernant la surproduction, la tendance structurelleà la baisse des taux de bénéfices et la dépression100générale de la consommation, et provenant du besoind’obtenir toujours plus de bénéfices par une plusgrande exploitation de la force de travail. Avec cettetoile de fond, « l’irrationalité »42de mise autour de laspéculation financière, véritable porte de sortie ducapitalisme monopolistique 0 visant à produire desbénéfices extraordinaires en faisant circuler le capital,dans un contexte 55 global de durcissement de la100 100libéralisation du marché financier, devient plus97facileà comprendre.IEG of Italy = 64,51 M. Javier Gómez est économiste et directeur exécutif duCEDLA. M. Gustavo Luna est communicateur et coordinateurgénéral du CEDLA.Indice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueEmpowermentÉducationIEG of Benin = 42,1 BCI of Bolivia = 79,4IEG of Bolivia = 66,125Il s’agit d’une crise grave, qui s’est installée pourlongtemps. Ella a déjà montré la fragilité terrible deséconomies sous-développées, constituant un exempledu caractère inhérent au développement capitaliste,c’est-à-dire, des économies qui concentrentfortement <strong>les</strong> bénéfices, 100 entraînant des inégalitésentre <strong>les</strong> pays et à l’intérieur de ceux-ci.En Bolivie, cette caractéristique 74 se manifeste parle faible développement de sa base industrielle, parune forte concentration de la richesse et une par uneénorme majorité de famil<strong>les</strong> vouées à vivre dans la0précarité. Par contre, un fort secteur primaire destinéà l’exportation a été développé, avec la collaborationLa performance de certains indicateurs sociauxn’a pas accompagné celle des indicateurs macroéconomiques.Par exemple, la réduction de la pauvretédans la région a été vite neutralisée par la hausse desprix des aliments, se répercutant sévèrement sur <strong>les</strong>revenus déjà faib<strong>les</strong> des 100famil<strong>les</strong> pauvres qui destinentla plupart de leurs revenus à la nourriture.Avec cette réalité un autre mirage est apparu :<strong>les</strong> envois de fonds générés 52par <strong>les</strong> travailleurs ettravailleuses émigrantes, ont atteint des volumestrès importants en Bolivie en 2007 et 2008 (ils ont dépasséle milliard d’USD, un peu plus de 6 % du PIB) 2 .0Cela a contribué à l’augmentation de la consommationdes foyers et 51 a relancé la croissance de secteursimportante de capitaux transnationaux qui ont 98 connu69100un boom pendant <strong>les</strong> sept dernières années, notammenttels que la construction et <strong>les</strong> services 3 100. 99pour l’exportation de gaz et de minéraux.Néanmoins, la durabilité des envois defonds97100 100 100Derrière le mirage BCI of El Salvador = 80,1Lorsque l’économie globale s’est relevée après la« crise asiatique » en 1999, le commerce s’est rapidementétendu et la demande de matières premièresa augmenté. L’économie bolivienne s’est accruependant <strong>les</strong> quatre dernières années (2005-2008)100à un rythme moyen de 5 % environ. Cette situationrépond à l’augmentation de la valeur de ses exportationsen raison des prix extraordinaires des matièrespremières (notamment des minéraux et des hydrocarbures)L’administration du Président Evo Mora<strong>les</strong>considère que sa politique NO 0 VA économique post-néolibéralea été prospère. Cependant, des pays tels quele Pérou, ayant une politique économique fidèle aunéolibéralisme, montraient des tendances plus importantespour la croissance de leurs produits etde leurs exportations. En fait, l’essor économiquecachait plusieurs faib<strong>les</strong>ses structurel<strong>les</strong>.100100 100 100100100 6610095depuis l’étranger a toujours été très faible, et cetteIEG of El Salvador = 67,5fragilité est devenue plus évidente lorsque <strong>les</strong> paysde l’Union Européenne ont mis en place des « politiquesde rapatriement » début 2008, avant le débutde la crise. Ce processus s’est fortement accéléréà partir de septembre de cette année-là, lorsque lacrise a frappé la construction, la manufacture et <strong>les</strong>100services personnels, grands secteurs d’embaucheIEG of = 47,3de ces travailleurs.NO VA02 Banque Centrale de Bolivie. Mémoire 2008. Cet organismeofficiel informe que, en 2008, <strong>les</strong> envois de fonds depuisl’étranger aux famil<strong>les</strong> ont atteint 1,09 milliard d’USD,montrant 100 une croissance de 7,5 % par rapport à 2007. 100 Cechiffre représente 6,4 % du PIB. Page 87.3 D’après l’INE (Institut National de Stastistiques), en 2007l’incidence des dépenses de consommation finale desfamil<strong>les</strong> représentait 2,98 % du PIB, atteignant 3,91 %en 2008. Ce chiffre est supérieur à celui atteint pendant laprécédente décennie (1998).03897100100100Rapports nationaux 66 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 100100
Le retour des travailleurs émigrants constitueune pression supplémentaire pour le marché de travailbolivien, qui est déjà dévasté par le sous-emploi.De même, ce retour creusera davantage la dépressiondes salaires en raison de la suroffre de la forcede travail, de l’augmentation du taux de chômagedébridé et de l’aggravation des conditions de travail.Les revenus : le talon d’AchilleLe revenu des Boliviens par habitant a augmentéde 34,3 % entre 2002 et 2007 4 ; par conséquent,du point de vue des coopérateurs internationaux,la Bolivie est devenu un pays à revenus moyens (ils’agissait d’un pays à faib<strong>les</strong> revenus). Néanmoins,l’inégalité permanente dans la distribution des revenusa empêché la plupart de la population de bénéficierdu progrès, comme l’indique <strong>les</strong> salaires et letaux de l’emploi, entre autres indicateurs.En raison d’une forte inégalité de la distributiondes richesses, la pauvreté continue à affecter 60 %de la population, et la pauvreté extrême a égalementaugmenté de 36,7 % à 37,7 % pendant la période2005-2007. Dans <strong>les</strong> zones rura<strong>les</strong>, où <strong>les</strong> niveauxde pauvreté sont extrêmes, l’Indice Gini non seulementest très élevé, mais il a subi une hausse de0,62 à 0,64 5 .Ces tendances montrent le faible effet de distributiondes processus économiques récents. Encoreune fois, <strong>les</strong> effets de la théorie du ruissellementconcernant la croissance économique ont mis enévidence son esprit fallacieux. Faute de politiquesgouvernementa<strong>les</strong> efficaces favorisant l’améliorationde l’accès aux ressources productives, et permettantqu’une majorité puisse bénéficier de la prospéritééconomique, il s’avère nécessaire de soutenir la générationd’emploi qualifié, <strong>les</strong> salaires dignes, l’accèsaux ressources de production et à d’autres revenusdérivés du travail.Ainsi, la relation entre l’expansion du produitet l’emploi indique que, durant la période compriseentre 2001 et 2004, pendant laquelle une croissancemoyenne modérée de 3,1 % a été constatée, le tauxd’emploi a enregistré une augmentation similaireet une productivité nulle, montrant ainsi que cetteexpansion s’est produite au détriment de la qualité.En zone urbaine une tendance identique a été constatée.Durant la période 2004-2007, la production aaugmenté de manière accélérée, à un rythme annuelmoyen de 4,5 %. En outre, le taux d’emploi s’est élevéà 3,9 % annuel, mais situé en-dessous du rythmed’expansion du produit (4,5 %), avec un bénéfice de0,7 % pour la productivité. Cela signifie que, même si4 Mme. Escóbar, Silvia. Chômage, conditions du travail etrevenus. Mimeo. CEDLA, 2009.5 Ibid. À titre comparatif, en 2006 l’Indice Gini en Argentineétait de 0,519, au Chili 0,517 et seulement le Brésil avec unindice de 0,593 surpassait celui estimé pour la Bolivie. Cespays ont tous des revenus moyens, d’après l’indicateur durevenu par habitant.des emplois ont été créés, ils restent ciblés sur ceuxde moindre qualité. Cette tendance est la même dans<strong>les</strong> zones urbaines et rura<strong>les</strong>.2008: de nouveau l’essor du secteur minierD’après l’Institut National de Statistiques (INE), aucours de l’année 2008 le PIB de la Bolivie a enregistréune augmentation extraordinaire de 6,15 %. Unepareille croissance n’avait pas été enregistrée depuis1976, lorsque le taux avait atteint à l’époque 6,1 %.La croissance de la demande et des prix internationauxont entraîné l’augmentation exceptionnelledu PIB du secteur minier, qui est passé de 9,98 %en 2007 à 56,26 % en 2008, au-dessus des autresactivités économiques du pays, ces dernières ayantaugmenté de 4, 33 % en moyenne ; son incidence estpassée de 0,41 % à 2,41 %, et la participation au PIBa augmenté de 5,81 % à 8,55 % 6 .Ce boom du secteur minier n’est pas dû à un ensembled’entreprises constituant un secteur solide etse faisant naturellement concurrence pour exporterdavantage. Au contraire, il est dû aux agissementsd’une seule entreprise à capital transnational. Le ProjetMinier « San Cristóbal » (PMSC) est le seul responsablede cette croissance : Le PMSC a représenté40,7 % de la valeur de production des minéraux dupays. C’est ainsi que le taux de croissance du PIBsans le PMSC aurait à peine atteint 5,13 % ; cela signifieque sans ce projet, la Bolivie n’aurait pas battule record de l’année 1976. En dehors de la concentration,un autre problème est la faible proportion desrecettes fisca<strong>les</strong> provenant de ce secteur qui restentdans le pays : en 2008, sur la valeur totale de la productionminière, représentant 2.011 millions d’USD,seulement 94,14 millions d’USD – à peine 4,64 % dutotal – sont restés dans <strong>les</strong> caisses fisca<strong>les</strong> 7 .Les plus affectés par la crise et la chute des prixdes minéraux ne sont pas précisément <strong>les</strong> entreprisestel<strong>les</strong> que le PMSC, mais le petit secteur miniercoopératif qui embauche la plupart du personnel etqui exploite sans contrôle <strong>les</strong> veines et <strong>les</strong> gisementsen employant des méthodes archaïques d’organisationdu travail, et en perpétuant des cerc<strong>les</strong> vicieux deprécarité et de salaires réduits.ConclusionLe moment de vérité est arrivé. Un cycle d’essorglobal s’est écoulé et la Bolivie n’a été qu’un simp<strong>les</strong>pectateur, faisant preuve d’inertie, et ne sachantpas tirer profit de l’opportunité pour se mettre aurythme de cet essor en puisant dans ses propresressources. Ceci, au sein du capitalisme régnant,ne semble être qu’une chimère, car <strong>les</strong> cyc<strong>les</strong> decroissance ne reproduisent que l’ordre en vigueur,avec des intégrations très inéga<strong>les</strong>. Alors que la crise6 M. Guachalla, Osvaldo. “La Bolivie: le Produit Interne Brut aaugmenté de 6,15 %” Mimeo. CEDLA. Mai 2009.7 Ibid.globale commence à écrire la pire partie de sa récentehistoire, l’économie bolivienne s’est à peinerendue compte qu’une période d’essor a bien existé.Et maintenant elle la regarde s’éloigner.Cependant, face à l’avènement des conséquencesde la crise globale dans ce pays, la réaction del’entreprenariat au regard de la chute de ses bénéficesextraordinaires se traduit en favorisant desnégociations peu équitab<strong>les</strong>, dont le but se centresur la réduction des bénéfices et des salaires destravailleurs, conjointement avec l’augmentation deslicenciements. Tandis que <strong>les</strong> entreprises font toutpour placer le poids de la crise sur le dos des travailleurs,el<strong>les</strong> investissent la même énergie pourque <strong>les</strong> honoraires, <strong>les</strong> primes et d’autres mécanismesde profit du patronat augmentent ou restentintouchab<strong>les</strong>.Pour la plupart des travailleurs saisonniers etdes « auto-employés » il ne reste plus qu’à attendreque le Gouvernement crée une nouvelle allocationqui <strong>les</strong> aidera à pallier d’une façon ou d’une autreleurs besoins de base. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>67Bolivie
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