BéninLa société civile à l’avant-gardeLa crise, aux origines multip<strong>les</strong>, a eu différentes répercussions sur la productivité et sur l’économiebéninoise, augmentant la vulnérabilité de la population principalement la plus pauvre. La sociétécivile a agi en tant que partenaire en liaison avec le gouvernement pour la mise en place de mesuresde lutte contre la crise, tout en favorisant entre autres, la révolution verte, l’alimentation scolaireindiscriminée, l’investissement dans la recherche, dans le secteur agricole et sur le changementclimatique, ainsi que dans le transfert de technologie.<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> Bénin100La crise, aux origines multip<strong>les</strong>, a eu différents typesde répercussions sur la productivité et l’économiebéninoises, augmentant la vulnérabilité des villagesIndice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 77 IEG = 42Enfants atteignant72 la cinquième annéed’écoleet des hameaux, surtout pour <strong>les</strong> plus pauvres. Les19marges de manœuvre se sont déjà réduites et <strong>les</strong> ressourcespour le financement des petites et moyennes00entreprises, l’aide publique au développement et <strong>les</strong>93flux d’investissements 5485étrangers directs pourraient100 100 100100 1008674également se réduire.Accouchements assurés par du Survivance jusqu’àLe président Yayi Boni, banquier de son métier, personnel médical spécialisél’âge de 5 ans6 a exprimé son indignation quand le président sortantBCI of Benin = 76,9des États-Unis, George Bush, a cherché à atténuer lacrise financière américaine en mettant à la dispositiondes grandes banques en faillite de son pays 710milliards d’USD, une mesure imitée par l’Europe, quidans le même but a injecté plus de 1,3 billions d’EUR(1,7 trillions d’USD). Boni 100 s’est demandé d’où Bushpouvait obtenir cet argent et il a déclaré qu’en fin decompte ce seraient <strong>les</strong> pays pauvres qui allaient finirpar payer le prix de la crise. Il a appelé à une meilleure1 Voir : .Indice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueEmpowermentÉducationIEG of Bangladesh = 52,7 IEG of Benin = 42,1fait sentir encore davantage en raison de l’ajustement leur création. Pour le long terme, deux programmesdes prix et de la rareté des produits locaux. La basse ont été préparés et appliqués : le Programme Urgentproductivité agricole et la demande croissante ont de Soutien à la Sécurité Alimentaire, avec un coûtdébouché sur une surenchère des produits alimentaireslocaux entravant l’arrivée de vivres dans <strong>les</strong> de Diversification Agricole pour la Valorisation destotal d’environ 128 millions d’USD et le Programmefoyers, principalement 100 <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong>. Vallées qui compte environ 100 sur 20,5 millions d’USD.97Les mesures de l’Étatbénéfices des subventions. Les Comités mentionnésfonctionnent très peu en raison du peu de fonds disponib<strong>les</strong>pourtant promis par l’État au moment de1005554100 100Le rôle de la société civileDe même qu’en 2008, le Gouvernement a réagi par Les campagnes d’interpellation du Gouvernement43gouvernance mondiale et à une réforme des Nations des détaxes fisca<strong>les</strong> et en créant des réserves alimentairespar rapport au coût de la vie ont été organisées àUnies comprenant deux sièges pour l’Afrique auà travers le Bureau National pour la Sécurité travers <strong>les</strong> organisations de 15 la société civile. Les as-Conseil de Sécurité 1 .00Alimentaire, d’un stock bouchon (stock temporaire,0sociations des consommateurs ont accompagnéutilisé comme une marge de réserve). Ces mesures-làont permis d’atténuer en partie <strong>les</strong> effets 97 de la de l’évolution des prix et ont aidé à élaborer des pro-l’État pour une supervision 25 stratégique permanente100 Crise financière et alimentaire100 10064100100 74100100 100Au Bénin, le panier de la ménagère est 97 hors de crise en 2008, bien qu’el<strong>les</strong> aient surtout enrichi <strong>les</strong> positions, au moyen de leur participation 91 dans <strong>les</strong>portée de la population, le transport des denréesalimentaires provenant IEG of des Czech zones Rep. rura<strong>les</strong> = 68,1 vers <strong>les</strong>vil<strong>les</strong> est devenu rare et le coût des matériaux pourcommerçants qui ont continué à vendre cher et quiont obtenu d’importants ICB de Egipto bénéfices = 89,1 payés finalementpar <strong>les</strong> consommateurs et par l’État.travaux des comités de gestion du coût de la vie, lapublication de communiqués IEG of Egypt de = presse 43,9 et l’organisationde conférences de presse.la construction a augmenté. Un certain nombre de Le Gouvernement a aussi supprimé la TVA et aprojets de construction ont été arrêtés, y compris subventionné certains produits alimentaires (le riz, La crise énergétiquedes travaux publics. L’État a dû faire usage de sonpouvoir pour acquérir <strong>les</strong> matériaux de constructionle lait et le sucre par exemple de 25 %). Le contrôledes prix a été instauré, ainsi qu’une campagne deLa hausse du prix du pétrole a fait que <strong>les</strong> populations,habituées à l’utilisation du carburant « kpayo »et continuer <strong>les</strong> chantiers <strong>les</strong> plus importants, au sensibilisation sur tout le territoire national. Le BureauNational pour la Sécurité Alimentaire a choisi fréquentation des stations officiel<strong>les</strong> de produits dé-(frelaté) en aient augmenté la consommation. La100100 100100détriment de ceux des populations rura<strong>les</strong>, principalement<strong>les</strong> plus pauvres. Ces populations-là ont étéobligées d’épuiser leurs ressources économiques etel<strong>les</strong> ne peuvent plus investir dans l’éducation et <strong>les</strong>soins de santé de leurs famil<strong>les</strong>.des commerces-témoin dans 77 municipalités dupays, et un Comité de gestion du coût de la vie aété créé, décentralisé en Comités départementauxet communaux. Le pays a été favorisé en plus parrivés du pétrole est rare, ayant pour conséquenceune réduction des revenus de l’État.D’autre part, en 2002 <strong>les</strong>42résultats du recensementgénéral de population et de logement (RGPH-3)La hausse du prix du pétrole, 0 le développement d’importantes subventions pour <strong>les</strong> céréa<strong>les</strong> (riz et ont mis en évidence que seul un peu plus d’un foyerNO VA000des agro-carburants et la spéculation internationale maïs) et pour le sucre provenant de la Lybie et des sur 5 (22,4 %) a accès à un service public d’électricité.95 ont mené le monde entier et surtout l’Afrique, à une pays du 99 Golfe.100L’éclairage 55 à pétrole prévaut donc dans 77 %100 100 100100 100100 100crise sans précédent en 2008. Le Bénin s’est vu frappépar une hausse généralisée du prix des produits plus pauvres et <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong> ont toujours du tiré aucune leçon de la crise précédente. Après avoirMalgré ces mesures-là, <strong>les</strong> consommateurs <strong>les</strong> des foyers. Tout semble indiquer que le97Bénin n’ade base. Celui du maïs par exemple, le produit le plus mal à avoir accès aux aliments, sans vraiment voir <strong>les</strong> laissé passer un an en attente d’une solution venantconsommé, a grimpéIEGà 220of%.IraqLa=crise0actuelle seBCI of Italia = 99,5IEG of Italy = 64,50de l’étranger – en particulier l’interconnexion entre laTransmission Company of Nigeria et la CommunautéÉlectrique du Bénin – le pays s’est enfin engagé à18100100100Rapports nationaux 62 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 10010073
acheter des turbines à gaz, un engagement qui nes’est pas encore transformé en réalité.Pendant ce temps, <strong>les</strong> activités de la populationen général sont paralysées, surtout cel<strong>les</strong> des industrieset des micro-entreprises, provoquant la haussedu prix du ciment, l’interruption de la distributiond’eau potable, <strong>les</strong> pannes fréquentes des appareils(électroménagers, informatiques, etc.) dans <strong>les</strong> villages,l’impossibilité pour <strong>les</strong> entrepreneurs de tenirleurs engagements face aux institutions financièreset la réduction de la performance dans <strong>les</strong> administrationspubliques et privées.Pendant longtemps, l’État a subventionné leprix du pétrole, jusqu’à ce qu’il se soit déclaré « désarmé» par le poids de cette subvention sur le budget.Après la chute du prix du pétrole, l’État a renoncéà ses recettes, vendant au prix coûtant afin de découragerla vente informelle du kpayo, car ce carburantest nuisible pour <strong>les</strong> populations.Après <strong>les</strong> engagements de la CommunautéÉconomique des États de l’Afrique Occidentale (CE-DEAO), lors des sommets de décembre 2001 et dejanvier 2002, pour instaurer un système d’échanged’énergie électrique répondant à la demande croissantede la région, <strong>les</strong> états membres ont créé leProjet d’Interconnexion Électrique 330kV Ghana-Togo-Bénin.Ce projet exige un énorme investissementfinancier. Il a été conçu pour favoriser la commercialisationde l’électricité, améliorer son approvisionnement,aider à réduire <strong>les</strong> coûts de production etcombler le déficit dans <strong>les</strong> centra<strong>les</strong> hydroélectriquespendant <strong>les</strong> périodes de sécheresse.D’autre part, dans le cadre de la Stratégie deRéduction de la Pauvreté Croissante (SCRP), le Gouvernementa entamé des réformes dans le secteurde l’électricité qui devraient à long terme, accroîtrel’efficacité de sa gestion pour permettre une distributionsatisfaisante en qualité et en quantité. Il aaussi concédé des avantages fiscaux aux opérateursprivés pour <strong>les</strong> encourager à se doter d’unités deproduction de la Société Béninoise d’Énergie Électrique(SBEE).Crise climatiqueLa crise climatique se manifeste au Bénin par uneplus large variation des pluies, une réduction de lapluviosité par rapport à la moyenne annuelle (réductionprévue de 15 % jusqu’en 2025) dans le nordouest du pays, une plus fréquente récurrence dephénomènes extrêmes comme de fortes pluies etdes orages, une réduction de la saison des pluies,du retard et de l’irrégularité pour le début des pluies,une augmentation à long terme de la températuremoyenne (+1 à +2 jusqu’à la fin du XXI e siècle). Toutcela retombe sur l’agriculture, <strong>les</strong> ressources aquifères,<strong>les</strong> écosystèmes lacustres du Bas-Bénin, lelittoral, <strong>les</strong> parcs et <strong>les</strong> réserves naturel<strong>les</strong> du pays.Les trois quarts de la ville de Grand-Popo sont déjàcouverts par la mer. La capitale Cotonou, à l’estdu port, est en pleine érosion. Pour 2035-2050,des scénarios sont prévus où l’érosion atteindra40 cm.Des impacts sur la biodiversité sont égalementprévisib<strong>les</strong> : une diminution sensible des précipitationsau nord du huitième parallèle modifierasensiblement le rythme des échanges de nappes(réduction de 20 à 40 %) et la surexploitation desréserves d’eau du plateau de Calavi augmentera l’intrusionsaline.Les projections prévoient que pour 2025, 52 %des Béninois vivront dans <strong>les</strong> vil<strong>les</strong> (37 % actuellement).Il est nécessaire, dès maintenant, de revoir<strong>les</strong> moyens de transport urbain et la consommationd’énergie afin de diminuer leur effet polluant. D’autrepart, le changement climatique aura une retombéedirecte sur la production rurale. On prévoit que laproduction du riz se réduira de 25 % et celle du niébéde 15 %, alors que l’igname, aliment de base au Bénincentral, augmenterait de 4 % pour 2050. Avecce scénario, entre 50 et 60 % des populations duBénin méridional seraient soumises à l’insécuritéalimentaire alors que dans la zone centrale du pays lepourcentage se situerait entre 25,9 et 33 %.Pour ce qui est des stratégies, en vue d’uneadaptation au changement climatique de l’exploitationdurable des bassins versants du Nord Ouest,le Gouvernement avec le soutien de la CoopérationTechnique Allemande, a entamé le projet-pilote duProCGRN. Les axes d’intervention de ce projet sont<strong>les</strong> suivants :• Sensibilisation des groupes cib<strong>les</strong> aux changementsclimatiques, aux effets sur leurs conditionsde vie et sur <strong>les</strong> mesures d’adaptation.• Gestion intégrale des bassins versants pour uneréduction de l’érosion et pour une meilleureinfiltration de l’eau.• Amélioration de la disponibilité d’eau potable etde ressources hydriques pour l’agriculture.• Diffusion des résultats obtenus.Le Bénin a d’autre part élaboré son Programmed’Action Nationale pour l’Adaptation au changementclimatique (PANA). Lors de la mise en place des activitésprévues dans le programme, le pays a reçu uneaide de 3,1 milliards d’USD du Fonds pour l’EnvironnementMondial. Dans le cadre de la 15 ème réunion dugroupe d’experts des Pays <strong>les</strong> Moins Avancés (PMA)de mars 2009, <strong>les</strong> participants ont discuté du changementclimatique et ont cherché à garantir le succèsde l’application des mesures prioritaires, immédiateset urgentes établies dans <strong>les</strong> PANA sur le sujet.En décembre 2008, il s’est alors avéré que 39 PMAsur 48 avaient fini la préparation de leur PANA maisqu’à ce moment-là, seul le Boutan avait commencéà mettre en place sa première mesure d’adaptation.Cela montre la difficulté et la complexité qui existepour appliquer <strong>les</strong> mesures prioritaires d’adaptation.D’après le Ministre béninois de l’Environnement etde Protection de la Nature, Justin Adanmayi, l’undes points critiques pour l’application du PANA c’estl’accès aux ressources du fonds PMA, la mobilisationdes financements complémentaires nécessaireset surtout la contrepartie nationale pour garantir laréalisation in situ des activités d’adaptation.La société civile a fait des campagnes de sensibilisationdans différents villages sur la dégradationdes formations de mangroves qui réduisent considérablementla productivité des lacs et menacentleurs écosystèmes.RecommandationsCrise alimentaire• <strong>Faire</strong> face, à court terme, aux besoins alimentairesurgents pour prévenir la malnutrition.• Mettre en oeuvre la révolution verte au Béninafin de doubler <strong>les</strong> performances agrico<strong>les</strong>,renforcer la croissance économique et combattrela faim.• Appliquer des programmes d’alimentation scolaireau niveau national, au moyen de produitsalimentaires de production locale et essayer decouvrir <strong>les</strong> besoins en oligoéléments par desprogrammes nationaux de nutrition.• Investir davantage dans la recherche agricole,principalement pour <strong>les</strong> cultures et l’élevageintensif, <strong>les</strong> techniques de production agricoledurable, le contrôle de l’eau, et aussi <strong>les</strong> retombéesprévisib<strong>les</strong> du changement climatique.• Promouvoir la production, la transformationet la consommation d’aliments locaux à fortevaleur nutritionnelle.• Encourager <strong>les</strong> populations défavorisées à deveniréconomiquement actives à travers <strong>les</strong>AGR [sigle en français : Activités Génératricesde Revenus] et le développement de micro-financements.Crise climatique• Renforcer <strong>les</strong> compétences des protagonisteset des responsab<strong>les</strong> au niveau national, départementalet communal.• Intégrer la problématique du changement climatiqueaux stratégies et aux plans d’action àdifférents niveaux.• Intégrer le sujet du changement climatique auxprogrammes d’études de l’enseignement primaire,secondaire et supérieur.• Soutenir <strong>les</strong> ONG, véritab<strong>les</strong> instruments deliaison entre <strong>les</strong> structures gouvernementa<strong>les</strong>et <strong>les</strong> communautés de base.• Entamer des recherches profondes sur des sujetsde transfert de technologie et de mise envaleur des connaissances loca<strong>les</strong>, en vue del’adaptation aux effets nuisib<strong>les</strong> du changementclimatique. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>63Bénin
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