100Allemagne100100945344Avant la tempête : <strong>les</strong> impacts sociaux de la crise financière0Les niveaux d’inflation, pauvreté et indigence sont très supérieurs à ceux montrés par <strong>les</strong> statistiques9999officiel<strong>les</strong>. Les mesures pour combattre la crise devraient corriger la 100concentration 72 et l’inégalité, 100 sur la9796base d’un calendrier de transformation incluant des politiques socia<strong>les</strong> à caractère universel pour dépasserIEG of Brasil la dynamique = 68,2 exclusive des dernières BCI of décennies Bulgaria = et 97,3 construire une citoyenneté IEG basée of Bulgaria sur <strong>les</strong> droits = 73,4civils etpolitiques et sociaux. D’autre part, pour avancer dans la durabilité des politiques socia<strong>les</strong>, il est nécessaireque l’on dispose, contrairement à ce qui s’est passé dernièrement, d’information publique fiable.98100 100 65100100 10000100<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> AllemagneUwe Kerkow100Indice des Capacités de Base (ICB)100 98ICB = 99 IEG = 78Enfants atteignantla cinquième annéed’écoleIndice d’Equité de Genre (IEG)EmpowermentCes trois dernières années ont été marquées parune baisse du chômage mais aussi par une stagnationdu salaire réel 1 . Néanmoins,25il devient de plusen plus clair que, contrairement aux affirmations0du Gouvernement, la déréglementation du marché00du travail n’a pas relancé la croissance de l’emploi ;93<strong>les</strong> fonds devraient 5410096être assignés à une 62 économie100 100 100100 100100 68100100assainie. Maintenant que le boom (financé par le Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à94crédit) arrive à son terme, le vrai visage de la dérèglementationapparaît. Le IEG chômage of Eritrea augmente. = 47,1 LesIEG of Germany = 78,2personnel médical spécialisél’âge de 5 ans Activité économiqueÉducationBCI of Alemania = 99,3emplois informels ont été <strong>les</strong> premiers à disparaître : née – qui vient d’être prolongée à 18 mois – sous la investissements en infrastructure, ce plan deAnnelie Buntenbach, membre du Directoire Fédéral forme d’une allocation spécialement conçue pour mesures comprend des réductions d’impôts etde la Confédération Allemande de Syndicats (DGB <strong>les</strong> travailleurs à temps partiel. Ils reçoivent ainsi <strong>les</strong> une « prime à la casse » de 2.500 d’euros verséeen allemand), estime que vers la fin du mois de janvierdeux tiers de leurs revenus normaux sans perdre aux personnes qui achètent un véhicule neuf en2009, environ 120.000 travailleurs temporaires leur emploi, du moins pour le moment 4 . Malgré ces échange de leur vieille voiture.avaient déjà été licenciés 2 . 100subventions, il est clair 100 que la crise économique et Dans certains cas, <strong>les</strong> montants 100 alloués à la relance92Les chiffres officiels montrent que le nombre financière aura un impact négatif sur le niveau de de l’économie par <strong>les</strong> ministères concernés sontde sans-emplois augmente cependant il n’atteint pas protection sociale de plusieurs millions de personnesbeaucoup plus élevés que ceux mentionnés ci-des-encore un niveau alarmant. Selon l’Agence Fédéraleen Allemagne.sus. Par exemple, en novembre 2008, le Ministère depour l’Emploi, en janvier 2009 on constatait que lel’Economie et de la Technologie et le Ministère desnombre de chômeurs avait diminué de 170.000 par La réponse du Gouvernement11Finances ont annoncé que le premier plan de mesure000 6,2rapport à l’année précédente. Néanmoins, le taux Les mesures prises par le Gouvernement pour enrayerde relance de l’économie s’élèverait à un total de 32la crise sont <strong>les</strong> suivantes :milliards d’euros jusqu’en 2010. Cependant, le Gou-de chômage qui est réajusté périodiquement commençaità augmenter tandis que <strong>les</strong> offres d’emploi98 978836,2• 480 milliards d’euros assignés à un fonds spé- vernement consacre 9 à 10 fois plus d’argent liquide 100100 100étaient en chute 81libre 3 100100 100100 100100. Le directeur de cet organisme, 85cial de stabilisation des marchés financiers pour au rachat de la dette privée (au « renflouement 98,4 »)Frank-Jürgen Weise, a déclaré avec inquiétude que renflouer <strong>les</strong> banques en difficulté. 80 milliards qu’aux investissements destinés à promouvoir l’activitééconomique. Comme ces plans comprennentle nombre de chômeurs, actuellement de 3,4 millions,risquait d’avoisiner <strong>les</strong> 4 millions avant la fin la recapitalisation et l’absorption des actifs toxi-aussi des réductions d’impôts, on peut s’attendre àd’euros supplémentaires sont disponib<strong>les</strong> pourIEG of Kenya = 59 BCI of Líbano = 95,6IEG of Lebanon = 46,9de l’année 2009.ques.ce que <strong>les</strong> investissements ayant un effet direct surCependant, la véritable montée en flèche a eul’économie soient relativement réduits. De fait, selon• 100 milliards d’euros pour garantir la liquidité etlieu dans le secteur du travail à temps partiel. Encertains calculs, le deuxième plan de mesures de relancene représentera probablement que 9 milliardsassurer l’existence de prêts destinés à l’industrienotamment dans le secteur de l’industriefévrier 2009 seulement, plus de 16.900 entreprisesont présenté des demandes visant à mettre 700.000d’euros par an d’investissements supplémentaires 5100automobile. 100100travailleurs à temps partiel pour des raisons économiques88– ce qui est sans aucun doute insuffisant pour briser; cela représente 648.800 personnes de • 11 milliards d’euros pour un premier plan de le goulot d’étranglement de l’investissement public.plus que l’année dernière. Les travailleurs affectés mesures de stimulation (Konjunkturpaket I) Seulement pour s’aligner sur la moyenne européenne,l’Allemagne devra dépenser 25 milliards d’euros47touchent un salaire correspondant au nombre d’heuresqui offre des déductions fisca<strong>les</strong> et octroie desqu’ils effectuent complété par un supplément financements pour <strong>les</strong> projets d’infrastructure, supplémentaires ; par ailleurs l’importance donnée9que l’État leur verse pendant 0 une période détermi- notamment dans le secteur 0 du transport. à la construction de routes, 0 à la « prime à la casse »• 50 milliards d’euros destinés à un deuxième versée en échange de l’achat d’un véhicule et à la1001 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> Germany 47a décidé de focaliser le rapport deplan 100de mesures (Konjunkturpaket II). 98Outre la rénovation des casernes 56 militaires n’a pas vraimentcette année 100 sur <strong>les</strong> réponses que la politique économique 77 100100 100100 100éveillé la confiance de la population.98100offre à la crise systémique étant donné que c’est là quel’impact social est le plus évident en Allemagne.nouvelle prestation familiale à versement unique,connue sous le nom de Kinderbonus, et <strong>les</strong>2 Voir : .IEG of Niger = 44,4 BCI of Paraguay = 95,34 Voir : .5 Junge Welt. Voir : .100737Rapports nationaux 52 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 100 10010074 74
Les réductions d’impôts vont non seulementminer l’impact des programmes de relance maisel<strong>les</strong> sont aussi socialement injustes comme nous lemontrons dans <strong>les</strong> exemp<strong>les</strong> suivants :• Selon <strong>les</strong> calculs effectués par la DGB, <strong>les</strong> municipalitésdevraient recevoir 11,51 milliardsd’euros provenant des deux plans de mesureséconomiques. Néanmoins, <strong>les</strong> déductions fisca<strong>les</strong>mises en place parallèlement vont provoquerune réduction de 6 milliards d’euros dansle budget des municipalités. « À terme, nousne recevrons même pas la moitié du montantannoncé (...) On peut se demander si cela vavraiment permettre de protéger le marché del’emploi » a déclaré la DGB 6 .• Les réductions fisca<strong>les</strong> en faveur des ménagesdonnent également lieu à des injustices socia<strong>les</strong>.Les salariés dont le revenu annuel est équivalentà 10.000 euros feront l’objet de déductions allantjusqu’à 0,15 milliard d’euros tandis que <strong>les</strong>salariés dont le revenu annuel est supérieur à53.000 euros seront dix fois plus bénéficiés.Comme en conclut une analyse à ce propos :« À l’exception de l’augmentation du minimumvital assigné aux enfants vivant dans <strong>les</strong> foyers<strong>les</strong> plus démunis par le biais du Kinderbonus(...), aucune mesure de lutte contre la crise n’avraiment été prise 7 ».Par ailleurs, cette dépression économique sera accentuéepar le « freinage de la dette » présenté auParlement allemand et dont l’objectif est de limiterl’emprunt net annuel à 0,35% du Revenu NationalBrut (RNB) 8 . Les critiques annoncent que <strong>les</strong> politiquesd’austérité mises en place dans le secteur socialseront maintenues à cause du renflouement bancairemassif. Hendrik Auhagen, membre du Conseil deCoordination d’ATTAC Allemagne estime que « ladette publique qui sert <strong>les</strong> intérêts des banques et desgrandes entreprises, <strong>les</strong> réductions d’impôts destinéesaux plus riches et la future mesure de « freinagede la dette », tout cela ouvre la voie vers un nouveaudémantèlement de la protection sociale (…), versune aggravation de la pauvreté et une explosion dunombre de délits 9 ».Politique de développementEn Allemagne, l’AOD est passée de 9 milliards d’USDen 2007 à 13,91 milliards d’USD en 2008. En termesabsolus, cela met l’Allemagne au 2 ème rang des principauxdonneurs de l’AOD. Cependant, si l’AOD estévaluée en tant que partie du produit national brut(PNB), ce taux de 0,38% place le pays au 14 ème rangparmi <strong>les</strong> principa<strong>les</strong> nations donatrices. Il est égalementsignificatif qu’en 2008 près d’un cinquièmede l’AOD allemande était destinée à l’allègement dela dette 10 . Le budget de l’AOD pour l’année 2009comporte cependant des aspects positifs : <strong>les</strong> engagementsdes pays <strong>les</strong> moins avancés (PMA) estplus important que jamais auparavant : 827 millionsd’euros (1 milliard d’USD), ce qui représente plus dela moitié de l’ensemble des engagements concernantl’aide fournie par l’Allemagne.Dans le cadre du deuxième plan de mesures derelance, le Gouvernement a versé une deuxièmesomme extrabudgétaire équivalant à 100 millionsd’euros (132 millions d’USD) au Ministère Fédéralpour la Coopération Économique et le Développementafin d’offrir son soutien aux projets d’infrastructurede la Banque mondiale 11 . L’Association allemanded’organisations non gouvernementa<strong>les</strong> dedéveloppement (VENRO en allemand) a considérécela comme un pas dans la bonne direction tout endéclarant que ce plan de mesures de relance pour<strong>les</strong> pays en développement était injuste: « <strong>les</strong> pluspauvres parmi <strong>les</strong> pauvres se font leurrer par despromesses charitab<strong>les</strong> alors que ce sont eux <strong>les</strong> plusaffectés par la crise », a déclaré Claudia Warning, laprésidente du Directoire de VENRO 12 . La ministredu Développement, Heidemarie Wieczorek-Zeul,affirme que « le plan financier pour la période 2008-2012 comprend des mesures plus efficaces pourrelancer la croissance » 13 , mais il semble qu’il n’y aitguère de possibilité que ces promesses soient tenues.Pour que <strong>les</strong> fonds investis dans le domaine dudéveloppement soient équivalents à 0,51% du PNBen 2010 en accord avec l’objectif fixé par l’Unioneuropéenne, l’Allemagne devra augmenter son AODà hauteur de 13,1 milliards d’euros (17,33 milliardsd’USD) 14 .Une nouvelle approche des relationsinternationa<strong>les</strong>?La chancelière Angela Merkel a provoqué une certaineinquiétude après avoir proposé de créer unConseil Économique Mondial des Nations Unies.« Certes le G20 est un pas en avant mais il ne représenteen aucune façon une image complète dumonde », a-t-elle déclaré lors d’une conférence duparti de l’Union Démocratique en décembre 2008.« Je suis fermement convaincue que nous devonscréer un conseil économique mondial pour traiter<strong>les</strong> questions économiques, exactement de la mêmemanière que nous avons (…) le Conseil de Sécuritéde l’ONU 15 ». La Chancelière A. Merkel a exprimé ànouveau <strong>les</strong> mêmes convictions lors du Sommetfinancier du G20 en réclamant « Une charte mondialepour la gouvernance économique durable »qui établirait <strong>les</strong> principes de base de l’architecturefinancière du monde de demain 16 .Il reste à savoir à quel point la Chancelièrecompte tenir parole. Jusqu’à présent, <strong>les</strong> politiquesde gestion de la crise du Gouvernement sont restéesfermement centrées sur le G20. n6 Voir : .7 Junge Welt, op. cit.8 Voir : . Consulté le 27 février 2009.9 Voir : .10 Voir : .11 Regierungserklärung zum Stand derMillenniumsentwicklungsziele 2015 und zu den Auswirkungender Finanz- und Wirtschaftskrise auf die Entwicklungsländer[Déclaration du Gouvernement relative à la situation desObjectifs de Développement du Millénaire 2015 et auximpacts de la crise économique et financière dans <strong>les</strong> paysen voie de développement], 29 janvier 2009. Disponib<strong>les</strong>ur le site: .12 Voir : .13 Voir : . Consulté le 27 février 2009.14 Voir : .15 Voir : .16 Voir : .<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>53Allemagne
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