«Au Salvador, ça fait des années que nous sommes confrontés aux impacts du changementclimatique : inondations, sécheresses, ouragans, rivières principa<strong>les</strong> à sec etabattement moral des communautés. Chaque année <strong>les</strong> coûts matériels sont élevés, laperte de vies humaines et l’émigration de nos gens aussi, surtout chez <strong>les</strong> jeunes. Nousdevons oeuvrer pour une ère nouvelle où la jauge du développement sera le bien-être del’humanité et la Terre mère, et pas seulement <strong>les</strong> richesses matériel<strong>les</strong>» .actuels ou prévus ainsi qu’à leurs effets ou à leursconséquences 11 . Elle fait référence aux changementsà réaliser au niveau des processus, des pratiques oudes structures en vue de modérer ou de compenser<strong>les</strong> dommages éventuels, ou bien pour profiter desopportunités liées aux changements climatiques.Ceci implique des ajustements afin de réduire la vulnérabilitédes communautés et des régions due auxchangements climatiques et à la variabilité.L’User’ s Guidebook on the Adaptation PolicyFramework (APF) (Guide de l’Utilisateur dansle Cadre des Politiques d’Adaptation) du Fonds pourl’Environnement Mondial du PNUD définit l’adaptationcomme « un processus d’amélioration, dedéveloppement et de mise en place des stratégiesefficaces pour ralentir et combattre <strong>les</strong> conséquencesdes changements climatiques – y compris la variabilitédu climat » 12 . L’APF inclut sept composants :la définition de la portée du projet, l’évaluation dela vulnérabilité actuelle, la caractérisation des risquespour l’avenir,le développement de la stratégied’adaptation, la poursuite du processus d’adaptation,l’engagement des parties prenantes et l’améliorationde la capacité d’adaptation. Les décisionssur l’utilisation de ce cadre dépendront de l’étudepréalable du pays, de ses besoins, de ses objectifs etde ses ressources.11 IPCC. “Climate Change 2001: Impacts, Adaptation, andVulnerability.” Apport du Groupe de Travail II au TroisièmeRapport d’Evaluation du Groupe Intergouvernementald’Experts sur <strong>les</strong> Changements Climatiques. Cambridge :Cambridge University Press.12 Dougherty, B. et Spanger-Siegfried, E. User’s Guidebookon the Adaptation Policy Framework. Boston : StockholmEnvironment Institute US et le Programme des Nations Uniespour le Développement (PNUD), 2005.Marta Benavides (Groupe de Travail Feminista GCAP, Le Salvador)«Alors que <strong>les</strong> pays industrialisés du Nord sont <strong>les</strong> principaux responsab<strong>les</strong> (quant aucalcul per capita surtout) des émissions à effet de serre qui provoquent le changementclimatique ; <strong>les</strong> pays du Sud, et en particulier <strong>les</strong> pauvres et <strong>les</strong> femmes, sont ceux qui accusentplus fortement <strong>les</strong> effets du changement climatique et ses impacts socio-économiques.On compte parmi ces effets le déplacement des populations qui vivent dans <strong>les</strong>zones côtières basses ; la perte des moyens de vie ; l’insécurité alimentaire et un moindreaccès à l’eau. Du point de vue de la dette écologique, <strong>les</strong> pays riches et industrialisés ontnon seulement la responsabilité de réduire radicalement <strong>les</strong> émissions de gaz à effet deserre, mais aussi l’obligation éthique et morale d’offrir un financement compensatoire etréparateur aux pays en développement pour que ceux-ci puissent assurer <strong>les</strong> coûts desefforts d’adaptation et de mitigation du changement climatique» .Athena Peralta (Conseil mondial des Églises)Conformément à l’IPCC, <strong>les</strong> conditions nécessairespour qu’un pays possède une capacitéd’adaptation importante sont : une économie stableet prospère, un degré élevé d’accès à la technologieà tous <strong>les</strong> niveaux, des rô<strong>les</strong> et des responsabilitésbien définis pour la mise en œuvre des stratégiesd’adaptation, des systèmes mis en place pour la diffusionnationale, régionale et locale des informationssur <strong>les</strong> changements climatiques et l’adaptation etla distribution équitable de l’accès aux ressources.Dans une grande mesure, <strong>les</strong> pays ne figurant pasdans l’Annexe I sont exclus.La préoccupation croissante concernant l’adaptationa été abordée par <strong>les</strong> décisions de la Conférencedes Parties (COP). Les accords de Marrakechissus de la COP-7 ont tracé <strong>les</strong> instruments et <strong>les</strong>mécanismes de soutien à l’adaptation, y compris lacréation de trois fonds : (a) Fonds Spécial pour <strong>les</strong>Changements Climatiques sous le CMNUCC poursoutenir « la mise en œuvre d’activités d’adaptationlà où l’information sera suffisante », (b) Fonds pour<strong>les</strong> PMA consacré à la préparation et à la mise enœuvre de programmes d’action nationaux aux finsde l’adaptation (PANA) qui « communiquera <strong>les</strong> activitésprioritaires pour répondre aux besoins urgentset immédiats et aux préoccupations des PMA enmatière d’adaptation aux effets néfastes des changementsclimatiques » et (c) Fonds d’Adaptation créépar le Protocole de Kyoto et <strong>les</strong> recommandations duFonds pour l’Environnement Mondial (GEF) concernantses activités.L’agriculture et la pêche durable, le reboisementet la gestion durable des bassins hydrographiqueset la gestion écologique des ressources constituentdes voies d’adaptation pouvant aider à refroidir laplanète. La sécurité alimentaire exige un changementradical au niveau de l’agriculture, une position soutenuedepuis longtemps par <strong>les</strong> mouvements de producteursagrico<strong>les</strong> dans le monde entier. Ce qui a étéfortement favorisé par l’Evaluation Internationale desConnaissances Agrico<strong>les</strong>, de la Science et de la Technologiepour le Développement (EICASTD) lors de laconférence tenue en avril 2008 à Johannesburg, enAfrique du Sud. L’EICASTD a admis <strong>les</strong> insuffisancesde la technologie de la Révolution Verte et a reconnule rôle essentiel des connaissances autochtones etde l’agriculture durable pour atteindre la sécuritéalimentaire. Un rapport a été présenté indiquant quel’agriculture moderne devra changer radicalementface au modèle d’entreprise dominant si le mondeveut éviter la décomposition sociale et l’effondrementenvironnemental 13 .Le rapport – avec l’opposition de l’Australie,du Canada et des États-Unis – a aussi critiqué lamodification génétique (MG) et la conversion desterres agrico<strong>les</strong> pour <strong>les</strong> destiner à la production debiocarburants. Le rapport signale que la technologieappelée MG n’était pas le chemin à suivre pour nourrir<strong>les</strong> pauvres du monde, et que la culture des agrocarburants destinés aux transports, dans des terresqui devraient être labourées pour nourrir la populationaggravera sans doute la faim au niveau mondialet la situation, déjà fragile, de la sécurité humaine 14 .Bien que l’adaptation soit apparue comme unequestion politique clé dans <strong>les</strong> négociations sur <strong>les</strong>changements climatiques, le sujet n’a pas encore étéabordé à tous <strong>les</strong> niveaux de planification du développementde politiques. Le renforcement de la capacitéd’adaptation, ou le respect des objectifs des OMDest bien différent de la croissance de l’économie oudu travail pour le développement de la manière habituelle.Il s’agit de faire prévaloir la justice sociale etenvironnementale, une condition sine qua non pourassurer le chemin vers la durabilité.Justice dans <strong>les</strong> échanges financiers ettechnologiquesLa CMNUCC signale que <strong>les</strong> pays riches sont tenusde procéder à des virements de fonds aux pays envoie de développement, mais aucun d’eux ne devraitjouer le rôle de mendiant. Si <strong>les</strong> agriculteurspauvres adoptaient l’agriculture organique ou si <strong>les</strong>pêcheurs locaux géraient de manière adéquate leursressources côtières, ils le feraient non seulementpour eux-mêmes mais pour l’humanité toute entière.Si un pays pauvre veille à sa biodiversité, il rend égalementun grand service au monde entier. Ces effortsméritent une rétribution ou une réciprocité à travers,par exemple, un impôt sur le carbone pour <strong>les</strong> riches,APD sans conditions, un allègement inconditionnelde la dette, des conditions commercia<strong>les</strong> pluséquitab<strong>les</strong>, de la technologie ou d’autres formes detransferts de ressources.Le financement de la stabilisation climatiqueexige d’énormes investissements. Oxfam Internatio-13 IAASTD. Agriculture at the Crossroads : Global Report.Washington, DC : Island Press. 2008.14 Vidal, J. “Change in Farming Can Feed World – Report.” TheGuardian, le 16 avril 2008.Rapports thématiques 28 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
Défis énergétiques pour l’EuropeElena TriffonovaBulgarian-European Partnership AssociationL’Union européenne est une énorme consommatrice d’énergie. En 2006 <strong>les</strong> 25États membres 1 ont consommé 1,72 milliards de tonnes-équivalent pétrole (Mtep).Pratiquement deux tiers provenaient des hydrocarbures : 706,3 millions de tonnesde pétrole (14,9 millions de barils par jour) et 420,6 Mtep (476, 4 milliards de mètrescubes) de gaz naturel. Le reste, soit 34,6 %, provenait du charbon, du nucléaire et desénergies renouvelab<strong>les</strong> 2 . Certains pronostics prévoient que vers 2030 la consommationd’énergie de l’UE aura augmenté de 15 % 3 .Cependant, l’UE n’a pas de marché d’énergie intégré. La fragmentation de cesecteur remonte aux années 1970, quand <strong>les</strong> États membres affrontèrent indépendammentla crise du pétrole. Certains d’entre eux, comme l’Allemagne, ont accumulé desréserves stratégiques de gaz et ont investi dans le développement d’infrastructures ;d’autres, comme le Royaume-Uni, ont commencé à explorer leurs propres réserves.La Russie est le plus grand producteur de gaz du monde, et elle fournit actuellementenviron 30 % du total des besoins en gaz de l’UE 4 . On peut diviser <strong>les</strong> payseuropéens en trois groupes selon leur degré de dépendance des importations degaz russe 5 :Les pays très peu dépendants – environ 15 % : la Belgique, l’Irlande, le Luxembourg,<strong>les</strong> Pays-Bas, le Portugal, l’Espagne, la Suède, la Suisse et le Royaume-Uni.Les pays modérément dépendants – 20-40 % : la France, l’Italie et l’Allemagne.Les pays très dépendants – plus de 50 % : l’Autriche, la République Tchèque, laGrèce, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie et la Slovénie. Certains pays – la Bulgarie,la Croatie, la Finlande, la Lettonie, la Lituanie, la Serbie et la Slovaquie – dépendent de laRussie pour toutes leurs importations en gaz.Par conséquent, la bataille du gaz entre la Russie et l’Ukraine début janvier 2009a affecté directement 17 pays européens en tout. Dans une déclaration faite au milieude l’année 2009, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, aattiré l’attention sur la vulnérabilité toute particulière de plusieurs pays, entre autres, laBulgarie et Slovaquie.En Bulgarie, l’État est le seul acheteur d’énergie. Pendant la dernière décennieil a signé plusieurs contrats exclusifs avec le consortium russe Gazprom et le paysa par conséquent accru sa dépendance (90 %) à l’égard du gaz russe. D’autre part,depuis 1956, le Gouvernement bulgare a privilégié l’utilisation de l’énergie nucléaire.L’IRT-2000 a été fabriqué au départ en tant que réacteur de recherche, puis en 1966,un accord a été signé avec l’Union Soviétique pour installer des unités commercia<strong>les</strong>qui fourniraient la base du programme énergétique du pays. Se pliant aux exigencesimposées pour son entrée dans l’UE, la Bulgarie a stoppé deux réacteurs nucléaires. Lesdeux autres produisent environ 35 % de l’électricité du pays 6 . La consommation d’électricités’est accrue depuis 1980 et la Bulgarie est également un important exportateurd’énergie. En 2006, la Compagnie Nationale d’Electricité (NEK) a produit 46 milliards dekilowattheures et en a exporté 7,8 en Grèce, en Macédoine, en Serbie et en Turquie 7 .Dans le cas de la Slovaquie, même si son marché de production et de distributiond’énergie électrique est faible comparé à d’autres pays d’Europe centrale, <strong>les</strong>1 L’intégration de la Bulgarie et de la Roumanie en 2007 a élevé le chiffre à 27 membres.2 Les données fournies sont de BP, “BP Statistical Review of World Energy”, juin 2007, pp. 11-12, 27-28,et 41. Disponible sur : (consulté le 20 août 2007).3 Commission européenne, Direction Générale de l’Energie et des Transports, European Energy andTransport: Trends to 2030 – Update 2005, 2006. Disponible sur : .4 Les relations en matière de gaz remontent à 1968, quand l’Union Soviétique a fourni du gaz à l’Autrichepour la première fois.5 La classification offerte ici est extraite de Sánchez Andrés, A. (2007). “Russia and Europe: MutualDependence in the Energy Sector”. Disponible sur : .6 Données de la Compagnie Nationale d’Électricité (NEK). Voir : .7 World Nuclear Association. “Nuclear Power in Bulgarie”, 2009. Disponible sur : .projections indiquent que son réseau électrique devra être agrandi pour satisfaire à lademande croissante. La production d’électricité dépend principalement des ressourceshydroélectriques et nucléaires, bien que cette situation soit compensée d’une certainefaçon par <strong>les</strong> centra<strong>les</strong> électriques thermiques (charbon, gaz naturel et pétrole). Lemarché du gaz slovaque se caractérise par un haut niveau de dépendance à l’égardde l’approvisionnement russe et par la domination d’une entreprise essentiellementétatique et intégrée verticalement.La Slovaquie joue un rôle significatif dans le réseau de gaz européen car elle estun important pays de transit pour le transport du gaz naturel vers <strong>les</strong> pays d’Europecentrale et de l’Ouest. En général, un des défis concernant <strong>les</strong> relations entre la Russieet l’UE en matière d’énergie, est le transport de gaz par des pays tiers. Bien que l’Europeattribue sa « vulnérabilité » à la Russie, une partie du problème – comme cela a été lecas avec la Biélorussie début 2007 et l’Ukraine début 2006 et 2009 – réside dans <strong>les</strong>pays de transit.La crise énergétique de janvier 2009 met en évidence la carence d’une politiqued’énergie intégrée de l’UE, même si la Commission européenne a admis la nécessitéd’une telle politique et si différentes propositions ont été lancées. Cette carence sereflète dans le fait que l’énergie provenant de la Russie n’est pas écoulée dans la mêmeproportion dans toute la région. De plus, le problème de la dépendance mutuelle estparticulièrement complexe. Il n’est pas difficile de comprendre pourquoi la Commissioneuropéenne a été incapable de concerter une vision commune, ni pourquoicertains pays, parmi <strong>les</strong>quels la France, l’Allemagne et l’Italie, ont essayé de développerleurs propres relations de dépendance énergétiques. Les gouvernements nationauxdoivent décider de l’équilibre entre dépendance et diversification et des alternativespour l’avenir.Pendant la dernière décennie, la pression en faveur de l’industrie de l’énergierenouvelable a gagné du terrain dans l’UE. Une des propositions contenues dans laPolitique énergétique pour l’Europe 2007 a été d’incorporer un minimum de 10 % debiocarburants sur la totalité de combustib<strong>les</strong> transportés vers 2020, qui devra s’accompagnerde l’introduction d’un plan de durabilité pour <strong>les</strong> biocarburants. La régulationexistante fixe l’objectif à 5,75 % pour 2010 8 . Il y est proposé également un objectifobligatoire de 20 % pour la participation totale de l’énergie renouvelable vers 2020,effort qui sera partagé de façon appropriée entre <strong>les</strong> États membres.Les objectifs principaux à atteindre dans la mise en oeuvre d’une stratégie européennecommune pour promouvoir <strong>les</strong> biocarburants sont : 1) accroître la sécuritéénergétique, car <strong>les</strong> prix toujours en hausse du pétrole influent rapidement sur le coûtde l’énergie et réduisent le pouvoir d’achat des européens et 2) réduire <strong>les</strong> émissionsde gaz à effet de serre, facteur principal du changement climatique. L’augmentation dela température et <strong>les</strong> changements qui s’opèrent sur <strong>les</strong> saisons de pluie pourraientaffecter <strong>les</strong> ressources aquifères ainsi que la production agricole.L’avenir des ressources énergétiques alternatives met sur le tapis la question dela nutrition et de l’avenir de la Politique agricole commune de l’UE. La diversification del’approvisionnement en énergie et l’investissement en sources d’énergie alternativessont plus faci<strong>les</strong> à obtenir pour <strong>les</strong> États membres <strong>les</strong> plus anciens. Entre <strong>les</strong> exigencesvisant à réduire <strong>les</strong> centra<strong>les</strong> électriques au charbon pour des raisons environnementa<strong>les</strong>et la résistance vis-à-vis du développement de l’énergie nucléaire, bien faible est lepotentiel d’énergie renouvelable pour <strong>les</strong> membres nouvellement entrés à l’UE.Pour affronter des possib<strong>les</strong> désaccords politiques entre la Russie et l’Europeconcernant le gaz, ainsi que <strong>les</strong> risques spécifiques à la sécurité de l’approvisionnementen gaz des pays de l’Europe centrale et de l’Europe occidentale, l’UE devrait privilégierl’intégration du marché du gaz dans sa politique stratégique de l’énergie 9 . Des mesuresdevront aussi être prises pour améliorer le développement de la sécurité énergétique,ce qui inclut de l’efficacité, des ressources renouvelab<strong>les</strong> et une administration adaptéeà la demande. n8 Directive 2003/30/CE du Parlement européen et du Conseil du 8 mai 2003 visant à promouvoir l’utilisation debiocarburants ou autres carburants renouvelab<strong>les</strong> dans <strong>les</strong> transports. Journal officiel de l’Union européenne, 17mai 2003, Nº. 15. Disponible sur : .9 Noël, P. “Beyond Dependence: How to Deal with Russian Gaz.” Policy Briefs, European Council on ForeignRelations (ECFR), novembre 2008. Disponible sur : .<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>29Défis énergétiques pour l’Europe
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