«La crise économique a manifestement frappé le Bénin. Aujourd’hui de nombreusesfamil<strong>les</strong> ne peuvent se permettre qu’un repas par jour. Les mariages forcés ont augmentécar <strong>les</strong> famil<strong>les</strong> vendent leurs fil<strong>les</strong> pour faire face à la crise. Les progrès réalisés pouréliminer la violence envers <strong>les</strong> femmes en sont réduits à néant. Les impacts de la crisecreusent <strong>les</strong> écarts entre <strong>les</strong> sexes, par exemple, l’inscription scolaire des fil<strong>les</strong> baisse,de même que la présence de la femme sur le marché du travail formel. Les femmes sont<strong>les</strong> premières à perdre leur emploi, et doivent généralement s’occuper de leur famil<strong>les</strong>ans aucune aide sociale» .problèmes sont similaires aux tendances mondia<strong>les</strong>: en Europe <strong>les</strong> femmes sont majoritaires dans<strong>les</strong> emplois incertains, à mi-temps et à court terme,en grande partie à cause de leurs responsabilitésdisproportionnées pour la charge du ménage. Endépit des normes de l’Union européenne sur l’emploiet l’égalité de genre, <strong>les</strong> problèmes de salairesinégaux et du besoin d’équilibrer le travail avec lavie en famille sont toujours d’actualité. Bien que lacrise en Europe ait touché autant <strong>les</strong> femmes que <strong>les</strong>hommes, elle l’a fait de façon différente.Entre autres choses, la conférence a concluque : davantage de mesures d’encouragement sontnécessaires pour que <strong>les</strong> femmes participent aumarché du travail, que l’égalité entre <strong>les</strong> femmeset <strong>les</strong> hommes doit être un élément essentiel dansle développement de mesures et de politiques pourlutter contre la crise, que la participation des femmesdans <strong>les</strong> postes cadres du secteur privé doit êtreencouragée, que <strong>les</strong> entreprises doivent adopter despolitiques qui tiennent compte des famil<strong>les</strong>, qu’i<strong>les</strong>t essentiel d’investir dans leur éducation et leurformation continue. De plus, l’importance des loiset des mécanismes d’égalité de genre en période decrise ont été soulignés.Renforcer <strong>les</strong> droits des femmes en périodede criseRécemment, le directeur général de l’OrganisationInternationale du Travail, Juan Somavia, a annoncéune initiative importante : la création urgente d’unSonon Blanche (<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> Benín)«Le Gouvernement bulgare a admis récemment que le pays a été touché par la crise enfévrier de cette année. Jusqu’à cette date, 44.000 personnes, dont 96 % sont des femmes,ont perdu leur emploi à cause de la crise. Beaucoup d’industries affectées – tel<strong>les</strong>que l’habillement, la chaussure, la restauration et l’administration publique –emploientessentiellement des femmes. La crise a aussi un impact sur la violence envers <strong>les</strong>femmes. Normalement, dans ma ville, de 17 à 19 cas par an en moyenne sont saisispar <strong>les</strong> tribunaux ; depuis le début de l’année, 42 ont déjà été saisis. Dans bien des cas<strong>les</strong> hommes abandonnent leurs femmes et enfants quand cel<strong>les</strong>-ci perdent leur travail ;ces famil<strong>les</strong> doivent donc survivre avec <strong>les</strong> 50 EUR ou moins des allocations chômage.Parmi <strong>les</strong> femmes interrogées beaucoup avaient été harcelées au travail et avaient desdifficultés à se faire embaucher dans le secteur formel» .Milena Kadieva (Gender Research Foundation, Bulgarie)pacte mondial pour l’emploi, élaboré pour promouvoirune politique coordonnée en réponse à la crisemondiale du travail et à l’augmentation du chômage,des travailleurs pauvres et des emplois vulnérab<strong>les</strong> 4 .Cette réponse cherche à éviter la récession socialemondiale et à diminuer ses effets sur <strong>les</strong> gens. Lepacte permettra d’aider <strong>les</strong> plans de relance extraordinaires,entre autres politiques gouvernementa<strong>les</strong>,à aborder en profondeur <strong>les</strong> besoins de ceux quisont en manque de protection et de travail afin d’accéléreren même temps la récupération économiqueet l’emploi.Récemment, Amnisty International a lancé unecampagne dénommée « Exigeons la dignité » pourlutter pour <strong>les</strong> droits menacés par la crise économiqueet pour ceux qui ont été ignorés dans <strong>les</strong> réponsesà la crise. La question fondamentale est de renforcerle pouvoir des pauvres. La campagne a pourbut de renforcer leurs voix et aussi la transparence etla responsabilité publique des gouvernements, afinque <strong>les</strong> gens puissent exiger que <strong>les</strong> engagementssur l’égalité de genre et des droits de la femme soienttenus et puissent participer aux décisions qui touchentleur vie. La campagne insiste spécialementsur <strong>les</strong> droits et la participation des femmes dans <strong>les</strong>décisions qui <strong>les</strong> regardent.4 Les projections de l’OIT sur <strong>les</strong> travailleurs pauvres dans lemonde entier montre qu’il existe 200 millions de travailleursqui risquent de faire partie des personnes vivant avec moinsde 2 USD par jour entre 2007 et 2009. Voir : OIT. “GlobalEmployment Trends Update”, mai 2009.En plus de ces initiatives, il faut spécialementfixer l’attention sur <strong>les</strong> défis et <strong>les</strong> occasions qu’offrela crise mondiale pour le renforcement du pouvoir etle leadership des femmes. Nous sommes témoinsd’exemple positifs de femmes qui accèdent à despostes de haute responsabilité comme résultat de lacrise économique et financière mondiale ; <strong>les</strong> cas <strong>les</strong>plus remarquab<strong>les</strong> sont ceux de la première ministred’Islande et de la présidente de Lituanie, qui ont étéélues principalement en raison de la frustration desélecteurs face aux échecs des politiques économiquesqui ont contribué aux effets de la crise dansces pays.D’après le Groupe de travail des femmes surle financement du développement, une réponse à lacrise fondée sur <strong>les</strong> droits requiert, inter alia, la réformeimmédiate de l’architecture financière mondialeafin de gérer efficacement le manque de liquidité et<strong>les</strong> déséquilibres de la balance des paiements et degarantir que <strong>les</strong> réponses politiques ne transfèrentpas la charge du bien-être familial et la prestation deservices à l’économie des soins. Le Groupe de travaildes femmes agit pour établir des mesures et desprocessus nationaux, régionaux et internationauxqui respectent l’espace de la politique nationale et quisoient compatib<strong>les</strong> avec <strong>les</strong> normes et <strong>les</strong> engagementsinternationaux, y compris ceux concernant <strong>les</strong>droits de la femme et l’égalité de genre. Les politiqueset <strong>les</strong> accords commerciaux devraient permettre auxpays d’éviter <strong>les</strong> déséquilibres du régime de l’OMCet de l’échec du cycle de Doha. En plus, ces mesuresdevraient être accompagnées de l’annulation desdettes illégitimes des pays en développement et dela création d’un mécanisme de restructuration desdettes avec la participation des gouvernements débiteurs,<strong>les</strong> groupes des droits de la femme et d’autresorganisations de la société civile.Lors de la conférence de haut niveau de l’ONUsur la crise financière et économique mondiale et sonincidence sur le développement (24-26 juin 2009),le Groupe de travail des femmes a rappelé aux étatsmembres de l’ONU que <strong>les</strong> femmes ne peuvent plusattendre et que c’est le moment d’agir sur la réformefondamentale de l’architecture financière mondiale 5 .En dépit de l’appel à l’action unanime des organisationsde la société civile, le document final de laconférence n’a pas comblé <strong>les</strong> attentes. Afin de sauvegarderun consensus fragile, <strong>les</strong> états membresn’ont montré qu’un engagement faible sur la réformede la structure financière, alors que le rôle centralde l’ONU (dénommée le « G-192 ») dans la gouvernanceéconomique s’est presque évaporé.Les défenseurs des droits de la femme ontapprécié dans le document la reconnaissance dufait que <strong>les</strong> femmes doivent faire face à « une plusgrande insécurité financière et doivent assumer desresponsabilités familia<strong>les</strong> plus lourdes » (point 3)et que <strong>les</strong> femmes et <strong>les</strong> enfants se sont particulièrementappauvris en raison de la crise (point 7). Ledocument reconnaît aussi que <strong>les</strong> réponses à la crise5 Groupe de travail des femmes sur le financement dudéveloppement. Time to Act : Women Cannot Wait. A call forrights based responses to the global financial and economiccrisis. Juin 2009.Rapports thématiques 18 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
La crise en Europe de l’Est : <strong>les</strong> impacts de genreLes tendances globa<strong>les</strong> de l’impact de la crise mondiale sur <strong>les</strong> femmescaractérisent aussi <strong>les</strong> pays de l’Europe de l’Est, comme le montrent <strong>les</strong>rapports nationaux compris dans cette publication. En République Tchèque,par exemple, <strong>les</strong> réformes des <strong>finances</strong> publiques, ainsi que la diminutiondes impôts pour <strong>les</strong> plus riches et la hausse de la taxe à la valeur ajoutée(TVA) pour <strong>les</strong> artic<strong>les</strong> de base, ont taxé <strong>les</strong> plus pauvres y compris <strong>les</strong>femmes. Il en est de même avec l’introduction des tarifs des services etl’intention de diminuer <strong>les</strong> impôts sur l’assurance sociale, spécialementpour <strong>les</strong> contribuab<strong>les</strong> <strong>les</strong> plus riches. Même avant la crise <strong>les</strong> salairesinégaux et la discrimination de genre et d’âge étaient des points importants.Les nouveaux problèmes d’égalité de genre en République Tchèque sontdûs à la politique conservatrice du gouvernement et au manque de soutienaux institutions consacrées à l’enfance. La crise a également eu commeconséquence l’exacerbation de la discrimination contre <strong>les</strong> étrangers, enparticulier de provenance asiatique.En Hongrie, un des pays de l’Europe de l’Est <strong>les</strong> plus touchés par lacrise, le gouvernement a engagé un plan qui comprend le recoupementdes pensions, des primes pour le secteur public, le soutien à la maternité,<strong>les</strong> subventions hypothécaires, énergétiques et du transport public commeconditions du plan de sauvetage du FMI pour confronter l’impact de lacrise. Toutes ces mesures affecteront <strong>les</strong> femmes de manière négative etaugmenteront leurs responsabilités familia<strong>les</strong> ; il en sera de même aveccertaines mesures additionnel<strong>les</strong> proposées qui comprennent la réductiondes allocations et des bénéfices familiaux ainsi que l’aide aux jeunes coup<strong>les</strong>avec enfants.En Pologne, la diminution des revenus des ménages comme conséquencede la crise menace d’appauvrir des groupes sociaux entiers, particulièrement<strong>les</strong> classes moyenne et basse. Il est fortement probable quececi ait à la fois un impact plus significatif sur <strong>les</strong> femmes, puisqu’el<strong>les</strong> onttraditionnellement la responsabilité de la famille. Pour certains analystes lacrise pourrait également étendre l’économie polonaise informelle, puisquebeaucoup d’entrepreneurs, surtout <strong>les</strong> petits, essayeront de minimiser <strong>les</strong>charges socia<strong>les</strong> et d’éviter le paiement d’impôts, ainsi que <strong>les</strong> autres coûtsassociés à l’emploi formel. En conséquence de quoi il est vraisemblable quel’augmentation de l’économie informelle touchera davantage <strong>les</strong> femmespuisqu’el<strong>les</strong> travaillent le plus souvent mal payées, surtout dans le secteurprivé des services (par exemple le petit commerce). Les autres problèmesde l’égalité de genre sont : la contraction du secteur du vêtement, majoritairementféminin, et la limitation de la mobilité du marché du travail àcause de la hausse des loyers, surtout dans <strong>les</strong> zones défavorisées despetites vil<strong>les</strong>.En Bulgarie <strong>les</strong> ONG et <strong>les</strong> syndicats ont été en désaccord avec cequ’ils considèrent un changement de politique du gouvernement versl’acceptation du besoin de réduire <strong>les</strong> charges socia<strong>les</strong> en temps de crise.Ces charges étaient déjà faib<strong>les</strong> lorsque le contrôle monétaire a instauré ettoute autre réduction pourrait briser la paix sociale dans le pays. Le chômageaugmente (il faut signaler que le nombre de chômeurs non inscrits est égal– voire même supérieur – à celui des inscrits) et touchera surtout <strong>les</strong> plusjeunes qui manquent d’expérience de travail, <strong>les</strong> travailleurs non qualifiés,<strong>les</strong> plus âgés, <strong>les</strong> handicapés et <strong>les</strong> femmes.En Serbie <strong>les</strong> syndicats ont accepté de repousser la mise en place ducontrat collectif général et de différer certaines obligations financières despatrons envers <strong>les</strong> travailleurs, parmi el<strong>les</strong> le paiement des avantages destravailleurs, « pour aider le secteur privé à sortir de la crise ». Les droits destravailleurs sont ouvertement bafoués avec comme excuse le maintien dela stabilité économique, alors que <strong>les</strong> grandes compagnies et <strong>les</strong> magnatssont libres de ne pas payer d’impôts, de salaires et autres bénéfices. Il aété annoncé récemment que le maintien du nouvel accord stand-by avecle FMI, pour une somme de 3,96 milliards d’USD, produira le recoupementdes pensions, de l’éducation et des soins de la santé, aggravant davantagela position sociale de la femme.En Slovaquie malgré <strong>les</strong> premiers pronostics qui épargnaient le paysde la crise, <strong>les</strong> évaluations officiel<strong>les</strong> du chômage dépassent <strong>les</strong> 30.000personnes en avril 2009. Dans ces conditions, la discrimination contre <strong>les</strong>femmes sur le marché du travail persiste.En général, dans tous <strong>les</strong> pays de la région <strong>les</strong> femmes constituent leplus grand nombre de travailleurs à temps partiel, saisonniers et embauchésainsi que <strong>les</strong> non qualifiés, qui en général ne possèdent pas d’assurancechômage formelle ou de protection sociale. Ainsi que l’indique la mise engarde du rapport de juillet 2009 de Development & Transition, il est probableque la crise touche <strong>les</strong> femmes dans <strong>les</strong> secteurs de l’emploi et des réseauxde protection sociale, des tâches non rémunérées, de l’éducation, de lamigration et de la violence de genre. Par exemple, au Kazakhstan, l’accèslimité aux ressources financières nécessaires pour <strong>les</strong> activités économiquesformel<strong>les</strong> pousse la population vers <strong>les</strong> activités commercia<strong>les</strong>indépendantes et à petite échelle dans le secteur informel. La vulnérabilitédes femmes pourrait bien s’approfondir au fur et à mesure que la criseavance. L’ampleur de la migration des femmes à la recherche de travail n’estpas connue exactement ni non plus l’impact sur <strong>les</strong> famil<strong>les</strong> qui dépendentde leurs salaires pour subsister. Par ailleurs, <strong>les</strong> femmes pourraient setrouver dans une situation plus vulnérable à leur retour au foyer, rejetéespar leurs communautés et leurs famil<strong>les</strong> qui <strong>les</strong> considéreraient commedes prostituées 1 . n1 Sperl, L. “The Crisis and its consequences for women”, en Development & Transition, No.13, 2009.<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>19L’égalité de genre et la crise financière
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