droits de l’homme sans aborder <strong>les</strong> effets des politiquesfinancières et des options en ce qui concerne la régulationaurait des résultats insuffisants et inefficaces.Cependant, <strong>les</strong> conséquences évidentes de cettecrise ne sont pas différentes de cel<strong>les</strong> qui se sont produiteslors des autres crises financières qui, au siècleprécédent, ont périodiquement touché divers endroitsdu monde – particulièrement l’Asie de l’Est à la fin desannées 1990. El<strong>les</strong> ont toutes entraîné des privationset de graves souffrances pour <strong>les</strong> citoyens ordinaires,surtout pour <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong> et <strong>les</strong> marginalisés,alors que ceux qui se sont enrichis par la spéculationfinancière ne sont pas tenus de rendre compte de leursactions. Par exemple, pendant <strong>les</strong> dernières années,non seulement la tendance à une augmentation del’inégalité de revenus s’est maintenue mais il y a euaussi une croissance du volume des richesses contrôléespar <strong>les</strong> « super-riches » 10 . Les stratégies agressivesd’investissement – c’est à dire la spéculation– favorisées par <strong>les</strong> flux sans restriction des capitaux,ont permis l’apparition de ces phénomènes 11 . Cependant,ce sont <strong>les</strong> groupes aux revenus <strong>les</strong> plus faib<strong>les</strong>,et non pas ceux qui se sont enrichis lors de l’expansionéconomique préalable à la crise, qui seront démesurémenttouchés par la récession post-crise.Sur ce point, la crise remet aussi en question lacroyance que <strong>les</strong> richesses engendrées par le marchése « répandraient » sur le reste de la population.Récemment, le prix Nobel d’économie Joseph Stiglitza déclaré que <strong>les</strong> marchés financiers – et de faitla croissance du PIB tel qu’il est mesuré actuellement– ne sont pas un but en eux-mêmes mais qu’ils existentpour favoriser le bien-être des personnes. Cequi est bon seulement pour <strong>les</strong> <strong>finances</strong> ou pour lacroissance du PIB, ne l’est pas nécessairement pourle bien-être économique de tous. Cet effondrementdu système exige que <strong>les</strong> gouvernements nationauxassument un nouveau rôle dans l’élaboration des politiqueséconomiques, aussi bien au niveau nationalet de plus en plus, au niveau international.Une réponse axée sur <strong>les</strong> droits del’homme: <strong>les</strong> principesUne réponse à la récession financière et économique quise centre sur <strong>les</strong> droits de l’homme n’est pas seulementune question de justice, mais elle permettra aussi que10 D’après une analyse effectuée en 2007 par Merill Lynch yCapgemini, « Le nombre de personnes avec1 million d’USD ou plus à investir a augmenté de 8 %,atteignant 9,5 millions l’année dernière, et la richesse qu’ilscontrôlent s’est étendue à 37,2 billions d’USD. Environ35 % est entre <strong>les</strong> mains d’à peine 95.000 personnes avecdes actifs de plus de 30 millions d’USD ». Voir Thal Larsen,P. “Super-rich Widen Wealth Gap by Taking More Risks”.Financial Times, le 28 juin 2007.11 Thal Larsen, ibid, cite l’un des directeurs de Merill Lynchqui a dit que la différence entre <strong>les</strong> riches et <strong>les</strong> super richesreflétait « la volonté du très riche de prendre de plus grandsrisques ».<strong>les</strong> réformes du système financier et économique soientplus durab<strong>les</strong> et résistent mieux aux crises futures.Une réponse fondée sur une politique axée sur<strong>les</strong> droits de l’homme ne suppose pas à priori unsystème économique déterminé. Cependant, elleprend comme point de départ un encadrement clairet universellement reconnu – un ensemble de normesfondées sur <strong>les</strong> instruments essentiels de laloi internationale sur <strong>les</strong> droits de l’homme – pourguider la conception et l’application de politiques etde programmes économiques visant à résoudre lacrise. Les droits de l’homme non seulement permettentde limiter l’oppression et l’autoritarisme, maisils imposent aussi aux états des obligations positivespour défendre <strong>les</strong> droits économiques, sociaux etculturels. Les états ont le devoir de respecter et deprotéger <strong>les</strong> droits de l’homme à tout moment, ainsique de s’y conformer, surtout en période de crise.Les gouvernements doivent assurer prioritairementla jouissance des droits sociaux et économiquesminimums essentiels ; ils ont aussi l’obligation spécifiqueet constante de <strong>travailler</strong> avec toute la célérité et l’efficacitépossible pour atteindre leur pleine application.Les normes en matière des droits de l’homme exigentque <strong>les</strong> gouvernements ne prennent aucune mesuredélibérément régressive – par exemple, l’éliminationde programmes essentiels – à moins que ceci soit absolumentjustifié pour la totalité des droits garantisdans <strong>les</strong> principaux traités sur <strong>les</strong> droits de l’hommeet dans le contexte de la pleine utilisation du maximumdes ressources disponib<strong>les</strong>. Même avec des denierspublics limités, <strong>les</strong> états doivent réunir le maximumde ressources disponib<strong>les</strong> pour assurer que <strong>les</strong> droitséconomiques et sociaux s’exécutent pleinement defaçon progressive dans le court et le long terme.En plus, le principe de non discrimination requiertque <strong>les</strong> états assurent que toutes <strong>les</strong> mesures prises enréponse à la crise n’aient pas d’effets disproportionnéset que soient établies des mesures délibérées et cibléesafin d’assurer une égalité à l’accès aux services de basedans tous <strong>les</strong> pays et parmi tous <strong>les</strong> groupes démographiques.Les membres <strong>les</strong> plus démunis doiventêtre protégés de façon prioritaire, même lorsque lalimitation des ressources est sévère.Bien que <strong>les</strong> obligations primaires des états enmatière de droits de l’homme tombent sous leursjuridictions, il faut aussi – dans l’esprit de la charte del’ONU et des lois internationa<strong>les</strong> applicab<strong>les</strong> – qu’el<strong>les</strong>contribuent à la coopération internationale pour lapleine réalisation des droits de l’homme. En agissantdans <strong>les</strong> forums internationaux tels que l’ONU, laBanque mondiale et <strong>les</strong> réunions ad hoc du Groupedes 20 (G-20), <strong>les</strong> états doivent assurer que leurs politiquessoient cohérentes et qu’el<strong>les</strong> conduisent à laréalisation des droits de l’homme. Dans ce sens, <strong>les</strong>états qui ont joui d’une position plus puissante dansla prise de décisions sur <strong>les</strong> politiques économiquesmondia<strong>les</strong> ont une responsabilité plus grande d’avoircausé, par leurs actions ou omissions, cet effondrementmondial. Par conséquent ils ont aussi une plusgrande responsabilité pour en atténuer <strong>les</strong> effets etprendre <strong>les</strong> mesures nécessaires pour assurer uneissue juste et durable. Conformément à la loi internationale,<strong>les</strong> gouvernements doivent aussi assurerque <strong>les</strong> normes en matière de droits de l’hommesoient prioritaires par rapport aux engagementscommerciaux, des investissements ou financiers.Les principes fondamentaux en matière de droitsde l’homme incluent la participation sociale, la transparence,l’accès à l’information, la protection juridiqueet la responsabilité publique. Les gens doiventpouvoir participer dans la vie publique et interagirde manière significative dans le développement desprises de décisions <strong>les</strong> concernant, leur permettantainsi de contester <strong>les</strong> processus qui touchent leursvies. De plus, <strong>les</strong> états doivent assurer que personnene soit au-dessus de la loi. Les personnes dont <strong>les</strong>droits ont été atteints doivent disposer de solutionsaccessib<strong>les</strong> et efficaces pour exiger leur réparation.Les responsab<strong>les</strong> des préjudices causés, même sice sont des acteurs privés, doivent être traduits enjustice, et <strong>les</strong> activités futures qui portent atteinte auxdroits de l’homme doivent être interdites.Réforme du procédé de prise de décisionsen matière de politiques économiquesLa crise actuelle fournit une occasion historiqueet, de fait, une responsabilité générationnelle derepenser la façon dont <strong>les</strong> décisions en matière depolitiques économiques ont été prises jusqu’à présent.Une approche des droits de l’homme exige uneréforme des structures de gouvernance afin d’assurerque toute la politique économique au niveaunational et international soit effectuée conformémentau contenu juridique offert par le régime des droitsde l’homme. .Trop souvent <strong>les</strong> décisions officiel<strong>les</strong> sur la régulationdes flux des capitaux financiers, par exemple,– ou bien le besoin de s’en passer – sont prisespar quelques «experts», parmi <strong>les</strong>quels figurent engénéral <strong>les</strong> propres représentants des industries dusecteur privé. Essentiellement, ce procédé entravela participation publique dans <strong>les</strong> discussions politiqueset léga<strong>les</strong> fondamenta<strong>les</strong> qui touchent toutle monde, avec des effets sur <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong> et<strong>les</strong> marginaux en particulier. Une réponse fondée surune politique des droits de l’homme transformeraitce procédé, en assurant la participation à tous <strong>les</strong>niveaux et en soumettant <strong>les</strong> décisions à un examenpublic,à la transparence et à l’obligation de rendredes comptes à chaque étape.La responsabilité publique et la participationdans la politique économique sont aussi entravées parl’ingérence des institutions financières internationa<strong>les</strong>et des bailleurs de fonds imposant des conditionsen matière de politiques ou par <strong>les</strong> règ<strong>les</strong> inflexib<strong>les</strong>Rapports thématiques 14 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
contenues dans <strong>les</strong> accords commerciaux et d’investissement.Les états devraient avoir le pouvoird’assurer que leurs obligations en matière de droits del’homme soient prioritaires par rapport aux engagementséconomiques ou aux droits des investisseurs.Ces mêmes principes en matière de droits del’homme doivent être diffusés internationalement,puisque la coopération pour la réalisation de cesdroits est une obligation de tous <strong>les</strong> états, surtoutpour <strong>les</strong> responsab<strong>les</strong> des dommages causés. En dépitdes conséquences à grande échelle des mesuresdes politiques financières, <strong>les</strong> organismes intergouvernementauxqui établissent l’agenda et définissent<strong>les</strong> reformes financières, tels que le Comité deBâle sur le contrôle bancaire, le Forum de stabilitéfinancière et le G-20, limitent la participation de laplupart des pays. De leur côté, le FMI et la Banquemondiale sont toujours gouvernés par des principesen matière de prise de décisions qui laissentun rôle marginal aux pays en développement et quilimitent la transparence. De même, dans ces forumssont exclues de l’élaboration <strong>les</strong> réponses politiquesd’autres organisations internationa<strong>les</strong> qui ont pourmandat la protection des droits de l’homme.L’ONU, en tant que gardien du cadre légal international,est le forum le plus adéquat et légitimepour débattre <strong>les</strong> réformes nécessaires à la restructurationdu système économique et financier internationalsur la base des droits de l’homme. Son rô<strong>les</strong>erait énormément renforcé par l’établissement d’unConseil de coordination économique mondial, telqu’il a été recommandé par la Commission d’expertsde l’ONU 12 . Ce Conseil, qui fonctionnerait sous leprincipe de la représentation équitable et au mêmeniveau que l’Assemblée générale et que le Conseil desécurité, pourrait apporter une plus grande efficacité,représentation et transparence dans l’élaboration destratégies pour envisager <strong>les</strong> politiques économiqueslorsqu’el<strong>les</strong> concernent <strong>les</strong> priorités de développement,au-delà du champ d’application limitédes ministères des <strong>finances</strong> ou de l’économie.La régulation du secteur bancaire et financierUn aspect frappant de la crise est la manière dont <strong>les</strong>institutions financières ont réussi à transférer auxsecteurs <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong> de la société la chargede leur irresponsable prise de risques. Ce sont <strong>les</strong>politiques spécifiques du gouvernement, conçuespour déréguler le système financier en entier, qui ontpermis cela. Par conséquent, <strong>les</strong> gouvernements –au niveau national et international – doivent adopterdes mesures pour protéger <strong>les</strong> droits de l’homme deleurs populations par le biais d’une solide régulation12 Assemblée générale des Nations Unies. “Recommandationsde la Commission d’experts du Président de l’Assembléegénérale sur la réforme du système monétaire et financierinternational”. A/63/838, le 29 avril 2009.«Les afro-américains et <strong>les</strong> indigènes partagent un passé d’exploitation et de conquêteet ils subissent à l’extrême <strong>les</strong> effets de la crise. Notre empire américain s’est forgé surle fameux rêve américain, mais on voit qu’on a utilisé des terres usurpées et du travailvolé pour construire ce pays, le pays le plus riche qu’on ait jamais vu dans le monde.Depuis le début, <strong>les</strong> institutions financières ont employé tous <strong>les</strong> moyens possib<strong>les</strong> etimaginab<strong>les</strong> pour aider et encourager <strong>les</strong> spéculateurs qui essayaient de bâtir l’empire.Nous devons rejeter la théologie néolibérale et édifier des théories théologiques plusprogressistes» .du secteur bancaire et financier. Ils doivent aussirenforcer la responsabilité et l’état de droit avec unstrict contrôle des actes délictueux. Bien qu’à l’heureactuelle certains actes ne sont pas considérés commedes délits (par exemple, « l’évasion fiscale » danscertains pays) ou comme des infractions entraînantdes responsabilités léga<strong>les</strong>, une législation appropriéedoit être adoptée et appliquée à ce sujet. Et plusencore, <strong>les</strong> gouvernements doivent agir avec sérieuxpour garantir aux individus et aux pays touchés sansresponsabilité aucune, une indemnisation.De toutes <strong>les</strong> institutions du secteur financier,<strong>les</strong> banques sont <strong>les</strong> plus réglementées. Cependant,leur conduite est de plus en plus gouvernée par desprincipes de contrôle qui relèvent de leurs propresmécanismes de gestion des risques, au lieu de l’êtrepar des normes extérieures développées par uneinstitution de contrôle au niveau national. En réponseà la pression des pays industrialisés, beaucoup depays pauvres ont progressivement adopté ces mêmesprincipes, en partie séduits par la possibilitéd’attirer des banques internationa<strong>les</strong>. Ils ont égalementpermis, pour la même raison, que ces banquesdéplacent des capitaux sans restrictions. Cependant,la dérégulation pour attirer des banques étrangèresn’a pas toujours produit <strong>les</strong> bénéfices désirés. Lespreuves empiriques démontrent qu’il n’existe aucunrapport entre la libéralisation des comptes de capitauxet l’augmentation de la croissance économique.L’accès au crédit, surtout pour <strong>les</strong> groupes <strong>les</strong> plusmarginalisés, ne s’est pas beaucoup amélioré, alorsque <strong>les</strong> grandes banques internationa<strong>les</strong> ont eu tendanceà éliminer le secteur bancaire national dontdépendent <strong>les</strong> plus défavorisés. Aujourd’hui <strong>les</strong> paysqui sont vulnérab<strong>les</strong> et qui dépendent des banquesétrangères sont <strong>les</strong> plus touchés par la crise financière,parce que ces institutions rentrent vers leurspays d’origine et refusent d’octroyer des prêts auxéconomies devenues fragi<strong>les</strong>.Les réformes du secteur bancaire devraientaménager des espaces libres pour que <strong>les</strong> gouvernementsnationaux puissent réguler <strong>les</strong> services offertspar <strong>les</strong> banques afin d’assurer un accès plus largeau crédit et aux autres fonctions socia<strong>les</strong> clés. SiJean Rice (Picture the Home<strong>les</strong>s, New York)l’on considère que <strong>les</strong> banques nationa<strong>les</strong> sont lemeilleur moyen de garantir <strong>les</strong> droits, el<strong>les</strong> devraientêtre pleinement soutenues.Les hedge fund (fonds d’investissement spéculatif),<strong>les</strong> fonds de capitaux propres privés et<strong>les</strong> agences de notation financière ont leur propreschéma d’autorégulation. Dans beaucoup de pays ila été permis que <strong>les</strong> hedge funds deviennent le mécanismeprincipal pour le dépôt de l’épargne des citoyensordinaires, ceci mettant en danger l’accès descitoyens à la sécurité sociale. Les hedge funds et <strong>les</strong>fonds de capitaux propres privés ont aussi provoquéune brusque montée du chômage et autres violationsdes droits du travail en raison de leur influence excessivesur <strong>les</strong> procédés de prise de décisions pourla restructuration des entreprises dans le monde entier.L’obtention de bénéfices extraordinaires a aussiété encouragée moyennant des stratégies à effet delevier basées sur des exonérations fisca<strong>les</strong> sur lefinancement des dettes, compromettant <strong>les</strong> sourcesdes recettes fisca<strong>les</strong>. Ceci a limité <strong>les</strong> possibilitésd’expansion fiscale de nombreux gouvernements aumoment même où ils en ont le plus besoin pour stimulerla création d’emplois et renforcer <strong>les</strong> mesuresde protection sociale.En admettant que <strong>les</strong> activités de ces acteursfinanciers ont des effets profonds et mesurab<strong>les</strong> sur<strong>les</strong> droits de l’homme, l’état ne doit pas abandonnerson devoir de protection. Les gouvernements devraient<strong>travailler</strong> de manière conjointe à la mise enplace de mesures nécessaires pour éviter que <strong>les</strong>hedge funds, <strong>les</strong> fonds de capitaux propres privés,<strong>les</strong> instruments dérivés et <strong>les</strong> agences de notationfinancière aient des effets négatifs sur l’applicationdes droits de l’homme.La libéralisation du capital et la création deparadis fiscaux impénétrab<strong>les</strong> ont rendu plus difficilel’application d’impôts progressifs sur <strong>les</strong> fluxde capitaux et ont érodé encore davantage la baseimposable des pays, aussi bien au Nord qu’au Sud,en facilitant le transfert des bénéfices des pays où ilsont été obtenus vers des pays où l’on paye très peuou pas du tout d’impôts. Ceci a des conséquencesnégatives sur <strong>les</strong> recettes fisca<strong>les</strong>, pourtant crucia<strong>les</strong><strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>15Une réponse sous l’angle des droits de l’homme
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