«Trois millions de personnes à New York sont exposées à l’insécurité alimentaire etdepuis le début de la crise financière en 2008 la consommation d’aliments bon marchéet insalubres augmente. Dans de nombreux quartiers de Brooklyn et du Bronx peu demagasins ont des aliments frais. Une solution à ce problème c’est l’agriculture soutenuepar la communauté, qui met en contact direct <strong>les</strong> consommateurs et <strong>les</strong> fermes familia<strong>les</strong>productrices d’aliments organiques, donnant ainsi aux habitants des vil<strong>les</strong> l’accès auxaliments sains» .crise et restreignent <strong>les</strong> droits des travailleurs. AuGuatémala, seul un groupe d’importateurs a pu bénéficierdes mécanismes destinés à pallier la crise,tels que <strong>les</strong> quotas d’importation au tarif douanierzéro, pas <strong>les</strong> consommateurs.Au Paraguay, la coalition locale de <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>informe que <strong>les</strong> premiers secteurs à exiger davantaged’appui « ont été ceux ayant bénéficié jusqu’àprésent des politiques néolibéra<strong>les</strong> et d’intégrationdes marchés : <strong>les</strong> agro-exportateurs, <strong>les</strong> industriels,<strong>les</strong> importateurs, <strong>les</strong> publicitaires ». Les producteursde soja, par exemple, prétendent non seulement quele gouvernement essuie leurs « pertes mais égalementqu’il conserve le même niveau d’activité et deprofits par le biais de la subvention publique ». Ilsont obtenu des gains extraordinaires le cycle précédent,grâce en partie à la spéculation sur le marchéà terme de produits marchands agrico<strong>les</strong> associéeà la promotion de biocombustib<strong>les</strong> dans beaucoupde pays.En Pologne la population « pense que <strong>les</strong> banquesmanipulent le taux de change au détriment desclients. A l’heure actuelle, la différence entre <strong>les</strong> valeursd’achat et de vente peut atteindre 12 %; et pasmême l’Agence de la Concurrence et de la Protectiondes Consommateurs ne peut imposer de restrictionssur le taux de change. Des groupes de consommateursse réunissent via Internet afin de se procurerdes devises étrangères en grosses quantités dansl’espoir de négocier le montant du spread et mêmeparfois de renégocier <strong>les</strong> conditions de leurs contratsde crédit ».Après avoir assisté à un séminaire organisé parla Red del Tercer Mundo (Réseau du Tiers Monde)sur <strong>les</strong> réponses asiatiques à la crise, la coordinatricedu plaidoyer de <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> Natalia Cardona a écritqu’il semble exister « une atmosphère de défensiveparmi <strong>les</strong> gouvernements de la région. Face au changementdu système financier international, au lieude prendre une orientation énergique et nouvelle, ilsfont confiance aux vieil<strong>les</strong> politiques pour résoudre<strong>les</strong> nouveaux et graves problèmes économiques ».<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> Argentine trouve que son gouvernementest également mal préparé devant l’ampleurdes défis lancés par la crise, et la coalition brésilienneNadia Johnson (WEDO et Just Food, New York)pense que ses dirigeants confondent « l’incapacitéd’agir avec la prudence financière et fiscale ». Entemps de récession, « <strong>les</strong> revenus fiscaux se réduisent,et parallèlement <strong>les</strong> dépenses de la sécuritésociale augmentent. En conséquence, le déficit fiscals’accroît, justement en raison de l’inaction desgouvernements, qui n’ont pas eu assez d’audacepour agir contre la réduction de l’économie. Il est paradoxalqu’en essayant de se montrer prudents, <strong>les</strong>pays se placent dans une situation fiscale pire encorede ce qu’elle serait si leurs gouvernements avaientagi avec décision pour soutenir la demande ».Soutien aux privilégiésDe plus, <strong>les</strong> tentatives pour relancer l’économie nesont pas toutes pertinentes ni justes. Les <strong>Watch</strong>erscanadiens pensent que le « plan de relance économiqueà court terme [du gouvernement] pour répondreaux besoins des milliers de citoyens qui supportent<strong>les</strong> pires effets de la crise » est insuffisant. « Les emploiscréés grâce à l’investissement public sont destinésaux hommes alors que <strong>les</strong> femmes se contententdes emplois précaires ou à temps partiel et sontfréquemment <strong>les</strong> premières à être licenciées ».On retrouve pratiquement <strong>les</strong> mêmes motsdans le rapport de <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> thaïlandais: « La remiseunique de 2.000 THB (57 USD) en espèces auxemployés publics et privés dont le revenu mensue<strong>les</strong>t inférieur à 14.000 THB (397 USD) a été l’une desmesures <strong>les</strong> plus polémiques. Les bénéficiaires de lamesure eux-mêmes l’ont critiquée en la qualifiant depopulisme éhonté, sans la considérer comme une relancesignificative. Par exemple, la plus grande partiedes travailleurs qui se trouvent dans cette catégorieappartient au secteur informel et n’a donc pas le droitde toucher cette somme. Ceci pose le problème de ladiscrimination de genre puisque ce sont <strong>les</strong> femmesqui composent la majeure partie du secteur des travailleursinformels ».Pendant que <strong>les</strong> économies occidenta<strong>les</strong> injectentde nouveaux fonds de soutien massifs dansleurs institutions financières, et dans certains casnationalisent à nouveau leurs banques, le parlementkényan légifère sur la privatisation des rares actifssociaux stratégiques qui subsistent afin de fournirà titre exceptionnel une injection de revenus au gouvernement,dénonce la coalition kényane de <strong>Social</strong><strong>Watch</strong>. Parmi <strong>les</strong> organisations faisant partie de laliste des privatisations se trouvent : la Compagniede Génération d’Électricité du Kenya (KENGEN), laKenya Pipeline Company, <strong>les</strong> entreprises sucrièresde l’État, des hôtels, des banques et autres.Au Liban, aussi bien le premier ministre que leministre des Finances ont admis <strong>les</strong> impacts négatifsque l’on attendait de la crise mondiale et la nécessitéde protéger l’économie nationale. Cependant, l’analysede <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> local conclut que <strong>les</strong> mesuresappliquées accélèrent <strong>les</strong> démarches nécessairespour que le pays adhère à l’Organisation Mondialedu Commerce (OMC), ce qui se traduirait par la libéralisationdes services et des secteurs productifsde l’économie.De la même manière, en Thaïlande « pourcompléter son plan de relance de l’économie, leGouvernement travaille aussi sur une importanterestructuration de la régulation des marchés financiers.Cependant, contrairement à beaucoup de paysqui ont établi plus de garanties pour protéger <strong>les</strong>consommateurs et leurs économies, la Thaïlandemarche vers une forte dérégulation et libéralisationdu marché des capitaux pour augmenter son rôledans le développement de l’économie. ». Les <strong>Watch</strong>ersthaïlandais craignent que « cette initiative, dontnombre de personnes qui ont participé à la crise de1997 recherchant exclusivement des profits à courtterme sont à l’origine, ouvre la voie à une nouvellecrise à peine le pays remis sur pied ».Les <strong>Watch</strong>ers de Malaisie informent que le pays,dont la croissance économique dépend en grandepartie de ses exportations et qui importe la plupart deses denrées alimentaires, « devra se préparer pouraffronter des années de difficultés économiques. Ilexiste une forte chute de la production industrielle,le chômage est au plus haut et <strong>les</strong> analystes prévoientque la récession pourrait être pire que cellede 1997. Le Gouvernement a été critiqué parce qu’ila réagi tardivement et qu’il s’est consacré au sauvetagedes entreprises. Les organisations de la sociétécivile manifestent et font des débats publics pourconscientiser le public sur <strong>les</strong> répercussions négativesde cette crise, spécialement par rapport auxsecteurs vulnérab<strong>les</strong> de la société ».C’est tout le contraire qui se passe au Venezuela,où la réduction de la misère est un objectif essentieldu gouvernement qui dépense de grandes sommesd’argent à cette fin ; <strong>les</strong> politiques ne sont cependantpas aussi transparentes que le souhaiteraient <strong>les</strong><strong>Watch</strong>ers locaux.L’Algérie, d’un autre côté, semble avoir tiré desleçons de la crise. En septembre 2008 Sid Saïd, dirigeantde l’Union Générale des Travailleurs Algériens,a annoncé que le Gouvernement se rétractait de sapolitique du « tout est susceptible d’être privatisé ».8<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
Le rapport de <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> local estime qu’environ220 entreprises publiques, « en attente de privatisationaprès la mise en application des mesuresrèglementaires ont finalement été effacées de la listede sociétés destinées à la vente ». De plus, le Gouvernement« a demandé à un groupe de travail interministérielde prendre en charge la supervision et <strong>les</strong>uivi de l’industrie des <strong>finances</strong> et de la promotiondes investissements dans des petites et moyennesentreprises ».Investir dans <strong>les</strong> gensDe nombreux citoyens du monde entier peuvent partagerla conclusion des <strong>Watch</strong>ers péruviens: « entemps de prospérité, on demande aux travailleursd’attendre patiemment <strong>les</strong> bénéfices de la croissance,alors que, pendant la crise ils n’ont qu’à se serrerla ceinture ». Mais ce n’est pas juste et, d’après ceque pensent à présent <strong>les</strong> experts, cela ne marchemême pas. Les séries de programmes de relance reposantsur <strong>les</strong> réductions d’impôts appliquées aux richeset sur la subvention des grandes banques et descorporations n’ont pas produit <strong>les</strong> effets escomptés.En prévision d’une récession prolongée, <strong>les</strong> riches et<strong>les</strong> classes moyennes tendent à épargner tout argentsupplémentaire au lieu de le dépenser, alors que <strong>les</strong>banques, au lieu de prêter l’argent de la relance, l’utilisentpour reconstruire leurs actifs.Mais quand <strong>les</strong> fonds sont canalisés vers <strong>les</strong>pauvres, ils sont immédiatement dépensés. Nonpas qu’ils aient davantage conscience du rôle qu’ilsjouent dans la récupération de l’économie globale,mais simplement parce qu’ils n’ont pas le choix.Partout dans le monde, <strong>les</strong> organisations dela société civile exigent des choses similaires, chacuneà leur façon. Au Maroc, comme le rapportela coalition de <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> locale, « diverses actionscollectives ont été amorcées, notamment desgrèves sectoriel<strong>les</strong> (éducation, santé, collectivitésloca<strong>les</strong>, etc.), ainsi qu’une grève générale. Parmid’autres mouvements sociaux particulièrementdynamiques, il faut mentionner <strong>les</strong> diverses luttespromues par <strong>les</strong> Associations coordonnées contrel’augmentation du coût de la vie, ainsi que par <strong>les</strong>Associations nationa<strong>les</strong> de professionnels au chômage.Plusieurs stratégies d’action collective ont étédéployées : grèves des bras croisés, manifestationspopulaires spontanées, journées de mobilisationnationale contre la pauvreté, etc. Les revendicationsconcernent le blocage de l’augmentation des prix, lemaintien de la Caisse des Compensations, la mise enplace de l’échelle mobile des salaires, la rénovationdes services publics et la fin des privatisations descontrô<strong>les</strong> de distribution d’eau et d’électricité, le droità <strong>travailler</strong> dans le secteur public ».Aux États-Unis, là où la crise a commencé, etoù le nombre de chômeurs est monté à 13,1 millions(5,6 millions de plus qu’au début de la récession),le Parti Républicain a été “ pénalisé” par l’électorat,qui a élu Barack Obama et sa plateforme d’espoirs etde changements. Maintenant, selon le rapport des<strong>Watch</strong>ers des États-Unis, « <strong>les</strong> mouvements pour<strong>les</strong> Droits de l’Homme, <strong>les</strong> emplois écologiques, lecommerce équitable, <strong>les</strong> soins de santé et le logement,présentent des propositions et exigent deschangements réels et structurels. Les États-Unis nepeuvent pas laisser passer l’occasion d’effectuer unréel changement ».Au Ghana, <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> exige que, pour « impulserl’agriculture et contribuer à la création d’emplois,à la croissance économique et au bien-êtregénéral de la population, <strong>les</strong> agriculteurs ont besoind’un soutien pour investir en produits agrico<strong>les</strong>, enfertilisants, en formation et accès aux marchés ».Une demande analogue provient du Sénégal, le paysd’Afrique occidentale qui dépend le plus de l’importationdes denrées alimentaires, où la société civile« préconise un retour à l’agriculture traditionnelle,correctement encouragée et soutenue par l’État ».« Cette stimulation devrait être une augmentationréelle des salaires », c’est en résumé ce que<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> propose en Bulgarie. Et aux Philippinesdéfinitivement, la création d’un « ensemble demesures de relance mais, à la différence de ce quia été proposé par le gouvernement, il devrait êtrebasé sur une stratégie nationale claire, soumise audroit, en faveur des pauvres et durable, et destinéeà renforcer la demande nationale surtout dans leclimat économique actuel, hostile aux exportations.Il faudrait donner la priorité à la sécurité alimentaire,à la création d’emplois tout en renforçant <strong>les</strong> entreprisesloca<strong>les</strong> afin que <strong>les</strong> travailleurs et travailleusespuissent en bénéficier, ainsi qu’à l’investissementdans des projets d’infrastructures écologiques eten faveur des pauvres (par exemple, la constructiond’un réseau de système d’irrigation, l’électrificationde villages isolés et le développement d’une énergiepropre), ainsi que le développement de la sécuritésociale et économique des pauvres et des chômeurs(...) Il faut finalement penser sérieusement à la renégociationde la dette publique de sorte qu’une grandepartie des revenus du pays soit destinée à couvrir <strong>les</strong>besoins élémentaires et de première nécessité despersonnes au lieu d’être affectée à la dette ».En Thaïlande, <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> a agi en faveurd’une large alliance similaire à celle qui a conduit àla « Constitution Populaire » de 1997, après la crisefinancière du sud-est asiatique.Au Pérou, <strong>les</strong> <strong>Watch</strong>ers mettent l’accent surle fait que « pour affronter <strong>les</strong> conséquences nocivesde la crise, il est donc indispensable de renforcerla demande interne, c’est-à-dire augmenterla consommation des travailleurs et protéger laproduction nationale, ainsi que d’annuler <strong>les</strong> Traitésde Libre Commerce (TLC) qui se soldent par uneouverture inutile du marché péruvien alors que <strong>les</strong>marchés internationaux sont en pleine contraction ».La coalition mexicaine de <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> demandeégalement une révision de l’Accord de libre-échange:le Mouvement pour la souveraineté alimentaire eténergétique, pour <strong>les</strong> droits humains des travailleurset <strong>les</strong> libertés démocratiques – dans une lettre du16 avril 2009 adressée à Barack Obama – proposed’engager « le dialogue au plus haut niveau pouraborder <strong>les</strong> questions incluses dans l’agenda visantà renégocier de manière urgente <strong>les</strong> termes du TL-CAN et sauvegarder <strong>les</strong> droits du travail, sociaux ethumains des citoyens de notre région. Il s’agirait decréer un Fonds de Compensation Asymétrique pourl’Amérique du Nord, de négocier un accord binationalsur la question migratoire et de signer un accordpour encourager le Traité pour le développementéconomique et social de l’Amérique du Nord ».Les <strong>Watch</strong>ers italiens expliquent que « en réponseà la crise, <strong>les</strong> propriétaires de comptes bancairesen Italie font de plus en plus incursion dansle monde de la finance éthique. Le client qui soutientla finance éthique s’intéresse à la manière d’utiliserl’argent et au fait que sa banque ne fasse pas faillite.C’est ainsi que beaucoup de banques redoublentaujourd’hui leurs efforts pour améliorer leur image.Le retour à la mission originelle du système bancairede soutenir l’économie réelle doit être un point deréférence constant dans la recherche d’issues à lacrise ». Leur conclusion est valable pour la planèteentière : <strong>les</strong> mots-clés devraient être « lutter contre lapauvreté et redistribuer <strong>les</strong> ressources ». n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>9
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