Yémen100Le pétrole ne suffit pas0NO VA 0,00,01000Avec une économie qui dépend des exportations du99pétrole, et des réserves qui commencent à donnerdes signes d’épuisement, le Yémen mise sur <strong>les</strong> hausses du prix international 100 67 du pétrole pour financer 10097son budget. Dans ce pays, qui se place dans <strong>les</strong> derniers rangs quant au développement, <strong>les</strong> politiquesIEG of Serbia socia<strong>les</strong> = 0 officiel<strong>les</strong> ne sont pas basées BCI of Eslovaquia sur des études = 99 économiques profondes et IEG leur of mise Slovakia en pratique = 68,8 estde plus en plus chaotique. Une minorité corrompue joue avec <strong>les</strong> ressources de l’État et la richesse neparvient pas aux secteurs qui en ont le plus besoin.99100 100100 100 100100 10010098100042Centre d’Information et de Formation des Droits de l’Homme(HRITC)Le Forum <strong>Social</strong> Démocratique 100Observatoire Yéménite des Droits de l’HommeIndice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 59 IEG = 30Enfants atteignant66la cinquième annéed’écoleIndice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueEmpowerment44La Constitution de la République du Yémen considèrela charia, le code musulman de moralité et des0règ<strong>les</strong> de conduite comme source principale des0législations. Elle établit la séparation des pouvoirs209890– législatif, exécutif et judiciaire – et le principe de100 100 81100100 100pluralité des partis politiques. Il y a des élections 97Accouchements assurés par du Survivance jusqu’àparlementaires tous <strong>les</strong> six ans et des élections personnel médical spécialisél’âge de 5 ansmunicipa<strong>les</strong> tous <strong>les</strong> quatre ans. Aussi bien la dé-8 IEG of Vietnam = 73,9centralisation du gouvernement que la séparationdes pouvoirs, consacrées dans la Constitution,laissent apparaître des faib<strong>les</strong>ses lors de leur miseen pratique.L’Islam est la religion officielle de l’État. Il y aBCI of Yemen = 58,7avant que la signature de la convention des NationsUnies a signifié en 2005 1 , tout comme la formationen juillet 2007 de l’Organisme National Supérieurde la Lutte contre la Corruption comme instrumentIEG of Yemen = 30Le rial, la devise officielle, subit une baisse deson pouvoir d’achat en raison de l’affaiblissementde l’économie. La valeur d’un dollar américain estarrivée à près de 200 rials, alors que son prix ne dépassaitBune minorité juive concentrée 100 notamment dans <strong>les</strong> indépendant. 100pas 20 unités au 100 début des années 1990.gouvernorats de Saadah et Amran. Les musulmanssont partagés entre <strong>les</strong> croyances chafite et zaydite,et la minorité ismaélite. Tous jouissent de la libertéLa société civile travaille en coopération étroiteavec l’organisme officiel du 65gouvernement afin desensibiliser davantage la société sur <strong>les</strong> dangersEn 2007 la hausse des prix du pétrole a entraînéune amélioration du revenu national. Cependant, labaisse du prix international à partir de mi-2008 areligieuse. La société yéménite se consacre aux activitésagrico<strong>les</strong>. Elle est gouvernée 20 par des mœurs concernant <strong>les</strong> programmes du budget général et le n’a pas fait d’épargnes quand il pouvait en faire. Lede la corruption et sur le besoin de contrôle social eu un impact négatif. Un coup dur puisque le pays270communautaires dans la plupart des régions.0renforcement de la transparence et de l’intégrité.0gouvernement a annoncé une réduction de 50 % desLa Constitution met l’accent sur le principe En ce qui concerne <strong>les</strong> élections, malgré quelquesavancements 52 importants – trois élections 88 par-ce qui aura de graves 61 répercussions sur <strong>les</strong> servicesdépenses destinées au bâtiment et à l’infrastructure,9636d’égalité entre <strong>les</strong> citoyens, et en ce sens, <strong>les</strong> lois100 100 100100 100100 76 100sont ressenties comme positives, excepté 99 quelqueslementaires consécutives en 1993, 1997 et 2001, et <strong>les</strong> revenus aussi bien nationaux qu’individuels enunes qui sont clairement discriminatoires des élections municipa<strong>les</strong> et des présidentiel<strong>les</strong> 2009. Le budget général de l’État est tributaire desà l’égard des IEG femmes, de Nicaragua tel<strong>les</strong> que = 51,5 <strong>les</strong> lois sur <strong>les</strong> directes en 2006 ICB – de le Senegal conflit existant = 68,5 entre le parti extractions de IEG pétrole. de Senegal Le probable = 54,9 épuisement desbiens personnels et <strong>les</strong> sanctions. Le plus grand au pouvoir et <strong>les</strong> partis d’opposition a retardé deproblème est constitué par leur mise en pratiqueen raison du manque d’indépendance réelle desdeux ans <strong>les</strong> élections qui auraient dû avoir lieu enavril 2009.organismes judiciaires.Droits civils et droits politiquesAu cours de l’année 2008 <strong>les</strong> organisations internationa<strong>les</strong>travaillant sur <strong>les</strong> Droits de l’Homme et plusspécialement sur la liberté d’opinion et d’expressionont durement critiqué ce pays. Des journauxappartenant à des partis politiques, comme Atauri(Le révolutionnaire) et Al-Uahdaui (L’unioniste), etdes journaux indépendants comme Al Aïam (Lesjours) publié à Adan, affrontent une série de procès.D’après <strong>les</strong> activistes, ces procès portent atteinte defaçon continue et préméditée contre la liberté d’opinionet d’expression.Quant à la lutte contre la corruption, <strong>les</strong> rapportsde « Transparence Internationale » ont signaléune régression évidente du Yémen, malgré le pas enSituation économique et socialeL’économie du Yémen a été faible depuis la naissancede la République, en 1990. Depuis lors, le pays aconnu des crises économiques successives : depuisla guerre du Golfe en 1991, qui a provoqué le retourdes ressortissants partis en Arabie Saoudite et dansle Golfe alors qu’ils étaient la source principale derevenus en devises étrangères, jusqu’au conflit deSaadah 2 , au nord, toujours en vigueur en 2008.1 ONU (2003). Convention des Nations Unies contrela corruption. Voir : .2 En 2004 un groupe armé mené par le religieux zayditeHussein Badreddin al-Houthi s’est soulevé contre legouvernement du Yémen.10003449100 100Éducationréserves, dont le rendement est en baisse continue –de 420 mille barils par jour en 2005 à moins de 350mille actuellement – met le budget général en danger.Par conséquent, le Yémen ne peut miser que sur lahausse du prix international du pétrole.La culture du khat, une plante stimulante eteuphorisante, considérée comme un fléau économiqueparce qu’elle gaspille plus de vingt millionsd’heures de travail par jour, occupe plus de la moitiéde la superficie cultivée et absorbe d’importantesquantités d’eau souterraine ainsi qu’un quart dela main d’œuvre. On en estime le coût à 7 millionsd’USD par jour.Ces raisons entre autres, expliquent pourquoi42 % des Yéménites vivent sous le seuil de pauvreté,selon des estimations du programme d’alimentationde l’année 2006. On estime que ce pourcentagecontinuera de s’accroître moyennant la hausse desprix des aliments en 2009, notamment du blé. Il fautrappeler que la moyenne du revenu individuel annuel6100Rapports nationaux 168 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
au Yémen était de 930 USD en 2007. Selon le rapportdu gouvernement, la croissance de l’économiea diminué de 5,6 % en 2005 à 3,6 % en 2007. Lechômage est monté à plus de 35 % selon la BanqueMondiale, mais le Gouvernement l’estime à 17 %.Le Yémen se trouve parmi <strong>les</strong> pays ayant <strong>les</strong> piresindices de développement : 157 éme sur 175 dans lerapport international de développement humain publiépar <strong>les</strong> Nations Unies concernant l’année 2007, et131 ème dans le rapport de Transparence Internationalede la même année 3 .Effets des accords de commerceLe Yémen a suivi <strong>les</strong> programmes du FMI et de laBanque Mondiale et a complètement libéralisé sonpropre commerce en 1985. La baisse des tarifs de5 % à 25 % a rendu impossible la production denombreux produits alimentaires. À l’heure actuelle<strong>les</strong> importations d’aliments représentent 33 % de latotalité des importations et el<strong>les</strong> jouent un rôle importantaussi bien dans la balance commerciale que danscelle des paiements. L’industrie nationale est faibleet l’investissement privé ne fait que diminuer. Lamoyenne de la majoration de l’inflation, qui d’après<strong>les</strong> estimations du gouvernement s’approchait de17 % en 2006, a signifié une baisse du niveau de vieet des revenus et a aggravé la pauvreté et le chômage.Installé dans cette réalité, le Yémen prétend fairepartie de l’Organisation Mondiale du Commerce, quile considère toujours non apte.Le grand fossé entre <strong>les</strong> genresLa participation générale des femmes, qui représentent25,7 % de la main d’œuvre, continue de montrerTABLEAU 1.ÉtapeTauxd’hommesTaux defemmesÉducation primaire 100 % 74 %Éducation secondaire 61 % 30 %Éducation supérieure 14 % 5 %Source : Banque Mondiale.une chute importante. Le fossé entre <strong>les</strong> genres estimportant dans le domaine de l’éducation. L’analphabétismeféminin, de 65 %, se trouve parmi <strong>les</strong> plusélevés des pays en développement. La grille suivantemontre le fossé existant entre <strong>les</strong> genres d’après <strong>les</strong>statistiques de 2005.En ce qui concerne la santé, <strong>les</strong> statistiquesmontrent que 366 sur 100.000 femmes enceintesou parturientes meurent à cause des complicationsde l’accouchement et du manque de soins sanitaires.3 Human Development Report 2007/2008 – FightingClimate Change: Human Solidarity in a Divided World.New York : Palgrave Macmillan. .55 % de ces femmes ne reçoivent aucun soin pendantleur grossesse ou l’accouchement, notammentdans <strong>les</strong> zones rura<strong>les</strong>.Malgré la croissance de leur participation dansla vie politique en tant qu’électrices puisque <strong>les</strong> femmesconstituent plus de 42 % des listes électora<strong>les</strong>,leur participation en tant que candidates et élues lorsdes élections parlementaires (1993, 1997 et 2003) etdes élections communa<strong>les</strong> parvient à peine à 0,5 %.Même en ayant approuvé la convention CEDAW,le fossé entre <strong>les</strong> genres continue d’être important.Plusieurs lois discriminant <strong>les</strong> femmes sont toujoursen vigueur. De nombreuses organisations de la sociétécivile, des personnalités et des leaders font desefforts appréciab<strong>les</strong> en vue de sensibiliser et de promouvoirdes changements précis tels que l’adoptiondu principe du quotient électoral pour <strong>les</strong> femmeslors des élections et des nominations.Jouir des droits sociauxÉducationLe taux d’accès des enfants à l’éducation primaireest estimé à 56 % à peine. Cela signifie laisser 2,9millions d’enfants sans accès à l’enseignement. Oncompte 1,9 millions de petites fil<strong>les</strong> dans cette situation.D’après le troisième rapport sur le développementhumain du pays, l’efficacité de l’enseignementest marginale. Les taux d’abandon scolaire et de redoublementaugmentent, on constate le manque derespect du quota obligatoire de l’horaire scolaire etune forte concentration d’enseignants dans <strong>les</strong> zonesurbaines en opposition aux manque d’enseignantsen milieu rural. Les méthodes d’enseignement et<strong>les</strong> stages sont déficients et ne s’accompagnent pasde méthodes d’éducation modernes allant de pairavec <strong>les</strong> besoins du marché du travail. Le rapport dudéveloppement humain estime que <strong>les</strong> méthodes ou<strong>les</strong> sty<strong>les</strong> d’enseignement en usage ne stimulent ni ledéveloppement ni la pensée critique.SantéLes services sanitaires ne sont pas à même d’apporterdes solutions aux besoins de plus en plus importantsissus de l’accroissement démographique à la suitede reculs dans l’utilisation des méthodes contraceptives.On constate une mauvaise distribution despostes sanitaires, un déficit dans l’équipement, uneinsuffisante organisation administrative des ressourceshumaines, c’est-à-dire de la formation et de laqualification des travailleurs ; il faut ajouter à celaune fragilité du milieu sanitaire et une régression dela sensibilisation.Bien que <strong>les</strong> habitants des milieux ruraux constituent75 % de la population, leur couverture maladiene doit pas dépasser 30 % et on ne consacre à lasanté en milieu rural que 3,5 % ou 4 % du budgetgénéral. Le rapport de l’Organisation Mondiale dela Santé indique que 60% des habitants vivent dansdes régions exposées au paludisme et on estime quetrois millions de personnes tombent malades par an.Selon un rapport établi par la Commission de l’Eauet de l’Environnement du parlement, autour de 12millions d’habitants souffrent de maladies liées à lacontamination de l’eau.TravailLa Constitution et <strong>les</strong> lois du travail et du servicecivil respectent <strong>les</strong> conventions internationa<strong>les</strong> approuvéespar le droit naturel au travail de chaquecitoyen et à un niveau de vie digne moyennant unsalaire juste. Cependant, l’orientation du gouvernementpendant <strong>les</strong> dernières années décèle l’abandonde ces engagements.La sécurité sociale couvre la totalité des fonctionnaireset 70.000 travailleurs du secteur privé, sibien que plus de 4 millions de travailleurs se trouventen marge du régime de la sécurité sociale. Il n’existejusqu’à présent aucun régime d’assurance-maladiedans ce pays. Il faut préciser que l’augmentation dela pauvreté a causé l’éloignement de plus de 500mille enfants de l’enseignement primaire. La plupartd’entre eux vont aider leurs parents pour <strong>les</strong> travauxagrico<strong>les</strong> et le pâturage, une autre partie tombe dansla mendicité et une autre partie est conduite illégalementdans <strong>les</strong> pays voisins pour y pratiquer la mendicitéou pour <strong>les</strong> travaux domestiques.La société civile et <strong>les</strong> droits de l’hommeIl y a autour de 6.000 organisations civi<strong>les</strong> inscrites,dont plus de 75 % font de la charité et sont chargéesde distribuer des aides aux famil<strong>les</strong> pauvres et d’offrirplusieurs services. Les organisations traitant desdroits de l’homme sont peu nombreuses et peu spécialiséessi bien que la même organisation s’occupedes droits des femmes, des enfants et des droitscivils, politiques et économiques. Malgré leur nombreinsuffisant et leur manque de spécialisation dutravail de sensibilisation sur <strong>les</strong> droits de l’homme,el<strong>les</strong> ont organisé de nombreux cyc<strong>les</strong> de stages, desconférences, des activités et des débats sur diversproblèmes en zone rurale. Bien qu’il ne se soient pasproduits de grands changements , il y a eu des améliorationsprogressives concernant la problématiquedes femmes, des enfants et des handicapés. On a obtenude même la sanction de nombreuses lois portantsur la transparence et la lutte contre la corruption.Ces derniers temps on assiste au développementde nombreuses alliances et réseaux visant às’engager dans l’activisme et le lobbying dans desdomaines divers, aussi bien politiques que civils,sociaux, économiques et intellectuels. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 169 Yémen
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