100Roumanie52Perspective funeste0La chute des exportations a provoqué des faillites, une diminution 96 des activités et une hausse 29 du chômage. Les envois63de fonds des émigrés, qui représentent 5 % du Revenu National Brut, ont chuté 100 de 10 % au début de l’année 84 2009. 100 La98privatisation et la vente des banques nationa<strong>les</strong> de ces dernières années ont conduit le pays et <strong>les</strong> citoyens à s’endetter auprèsdes banques occidenta<strong>les</strong>. Un récent BCI prêt of portant Marruecos sur plusieurs = 81,1 millions et délivré par le Fonds IEG of Monétaire Morocco International,= 44,8IEG of Moldova = 73,9semble principalement destiné à soutenir <strong>les</strong> entreprises étrangères. Une des victimes de la crise est l’aide au développement :l’ensemble de la politique de coopération pour le développement roumain est en danger de disparition.100 100 72100100 100100084100021100Fundatia pentru Dezvoltarea Societatii Civile(Fondation de la Société Civile pour le Développement)Valentin Burada100Comme ses voisins de l’ancien 53bloc soviétique, laRoumanie se trouve piégée dans l’instabilité de laIndice des Capacités de Base (ICB)100 97ICB = 98* IEG = 71Enfants atteignantla cinquième annéed’écoleIndice d’Equité de Genre (IEG)Empowermentcrise financière et économique mondiale. Le pays0a profité d’un boom économique ces dernières années,00stimulé en partie par des prêts importants des10099 9899banques occidenta<strong>les</strong> et un accès simplifié aux prêts100 100 69100100 100100 75100100externes. Néanmoins, à l’heure actuelle on 98 observe Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à97une contraction des crédits, la monnaie nationale est personnel médical spécialisél’âge de 5 ans Activité économiqueÉducationinstable et la situation semble extrême.BCI of Rumania = 96IEG of Portugal = 73,1 IEG of Romania = 71,3portations subventionnées de produits agrico<strong>les</strong> et ces, n’ont que très peu de chances de trouver unalimentaires en provenance d’autres états membres emploi sur le marché du travail. Pour <strong>les</strong> chômeursde l’Union Européenne, ils cherchent donc à réorienterleurs exportations.de leur salaire pendant 24 mois. Le plan, évalué à 133de plus de deux ans, <strong>les</strong> subventions couvriront 75 %Les revenus budgétaires ont commencé à millions d’EUR, est financé à 85 % par la CommissionEuropéenne. De cette 100 somme, 29 millions diminuer au cours du 100 dernier trimestre 2008, unesontBudget national, envois de fonds desémigrés et chômageLa Roumanie dépend des marchés chancelants del’Union Européenne (UE). Les exportations ont diminuéde 25 % et <strong>les</strong> flux 100 de capitaux changent dedirection. Rien qu’en janvier 2009, <strong>les</strong> rapatriementsse sont élevés à 539 millions d’EUR. La baisse destendance qui se poursuit en 872009 – avec 8,7 % demoins en janvier que sur la même période en 2008consacrés à l’emploi en zone rurale. En mars 2009,le Gouvernement a également décidé d’allonger laexportations s’est traduite par une 52 hausse du chômage,des faillites et une contraction des activités des baisse la plus importante a concerné <strong>les</strong> impôts sur mentaires, alors que <strong>les</strong> patrons et employés serontet qui va très certainement encore s’aggraver. La période d’allocations chômage de trois mois supplé-44entreprises. En avril 2009, environ 500.000 personnes(5,7 %) étaient au chômage – dont pratiquement0la moitié étaient des femmes – par rapport à un taux<strong>les</strong> revenus (-30,7 %). Les fonds récoltés au titre0de la TVA, qui est encore la principale ressource dubudget, ont chuté de 8 % et une nouvelle baisse estexonérés de trois mois de contributions socia<strong>les</strong>0pendant l’arrêt saisonnier des activités.D’après des données fournies par la Banque99 de 3,9 % en avril 2008. La Commission Européenne a encore possible.9598 Nationale de Roumanie, 61 <strong>les</strong> citoyens qui travaillent à100 100 72100100 100100 100estimé qu’en mai 2009, le chômage s’élèverait 97à 8 %. Comme réponse, on a proposé de nouveaux l’étranger, enverront 8,7 milliards d’EUR en 982008 (parChaque point de pourcentage correspond à 100.000 impôts plus élevés et des augmentations des contributionsrapport à 7 milliards d’EUR en 2007). Ceci représentesocia<strong>les</strong>. En mars 2009, le Gouvernement presque autant que l’investissement étranger directchômeurs supplémentaires.Même si le salaire IEG of Usa mensuel = 73,8 net moyen était a annoncé une BCI augmentation of Venezuela de = près 94,5de 1 % des total (un record IEG de of 9 Venezuela milliards d’EUR) = 67,7 et 5 % du RevenuNational Brut. Une étude publiée par la Banque8.1 de 327 d’EUR en mars 2009, une augmentation de contributions sur <strong>les</strong> fonds d’assurance médicale17,6 % par rapport au mois de mars 2008 d’aprèsl’Institut National de la Statistique, est moins impressionnanteque lors des premiers mois de 2008aussi bien sur la part salariale que patronale du faitque la hausse du chômage allait générer moins decontributions. Auparavant, la contribution obligatoireMondiale classe la Roumanie à la huitième place despays en voie de développement par rapport aux envoisde fonds des émigrés 1 . Néanmoins, début 2009,était de 5,2 % pour <strong>les</strong> employés et de 5,5 % le niveau de ces envois de fonds a chuté de 10 % parlorsqu’on a assisté à des augmentations de plus de100100 9810030 %. On s’attend à ce que la crise diminue encore pour <strong>les</strong> patrons. Les représentants du secteur rapport à la même période de 2008. L’Italie et l’Espagne,davantage <strong>les</strong> augmentations et même inverse la commercial pensent que cette mesure augmentera<strong>les</strong> deux pays constituant 90 % de la totalité destendance. Le Gouvernement a annoncé le gel des encore davantage le chômage car <strong>les</strong> entreprises envois de fonds, font face à des difficultés économiquessérieuses et des taux de chômage élevés. Ce4848salaires budgétés ce qui signifie moins de pouvoir continueront à abaisser leurs coûts et fonctionnerontd’achat. Lors d’un entretien à la télévision nationaleen avril 2009, le premier ministre 0 Emil Bloc a reconnuqu’il y avait un risque pour que le Gouvernement soitavec moins d’employés.En février 2009, le Gouvernement 0a annoncéque <strong>les</strong> entreprises qui embaucheront des personnessont environ 800 mille Roumains qui travaillent enEspagne, principalement 0dans <strong>les</strong> secteurs <strong>les</strong> plustouchés (services, industrie et construction). En novembre2008, <strong>les</strong> autorités espagno<strong>les</strong> ont annoncé99 dans l’impossibilité 54 de régler <strong>les</strong> salaires et retraites au chômage 99 et étant le seul actif de la famille 100ou des100 100 100100 100100 72100des fonctionnaires. De plus, <strong>les</strong> marchés exportateurstraditionnels pour <strong>les</strong> producteurs d’aliments subventions pour une période pouvant aller jusqu’à 1 D’après People Move, un blog sur l’émigration, <strong>les</strong> envoispersonnes âgées de plus de 50 ans, percevront des9897s’étant contractés , <strong>les</strong> agriculteurs roumains se 12 mois afin de couvrir la moitié des salaires de ces de fonds des émigrés et le développement, on estimeIEG de Costa Rica = 66,8ICB de Francia = 98,8 que <strong>les</strong> flux des envois IEG de Francia fonds vers = <strong>les</strong> 72 pays en voie detrouvent également menacés en interne par <strong>les</strong> im-nouveaux embauchés. Les subventions soutiendrontdéveloppement dépassaient 300 milliards d’USD en 2008.également l’emploi de Roumains et de ceux qui, en Disponible sur : .1004288100100Rapports nationaux 150 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
que 100 mille Roumains étaient au chômage et el<strong>les</strong>prévoyaient que 30 mille supplémentaires allaientperdre leur emploi en 2009.En novembre 2008, le Ministre du Travail et desAffaires Socia<strong>les</strong> a déclaré qu’en 2009, la Roumaniepourrait absorber jusqu’à 500 mille retours detravailleurs de l’étranger, principalement en raisonde la pénurie de main d’œuvre sur des projets d’infrastructureet du secteur agricole. Néanmoins, cesdéclarations semblent destinées essentiellementà apaiser <strong>les</strong> inquiétudes de l’Italie et de l’Espagnepar rapport au fait que <strong>les</strong> travailleurs Roumainsdeviendraient une charge pour leurs plans d’allocationschômage, déjà trop tendus. Quoi qu’il en soit,d’après un sondage réalisé par la Fondation Sorosen septembre 2008, seulement 14 % des Roumainstravaillant en Espagne avaient l’intention de rentrerau pays en 2009.Banques étrangères, FMI et populationQuasiment toutes <strong>les</strong> banques roumaines ont étéprivatisées ces dernières années et vendues auxbanques étrangères. Jusqu’au début de la crisefinancière, <strong>les</strong> banques étrangères ont réalisé desgains énormes sur un marché en pleine et rapideexpansion. En 2008, BCR (Este Group/Autriche) acommuniqué sur une augmentation de ses gainsnets de 119,8 %, BRD Société Générale (France) aenregistré une hausse de 46 % et la banque Raiffeisen(Autriche) a augmenté ses gains de 75,6 % parrapport à 2007. Seulement pour ces trois banques,<strong>les</strong> plus importantes de Roumanie, le résultat netdépasse un milliard d’EUR.Lorsque la crise a éclaté, la Banque Nationale deRoumanie est intervenue afin de tenter de calmer lafolie des prêts liés à la concurrence, en imposant unesérie de restrictions visant à prévenir la cessation depaiements. Le niveau d’endettement a malgré toutbrusquement augmenté. Tout ceci a conduit à unscénario dans lequel, comme dans la majeure partiede l’Europe Centrale et de l’Est, <strong>les</strong> dettes roumainessont dues à des banques d’Europe occidentale,surtout basées en Autriche, France, Grèce et Italie.Sans jamais prendre en ligne de compte l’impactnégatif de leurs actions, <strong>les</strong> banques ont encouragéune tendance de consommation non pas basée surla production réelle de la véritable économie localemais sur une augmentation des importations en provenanced’Europe de l’ouest. Pour faire simple, avecl’argent prêté par l’Europe de l’ouest, ces banquesont soutenu leurs propres économies nationa<strong>les</strong> etont endettés la Roumanie et ses citoyens.Cette situation s’est aggravée du fait que <strong>les</strong>Gouvernements d’Europe de l’ouest ont fait pressionsur leurs banques pour se retirer en bradant<strong>les</strong> filia<strong>les</strong> installées en Europe de l’Est. La BanqueEuropéenne pour la Reconstruction et le Développement(BERD) s’attend à une cessation de paiementsallant jusqu’à 20 % pour <strong>les</strong> prêts d’Europe de l’Est,la Roumanie se trouverait parmi <strong>les</strong> pays <strong>les</strong> plustouchés. Les décideurs politiques de Bucarest sevoient limités au niveau des possibilités des politiquesfisca<strong>les</strong> du fait des restrictions qui s’imposentpour corriger <strong>les</strong> valeurs négatives de la balance despaiements. En même temps, un affaiblissement de lamonnaie nationale pourrait éventuellement déclencherune cessation de paiements qui malmènerait lastabilité financière. Afin de contrecarrer ces dangers,le Gouvernement a demandé et a reçu un prêt de 19,9milliards d’EUR du FMI, de la Commission Européenne,de la Banque Mondiale et de la BERD. Le FMIapportera 12,9 milliards d’EUR sur la totalité.Le Gouvernement a insisté sur le fait que le prêtest lié à l’engagement des banques étrangères enRoumanie de relancer le crédit sans externaliser <strong>les</strong>ressources du pays ni affecter <strong>les</strong> obligations dubudget national en matière d’éducation et santé. Finmars 2008, le FMI a obtenu des engagements écritsdes sièges centraux des principa<strong>les</strong> succursa<strong>les</strong>bancaires en Roumanie qui devraient continuer àsoutenir ces filia<strong>les</strong> et ne retireraient pas leur capital.Cependant, le Gouvernement a un mauvais vécu enmatière de résistance contre la pression étrangère.Il manque aussi de moyens pour trouver <strong>les</strong> « solutions» étrangères permettant de faire face aux problèmesnationaux. Que ce soit le Gouvernement ou lasociété civile, à quelques exceptions près, ils ont ététrès lents à exposer réellement <strong>les</strong> enjeux. Les mesuresd’austérité proposées par le Gouvernement,comprenant le gel des salaires et des retraites publiquesainsi que <strong>les</strong> hausses fisca<strong>les</strong> ont provoqué lemécontentement et la mobilisation des syndicats.Le prêt du FMI semble avoir été contractésous des pressions externes, principalement poursauver <strong>les</strong> intérêts des compagnies étrangères baséesen Roumanie. Il ne servira pas à rembourserla dette externe du pays mais à couvrir <strong>les</strong> dettesdes succursa<strong>les</strong> loca<strong>les</strong> des banques étrangères.On utilisera donc des fonds publics pour réparer <strong>les</strong>dégâts occasionnés par le capital privé. En général,<strong>les</strong> Gouvernements d’Europe Occidentale ont réussià manipuler ce dommage. Néanmoins, <strong>les</strong> réclamationsdésespérées du Gouvernement autrichienpour que le FMI et l’Union Européenne interviennentet sauvent leurs banques en Europe de l’est, démontrentque <strong>les</strong> banques étrangères prennent parfoisdes risques démesurés (par exemple, <strong>les</strong> banquesautrichiennes ont prêté à la région l’équivalent de70 % du PIB de l’Autriche). Le remboursement d’unprêt représentant 40 % du budget annuel de la Roumaniene sera possible dans <strong>les</strong> prochaines annéesqu’en diminuant le niveau de vie de la population.Crise de l’aide au développementEn 2007, en intégrant l’Union Européenne, la Roumanies’est engagée à contribuer en tant que paysdonateur au soulagement de la pauvreté dans lemonde, par sa participation à la politique d’aide del’Union Européenne et en configurant sa propre politiqued’aide officielle au développement (AOD). Il estprobable que la crise financière actuelle ait un effetradical sur <strong>les</strong> flux d’aide roumains. Le budget del’AOD géré par le Ministère des Affaires Étrangères(MAE) est passé de 5 millions d’EUR en 2008 à 1,9millions d’EUR en 2009. Pendant ce temps, le prêt duFMI portant sur plusieurs millions a déjà imposé deslimites budgétaires aux domaines « non essentiels »et le remboursement du prêt (en 2015) affectera lebudget de l’AOD pour de nombreuses années. Mêmelorsque <strong>les</strong> contributions multilatéra<strong>les</strong> d’AOD semaintiennent à un niveau relativement constant, i<strong>les</strong>t très peu probable que l’on atteigne l’objectif de0,17 % d’AOD auquel le Gouvernement s’est engagépour 2015.Les organisations de la société civile (OSC) ontsignalé que l’ensemble de la politique de coopérationau développement roumaine était en danger de disparition.Il est déterminant que tout l’investissementantérieur sur la capacité institutionnelle récemmentdéveloppée pour le MAE sera touché. Le Gouvernementa fait face à la majeure partie de ses besoinsinternes de développement de compétence par latertiairisation de tâches spécifiques avec le PNUDRoumanie. Les OSC s’inquiètent parce que, de cettefaçon, le Gouvernement perd son principal objectif àcourt terme: Renforcer la capacité nationale.Un signe clair des impacts de cette approchea été le changement de la structure administrativeinterne du MAE au début de l’année 2009. Alors quele Gouvernement a consacré des ressources financièresimportantes au PNUD Roumanie pour recruterdes experts, l’agence de l’Aide au Développement,sous tutelle du MAE, est descendue de catégorie etson personnel a été réduit de moitié avec la diminutionconséquente de sa capacité de programmationet de gestion de l’aide au développement. Même si entemps de crise, <strong>les</strong> coupes budgétaires sont compréhensib<strong>les</strong>,le fait de détruire la capacité administrativedes institutions publiques n’est pas acceptablelorsque <strong>les</strong> conséquences portent à long terme. Lesreprésentants du PNUD devraient comprendre quele fait de détourner des ressources et de retarder <strong>les</strong>processus de renforcement du pouvoir, risque deporter préjudice aux acteurs locaux de la coopérationau développement en Roumanie. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 151 Roumanie
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