République centrafricaineRéduire la pauvreté : un objectif très lointain100096Au lieu de diminuer, la pauvreté a sensiblement augmenté depuis 1990. Les désordres, <strong>les</strong> pillages9639et <strong>les</strong> destructions qui ont 100 accompagné la rébellion 100 menée par le général 100 François Bozizé au pouvoir 10097ont détruit le tissu économique, déjà détérioré, du pays. Aujourd’hui le gouvernement présente unestratégie de réduction de la pauvreté BCI of qui Argelia répondra = 95,7 difficilement aux exigences IEG de of Algeria l’OMD = 52,7 1 si l’on nes’engage pas immédiatement et de façon durable dans la voie de la paix et de la sécurité, et si l’on nedéveloppe pas une croissance qui, en plus d’être exceptionnelle, favorise <strong>les</strong> pauvres.95 99100100022GAPAFOTPastor Clotaire Rodonne SiribiMalgré ses ressources multip<strong>les</strong>, l’économie de laRépublique centrafricaine a été sinistrée par desannées de pillage des fonds publics et par d’incessantescrises politico-militaires. Les désordres, <strong>les</strong>pillages et <strong>les</strong> destructions qui ont accompagné larébellion menée par le général François Bozizé aupouvoir le 15 mars 2003 ont fini par défaire un tissuéconomique qui était déjà en piteux état après unevingtaine d’années de gestion maffieuse qui ont vidé<strong>les</strong> caisses de l’État. Tous <strong>les</strong> appareils de productionont été détruits.Une grande partie des 623.000 km 2 du territoirede la République est recouverte de bois et <strong>les</strong>ous-sol renferme des diamants. Cependant, cesdeux richesses naturel<strong>les</strong>, principa<strong>les</strong> sources derevenus du pays, ont longtemps servi à remplir<strong>les</strong> poches de ceux qui détenaient le pouvoir et deleurs proches. Aujourd’hui en pleine restructuration,sa production a baissé. Bien que la terre soitfertile – même si seulement 1/5 est cultivé – et leclimat clément, <strong>les</strong> productions de coton et de cafén’ont cessé de s’effondrer ces dernières années.La récolte de coton de 2004-2005 n’a pas dépassé<strong>les</strong> 5.000 tonnes, contre quelque 50.000 en 1998.Ceci est dû non seulement à l’inconsistance de lastructure qui est supposée gérer le secteur, maisaussi – et principalement – aux règ<strong>les</strong> du jeu ducommerce international, qui ne sont pas favorab<strong>les</strong>aux producteurs africains, et spécialement auxsubventions allouées aux producteurs des paysindustrialisés. En ce qui concerne le café, la Républiquecentrafricaine a produit pendant un tempsplus de 18.000 tonnes par an, mais sa culture aquasiment disparu. L’agriculture est pratiquementabandonnée. Les paysans, après avoir subi directement<strong>les</strong> conséquences de la rébellion, souffrent del’insécurité chronique et ne continuent de cultiverque pour leur subsistance.La réduction constante de ces activités réduitaussi <strong>les</strong> revenus fiscaux et douaniers déjà raresen raison de l’inefficacité de la collecte exercée parl’État centrafricain, fait régulièrement dénoncé par leFMI (qui lui a concédé en juillet 2004 un crédit de 8,2millions de dollars dans le cadre d’un programmepost-conflit). Par ailleurs, le budget du pays se voitgrevé par une dette extérieure supérieure à 1 milliardde dollars (à la fin de 2002), dont le règlementIndice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 65 IEG = 46Enfants atteignantla cinquième année59 d’école05483100 100Accouchements assurés par dupersonnel médical spécialiséSurvivance jusqu’àl’âge de 5 ansIndice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueEmpowermentÉducationBCI of República Centroafricana = 65,2 IEG of Central African Republic = 45,8représentait 44,7 % des ressources budgétaires en placent la République centrafricaine au 169 ème rang2003 selon la Banque des États de l’Afrique centrale sur 177 pays intégrant la classification de l’Indice de(BEAC).développement humain.Incapacité de l’ÉtatDepuis la tentative de 100 coup d’État de mai 2001, <strong>les</strong>aides extérieures ont été suspendues 83 et ce n’estque grâce aux donations spécifiques de 2004 enprovenance des partenaires traditionnels (l’ UE, laFrance, la Chine ou la Communauté Économique etMonétaire de l’Afrique centrale) que la République0centrafricaine a pu sortir la tête de l’eau. L’État semontre incapable de payer ses fonctionnaires, <strong>les</strong>97pensions et <strong>les</strong> bourses. Lors de la chute du présidentAnge Patassé en mars 2003, <strong>les</strong> fonctionnaires100 67100comptaient déjà 36 mois de retard dans le versementde leur salaire. Après avoir simplement effacéBCI of Honduras = 82,4le tableau, François Bozizé s’est engagé à payer <strong>les</strong>salaires dans un délai convenu, promesse qu’il n’apas pu tenir longtemps car le ministre de l’économies’est reconnu incapable de payer <strong>les</strong> fonctionnairesd’État, qui ont reçu en janvier 2008 leur salaire dejuillet 2004. Ces retards pèsent sur la consommationintérieure et causent une inquiétante tension so-10095ciale, exacerbée par l’inflation des prix des produitsalimentaires. Malgré cela, l’économie a connu unelégère amélioration en 2004 (2,5%) après plusieursannées de stagnation.Pour <strong>les</strong> Centrafricains, 0 <strong>les</strong> Objectifs du Millénairepour le Développement (OMD) se trouvent trèséloignés 94 et resteront un rêve. Selon le Programme 97100 100des Nations Unies pour le développement (PNUD),<strong>les</strong> deux tiers des Centrafricains, soit 3,8 millions, viventen dessous du seuil de pauvreté. L’espérance devie n’est que de 39,5 BCI ans of México ; un enfant = 95,2 sur dix (11,5 %)meurt avant l’âge de 5 ans et moins de la moitié desadultes (48,6 %) sont alphabétisés. Ces résultats100056100 70100Stratégie de réduction de la pauvretéPour essayer d’inverser 100 cette situation dramatique,le Gouvernement a tenté de mettre en placeune stratégie de réduction de la pauvreté avec deuxbuts principaux.54• Créer des richesses sur la base du renforcementdes capacités humaines et institutionnel<strong>les</strong> ;0insérer <strong>les</strong> plus pauvres dans l’appareil productifau moyen d’une bonne gouvernance et du54rétablissement 100 de la sécurité. 10099• Améliorer et généraliser <strong>les</strong> services sociaux debase par une approche participative dans l’applicationet le contrôle/évaluation IEG of Honduras = de 68,9 l’exécutionde la Stratégie de Réduction de la Pauvreté.Cette stratégie s’appuie sur <strong>les</strong> quatre piliers suivants:• La restauration de la sécurité, la consolidation dela paix et la prévention 100 des conflits. Ceci exigerait,entre autres, le renforcement des capacitésmatériel<strong>les</strong> et humaines des FDS et la réforme,la restructuration, l’aménagement du territoire39et la transformation participative et coordonnéedu secteur de la sécurité.0• La promotion de la bonne gouvernance et del’état de droit, 44avec le renforcement de la gouvernance100 politique et judiciaire, l’amélioration 100de la gouvernance économique, la participation 99et la promotion du genre.• La reconstruction IEG of et Mexico la diversification = 60,5 de l’économiepar la stabilisation macroéconomique,le développement rural, la gestion transparente11100100100100100Rapports nationaux 142 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>10098100
et efficace des ressources naturel<strong>les</strong>, la promotiondu tourisme et de l’artisanat et le développementdes infrastructures de soutien pour laproduction.• Le développement du capital humain avec lapromotion de l’éducation, en particulier del’école primaire et secondaire ; l’accessibilitéaux services de santé ; la lutte contre le VIH/SIDA ; et la promotion de l’emploi.Diagnostic de pauvretéLe présent diagnostic de pauvreté est le résultat dedeux recherches menées par le Ministère de la Planificationsur <strong>les</strong> conditions de vie en milieu urbain etrural, réalisées avec l’aide technique et financière duPNUD en 2003 et complétées par une recherche participativefinancée par la Banque Mondiale en 2006.Cette enquête a identifié 10 problèmes principaux: mauvaise gouvernance ; problèmes liés àl’insécurité ; faib<strong>les</strong>se des revenus ; inefficacité del’éducation et de la formation ; problèmes de santé ;corruption ; manque d’emploi et absence d’opportunités; manque d’eau potable ; absence d’une politiquede renforcement des capacités nationa<strong>les</strong> etproblèmes environnementaux.Les problèmes retenus comme prioritairessont ceux qui, quantitativement, ont été considéréscomme <strong>les</strong> plus importants en raison de leurinfluence décisive et de leurs impacts négatifs sur <strong>les</strong>conditions de vie de la population. Les témoignagesdes participants, pris en groupe ou individuellementet dans toutes <strong>les</strong> régions, mettent clairement enévidence trois problèmes principaux : l’absenced’une bonne gouvernance, l’insécurité et l’absencede paix.Les mauvaises conditions prévalent dans toutle pays. Dans certains quartiers de Bangui, la capitale,la population ne dispose d’électricité que quatrejours sur sept et, dans la plupart des quartiers, ellen’a pas accès à l’eau potable. En raison de la fortechute du niveau des revenus, beaucoup de Centrafricainsenvahissent <strong>les</strong> espaces verts non seulementen ville mais aussi sur <strong>les</strong> formations forestièrespériphériques. Étant donné que l’inflation a réduit <strong>les</strong>revenus, la vente de bois à brûler est souvent la seulealternative face aux autres moyens de subsistancequi sont de plus en plus précaires, mal payés et illicites.En conséquence, la savane croît à un rythme de500 mètres par an de part et d’autre de Bangui Boalet s’est déjà déplacée de 30 kilomètres vers le sudet le sud-est.Le taux de pauvreté est de 73 % dans <strong>les</strong> vil<strong>les</strong>et de 69 % dans <strong>les</strong> zones rura<strong>les</strong>. Cette privations’est vue accentuée par une énorme inégalité dans<strong>les</strong> revenus et <strong>les</strong> dépenses domestiques. Le niveaude consommation de 10 % des ménages <strong>les</strong> pluspauvres représente à peine le dixième de celui de10 % des plus prospères. Il est bien peu probableque l’objectif de 31 % pour 2015 soit atteint si l’on nes’engage pas de façon rapide et durable dans la voiede la paix et de la sécurité sur la totalité du territoireet si l’on ne développe pas une croissance exceptionnellementforte et favorable bénéficiant <strong>les</strong> pauvres,notamment en milieu rural. nTABLEAU 1. Évolution des OMD de 1990 à 2003OBJECTIF 1. Éradiquer l’extrême pauvreté et la faim 1990 1995 2003Incidence de la pauvreté (%) 62 67Pourcentage d’enfants avec une insuffisance pondérale (au-dessous du poids considéré comme sain) (%) 23 21OBJECTIF 2. Assurer l’éducation primaire pour tousTaux net de scolarisation (%) 47 62 40Taux d’alphabétisation entre 15-24 ans (%) 26 39,1 46,7OBJECTIF 3. Promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomie des femmesRapport fille/garçon à l’école primaire (%) 64 69Rapport fille/garçon à l’école secondaire (%) 39 41 60OBJECTIF 4. Réduire la mortalité infantile chez <strong>les</strong> enfants de moins de 5 ansTaux de mortalité infanto-juvénile (pour 1.000 naissances) 212 157 220Taux de mortalité infantile (pour 1.000 naissances vivantes) 97 132Taux d’immunisation contre la rougeole (%) 83 46 35OBJECTIF 5. Améliorer la santé maternelleTaux de mortalité maternelle (pour 100.000 naissances vivantes) 683 948 1.355Taux d’accouchements assistés par un personnel qualifié (%) 50 44OBJECTIF 6. Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et autres maladiesTaux de prévalence du SIDA (% de femmes de 15-49 ans) 2 10,7Taux de prévalence du paludisme (%)OBJECTIF 7. Assurer un environnement durableSuperficie de terres protégées (km 2 ) 67.615Pourcentage de la population ayant accès à une source d’eau améliorée (%) 52 75Pourcentage de la population ayant accès à l’eau potable (%) 17,5 26,1Pourcentage de la population ayant accès à l’assainissement (%) 30Source : United Nations Development Group.<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 143 République centrafricaine
- Page 3:
SOCIAL WATCH RAPPORT 2009
- Page 6:
SOCIAL WATCHCOMITÉ DE COORDINATION
- Page 9 and 10:
y Promoción de Derechos Humanos(CI
- Page 12 and 13:
• République de Moldavie :Nation
- Page 14 and 15:
Le numéro 0 du rapport, publié en
- Page 18 and 19:
LIBAN..............................
- Page 21 and 22:
D’abord les gensRoberto BissioSec
- Page 23 and 24:
Le ralentissement peut être dramat
- Page 25:
Le rapport de Social Watch local es
- Page 29 and 30:
Une réponse à la crise financièr
- Page 31 and 32:
contenues dans les accords commerci
- Page 33 and 34:
L’égalité de genre et la crise
- Page 35 and 36:
La crise en Europe de l’Est : les
- Page 37 and 38:
La crise mondiale et le prix des al
- Page 39 and 40:
de fruits et légumes pour les expo
- Page 41 and 42:
Justice pour refroidir la planèteL
- Page 43 and 44:
pres, mieux ce sera pour la planèt
- Page 45 and 46:
Défis énergétiques pour l’Euro
- Page 47 and 48:
Les obligations des entreprises tra
- Page 49:
dissuasif dans les corporations pot
- Page 52 and 53:
«Au Kenya nous avons commencé à
- Page 56 and 57:
les possibilités de création d’
- Page 58 and 59:
qui emploie d’ores et déjà un s
- Page 60 and 61:
un « processus de sélection ouver
- Page 62 and 63:
tions du FMI, les mêmes vieilles r
- Page 64 and 65:
Rapports thématiques 48 Social Wat
- Page 66 and 67:
AlgérieHors du système mais, à l
- Page 68 and 69:
100Allemagne100100945344Avant la te
- Page 70 and 71:
ArgentineNouveau contexte, ancienne
- Page 72 and 73:
ahrein BAHREÏNL’impact de la mon
- Page 74 and 75:
angladeshDavantage de pauvreté, de
- Page 76 and 77:
Belgique49Les coûts élevés du sa
- Page 78 and 79:
BéninLa société civile à l’av
- Page 80 and 81:
100birmaniePlusieurs crises sans r
- Page 82 and 83:
olivieLe moment de la véritéLe pa
- Page 84 and 85:
BrésilEn train de nager en plein t
- Page 86 and 87:
BulgarieInquiétude généraleLa Bu
- Page 88 and 89:
CambodgeRediriger la croissance éc
- Page 90 and 91:
CanadaRelance économique 2009 : un
- Page 92 and 93:
Chili10056Les répercussions social
- Page 94 and 95:
8Chypre10056Voici venu le temps d
- Page 96 and 97:
100Costa RicaUne crise, deux37visio
- Page 98 and 99:
Égypte100Une économie vulnérable
- Page 100 and 101:
100el salvadorLa crise et les chang
- Page 102 and 103:
100Érythrée10076Une prison en38pl
- Page 104 and 105:
Espagne100On ne s’attaque pas à
- Page 106 and 107:
100États-Unis d’Amérique5345Opp
- Page 108: France1001008752Chômage, marginali
- Page 111 and 112: lieu d’augmenter entre 6 % et 8 %
- Page 113 and 114: De nouvelles menaces pour la popula
- Page 115 and 116: une baisse du pouvoir d’achat de
- Page 117 and 118: plus que prévu dans un premier tem
- Page 119 and 120: la période 2007-2008 (d’avril à
- Page 121 and 122: mariage, le divorce, la succession,
- Page 123 and 124: es adoptées sont absolument défic
- Page 125 and 126: de redistribution, investissant le
- Page 127 and 128: la nécessité d’un engagement na
- Page 129 and 130: aux fonds de garantie et d’autres
- Page 131 and 132: des bases financières solides - l
- Page 133 and 134: autour de 15 % du salaire minimal i
- Page 135 and 136: aggravés par la crise : 1) la spé
- Page 137 and 138: tégrité Publique, mettent l’acc
- Page 139 and 140: soudaines des lacs glaciaires (phé
- Page 141: foyers. Il est possible également
- Page 144 and 145: Ouganda100 9810045Objectifs du Mill
- Page 146 and 147: 100PALESTINe43Pauvres et incarcér
- Page 148 and 149: 100paraguayDéveloppement d’un pl
- Page 150 and 151: Pérou100Proposition des travailleu
- Page 152 and 153: 100PhilippinesDe mal en pis 3010099
- Page 154 and 155: Pologne10095Un scénario de dévelo
- Page 156 and 157: 100portugal39Une crise ancienne et
- Page 160 and 161: 100République de Moldavie54La cris
- Page 162 and 163: 100République tchèqueLa démocrat
- Page 164 and 165: 100République-Unie de Tanzanie1009
- Page 166 and 167: 100Roumanie52Perspective funeste0La
- Page 168 and 169: Sénégal10044L’agriculture est l
- Page 170 and 171: SerbieCrise mondiale, malaise natio
- Page 172 and 173: 100SlovaquieLes plans sont 34 révi
- Page 174 and 175: 90100SlovénieLes défis pour une s
- Page 176 and 177: Somalie100Sans défense contre la c
- Page 178 and 179: 100Thaïlande1007747Une réponse à
- Page 180 and 181: 100VENEZUELA100 9753Une démocratie
- Page 182 and 183: 100Viet Nam42Le progrès national m
- Page 184 and 185: Yémen100Le pétrole ne suffit pas0
- Page 186 and 187: Zambie100100 9942Le Gouvernement re
- Page 189: Le progrès vers lesobjectifs trac
- Page 192 and 193: Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 194 and 195: Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 196 and 197: ÉDUCATIONLes écarts se creusentTa
- Page 198 and 199: Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 200 and 201: ÉDUCATIONLes écarts se creusentam
- Page 202 and 203: Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 204 and 205: Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 206 and 207: AIDE AU DÉVELOPPEMENTToujours plus
- Page 208 and 209:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 210 and 211:
SANTÉAmélioration inégaleTableau
- Page 212 and 213:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 214 and 215:
SANTÉAmélioration inégaleGRAPHIQ
- Page 216 and 217:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 218 and 219:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 220 and 221:
RATIFICATIONS DES CONVENTIONS FONDA
- Page 222 and 223:
Membrede l’onudepuisA B C D E F G
- Page 224 and 225:
Notes méthodologiques : tableaux t
- Page 228:
Cette publication est financée par