100100Le discours qui met l’accent sur l’estime desoi et sur l’esprit entrepreneur se répand et toutela classe dirigeante y revient. Pendant ce temps, <strong>les</strong>44services publics tels que le transport sécurisé et dequalité, l’éducation, <strong>les</strong> services efficaces de santé etla sécurité publique, entre 0autres, sont toujours rareset inaccessib<strong>les</strong> pour la plupart des habitants.L’enrichissement débridé des individus proches100du pouvoir, 81100ou du parti au pouvoir, préoccupe97toujours<strong>les</strong> citoyens et le corps diplomatique accréditéauprès du pays. Une minorité privilégiée détient unniveau de richesse IEG of important, Vietnam = face 73,9 à une majoritéexclue et accablée par la pauvreté. Les organisationsde lutte contre la corruption, comme le Centre d’InmozambiquePas de développement humain sans dialogue0810000NO VA037 Les exportations et probablement l’industrie touristique locale diminueront comme conséquence de la95crise mondiale. 78 La sécurité alimentaire et le développement rural sont 100 en danger en raison de l’absence 100d’investissements directs et de l’encouragement aux cultures qui servent à la fabrication des biocombustib<strong>les</strong>.IEG of IndiaLe=Gouvernement40,7ne maintient pasBCIdeofdialogueIrak = 88,4avec <strong>les</strong> citoyens ; de ce fait, il estIEGpresqueof Iraq = 0impossible defaire des progrès concernant le développement humain à court et à moyen terme. Le renforcement de ladémocratie et une administration publique plus juste et transparente sont <strong>les</strong> principaux défis.9289 99100 100 100100 10010081100<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> MozambiqueCustódio Duma 1100Indice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 66 IEG = 64Enfants atteignantla cinquième année64d’écoleIndice d’Equité de Genre (IEG)EmpowermentLe Gouvernement du Mozambique affirme que lacrise financière globale n’affectera pas l’économienationale. Il a donc adopté une politique de suivi du3421secteur économique et de supervision directe des0banques commercia<strong>les</strong> ; il a porté une attention spéciale00aux secteurs pouvant résister à la crise, comme96294886par exemple <strong>les</strong> projets de production d’énergie ou100 100 100100 100100 6884100de gaz. Le gouvernement, par le biais du Ministère Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à92,1de la Planification et du Développement annonce, personnel médical spécialisél’âge de 5 ans Activité économiqueÉducationIEG of Morocco = 44,8 BCI of Mozambique = 66,1IEG of Mozambique = 64,4en outre, que le pays a besoin de 120 millions d’USDpour financer la balance des paiements en 2009, cequi permettrait d’assurer la stabilité des indicateursmacroéconomiques.Cependant, la Banque Internationale du Mozambique,Millennium Bim, a publié un rapport oùil est prévu que l’économie 100 mondiale décroîtra duD’après <strong>les</strong> données officiel<strong>les</strong>, entre 2000 et 2007le pays a enregistré une moyenne de croissanceannuelle du PIB dépassant 8,5 %. Cette croissancea connu une stagnation en 2008, année où elle aatteint 6,2 % et, pour l’an 2009, on prévoit une croissanceproche de 4 %. Cependant, du point de vue du100niveau de développement humain et du processusd’amélioration de la qualité de vie de ses citoyens,44l’évolution du pays est encore truffée de contradictions.Le PIB évolue positivement (mesuré enpourcentage), alors que le coût 0 de la vie augmenteprogressivement ; par conséquent, <strong>les</strong> revenus réelsdes citoyens diminuent et <strong>les</strong> inégalités socia<strong>les</strong>61100 100deviennent de plus en plus visib<strong>les</strong>. Le rapport du98PNUD situe le Mozambique au 172 ème rang sur uneIEG of Venezuela = 67,71 Équipe Technique : Salvador Nkamate – Ligue des Droits del’Homme, Karina Cabral – Groupe Mozambicain de la Dette,Jorge Cuinhane – AWEPA, Naldo Chivite – MONASO.liste de 177 pays classés suivant leur niveau de développementhumain 2 .Concernant <strong>les</strong> Objectifs du Millénaire, <strong>les</strong>Nations Unies reconnaissent <strong>les</strong> progrès ayant étéatteints dans différents secteurs, à savoir la pauvreté,la mortalité infantile et 100 la santé maternelle. Cepen-96100fait que <strong>les</strong> pays qui contribuent au financement du dant, malgré la réduction du taux de pauvreté (presque4 % entre 2000 et 2007), plus de la moitié de la 2004, vise à la réélection d’Armando Guebuza. Enélections multipartistes et le gouvernement, élu enBudget Général de l’État, connu comme G-19, ainsique ceux qui réalisent des investissements externes population demeure pauvre. D’autre part, il existe 2004, Guebuza a utilisé le combat contre la pauvreté42directs auront une croissance économique négative. des disparités entre <strong>les</strong> régions nord, centre et sud comme cheval de bataille ; il l’a associé à la critiquede la permissivité et du désintérêt, considérésPlus précisément, on prévoit que la chute des prix de du pays. Au sud, où se trouve la capitale, Maputo,000l’aluminium, du tabac, du sucre, du thé, de la noix de la pauvreté augmente lorsqu’on s’éloigne de cette comme la cause de bien NO d’autres VA 0,0 maux, tels que la0,0cajou et des gambas affectera le volume des exportations,ce qui diminuera certaines activités favorisant on s’éloigne 99 99100grande ville vers le nord ; il en est de même quand corruption, le manque de transparence dans l’administrationpublique et le mauvais fonctionnement98de la ville vers la campagne. Le recensementde la population de 2007 montre que 70 % des services publics. Dans ses discours, il a affirmé100 100 75100100 100100 100100la croissance économique et réduira le niveau 97 depromotion du tourisme international.de la population mozambicaine habite à la campagne que <strong>les</strong> causes de la pauvreté se sont installées parceet que plus de 50 % appartient aux régions centre et que la population manque d’esprit d’entreprise et neInégalité croissanteIEG of Romania = 71,3 BCI of Serbia = 98,1IEG of Serbia = 0nord du pays 3 . Dans <strong>les</strong> principa<strong>les</strong> vil<strong>les</strong> du pays, denombreuses famil<strong>les</strong> et groupes de jeunes vivent àciel ouvert, dans <strong>les</strong> espaces publics, dans <strong>les</strong> rues,dans des maisons en ruines et des décharges. Letaux de chômage atteint entre 30 % et 35 % de lapopulation économiquement active. Une organisa-100tion juvénile affirme que le nombre 92 de travailleusessexuel<strong>les</strong> entre 14 et 25 ans s’est accru depuis <strong>les</strong>cinq dernières années.En février 2008, l’augmentation radicale du coûtde la vie a entraîné une révolte populaire dont le rôleprincipal appartient aux femmes 0 et aux enfants d’âgescolaire à Maputo. Plus tard, ce conflit s’est répanduà la province 88 de Gaza et à la ville de Manica, 98 où <strong>les</strong>principaux services publics ont été paralysés pendant98100 100 1002 UNDP. “Human Development Indices: A Statistical Update2008.” New York: ICB United de Nations Viet Nam Development = 92,8Programme.Disponible sur : .3 Voir : .100deux jours. L’État, en réduisant le prix des carburantset <strong>les</strong> subventions aux entreprises de transport, aréussi à éviter des conséquences graves.Sans transparenceLe Mozambique se prépare pour <strong>les</strong> quatrièmesfait aucun effort. Il a même blâmé le colonialismeresponsable d’avoir installé dans <strong>les</strong> mentalités uncomplexe d’infériorité qui provoque, à l’heure actuelle,des difficultés pour atteindre l’auto libérationcar la clé pour y parvenir est justement l’augmentationde l’estime de soi.100100BBRapports nationaux 120 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 100100
tégrité Publique, mettent l’accent sur l’importance decompter sur une loi capable de contrôler <strong>les</strong> conflitsd’intérêts, du fait que la plupart des entrepreneursnationaux vont de pair avec avec l’élite politique. Unexemple remarquable est celui du président de laRépublique qui possède des actions dans un grandnombre d’entreprises installées au Mozambique 4 .Agriculture et faimPlus de la moitié de la population survit grâce à l’agriculturede subsistance. Cependant, <strong>les</strong> investissementsdans ce secteur ont été faib<strong>les</strong>. L’agriculturereçoit entre 3 % et 4 % par an du Budget Général del’État, un chiffre trois ou quatre fois inférieur à l’argentdestiné aux services de sécurité. Dans ce sens,le pays a encouragé la production de jatrophe, uneplante vénéneuse, matière première pour la productionde biocombustib<strong>les</strong>, ayant pour conséquenceque plusieurs secteurs de la population ont laisséde côté la production agricole pour se consacrer àla culture de cette plante. La population de Mogincualreprésente un exemple concret : elle a connu lafamine en 2008 à cause de la baisse de productivitéagricole et de la priorité donnée à la production de jatrophe,dont le marché n’a pas encore été développédans le pays 5 . Les terres choisies pour la culture dujatrophe, notamment dans <strong>les</strong> provinces de Gaza,Manica, Solafa, Tete et Nampula sont très ferti<strong>les</strong> cequi pourrait réduire, dans <strong>les</strong> années qui viennent, laproduction pour la consommation familiale et, parconséquent, intensifier le problème de la famine. Deplus, des entreprises spécialisées se sont consacréesà d’autres types de cultures destinées à l’exportationcomme, par exemple, la canne à sucre.Défis en éducation et en santéD’après l’UNICEF, plus d’un million d’enfants sontexclus du système éducatif et un enseignant du Mozambiquea sous sa responsabilité une moyennede 74 élèves 6 . Pour améliorer l’éducation il seraitnécessaire d’abolir <strong>les</strong> frais d’inscription et, en mêmetemps, d’augmenter <strong>les</strong> investissements en éducationet en matériel scolaire ainsi que le nombre deprofesseurs ; l’accès des jeunes à l’éducation devraitêtre élargi. Le rapport de l’UNICEF signale que<strong>les</strong> progrès significatifs en matière d’expansion del’enseignement n’ont pas été accompagnés d’uneaugmentation des investissements dans le secteur. I<strong>les</strong>t bien connu que près de la moitié des enseignantsprimaires n’a pas reçu de formation professionnelleformelle.Les services nationaux de santé n’atteignentque 30 % de la population. Plus de 65 % des enfantsont un déficit en vitamine A 7 . En 2008 le G-19 a injectédans le budget général 308 millions d’euros environ,4 Voir : .5 Voir : .6 Voir : .7 Voir : Rafael Machava, “A situaçao da pobreza enMoçambique: diferenciaçoes regionais e principaisdesafios”, sur : < www.cecemca.rc.unesp.br/ojs/index.php/estgeo/article/view/542>.et a même conseillé le Mozambique de renforcer lasécurité sociale, l’accès à la justice et la lutte contrela malaria (la maladie la plus meurtrière du pays),le choléra, et le VIH/SIDA. Les programmes pourprévenir et combattre <strong>les</strong> maladies sont tout à faitinsuffisants et sont concentrés dans <strong>les</strong> principa<strong>les</strong>zones urbaines, au détriment des régions rura<strong>les</strong> 8 . Ilexiste encore d’autres problèmes dans le secteur dela santé tels que le manque de ressources humainesqualifiées pour la formation et le besoin de plus deressources techniques et financières.La situation du VIH/SIDA est très grave. Lacontagion a été estimée à 500 personnes par jour 9et, actuellement, elle atteint 16,2 % de la population.Les Nations Unies affirment que le taux d’incidenceest 1,7 fois plus élevé chez <strong>les</strong> femmes 10 . Certainesestimations indiquent que le VIH/SIDA réduira lacroissance économique per capita du pays entre 0,1et 0,3 % chaque année. On prévoit que l’espérancede vie va chuter de 37,1 ans en 2006, à 35,9 ans en2010 11 .Autres défisLes pays du G-19 ont demandé au gouvernement derenforcer sa capacité pour garantir la sécurité socialeet d’améliorer l’accès à la justice. Ils ont égalementmanifesté leur préoccupation du fait de l’excès debureaucratie, du manque d’énergie pour combattrela pauvreté en général et des progrès insuffisantsdans le domaine de la lutte contre la corruption ayantété identifiée comme la cause de tous <strong>les</strong> maux quifreinent le développement du Mozambique.Pour attaquer l’inégalité de la distribution desrevenus, le Gouvernement a créé un fonds connucomme « Sept millions de metica<strong>les</strong> » (environ264.000 d’USD), afin de stimuler <strong>les</strong> districts ruraux,à travers la formation, pour que la population,organisée en associations, puisse entreprendre desinitiatives loca<strong>les</strong> de génération de revenus. Cependant,l’initiative du fonds local a été très critiquéepour avoir été lancée sans objectifs clairs ni modalitéd’administration prédéfinie. Les administrations dedistrict ayant été mises en fonction ne possèdent pas<strong>les</strong> compétences nécessaires à la gestion bancaireou pour gérer <strong>les</strong> institutions de micro <strong>finances</strong>.De plus, <strong>les</strong> travailleurs de ces districts rurauxse trouvent parmi <strong>les</strong> moins qualifiés du pays. Lesrapports publiés jusqu’à maintenant indiquent que,outre <strong>les</strong> associations fantômes créées pour recevoirl’argent, plus de la moitié des débiteurs ne sont plussusceptib<strong>les</strong> d’être localisés et il n’y a pas de garantiesde remboursement des prêts. Certains critiquesaffirment que le fonds a été créé pour assurer au Frelimo,parti au pouvoir depuis 1975, une plus grandevisibilité et plus de présence dans <strong>les</strong> districts et dans<strong>les</strong> zones rura<strong>les</strong>.Le programme, démarré en 2007, n’atteint toujourspas de résultats dans la pratique ; <strong>les</strong> fonds8 Ibid.9 Institut Nacional des Statistiques. “Contendo dados do HIV/SIDA.”. CD-Rom. 2004.10 Voir : .11 Voir : .sont administrés de manière subjective, il existe uneutilisation politique de l’initiative favorisant notamment<strong>les</strong> associations de personnes affiliées au partiau pouvoir, le Frelimo.Le Gouvernement a approuvé une politique salarialede moyen terme dans le but de séduire et deretenir le personnel qualifié, notamment dans <strong>les</strong> districtsruraux. Mais dans la pratique, <strong>les</strong> techniciensplus qualifiés préfèrent <strong>travailler</strong> dans le secteur privéqui leur permet d’accéder à de meilleurs salaires et àde meilleures conditions de travail.À partir de novembre 2008, le Mozambique aété réorganisé en 43 conseils municipaux (contre 33auparavant). L’initiative de continuer avec la décentralisationdes fonds sectoriels et des compétencesconcernant leur gestion, est encore en vigueur. Lesdistricts sont considérés comme des pô<strong>les</strong> de développementayant commencé le processus de décentralisationde fonds. Il a cependant été vérifié qu’unegrande partie du budget est encore administrée auniveau central et/ou provincial. Ces ressources doiventsubir une décentralisation similaire à celle del’administration. Pour ce faire, il faut former <strong>les</strong> genset développer <strong>les</strong> infrastructures, dont l’électricité, leréseau téléphonique et <strong>les</strong> institutions bancaires.De cette manière, le défi de décentraliser <strong>les</strong> ressourcesainsi que <strong>les</strong> compétences, revient à créerdes capacités en matière de ressources humaines.ConclusionsBien que le Gouvernement ait réussi à soutenir unepolitique appréciée à l’étranger, au niveau interne, iln’arrive pas a maintenir un dialogue constant, inclusifet participatif avec <strong>les</strong> citoyens ; de ce fait, il estpresque impossible d’obtenir des progrès vis-à-visdu développement humain à court et à moyen terme.Les faib<strong>les</strong>ses du système judiciaire ainsi que la discriminationen fonction des préférences politiques,représentent de grands obstac<strong>les</strong> pour le développement.Le défi est toujours là : la démocratie doit êtrerenforcée et l’administration publique doit devenirplus juste et transparente. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 121 Mozambique
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