88Malte100100100Sans protection face à l’effondrement2411000Au début l’économie de Malte semblait41être à l’abri de la crise économique mondiale, mais <strong>les</strong> conséquences9637commencent 79 maintenant à se faire sentir. Le tourisme est en diminution 100 et <strong>les</strong> aliments et <strong>les</strong> services 10094publics sont plus chers. Les enquêtes d’opinion montrent que <strong>les</strong> maltais ne voient pas de solution à leursIEG of Ghana problèmes = 57,6 dans un futur proche BCI et of qu’ils Guatemala attendent = 68,3 une détérioration des conditions IEG of Guatemala de vie = pour 51,32009. Lenombre de demandeurs d’asile augmente jour après jour et leur situation s’aggrave.100 10083100100 10068Kopin MaltaJoseph M. Sammut100Indice des Capacités de Base (ICB)100 99ICB = 99 IEG = 58Enfants atteignantla cinquième annéed’écoleFin 2008, la majorité des pays développés étaienten récession et l’économie mondiale chutait brusquement.Pendant <strong>les</strong> deux premiers 30 trimestres del’année, l’économie maltaise semblait être, en grande0mesure, à l’abri des conséquences de la crise financière.0La demande interne a continué d’être le moteur994710099de la croissance, principalement grâce à l’augmentationde la consommation et à une forte accumulation 99Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à100 100 100100 100de stocks. La situation du marché du travail, où le personnel médical spécialisél’âge de 5 anssecteur privé a continué à générer de l’emploi, a étéfavorable. Il y a eu une légère augmentation de l’emploi(1,3 %), tandis que le taux de chômage s’estmaintenu stable à 6 %, ce qui est relativement bas.Cependant <strong>les</strong> exportations nettes ont contribué négativementà la croissance pendant <strong>les</strong> deux dernierstrimestres.100La hausse des prix internationaux des alimentset des combustib<strong>les</strong> a entraîné l’inflation et des prixplus élevés pour le consommateur. 47 Le taux d’inflationde Malte a été de 4,7 % – le plus élevé de la zone euroen 2008 1 . De même, <strong>les</strong> événements internationaux0récents comportent de plus en plus de risques pour lacroissance. Le marché des exportations de Malte a étéle plus touché de toute 63 l’UE : il est tombé de 14 % par100 100rapport à la hausse moyenne de 6,2 %. Le Rapport 99 duPrintemps de la Commission Européenne des AffairesÉconomiques et Financières prévoit une croissancedu PIB de 0,7 %, une inflation de 1,9 %, un taux dechômage de 7,4 %, un solde négatif de 2,6 % de laproportion du déficit budgétaire du PIB et une chutede -0,7 % dans le solde du compte courant 2 .Les banques maltaises maintiennent une liquiditésuffisante et sont bien capitalisées pour couvrir100<strong>les</strong> risques de crédits, <strong>les</strong> risques opérationnels et <strong>les</strong>risques du marché. Leur système de régulation est appropriépour protéger leurs clients, 51 bien que l’une desbanques <strong>les</strong> plus importantes ait souffert une chute de60 % de ses bénéfices annuels correspondant à 2008en raison de la faillite d’une banque 0 internationale. LeIndice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueIEG of Malaysia = 58,3 BCI of Malta = 99,5IEG of Malta = 58,2Gouvernement a garanti <strong>les</strong> dépôts bancaires jusqu’àun montant de 100.000 EUR (132.000 USD).L’inflation s’est répercutée sur <strong>les</strong> économies desménages, principalement ceux aux revenus <strong>les</strong> plusfaib<strong>les</strong>. Les dépôts des résidents dans <strong>les</strong> banquesmaltaises ont augmenté, 100 mais leur taux de croissanceannuel a diminué, tandis que <strong>les</strong> crédits octroyés aux77résidents ont continué leur expansion. Les taux d’intérêtsbancaires sont tombés à 102 points de baseentre septembre et novembre dans la mesure où <strong>les</strong>banques ont transféré à leurs clients une partie de la0réduction des taux officiels d’intérêts. Entre-temps lerendement des titres de l’État a diminué et le prix des100650actions a continué 60 à descendre 3 .9764Empowerment50100 1009798janvier 2009 <strong>les</strong> syndicats ont conseillé aux consommateursde ne pas régler leurs notes de services 99 public,100 100 100100 100Les aliments et l’énergieavant que ne s’écoulent <strong>les</strong> 45 jours de sursis permisIEG of Peru = 69,7Malte importe la plus grande partie des aliments qu’elle par la Water Services Corporation 4 . Après cela le patronats’est joint aux critiques sur la structure des tarifs,BCI of Filipinas = 78,1IEG of Philippines = 75,6consomme. Les rapports d’Eurostat de 2008 montrentque le pays a subi une hausse de 9,7 % du prix qui selon lui discriminait <strong>les</strong> petites et moyennes entreprises.des aliments entre avril 2007 et avril 2008. Ce chiffreLa Chambre des Petites Entreprises a donnéreprésente deux fois le taux d’inflation annuel et son l’ordre à ses associés de ne pas payer un pourcentageincidence sur le revenu disponible des consommateurs déterminé de leurs factures de services publics 5 .a été très important. Un petit nombre d’importateurs Le ministre responsable des services publics a promisen septembre une baisse des tarifs quand le prix in-100100domine le marché et empêche 91la concurrence : le rapportd’Eurostat reconnaît que Malte souffre du manque ternational du pétrole descendrait à moins de 85 USD lede concurrence, mais la montée des prix s’associe baril. Cependant, bien que le prix du pétrole soit descenduégalement au passage à l’euro. Le Bureau de la Justeà moins de la moitié de cette 41valeur (37 USD le baril),Concurrence de Malte devrait analyser cette situation <strong>les</strong> consommateurs n’ont pas vu leurs notes se modifier.et mener des enquêtes à ce 0 sujet.A ce sujet il est utile de rappeler 0 que le gouvernementL’énorme hausse du prix du pétrole sur le marché est en train de préparer la privatisation d’Enemalta, l’entreprisenationale d’énergie, et qu’il doit la remettre sur881 Eurostat (2009). “Euro Area External Trade Deficit 32.1 bn mondial 97 (USD 147 le baril) en 2008 a conduit 99 à une100 100Euros”, Communiqué de presse 21/2009. Le 1781100100 100100 7210084février. augmementation des prix des carburants, de l’électricitéet spécialement de l’eau, étant donné que Malte en 4 Voir : .génère une partie substantielle par le procédé de l’osmoseinverse. En octobre 2008 <strong>les</strong> coûts des services 5 Sansone, K. (2009). IEG of “GRTU Thailand Has No Faith = 70,2 in Resources2 Commission Européenne IEG of des Tanzania Affaires Économiques = 71,9 etBCI of Tailandia = 95,6Financières (2009). “Spring Forecasts 2009–2010.” Le 4mai. Disponible sur : .3 Banque Centrale de Malte. Quarterly Review 2008.Authority”. Times of Malta, le 29 janvier. Disponible sur :.1000Éducationpublics ont presque doublé pour <strong>les</strong> consommateurs.Les petits ménages qui ne sont pas couverts par leplan de réduction écologique – qui stimule l’économievolontaire d’énergie en réduisant <strong>les</strong> tarifs – ont étéspécialement touchés par cette hausse des prix.Les représentants de 11 syndicats ont posé auGouvernement le problème des nouveaux tarifs desservices publics. Le 10 décembre 2008 ils ont envoyéune lettre au premier ministre où ils présentaient leursdésaccords sur la forme de calculer ces tarifs. Ils affirmaientque le gouvernement avait manipulé <strong>les</strong> statistiqueset qu’il avait gonflé le nombre de ménages qui severraient bénéficiés par <strong>les</strong> réductions écologiques. En29Rapports nationaux 114 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
des bases financières solides – l’entreprise est dans <strong>les</strong>chiffres rouges. Le sujet des tarifs des services publicsexige une étude socioéconomique appropriée, baséenon seulement sur <strong>les</strong> statistiques internationa<strong>les</strong> ou surune moyenne, mais aussi sur <strong>les</strong> enquêtes concernant<strong>les</strong> budgets des différents types de ménages, d’entrepriseset d’organisations. Ce genre d’étude doit aussioffrir des recommandations viab<strong>les</strong> sur <strong>les</strong> possib<strong>les</strong>scénarios d’énergie durable pour Malte.Le travailLa crise internationale a commencé à se faire sentir début2009, c’est alors que beaucoup d’entreprises manufacturièresont adopté la semaine de travail de quatre jourset d’autres ont annoncé des licenciements pour réduireleur force de travail et leurs pertes financières. Les licenciementspourraient atteindre l’ordre de centaines, voiremême de milliers, pendant l’année 2009. Le tourismejoue un rôle important dans l’économie et l’emploi à Malte.Actuellement le tourisme provenant de la Grande Bretagnea diminué et représente 33 % du marché 6 , ce qui nuirabeaucoup aux travailleurs de ce secteur.Les chantiers navals étaient le bastion de la maind’oeuvremaltaise, ils employaient de 5.000 à 6.000travailleurs jusque dans <strong>les</strong> années 1990. En 2008 laprivatisation du secteur a commencé, c’est alors que<strong>les</strong> plans de retraite anticipée et de démission volontaireont été proposés aux employés. Sur 1.626 travailleurs,seulement 59 ouvriers n’ont choisi aucun plan et sontrestés effectifs, tandis que 679 qui avaient opté pour la retraiteanticipée ont continué à <strong>travailler</strong> pour conclure <strong>les</strong>commandes en instance avant que l’entreprise ne ferme.Quatorze entreprises ont participé à l’appel d’offres duchantier naval, mais, d’après un journal local, aucune despropositions n’a comblé <strong>les</strong> attentes du gouvernement.Le fait de ne pas être arrivé à un accord acceptable est uncoup dur pour le gouvernement. Dans une déclaration faiteau journal Times of Malta, en 2008, Neelie Kroes, commissaireà la Concurrence de l’UE, a critiqué la stratégie deprivatisation et a signalé que l’intention du gouvernementde solder 100 millions d’EUR (132 millions d’USD) depertes avant de privatiser le chantier naval n’était pasacceptable dans le cadre de la législation de l’UE.L’aide au développementLa politique étrangère d’aide au développement publiéeen octobre 2007, identifiait cinq pays prioritaires pourrecevoir l’aide maltaise au développement, dont quatred’Afrique centrale et orientale: la Somalie, le Soudan,l’Erythrée et l’Ethiopie 7 . Les ONG maltaises pensent qu’ils’agit d’un choix politique, puisque la majorité des immigrantsproviennent de ces pays 8 .Le manque de transparence et d’évaluations convenab<strong>les</strong>et indépendantes de l’aide officielle maltaise comprometla participation des ONG dans la coopération pour6 Bureau National de Statistiques. “Departing Tourists:December 2008”. News release 015/2009. Le 27 janvier2009. Disponible sur : .7 Voir : .8 Concord (2008). No Time to Waste: European GovernmentsBehind Schedule on Aid Quantity and Quality. Bruxel<strong>les</strong> :Concord. Disponible sur : .le développement. Le gouvernement avait promis auxONG une analyse claire des statistiques dans ses rapportssur l’aide officielle au développement (AOD), maisil n’a pas tenu son engagement. Le Gouvernement avaitégalement annoncé que davantage de fonds de développementseraient destinés à l’assistance technique et que<strong>les</strong> technologies informatiques et de la communication(TIC) seraient prioritaires. Les ONG s’inquiètent du faitque l’assistance technique ne répond généralement pasaux besoins réels des pays en développement et de sonmanque de transparence, alors que <strong>les</strong> TIC n’ont pasl’habitude de correspondre au principe d’appropriationnationale de ces technologies.Bien qu’en 2007 Malte ait maintenu le rapport le plusélevé (0,15 %) entre AOD et le revenu national brut (RNB)de l’UE, <strong>les</strong> ONG sont inquiètes puisqu’un pourcentagesubstantiel de l’AOD déclarée est dépensé en logementspour <strong>les</strong> demandeurs d’asile pendant leur première annéedans le pays, ce qui signifie dans la pratique que l’AOD estdépensé dans des centres de rétention. Les ONG s’inquiètentaussi du fait que l’aide au développement soit gonfléepar l’inclusion de frais attribuée aux étudiants.La migration et <strong>les</strong> demandeurs d’asileLa situation des immigrants et des demandeurs d’asile nes’est pas améliorée, elle s’est même, dans un certain sens,aggravée à cause du nombre record de personnes qui sontarrivées par la mer en 2008 et <strong>les</strong> premiers mois de 2009.Un groupe de travail des Nations Unies sur <strong>les</strong> détentionsarbitraires s’est rendu à Malte en janvier 2009. Bien quece groupe ait souligné beaucoup de points positifs, il asignalé que l’arrestation des demandeurs d’asile ne secorrespond pas à la législation internationale sur <strong>les</strong> droitsde l’homme et a qualifié de « catastrophique » la situationdans <strong>les</strong> camps de Safi et de Lyster 9 . Pour le groupe detravail, <strong>les</strong> conditions dans <strong>les</strong> camps ont un effet sur lasanté physique et mentale des détenus à tel point qu’ilssont incapab<strong>les</strong> de comprendre leurs droits ou de suivrele procédé légal qui pourrait conduire, pour le meilleur oupour le pire, à un changement de leur situation.Les démarches pour <strong>les</strong> demandes d’asile sont extrêmementlongues : après être restés six mois à Malte,certains immigrants continuent à attendre qu’on leur octroieune entrevue. Le système connu comme la « voierapide » n’est pas meilleur. Bien que mis en place pour<strong>les</strong> personnes plus vulnérab<strong>les</strong> – <strong>les</strong> femmes enceinteset <strong>les</strong> handicapés par exemple – au moins trois mois sontnécessaires pour obtenir la sortie des centres de rétention.Un immigrant d’Erythtrée a présenté une demande pourviolation de la constitution contre le directeur du Bureaude l’Immigration et le ministre de la Justice et de l’Intérieuren mai 2007. Il a assuré que ses droits de l’homme avaientété violés en raison de la longueur des démarches pourobtenir l’asile et des conditions inhumaines de détention.Le verdict n’a pas encore été prononcé. La prochaineaudience est prévue pour juillet 2009.Le Gouvernement affirme qu’il doit réussir à obtenirun équilibre entre <strong>les</strong> considérations de sécurité et <strong>les</strong>considérations humanitaires, et que des efforts intensessont faits pour améliorer <strong>les</strong> conditions de détention,9 Nations Unies. “Annex to Press Release: UN Working Groupon Arbitrary Detention Concludes Visit to Malta”. Le 26janvier 2009. Disponible sur : .mais que le système actuel est saturé : en 2008 il a dûtraiter 2.775 nouveaux cas, par rapport aux 1.702 del’année 2007. Finalement, bien que <strong>les</strong> commentaires dugroupe de travail des Nations Unies indiquant que l’immigrationillégale est un problème qui doit être abordé par lemonde entier, soient admissib<strong>les</strong>, il faut signaler que cesrecommandations avait déjà été faites auparavant, avecpeu de résultats 10 .La crise financière et l’opinion publiqueL’Eurobaromètre 11 de l’automne 2008 montre que le pessimismedes maltais sur l’économie augmente de plusen plus ; la confiance dans le système politique diminueet l’espoir d’une amélioration de la qualité de vie se réduitaussi 12 . La majorité absolue (57 %) a évalué l’économie demanière négative et seulement 39 % la perçoit en bonnesanté. En même temps, 45 % attend une détériorationaprès 2009 – une forte augmentation du pessimismeéconomique, de 25 %, par rapport à 2007.La situation de l’emploi sera plus grave selon 32 %et seulement 23 % pense que la situation s’améliorera,tandis que 27 % n’attend pas de changements pendant<strong>les</strong> 12 prochains mois. Les enquêtés qui disent avoir eudes problèmes pour payer leurs factures représentent65 %, tandis que seulement 28 % a déclaré ne pas avoir eude problèmes. Ceux qui croient que Malte est plus stableéconomiquement grâce à l’adoption de l’euro représentent56 %, alors que ceux qui ne sont pas de cet avis représentent33 %. La confiance des maltais dans l’euro est plusforte que celle des autres habitants de la zone euro, où48 % des enquêtés considèrent que l’euro a aidé à stabiliserleurs économies, face à 42 % qui pense le contraire.Sur le plan politique, 51 % des maltais ont expriméleur mécontentement avec <strong>les</strong> partis politiques, et seulement34 % ont exprimé leur confiance, ce qui s’est reflétélors des élections législatives de mars 2008, avec uneparticipation légèrement plus faible que d’habitude. Parailleurs, 59 % des maltais ont déclaré leur confiance dansla Commission Européenne, face à 13 % qui sont méfiants.Le Parlement Européen est l’institution qui génèrele plus de confiance parmi <strong>les</strong> maltais – 64 % a déclaréavoir confiance, tandis que 14 % a déclaré le contraire.Une proportion plus faible, 57 %, a une tendance à avoirconfiance dans le parlement maltais, ce qui représenteune augmentation de 15 points par rapport à 2007; 50 %a confiance dans le gouvernement en tant qu’institution –une augmentation de 5 points de pourcentage – et 37 %n’a pas confiance.Il est difficile de quantifier <strong>les</strong> problèmes d’inégalitéet de pauvreté à Malte, puisqu’il n’est pas simple d’avoiraccès aux statistiques. Le nombre croissant d’immigrantsqui s’installent dans différentes zones a créé un phénomènede « ghettoïsation ». Ces ghettos sont des trappesà pauvreté et des bouillons de culture pour de futurestensions socia<strong>les</strong>. Lorsqu’on considère <strong>les</strong> conséquencesde la crise économique, la hausse des prix des aliments etdes services publics, la semaine de quatre jours, <strong>les</strong> licenciementset <strong>les</strong> retraités qui survivent avec une pensionmaximum plafonnée il y a 30 ans, on ne peut que faire lepronostic qu’en 2009 il y aura davantage de personnes« nécessiteuses ». n10 Voir : .11 Voir : .12 Voir: .<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 115 Malte
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