Malaisie100Une perspective sombre073La Malaisie, dont la croissance économique dépend en grande 88 mesure de ses exportations et qui importe la plupart50de ses aliments, devra se préparer pour affronter des années de difficultés économiques. 100 Il existe une forte chute 100de la948379production industrielle, le chômage est au plus haut et <strong>les</strong> analystes prévoient que la récession pourrait être pire queIEG of Germany celle = de 78,2 1997. Le Gouvernement a été BCI critiqué of Ghana parce = 75,5 qu’il a réagi tardivement et qu’il s’est IEG of consacré Ghana = au 57,6 sauvetage desentreprises. Les organisations de la société civile manifestent et font des débats publics pour conscientiser le publicsur <strong>les</strong> répercussions négatives de cette crise, spécialement par rapport aux secteurs vulnérab<strong>les</strong> de la société.96100 100 68100100 100100089100011100Third World NetworkChee Yoke Heong100Indice des Capacités de Base (ICB)ICB = 9710092Enfants atteignantIEG = 58la cinquième annéed’écoleIndice d’Equité de Genre (IEG)EmpowermentComme beaucoup de pays, la Malaisie n’a pas été épargnéepar la crise financière, économique, énergétique etalimentaire qui a sévi dans la plupart des pays du monde30en 2008, et dont <strong>les</strong> effets perdurent encore. Cette situationainsi que <strong>les</strong> changements radicaux dans le paysage0 6,200politique malaisien à la suite des résultats inattendus des9736,2100 9947100élections nationa<strong>les</strong> de mars 2008, ont absorbé l’attentionde tous <strong>les</strong> Malaisiens alors qu’ils devaient faire 98,4faceAccouchements assurés par du Survivance jusqu’à99100 100 100100 100100 100100aux conséquences de la crise. Avec l’avènement d’un personnel médical spécialisél’âge de 5 ans Activité économiqueÉducationnouveau premier ministre IEG of et l’entrée Lebanon du = pays 46,9 dans uneBCI of Malasia = 96,9IEG of Malaysia = 58,3période d’incertitude économique, beaucoup de Malaisiensévaluent leur futur avec beaucoup d’attention.obligeant le Gouvernement à recouper sévèrement sesprojections avec un resserrement économique d’environLe chômageLa décélération du commerce international donne uneSur la voie de la décélération économique 4 % à 5 % pour l’année 2009.perspective de la situation du travail de plus en plus difficile.Il n’y a pas de doute que la crise mondiale est Il est prévu que le taux de chômage de la Malaisie atteignePendant une grande partie de l’année, la Malaisie a responsable de la décélération, puisque la Malaisie 4,5 % en 2009, par rapport à 3,8 % en 2008. En 2008,nié que le pays pourrait être 100touché par la crise financièreet économique qui ravageait la plupart des pays du point de vue commercial, avec des exportations pendant <strong>les</strong> derniers mois de l’année, à mesure que la criseest une des économies 100<strong>les</strong> plus ouvertes de l’Asie environ 33.000 postes de 100 travail ont été perdus, la plupart93du monde, alors qu’un pays après l’autre, même sonvoisin Singapour, annonçait que 47 la récession était déjàlà. Les autorités malaisiennes soutenaient que <strong>les</strong> basesdu pays étaient solides et que par conséquent il n’était0pas nécessaire de prendre de mesures. Ceci aurait puêtre vrai pendant la première étape de la crise financière,qui représentaient plus de 90 % de son PIB en 2007,par rapport à 14 % en Inde, 16 % au Japon, 36 %en Chine et environ 60 % en Thaïlande et à Taiwan.Seulement Singapour (avec 186 %) et Hong Kong0(166 %) ont un rapport entre <strong>les</strong> exportations et lePIB plus élevé que la Malaisie.internationale s’aggravait avec l’entrée en récession desmarchés clés de l’Asie. Depuis octobre 47 2008, sur presque26.000 emplois perdus, 85 % appartenaient au secteurindustriel, avec l’industrie de l’électronique et de l’électricité0particulièrement touchée. Les exportations de ce secteursont tombées de 34 % en janvier 2009 par rapport à 2008.98qui a commencé aux 56États-Unis et en Europe en 2007 Les conséquences du resserrement économique 98 La Fédération des Entrepreneurs de Malaisie fait <strong>les</strong> projections<strong>les</strong> plus sévères, prévoyant une pointe 99 de 200.000100 100 100100 7363100100 100et qui s’est aggravée pendant <strong>les</strong> premiers six 98 mois de de ses principaux associés commerciaux peuvent se1002008 ayant eu jusqu’alors peu de conséquences pour la voir dans la chute radicale de la demande extérieure. Bien emplois perdus, ce qui dépasse de loin <strong>les</strong> 85.000 emplois3Malaisie. Mais quand la crise financière a commencé à que <strong>les</strong> exportations de la Malaisie soient très diversifiées,avec de nombreuses matières premières et des Cette tendance négative n’échappe pas à l’inter-perdus pendant la crise financière de 1997 et 1998.IEG of Paraguay = 66,8 BCI of Perú = 87,8IEG of Peru = 69,7toucher l’économie réelle de la production et des revenusdes pays occidentaux pendant la deuxième moitié de2008, <strong>les</strong> répercussions se sont transmises à la Malaisiede façon croissante vers la fin de l’année. Cette situation afait que nombreux sont ceux qui ont considéré que le planproduits industrialisés, le problème est que presque tous<strong>les</strong> artic<strong>les</strong> d’exportation sont touchés en même temps.Les exportations brutes ont baissé de 18 % au derniertrimestre 2008 par rapport au trimestre précédent. Laprétation des analystes comme la Banque Suisse d’Investissements,le Crédit Suisse, signalant que <strong>les</strong> risquesde resserrement économique de la Malaisie sont« <strong>les</strong> plus élevés d’Asie, après Hong Kong et Singapour,de relance de 2 milliards d’USD, pas encore été dépensés diminution la plus inquiétante s’est produite avec <strong>les</strong> exportationsindustriel<strong>les</strong>, spécialement 87 cel<strong>les</strong> de produits matières premières ». C’est pourquoi certains disent qu’ilspécialement à cause de la forte diminution du prix des100100100en grande mesure, annoncé par le Gouvernement ennovembre était une réponse insuffisante 74 et tardive. (Surle 1,8 milliard d’USD canalisé, seulement 400 millionsd’USD ont été utilisés pour la mise en oeuvre de projets).Les statistiques officiel<strong>les</strong> montrent que la récessionqui a touché <strong>les</strong> pays occidentaux 0 a porté un sérieuxcoup à des pays comme la Malaisie pendant <strong>les</strong> derniersélectroniques, de machinerie et d’appareils électriques,qui représentent le gros des exportations industriel<strong>les</strong> ouenviron 35 à 40 % du total des exportations. Les matièrespremières, qui au début de 2008 étaient encore prospères,avant que n’éclate la 0bulle des prix, n’ont pas étéépargnées puisque <strong>les</strong> exportations de pétrole, d’huileest nécessaire que le pays réévalue ses politiques industrielleet d’exportation, voire 51 même toute sa politiqueéconomique. Il existe une forte sensation que le pays doitsérieusement réduire sa dépendance aux exportations etpréparer le marché intérieur 0pour la croissance.Le Gouvernement a reconnu que la crise était très100 mois de 2008. La diminution des indicateurs clés a été de palme et de caoutchouc 43 ont chuté au même 8858moment. grave et a annoncé un deuxième plan de relance plus 97100100 100100 100100 100100d’une dimension surprenante, montrant d’abord que C’est pour cela que <strong>les</strong> moteurs de la croissance des exportationsse trouvent au point mort ou en marche arrière. représentera un grand effort d’arrêter la décélération etprofond qui 84 s’étendra sur <strong>les</strong> deux années 81à venir. Cela98l’économie malaisienne commençait à stagner, puis àdécliner, pendant <strong>les</strong> trois ou quatre derniers mois de Un autre signal inquiétant est la forte chute constante de d’empêcher que le pays entre dans une récession graveIEG of Spain = 76,9 BCI of Tanzanía = 72,7IEG of Tanzania = 71,92008 et <strong>les</strong> premiers mois de 2009. L’économie s’est la production industrielle depuis juillet 2008, <strong>les</strong> dernières qui, si elle n’est pas abordée, aurait de sérieuses répercussionscontractée de 6,2 % par rapport à l’année 2008 pendantle premier trimestre, et cela plus rapidement que prévu,statistiques montrent qu’en janvier 2009 la production adiminué de 20 % par rapport à l’année précédente. sur la stabilité sociale et politique. Le plan de17 milliards d’USD sera destiné à une injection fiscale,100100Rapports nationaux 112 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>
aux fonds de garantie et d’autres instruments d’aidepour l’industrie, aux investissements en actifs et aux relancesfisca<strong>les</strong>. Les quatre objectifs principaux du plande relance sont la protection et la création d’emplois, laréduction du poids de la crise sur la population, l’assistanceau secteur privé et la formation pour l’avenir.Avec l’augmentation de la perte d’emplois et la perspectivede davantage de licenciements, le Gouvernement acommencé à revoir sa politique par rapport aux travailleursétrangers qui ont représenté une source indispensablepour beaucoup de secteurs. Inquiet du grand nombrede licenciements, le Gouvernement a annoncé que <strong>les</strong>entreprises qui souhaitent réduire leur personnel devrontlicencier <strong>les</strong> travailleurs étrangers avant <strong>les</strong> Malaisiens.La Malaisie – un des plus grands importateurs demain-d’œuvre d’Asie – compte deux millions de travailleursétrangers (venant principalement de son voisin l’Indonésie– 66 % – suivi du Népal et de l’Inde) qui sont le principalsoutien des plantations et du secteur manufacturier. Maisà présent que le chômage augmente, le Gouvernementa interdit l’embauche de travailleurs étrangers dans <strong>les</strong>secteurs des produits et des services. Les permis de travailauraient été réduits de plus de 70 % cette année. LeGouvernement a aussi approuvé une proposition pourdoubler la charge que <strong>les</strong> entreprises doivent payer pour <strong>les</strong>travailleurs étrangers afin de décourager leur embauche.Cependant <strong>les</strong> activistes craignent que <strong>les</strong> entreprisestransfèrent l’augmentation de ces coûts surleurs travailleurs étrangers, leur portant d’autant pluspréjudice qu’ils se trouvent déjà accablés par <strong>les</strong> tarifsconsidérab<strong>les</strong> que leur imposent <strong>les</strong> agents de travail.Ils proposent à la place l’établissement de salaires minimumspour réduire l’engagement de travailleurs étrangerspuisque <strong>les</strong> entreprises ont tendance à <strong>les</strong> engagercar moins chers à l’embauche que <strong>les</strong> Malaisiens. Enconséquence de quoi leurs salaires sont généralementen dessous du seuil de pauvreté.Le plan de relance et son résultat incertainLe budget infime du Gouvernement comprend plusieursmesures à moyen et long terme, mais certainsobservateurs signalent le manque d’initiatives qui permettentd’aborder la nécessité immédiate et urgented’affronter la chute de l’économie, de relancer la demandeet d’augmenter <strong>les</strong> affaires, qui sont considérésdes facteurs critiques de tout budget de relance prévupour surmonter une crise. Par contre, le budget a étécritiqué parce qu’il se concentre sur ce qui semble êtrele sauvetage des entreprises, car presque la moitié del’argent sera destiné à l’assistance du secteur privé etque seulement 17 % le sera à l’aide de la population, quisubit dans son ensemble <strong>les</strong> conséquences du coût dela vie élevé. L’inquiétude portant sur le fait que pendantla crise économique <strong>les</strong> besoins spécifiques des femmes,à l’exception des mères célibataires, ne soient paspris en compte existe également, puisque seulement1,4 % du budget a été destiné aux moins favorisés.Le succès du plan de relance économique dépendrade son exécution, de son instrumentation etde sa transparence pour le déboursement des fonds.Ce qui déterminera si l’effet compte-gouttes et multiplicateurdu plan de relance comprend une grandepartie de la population sans favoriser seulement <strong>les</strong>entreprises et <strong>les</strong> individus qui entretiennent de bonsrapports avec le Gouvernement comme par le passé.En réponse aux demandes de transparence etd’élaboration d’un compte rendu, le Gouvernement aannoncé qu’il mettra en place un site web spécial poursuperviser <strong>les</strong> dépenses des fonds du plan de relanceéconomique. Ce site offrira au public l’information sur<strong>les</strong> postes attribués et le montant dépensé, <strong>les</strong> programmeset <strong>les</strong> projets mis en place et leur progression. Cegenre d’initiative est quelque chose de relativementnouveau et correspond à une réponse à la pressioncroissante exigeant que le gouvernement rende davantagede comptes alors qu’il se caractérisait jusque là parsa corruption et son clientélisme politique. Mais commepour tout ce qui se passe avec <strong>les</strong> politiques du Gouvernement,la mise en place de ce site est en instance.Un scénario incertainEn dépit du panorama plutôt sombre, <strong>les</strong> économistessignalent souvent <strong>les</strong> solides bases économiques dela Malaisie et son expérience après la crise financièreasiatique de 1997, pensant qu’el<strong>les</strong> lui permettront desurmonter la crise actuelle. Mais cette crise internationalecontinue à se développer et personne ne connaîtréellement quel<strong>les</strong> en seront la profondeur et la durée.Tandis que le secteur bancaire, pour l’instant, se montrerésilient, il sera éventuellement touché à mesure que <strong>les</strong>entreprises présenteront des difficultés pour amortirleurs prêts. Et bien que <strong>les</strong> prêts non recouvrab<strong>les</strong> puissentêtre gérés, pour le moment encore, il n’en sera pasde même dans l’avenir puisque déjà certains analystesprévoient que la récession qui viendra pourrait être pireque celle issue de la crise asiatique de 1997.La crainte que le chômage cause des problèmessociaux est présente. Ces problèmes comprennent untaux de délinquance plus élevé à cause de la détériorationdes valeurs que provoque la pauvreté et une plus grandeinégalité du revenu au fur et à mesure que beaucoup detravailleurs perdent leurs emplois. Sur la base de l’expériencede la récession qui a eu lieu pendant la deuxièmemoitié des années 1980, encore présente dans la mémoirecollective, une proposition pour un plan intégral desécurité sociale a été présentée. De plus en plus de voixréclament un fonds national contre <strong>les</strong> licenciements,protégeant <strong>les</strong> travailleurs contre la perte de leurs emplois.Le Gouvernement a déclaré qu’il considérait la question.La crise et l’insécurité alimentaireAlors que <strong>les</strong> prix élevés des matières premières en ontfavorisé certains, <strong>les</strong> prix élevés des aliments ont causédes ravages parmi la plupart des Malaisiens qui ont dufaire face aux coûts élevés des aliments et d’autres artic<strong>les</strong>de base, causés par la forte hausse du prix du pétroleen 2008. L’inflation a diminué pendant <strong>les</strong> derniers moislorsque la bulle des prix agrico<strong>les</strong> a éclaté et que le prix dupétrole a chuté de son point culminant. Cependant <strong>les</strong> prixdes aliments continuent a être élevés et l’indice des prix àla consommation des aliments montre une forte haussede 9,2 % en février 2009. Le riz, le pain et d’autres céréa<strong>les</strong>ont augmenté sensiblement, avec une énorme haussede leurs indices de 18 %. Le prix du pétrole, bien qu’il soitdescendu plusieurs fois pendant <strong>les</strong> derniers mois de2008 en accord avec la chute des prix internationaux dupétrole, continue à être plus élevé qu’avant la crise.Une grande partie de l’augmentation des prix desaliments est due au fait que la Malaisie en est un grandimportateur, et la laisse par conséquent à la merci de lahausse des prix et de la spéculation. La rapidité du développementpendant <strong>les</strong> dernières décennies a déplacél’objectif de la planification économique vers l’industrialisationet l’agriculture industrielle au détriment dela production d’aliments, puisqu’il était moins cher d’enacheter ailleurs. Outre le riz, la Malaisie importe aussi deslégumes, des fruits, de la viande et des céréa<strong>les</strong>.Actuellement en ce qui concerne le riz, la Malaisieest autosuffisante à environ 60 %. Le Gouvernementprévoit d’injecter quelque 2 milliards d’USD pour augmentersa production et atteindre de nouveau le niveaud’autosuffisance de 90 %. La politique de sécurité alimentairea été présentée en avril 2008 et des subventionset des primes d’incitation ont été versées pour renforcerla production de riz dans tout le pays. En même tempsla campagne Bumi Hijau (Terre verte), une initiative semblableà celle lancée pendant <strong>les</strong> années 1970, cherche àencourager la culture de légumes d’autres comestib<strong>les</strong>verts par <strong>les</strong> Malaisiens, en plus de l’élevage de poulets etde poissons pour leur propre consommation.En dépit de ces initiatives, une planification à longterme plus efficace est nécessaire pour atteindre larécupération économique. Le Gouvernement doit sérieusementconsidérer <strong>les</strong> différents aspects du problème– une utilisation plus efficace de la terre, de lamain-d’oeuvre et de la technologie – qui pourraiententraver la réussite des objectifs envisagés.La réponse de la société civileDifférentes organisations et ONG de la société civile ontréalisé une série de manifestations et d’activités, quicomprennent des débats publics, pour faire prendreconscience des conséquences négatives de cette crise,spécialement dans <strong>les</strong> groupes <strong>les</strong> plus vulnérab<strong>les</strong>.Le réseau des peup<strong>les</strong> opprimés (JERIT, dont l’acronymesignifie « cri »), une coalition de groupes de la sociétécivile, a été spécialement actif. Le groupe a réalisé unemanifestation contre l’augmentation du prix du pétrole enjanvier 2008 et a fini l’année avec une campagne cycliste« Le peuple : la force du changement », pour exprimerson inquiétude sur <strong>les</strong> droits et <strong>les</strong> épreuves de la classeouvrière face à la décélération de l’économie.La campagne consistait en différents groupes de cyclistespartis de trois points de concentration sur <strong>les</strong> côtesNord, Sud et Est de la Malaisie péninsulaire, et qui avaientpédalé ensemble jusqu’au parlement à Kuala Lumpur, lacapitale, pour présenter au gouvernement et au parti del’opposition leurs inquiétudes et revendications.Leurs principa<strong>les</strong> revendications sont l’adoption dusalaire minimum, le logement digne, le contrôle des prixpour <strong>les</strong> artic<strong>les</strong> de base et la fin des privatisations desservices de base. Ils ont aussi rattaché ces demandes àcel<strong>les</strong> de droits civils et politiques plus étendus. Ceci comprendle rétablissement des élections de gouvernementslocaux et la révocation de la loi de sécurité intérieure, quipermet une détention illimitée sans droit à un procès.Sur leur chemin ils ont remis des brochures aupublic et ils ont présenté leurs revendications devantle chef des ministres des différents états (la Malaisiepossède un système de gouvernement fédéral). Endépit des nombreux obstac<strong>les</strong> interposés par la police,y compris des interpellations, ils sont parvenus aubout. Pendant ces deux semaines de décembre 2008,la campagne a bénéficié de beaucoup de publicité et dusoutien du public le long de son parcours. n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 113 Malaisie
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