Kenya10010052L’orthodoxie néolibérale et le jeu de l’autruche60100250Le capitalisme néolibéral a perdu 28sa raison d’être. Il s’agit d’une crise structurelle de la démocratie9851935462100 100 libérale, mais 100 au Kenya 100 le Gouvernement refuse de 100 voir la réalité et 100fait l’autruche qui met la tête 100dans99le sable. L’élite gouvernante affirme que la crise est circonstancielle et que l’économie nationale estsuffisamment protégée en raison de la faib<strong>les</strong>se de ses liens avec le capital international. La société,1 IEG of El Salvador = 67,5 BCI of Eritrea = 60,2IEG of Eritrea = 47,1civile kényane continue à avertir que, contrairement aux prédictions du Gouvernement, le pays est surle point de plonger dans <strong>les</strong> eaux turbulentes du néolibéralisme.00100100<strong>Social</strong> Development NetworkProf. Edward OyugiPhilip Thigo100SEATINI KenyaIEG of = 47,3Oduor OngwenKenya Debt Relief NetworkWahu KaaraBEACONRebecca TanuiDaraja-Civic Initiatives Forum 0Don BonyoFuta Magendo ChaptersNO VAAyoma MatungaMazira FoundationEddy OrindaHaki ElimuOpiata OdindoKenya Land AllianceOdenda LumumbaMigori ClanWilliam JanakKETAMJames KamauKenya-Cuba Friendship Association 100Indice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 71 IEG = 5983 Enfants atteignantla cinquième annéed’école100 100 100100 100Accouchements assurés par dupersonnel médical spécialisé1 N. du T.: financialisation : mot anglais qui définitl’acheminement de l’investissement vers la spéculationfinancière.0Survivance jusqu’àl’âge de 5 ansBCI of Kenya = 71haut et non le contraire par un système bancaire inerte.Néanmoins, ces plans sont encore –essentiellement– dessolutions techniques conçues pour relancer la demande etparvenir à ce que <strong>les</strong> consommateurs continuent à acheterau lieu de leur permettre de remettre en question la prétendueefficacité du capitalisme 100 néolibéral.Le Kenya est très familiarisé 83 avec <strong>les</strong> promotionsIndice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueEmpowerment42 8898100 8110010085Mwandawiro Mgangajeunes connus à cette époque-là comme la « JeunesseBunge la Mwananchides valeurs, <strong>les</strong> pyramides financières (schémas Ponzi),la destruction des actifs structurés par l’inflation vache à lait par des individus ayant des liens politiques, etpour KANU ’92 ». Le FNSS a continué à être utilisé commeGeorge NyongesaChildFund Africa RegionAndiwo Obondohqui a été fortement lié à l’anéantissement des actifs cette situation n’a été publiée par la presse que 10 ans plusUndugu Society of Kenya23provoqué par la privatisation frauduleuse, l’esclavage tard, lorsqu’au cours d’un accord préélectoral en 2002 le9Alloys Opiyo000des débiteurs, <strong>les</strong> escroqueries corporatives et le dépossessionFonds a perdu un montant de 256 millions de KES (3,45effrontée des actifs, tel que dans le cas millions d’USD) pour une escroquerie avec l’Euro Bank3594 Après trente ans de 57 capitalisme de marché libre, de l’anéantissement débridé du Fonds National de la dans le financement 47de la campagne présidentielle.100100 100 74 100100 81 100100 77 100100sans obstac<strong>les</strong> et fondé sur un modèle néolibéral, Sécurité <strong>Social</strong>e (FNSS). Cette situation a enfin mené Fidèle à ses habitudes, le FNSS a retrouvé son<strong>les</strong> défaillances d’un système obsolète ne peuvent à des effondrements para-étatiques et à l’anéantissementcélèbre profil lors des élections suivantes. Un terraindes valeurs à cause de la manipulation du crédit commercial adjacent au Laico (ancien Grand) Regencyplus être cachées.IEG of Nepal = 51,2La marchandisation et la privatisation des actifs publics,et <strong>les</strong> manipulationsICBmalhonnêtesde Nigeria =des66,3IEG of Niger = 44,4personnes liées Hotel, également en proie au scandale, a été vendu auconsidérés essentiels jusqu’à présent pour assurerla prospérité, ont provoqué le transfert des actifs du domainepublic et populaire aux domaines privés des classesprivilégiées. Par conséquent, la « financiarisation 1 » rapaceau marché du capital, tels que Suntra Investments,Nyaga Brokers Ltd., Francis Thuo Ltd. et d’autres.Le FNSS a été créé en 1966 comme un fondsprovisoire obligatoire pour la totalité des travailleursmoins offrant. D’après ce qui a été divulgué, le FNSSa rejeté une offre pour un montant de 1.400 millionsde KES (18,88 millions d’USD) pour ce terrain et en aaccepté une autre pour un montant de 1.300 millions deet spéculative des transactions commercia<strong>les</strong> a provoqué du pays. Bien que <strong>les</strong> travailleurs et <strong>les</strong> employeurs ne KES (17,53 millions d’USD) après que le moins offrant ait100100100une forte augmentation des transactions financières quotidiennescontribuent qu’avec 400 KES (5,4 USD) par mois, le offert une « enveloppe » aux syndics pour un montant desur <strong>les</strong> marchés internationaux, qui sont passéesde 2.300 millions d’USD en 1983 à 130.000 d’USD millionsen 2001. Il n’est pas étonnant alors de constater que43la dérèglementation ait permis que <strong>les</strong> systèmes financiersassument un rôle protagoniste 0dans la redistribution par leFonds dispose –par la force de son énorme taille– d’unportefeuille cumulé qui s’élève à plus de 80 KES milliards(1.079 millions d’USD) ce qui équivaut à 8,2 % environdu PIB du pays. Le Gouvernement continue à faire25usage du Fonds pour ses partenaires 0 <strong>les</strong> plus proches,650 millions de KES ( 8,77 millions 74 d’USD). La Directiondu Fonds l’a nié, mais au mois de juillet 2008 le Ministredu Travail a dissous le Directoire et a renvoyé le SyndicGénéral afin de préparer le terrain pour enquêter sur cescandale et sur d’autres également. 0 En septembre 2008biais de la spéculation, la déprédation, la fraude effrontée en oubliant qu’il s’agit d’un plan contractuel d’épargne le FNSS était sur le point de perdre 1 milliard de KES10033et le vol. Les plans visant à la relance peuvent représenter et d’investissement destiné au soutien de 86la retraite. ( 13,49 millions 58 d’USD) chez Discount Security –une 99100 100 71un chemin technique dans la direction correcte, 82 100100 100100 100100notammentsi ceux-ci peuvent fonctionner depuis le bas vers le du Ministère du Travail, mais en 1987 il est devenu un ancien syndic général du FNSS, d’après <strong>les</strong> informations.À l’origine, le FNSS n’était qu’un département au sein société de courtage de valeurs s’étant effondré et liée à un98IEG of Slovenia = 65,1service para-étatique autonome. Depuis ce moment-là,BCI of Somalia = 47,8Le fait que l’État néolibéral doive éviter le marché pour desIEG of Spain = 76,9<strong>les</strong> retraités n’ont éprouvé que de la mélancolie.Au cours de la campagne des premières électionsmultipartites des années 1991-1992, le FNSS a été utilisé1000ÉducationIEG of Kenya = 59comme source principale de fonds pour payer des subornationsdestinées à huiler la machinerie de la campagneélectorale du parti officiel Kenya African National Union(KANU). L’argent des retraités a été retiré du Fonds afin definancer des affaires immobilières suspectes qui faisantnaître des millionnaires du 100 jour au lendemain parmi <strong>les</strong>raisons d’efficacité stratégique est une supercherie miseà nue car, au lieu de maximiser son efficacité hors dumarché, il a acquis le rôle d’agent principal des politiques11Rapports nationaux 108 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 100100
de redistribution, investissant le flux des ressources dela classe dominante à la classe ouvrière, ce qui ne peutêtre associé qu’à l’ère du libéralisme enraciné ; et subventionnant<strong>les</strong> personnes riches de la société d’une manièreefficace par des pratiques de déflation confiscatoire 2 .Traitement de faveur pour <strong>les</strong> criminelsNulle part cette idée n’est démontrée avec autant decrudeur que comme dans le cas de la fraude publique del’Offre Publique Initiale (OPI) des actions de Safaricom.En dépit du désaccord des organisations de surveillancede la société civile et du Mouvement DémocratiqueOrange – le partenaire principal de la coalition de l’administrationKibaki – le Gouvernement du Kenya a décidéde se défaire de 25 % de ses actions à Safaricom, unecompagnie de téléphonie mobile, pour percevoir 50 milliardsde KES ( 674 millions d’USD), montant nécessairepour couvrir son déficit budgétaire.Deux inquiétudes surgissent. Premièrement :comment est-il possible qu’une compagnie anonymeet étrangère, connue sous le nom de Mobitelea, puisseavoir 10 % et après 5 % d’une entreprise publiqueau Kenya et, ce qui est plus le déconcertant encore :pourquoi cette compagnie étrangère n’a jamais payéun centime pour acquérir des actions à Safaricom ?Deuxièmement : lorsque le Gouvernement a offert lavente de 25 % de ses actions à Safaricom, il a fait croireaux citoyens que ces actions rendraient publiquela propriété de cette entreprise. Néanmoins, lorsqueSafaricom a enfin été mise en vente, la citoyenneté n’apas eu le droit de disposer de la première option pourdonner une réponse négative. Ils ont dû se mettre enconcurrence avec le reste de l’Afrique Orientale tandisque 35 % sur <strong>les</strong> 25 % des actions offertes par leGouvernement était réservé à certains investisseursétrangers anonymes. D’après <strong>les</strong> rumeurs, ces investisseursappartiennent à l’oligarchie locale, ayantdes intérêts très forts dans des compagnies offshore.Comme si cette escroquerie n’était pas suffisante,l’OPI (la première offre au public des actions de lacompagnie en bourse) a été effrontément survendue.Enfin, <strong>les</strong> courtiers en bourse de Safaricom ont dûrembourser une somme équivalente à 236 milliardsde KES ( 3.183 millions d’USD) dont 119 milliardsde KES (1.605 millions d’USD) appartenaient à lapopulation locale. Presque un an plus tard, la plupartdes candidats (dont l’énorme majorité correspond àdes gens ordinaires qui ont obtenu des prêts bancaires)n’a pas encore reçu ses remboursements, et <strong>les</strong>actions de Safaricom sont tombées de plus de 50 %pendant la semaine du 9 mars 2009.La Bourse de Nairobi a été récemment témoind’une croissance soudaine des courtiers malhonnêtesen valeurs immobilières à la bourse. En moins de deuxans, quatre de ces sociétés de courtage ont dû fermerleurs portes après que des activités frauduleuses et desvols effrontés des fonds d’investissements des clientsont été mis à découvert. Parmi ces sociétés, la premièredont la situation a être mise en lumière fut Francis ThuoStock Brokers, que la Bourse a suspendu en 2007. Ilconvient de remarquer que son propriétaire, M. Francis2 Voir : Wade, R. Governing the Market: Economic Theoryand the Role of Government in East Asian Industrialization.Princeton: Princeton University Press, 1992.Thou, a été le président de la Bourse pendant longtemps.A l’époque où cette entreprise était suspendue, plusieursplaintes ont été déposées contre une autre société NyagaStock Brokers auprès de l’organisme régulateur, l’Autoritédu Marché du Capital (AMC). Mais aucune mesuren’a été prise à ce sujet. Enfin, la presse locale a publiéen mars 2008 que le capital opérationnel de Nyaga nonseulement était négatif mais que l’entreprise avait utilisé<strong>les</strong> profits obtenus par la commercialisation illégale desactions des clients pour étayer son capital opérationnel.La Bourse a fait semblant d’être surprise, et a créé tout desuite un plan de rachat pour un montant de 100 millionsde KES (1,4 millions d’USD) afin de protéger <strong>les</strong> clientsaffectés. Après cet événement, personne n’a plus riendit. Jusqu’à présent, ni Nyaga ni Francis Thuo n’ont eu àrépondre d’accusations criminel<strong>les</strong>.Ensuite, Discount Securities et Suntra Investmentsont suivi le même chemin. Le traitement faveuraccordé à ces entreprises criminel<strong>les</strong> donnel’aval non seulement au caractère débridé des mauvaisespratiques de la Bourse mais aussi à l’abus ducélèbre marché libre et efficace, ce qui est encoreplus grave. Une partie de la société civile exige sanscesse qu’un marché gérant des fonds publics d’unetelle envergure doit avoir une entité régulatrice forte,efficace et indépendante. L’AMC n’est pas qualifiéepour cela : cette autorité est obsédée par le maintiendu statu quo, en permettant que <strong>les</strong> courtiers enbourse malhonnêtes gardent le contrôle avec leursjeux perpétuels et leurs manipulations de pouvoir.Au cours des 20 dernières années, pas moins de20 banques commercia<strong>les</strong> privées ont fait faillite avec<strong>les</strong> fortunes des déposants – notamment cel<strong>les</strong> desretraités et des épargnants du secteur informel – estiméesà 70.000 millions de KES (944 millions d’USD).Parmi <strong>les</strong> banques privées et <strong>les</strong> institutions financièresqui se sont effondrées entraînant la perte des fonds desdéposants se trouvent : Rural Urban Finance Company,Jimba Credit Finance (propriété de la Bourse de Nairobi,Jimna Mbaru), Trade Bank, Trust Bank, ContinentalBank (propriété de certaines personnes proches duprésident Kibaki) et Euro Bank. Au Kenya, ces criminelscontinuent à être désignés à de hautes fonctions publiques.Le 16 décembre 2008 – en plein milieu de la crisefinancière mondiale croissante – le Cabinet a décidé deprivatiser d’autres institutions financières, y compris leNational Bank of Kenya et le Consolidated Bank.Le jeu de l’autrucheTandis que <strong>les</strong> doutes concernant l’efficacité immuabledes forces du marché dans <strong>les</strong> principa<strong>les</strong>économies capitalistes ne cessent d’augmenter, <strong>les</strong>économies du Sud – leurs clients – refusent toujoursde voir la réalité et gardent une confiance aveugle enla nature cyclique des crises capitalistes. Lorsque<strong>les</strong> principes économiques qui nourrissent <strong>les</strong> économiesde marché libre ont commencé à s’effondrer,l’élite politique kényane, telle l’autruche légendairedu désert, a enfoui sa tête dans le sable en attendantque la crise se passe. Face à ce silence, <strong>les</strong> organisationsde la société civile préviennent que le navireéconomique du Kenya prend l’eau et que <strong>les</strong> mesuresde sauvetage s’avèrent urgentes.Les occasions de provoquer un désaccord augmentent,et cel<strong>les</strong>-ci doivent être prises en compte avantque le pays ne subisse une résurgence néoconservatrice.Pendant ce temps, l’illusion affirmant que <strong>les</strong> économiesdu Sud seront protégées de l’effondrement car n’étant absolumentpas intégrées à l’économie capitaliste globale,et qu’el<strong>les</strong> peuvent même en bénéficier grâce à l’escaladede la demande interne, est une idée qui doit être rejetée.La descente cyclique (bien que sévère) des fortuneshistoriques du capitalisme est confondue avec la crisefondamentale. L’élite kényane gouvernante ne s’est pasencore aperçue de l’imminence du désastre : l’insécuritéalimentaire massive, le désastre environnemental imminent(de la Forêt Mau, du Mont Kenya, du Lac Victoria,etc.), le chômage/sous-emploi, l’escalade des délits, ladisparité entre <strong>les</strong> riches et <strong>les</strong> pauvres, la diminution dutourisme et du volume des fonds provenant de l’étranger.Au lieu de prendre garde, la récente ConférenceNationale « Le Kenya Que Nous Désirons », ainsi quel’instrument politique actuel pour transformer le Kenyaen une économie de revenus moyens pour l’année 2030(« Vision 2030 »), adhèrent toujours au Consensus deWashington, totalement discrédité. Même si <strong>les</strong> économiesoccidenta<strong>les</strong> injectent de nouveaux fonds de rachatmassif dans leurs institutions financières, et dans certainscas étatisent à nouveau leurs banques, le Parlement kényanlégifère à présent la privatisation des maigres actifssociaux stratégiques qui restent encore, afin de fournir augouvernement une injection unique de revenus 3 .Il est probable que <strong>les</strong> plans préférés par <strong>les</strong> gouvernementsoccidentaux visant à la relance et au sauvetagen’établiront pas de différence remarquable, au-delà del’harmonisation des réponses à la crise du Gouvernementet des entreprises. En tant que mesures provisoires, cesplans ne peuvent que retarder ce qui est inévitable. Si lapropriété des moyens de production n’est pas démocratisée,et si <strong>les</strong> mécanismes internes de l’économie nationalene sont pas renforcés, l’initiative de restructure globale deKlaus Schwab, lancée à Davos au mois de février 2009,ne pourra rien faire pour résoudre le problème de la crise.Face à cette situation, même <strong>les</strong> traités commerciauxaujourd’hui en discussion, ainsi que <strong>les</strong> Accords d’AssociationÉconomique (AAE) doivent être renégociés.Souvent, un moment épique dans l’histoire de lapratique sociale est catalysé par des catastrophes commecelle que nous expérimentons à présent, notammentcel<strong>les</strong> qui entraînent des changements substantiels ence qui concerne <strong>les</strong> attitudes et <strong>les</strong> conduites socia<strong>les</strong>. Onpouvait apercevoir <strong>les</strong> signes de difficultés du capitalismedepuis très longtemps, mais de manière progressive.Maintenant ils sont évidents. Le système capitaliste mondialne mérite aucune remise à niveau. Il exige une reconstructionfaite par de nouveaux acteurs, favorisés parl’histoire. C’est la crise de la démocratie libérale, dont latentative d’offrir justice économique et équité a échoué. n3 Organisations devant être privatisées : Compagnie deGénération d’Électricité du Kenya (KENGEN) ; Kenya PipelineCompany ; Compagnie Sucrière Chemelil ; CompagnieSucrière Sony ; Compagnie Sucrière Nzoia ; CompagnieSucrière Miwani ; Compagnie Sucrière Muhoroni ; Autoritépour le Développement du Tourisme du Kenya et certainshôtels ; Banque Nationale du Kenya ; Consolidated Bank ;Banque pour le Développement du Kenya ; Kenya WineAgencies Ltd ; East African Portland Cement Company ;Commission de la Viande du Kenya ; New Kenya CooperativeCreameries ; Autorité Portuaire du Kenya, par le biais d’unterminal à conteneurs à Eldoret, la sous-traitance desservices d’arrimage et la construction de nouvel<strong>les</strong> amarres.<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong> 109 Kenya
- Page 3:
SOCIAL WATCH RAPPORT 2009
- Page 6:
SOCIAL WATCHCOMITÉ DE COORDINATION
- Page 9 and 10:
y Promoción de Derechos Humanos(CI
- Page 12 and 13:
• République de Moldavie :Nation
- Page 14 and 15:
Le numéro 0 du rapport, publié en
- Page 18 and 19:
LIBAN..............................
- Page 21 and 22:
D’abord les gensRoberto BissioSec
- Page 23 and 24:
Le ralentissement peut être dramat
- Page 25:
Le rapport de Social Watch local es
- Page 29 and 30:
Une réponse à la crise financièr
- Page 31 and 32:
contenues dans les accords commerci
- Page 33 and 34:
L’égalité de genre et la crise
- Page 35 and 36:
La crise en Europe de l’Est : les
- Page 37 and 38:
La crise mondiale et le prix des al
- Page 39 and 40:
de fruits et légumes pour les expo
- Page 41 and 42:
Justice pour refroidir la planèteL
- Page 43 and 44:
pres, mieux ce sera pour la planèt
- Page 45 and 46:
Défis énergétiques pour l’Euro
- Page 47 and 48:
Les obligations des entreprises tra
- Page 49:
dissuasif dans les corporations pot
- Page 52 and 53:
«Au Kenya nous avons commencé à
- Page 56 and 57:
les possibilités de création d’
- Page 58 and 59:
qui emploie d’ores et déjà un s
- Page 60 and 61:
un « processus de sélection ouver
- Page 62 and 63:
tions du FMI, les mêmes vieilles r
- Page 64 and 65:
Rapports thématiques 48 Social Wat
- Page 66 and 67:
AlgérieHors du système mais, à l
- Page 68 and 69:
100Allemagne100100945344Avant la te
- Page 70 and 71:
ArgentineNouveau contexte, ancienne
- Page 72 and 73:
ahrein BAHREÏNL’impact de la mon
- Page 74 and 75: angladeshDavantage de pauvreté, de
- Page 76 and 77: Belgique49Les coûts élevés du sa
- Page 78 and 79: BéninLa société civile à l’av
- Page 80 and 81: 100birmaniePlusieurs crises sans r
- Page 82 and 83: olivieLe moment de la véritéLe pa
- Page 84 and 85: BrésilEn train de nager en plein t
- Page 86 and 87: BulgarieInquiétude généraleLa Bu
- Page 88 and 89: CambodgeRediriger la croissance éc
- Page 90 and 91: CanadaRelance économique 2009 : un
- Page 92 and 93: Chili10056Les répercussions social
- Page 94 and 95: 8Chypre10056Voici venu le temps d
- Page 96 and 97: 100Costa RicaUne crise, deux37visio
- Page 98 and 99: Égypte100Une économie vulnérable
- Page 100 and 101: 100el salvadorLa crise et les chang
- Page 102 and 103: 100Érythrée10076Une prison en38pl
- Page 104 and 105: Espagne100On ne s’attaque pas à
- Page 106 and 107: 100États-Unis d’Amérique5345Opp
- Page 108: France1001008752Chômage, marginali
- Page 111 and 112: lieu d’augmenter entre 6 % et 8 %
- Page 113 and 114: De nouvelles menaces pour la popula
- Page 115 and 116: une baisse du pouvoir d’achat de
- Page 117 and 118: plus que prévu dans un premier tem
- Page 119 and 120: la période 2007-2008 (d’avril à
- Page 121 and 122: mariage, le divorce, la succession,
- Page 123: es adoptées sont absolument défic
- Page 127 and 128: la nécessité d’un engagement na
- Page 129 and 130: aux fonds de garantie et d’autres
- Page 131 and 132: des bases financières solides - l
- Page 133 and 134: autour de 15 % du salaire minimal i
- Page 135 and 136: aggravés par la crise : 1) la spé
- Page 137 and 138: tégrité Publique, mettent l’acc
- Page 139 and 140: soudaines des lacs glaciaires (phé
- Page 141: foyers. Il est possible également
- Page 144 and 145: Ouganda100 9810045Objectifs du Mill
- Page 146 and 147: 100PALESTINe43Pauvres et incarcér
- Page 148 and 149: 100paraguayDéveloppement d’un pl
- Page 150 and 151: Pérou100Proposition des travailleu
- Page 152 and 153: 100PhilippinesDe mal en pis 3010099
- Page 154 and 155: Pologne10095Un scénario de dévelo
- Page 156 and 157: 100portugal39Une crise ancienne et
- Page 158 and 159: République centrafricaineRéduire
- Page 160 and 161: 100République de Moldavie54La cris
- Page 162 and 163: 100République tchèqueLa démocrat
- Page 164 and 165: 100République-Unie de Tanzanie1009
- Page 166 and 167: 100Roumanie52Perspective funeste0La
- Page 168 and 169: Sénégal10044L’agriculture est l
- Page 170 and 171: SerbieCrise mondiale, malaise natio
- Page 172 and 173: 100SlovaquieLes plans sont 34 révi
- Page 174 and 175:
90100SlovénieLes défis pour une s
- Page 176 and 177:
Somalie100Sans défense contre la c
- Page 178 and 179:
100Thaïlande1007747Une réponse à
- Page 180 and 181:
100VENEZUELA100 9753Une démocratie
- Page 182 and 183:
100Viet Nam42Le progrès national m
- Page 184 and 185:
Yémen100Le pétrole ne suffit pas0
- Page 186 and 187:
Zambie100100 9942Le Gouvernement re
- Page 189:
Le progrès vers lesobjectifs trac
- Page 192 and 193:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 194 and 195:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 196 and 197:
ÉDUCATIONLes écarts se creusentTa
- Page 198 and 199:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 200 and 201:
ÉDUCATIONLes écarts se creusentam
- Page 202 and 203:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 204 and 205:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 206 and 207:
AIDE AU DÉVELOPPEMENTToujours plus
- Page 208 and 209:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 210 and 211:
SANTÉAmélioration inégaleTableau
- Page 212 and 213:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 214 and 215:
SANTÉAmélioration inégaleGRAPHIQ
- Page 216 and 217:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 218 and 219:
Résumé :SITUATIONACTUELLE(couleur
- Page 220 and 221:
RATIFICATIONS DES CONVENTIONS FONDA
- Page 222 and 223:
Membrede l’onudepuisA B C D E F G
- Page 224 and 225:
Notes méthodologiques : tableaux t
- Page 228:
Cette publication est financée par