100GUATEMALAUn pays riche, un peuple pauvre023La récurrente crise alimentaire que subit le pays, dont 121 des 133 communes qui le composent9210099100 100 sombrent dans 100 la famine, 100 rend indispensable une intervention 100 structurelle 100 dans <strong>les</strong> campagnes. 10084 7874En96finir avec le déplacement des communautés paysannes, en leur permettant d’être propriétaires de leurs6 IEG of Cambodia terres, = rendra 61,6 possible une répartition BCI of des Canadá possessions = 99,3 plus équitable et un retour IEG of à Canada une autosuffisance= 74,5alimentaire. Pour cela, il est urgent de renverser l’actuel modèle féodal de la production agricole etl’application de la Réforme Agraire Intégrale promise est impérative.100095100054Coordinación de ONG y Cooperativas de GuatemalaCONGCOOPZully Mora<strong>les</strong>100Helmer VelásquezAu Guatémala, moins de 2 % des producteurs possèdepresque 57 % des terres cultivab<strong>les</strong>. Les 18.937 Km 2Indice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 68 IEG = 51Enfants atteignant68 la cinquième annéed’écoleIndice d’Equité de Genre (IEG)Empowermentcompatib<strong>les</strong> avec la culture du maïs, 11 7.235 Km 2 – dans0des propriétés privées de grande extension – se trouvent00sous-utilisés, couverts d’arbustes, de broussail<strong>les</strong>,88419637d’herbages plantés ou non plantés ou de mauvaises100 1008379 100100 100100 100herbes. Cet état de fait, avec <strong>les</strong> politiques d’ajustement Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à94structurel et l’ouverture commerciale des années 80, a personnel médical spécialisél’âge de 5 ans Activité économiqueÉducationfait passer le Guatémala IEG de of la Ghana situation = 57,6 d’un pays autosuffisantBCI of Guatemala = 68,3IEG of Guatemala = 51,3dans le domaine alimentaire à celle d’un pays importante pour la population indigène que pour <strong>les</strong> des grains et que <strong>les</strong> frontières se sont ouvertesimportateur de 70 % de ses aliments.non indigènes, une tendance qui s’affermit, selon aux grains produits dans le nord du continent àInégalité structurelle dans l’agriculture :l’Enquête Nationale sur <strong>les</strong> Conditions de Vie (EN- prix subventionnés, l’appareil productif national aCOVI) 2006 1 . Quant à l’ extrême pauvreté (vivre avec succombé. L’une des conséquences <strong>les</strong> plus gravesLa crise alimentaire mondiale s’est révélée plus intensemoins d’1 USD par jour), la situation est beaucoup est que 49 % des enfants souffrent de malnutritionau Guatémala au cours 100 du dernier semestre plus grave puisqu’elle 100 est trois 99 fois plus forte pour chronique et que 24 % 100 de la population en général2007, engendrant une profonde réflexion sur <strong>les</strong> rares<strong>les</strong> indigènes que pour <strong>les</strong> non indigènes. Pendant est sous-alimentée, ce qui provoque un retard dansprogrès dans la lutte contre la faim et la pauvreté. le premier semestre 2008 <strong>les</strong> prix des produits qui pratiquement tous <strong>les</strong> indicateurs liés au développe-Les actions conçues par l’État dans le but d’accomplircomposent le Panier de Base Alimentaire ont subi ment physiologique de l’individu.l’ODM1 (éradiquer l’extrême 30pauvreté et la faim) une forte croissance qui a obligé <strong>les</strong> personnes auxconsolidaient depuis quelque temps une tendance revenus <strong>les</strong> plus faib<strong>les</strong> à restreindre leurs niveaux L’importance du maïs290légèrement positive. Cependant il s’avère que la crise0de consommation. Cette situation a atteint et affecté0Sur le Haut Plateau guatémaltèque (une région oùalimentaire actuelle menace sérieusement la réalisationla classe moyenne.90 % de la population est indigène comprenantde cet objectif. 4710099 <strong>les</strong> zones <strong>les</strong> plus 50pauvres du pays), 100 % de la99100 100 100Le Programme Mondial d’Aliments pour le GuatémalaDésarticulation100de l’appareil productif100100 10099population consomme du maïs dans son 97 régimeestime que la pauvreté et l’extrême pauvreté Jusqu’aux années 70 l’appareil public agricole, qui alimentaire quotidien 2 , avec une moyenne de 310concernent plus de la moitié de la population. A peu offrait au paysan et au petit producteur <strong>les</strong> services grammes par personne, 110 kilos annuels pour uneIEG of Malaysia = 58,3 BCI of Malta = 99,5IEG of Malta = 58,2près 6 sur 13 millions d’habitants sont tombés sous d’extension, de crédit, de dotation de terre, de rechercheconsommation nationale de presque 3 millions dele seuil de pauvreté (56,4 % d’entre eux au stadeet de transfert technologique, encourageait tonnes, ce qui entraîne un déficit d’à peu près 1,5de la pauvreté, 19,7 % à celui d’extrême pauvreté). des programmes et des projets de développement de million de tonnes de maïs auquel nous suppléons enL’indice est monté entre 2008 et 2009 de 5,4 et 4,5 la culture des graines basiques, la protection des forêtsachetant sur le marché international, notamment auxpoints respectivement et le Programme des Nationset l’élevage. Cet appareil, associé à la non impor-États-Unis, pour une somme de plus de 73 millionsUnies pour le Développement a estimé cette hausse tation d’aliments, maintenait le pays comme agent d’USD en 2002.100100100à 700.000 nouveaux pauvres entre 2007 et 2008. producteur de ses propres aliments. L’ajustement Entre janvier 2006 et janvier 2009 la dépendanceinternationale des grains a généré une hausse1.300.000 foyers pauvres se trouvent dans <strong>les</strong> campagnes,51 % d’entre eux manquent de terre ou pos-d’extension en ce début de 21 ème siècle, en déman-des prix de 62 % pour le maïs jaune, 70 % pour <strong>les</strong>tructurel a entraîné la clôture 77 finale des services6547sède moins d’un hectare de terre.telant l’appareil public agricole, avec un nombre de riz et 39 % pour la farine de blé. Cependant, malgréLe salaire minimal pour le travailleur de la campagnetravailleurs qui est passé de 18.000 à 1.200. une baisse des prix au niveau international en 2007ou de la ville équivaut 0à 6,50 USD par jour. Ce-Une action parallèle 0a été de confier la gestion et 2008, <strong>les</strong> prix restent 0aujourd’hui <strong>les</strong> mêmes aupendant ce salaire n’est pas respecté à la campagne, des silos nationaux (stockage de graines basiques) Guatémala et s’ajustent au prix international à sa98 d’après une estimation de la Coordination Nationale en concession à « l’initiative privée », 97laissantvaleur la plus haute, à l’exception du prix du riz qui636064100 100 100100 100100 100des Organisations Paysannes, et le paysan reçoit ainsi le pays sans réserves alimentaires en cas de est revenu aux valeurs de l’année 2006.9999en réalité entre 3 USD et 5 USD par jour pour une catastrophes ou de périodes de pénurie. En outre,journée de travail de 8 à 10h, selon le lieu et le type comme l’État a cessé d’intervenir dans le commercede culture. La pauvreté affecteIEG ofsurtoutPeru =la69,7populationBCI of Filipinas = 78,12 Selon le Popol IEG Wuj – of livre Philippines sacré des Mayas = 75,6 – “D’épis jauneset d’épis blancs son corps a été fait, <strong>les</strong> bras et <strong>les</strong> jambesindigène et paysanne. La pauvreté générale (vivre1 L’ENCOVI 2006 définit l’extrême pauvreté de ceux quide l’homme sont faits de pâte de maïs, rien que de la pâte deavec moins de 2 USD par jour) est deux fois plus n’accèdent pas aux aliments à leur valeur minimale.maïs a été utilisée pour faire la chair de nos parents”.10024Rapports nationaux 96 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 10010091
De nouvel<strong>les</strong> menaces pour la populationruraleL’industrie minière est en hausse depuis la Réformede la Loi des Industries Minières de 1996, réaliséesur la requête de la Banque Nationale. Ainsi, 17 départementsdu pays sont l’objet d’exploration et/oud’exploitation minière. L’industrie touristique menacela propriété paysanne et indigène dans le Nordet le Sud du pays. L’urbanisation et la construction depô<strong>les</strong> commerciaux déplacent le territoire rural, enexpulsant ses habitants et en affaiblissant la capacitéde production, particulièrement celle des ressourcesalimentaires. L’industrie de l’élevage extensif abîmela terre productive et dévaste <strong>les</strong> forêts d’énormesextensions, en expulsant des paysans et indigènes,que ce soit au moyen d’arguments « légaux » ou parla pression des armes. Les expulsions ont mêmelieu dans <strong>les</strong> zones déclarées protégées (pour la protectionet le maintien de la diversité biologique etdes ressources naturel<strong>les</strong>), de connivence avec labureaucratie du secteur.Sont maintenant encouragés l’instauration etl’élargissement de méga-monocultures agrico<strong>les</strong>orientées vers l’exportation, tel<strong>les</strong> que la canne àsucre, le palmier africain et le pignon, qui expulsentde manière implicite la population paysanne descampagnes. Les plantations de canne à sucre occupaient6 % de la superficie totale en 1995 et 11 %en 2007. La zone réservée à la culture de la cannea augmenté en moyenne de 3,6 % entre 1990 et2005, alors que pendant la seule période entre 2005et 2007 la croissance a été de 17,7 %. Le Syndicatdes Hui<strong>les</strong> a estimé pour 2012 à 150.000 le nombred’hectares semés de canne, soit un investissementde 32,5 millions d’USD pour l’achat de terres qui expulsentde manière implicite la population paysannedes campagnes, un nombre qui peut désormais êtrefacilement dépassé.Ces nouvel<strong>les</strong> extensions destinées à l’exportationdétruisent de vastes zones de culture alimentaireet expulsent au quotidien des centaines de famil<strong>les</strong>de paysans puisque, par ailleurs, el<strong>les</strong> ne demandentpas d’emploi massif. Rompre <strong>les</strong> schémas culturelsde la population expulsée génère non seulement lapauvreté économique, sociale, culturelle et spirituelle,mais aussi du désespoir et de la violence.Le trafic de drogues est une nouvelle menace,parfois associée à l’élevage extensif qui repose surla protection des forces de l’État pour expulser despaysans et opérer sur leurs terres. Les famil<strong>les</strong> depaysans sont sans défense face aux pressions pouracheter la terre provenant du trafic de drogue et dulatifundio mono-cultivateur.Réponses de l’ÉtatParmi <strong>les</strong> politiques et <strong>les</strong> actions que propose leGouvernement dans le cadre de son Programmed’Urgence et de Récupération Économique on distingueune politique fiscale contre-cyclique, unepolitique de protection sociale et d’autres politiquessectoriel<strong>les</strong> prioritaires (développement rural, programmesd’agriculture compétitive amplifiée, développementagricole et assistance alimentaire, durabilitédes Ressources Naturel<strong>les</strong> et renforcement dela location des terres).La priorité reste de maintenir la stabilité macroéconomiqueà n’importe quel prix. Ceci comporte desréserves internationa<strong>les</strong> élevées, de faib<strong>les</strong> salaires,attirer des industries par la suppression d’impôts,entre autres mesures. Le paradigme fondamentalpour l’État et <strong>les</strong> secteurs oligarchiques est d’élargirla zone des traités de libre échange. Deux d’entreeux sont considérés comme <strong>les</strong> plus importants :le Traité de Libre Echange avec l’Amérique du Nord,en vigueur depuis déjà trois ans et l’Accord d’Associationavec l’Union Européenne (en négociation).Aucun de ces deux schémas ne propose de lignes debénéfices pour le petit producteur.D’autre part le Gouvernement a instauré desprogrammes de transferts monétaires et de boursessolidaires qui génèrent un changement qualitatifdans la formation du capital humain – ce qui aurait unimpact plus important si, en outre, des politiques dedéveloppement rural et fiscal étaient mises en placeet si l’institutionnalisme de l’État se consolidait. Cesmesures, ainsi que le développement de modè<strong>les</strong>internationaux adaptés à la réalité nationale sont envogue dans divers pays de la région.L’un des mécanismes gouvernementaux pouratténuer <strong>les</strong> effets de la crise a été l’élargissementde contingents d’importation bénéficiant d’un tarifdouanier zéro pour des produits comme le maïsjaune, la farine de blé et le riz courant. Cependantl’un des groupes importateurs, le Groupe Buena,a obtenu à lui seul 82 % des quotas d’importation,du fait de la structure oligopolistique de l’importationd’aliments dans le pays. Cette situation, qui n’apas entraîné de baisse des prix, s’est réduite dans lapratique à un subside pour cette entreprise qui nepartage pas avec le consommateur <strong>les</strong> bénéfices destarifs douaniers non payés.D’autre part, le déficit fiscal est couvert prioritairementpar la dette extérieure et intérieure. Les possibilitésde réforme fiscale n’existent pas. 20 % desimpôts sont directs et 80 % indirects. La promessedu Gouvernement de commencer un processus deréforme fiscale qui renverserait ce modèle n’est pastenue. Dans le cadre de cette crise, la réforme projetées’est réduite aux réformes qui favorisent le cyclemacroéconomique et <strong>les</strong> programmes d’assistancepour la population en situation d’extrême pauvreté.Quant à la production agricole, il y a des programmesd’assistance pour la location de terres. Cen’est pas le cas pour l’accès à la propriété et pour lecrédit accordé aux paysans. Le nouveau Gouvernementa eu davantage recours aux expulsions forcéesde paysans (50 expulsions au 31 mars 2009)ce qui a généré instabilité et mécontentement ausein des organisations indigènes et paysannes quiespéraient l’approbation et la mise en place de laPolitique Agraire de Développement Rural promise.Le leadership communautaire est actuellementcoopté par le Gouvernement et <strong>les</strong> transnationa<strong>les</strong>d’extraction, qui génèrent leur propre mouvementsocial parallèle de style clientéliste, en finançant desreprésentants des bases socia<strong>les</strong> très discutés. Cecia entraîné une substitution du leadership traditionnelpar le leadership financé et des affrontements entre<strong>les</strong> organisations paysannes de base. A cela s’ajoutela criminalisation et la persécution des dirigeantspaysans qui luttent pour accéder à la terre afin deproduire leurs propres aliments.Alternatives socia<strong>les</strong>En accord avec la Constitution Politique de la Républiquedu Guatémala, « la propriété privée est undroit inhérent à la personne humaine », c’est à direque tous <strong>les</strong> guatémaltèques ont le droit d’accéderà la propriété. A cet effet, « la propriété pourra êtreexpropriée dans des cas concrets pour des raisonsd’utilité collective, de bénéfice social ou d’intérêtpublic dûment démontrées ». La malnutrition, lapauvreté et l’extrême pauvreté, le chômage et àprésent l’approfondissement de la crise alimentairerécurrente trouvent leur origine dans l’impossibilitépour la population de se procurer des moyens desubsistance, par manque d’actifs, en particulier deterre. Voici un cas évident d’utilité et de nécessité publiquedémontré ; en d’autres termes, il s’agit d’uneproposition qui s’inscrit dans l’ordonnance juridiquenationale.L’agriculture est une issue de secours pourle développement et il faut abandonner le modèleféodal de production. La distribution équitable dela terre est une stratégie adéquate pour le développementde l’emploi rural et pour accroître la productivitédans <strong>les</strong> campagnes, ce qui entraînerait lacroissance de l’économie, de la capacité de prévisionet de provision alimentaires. La réforme agraire nepeut plus attendre. Il s’agit d’un instrument de paixsociale et de possibilité de gouvernement qui mettrafin aux conflits provoqués par l’usurpation de la terreindigène et paysanne et qui évitera la déprédation desforêts, faisant émerger en même temps de vastessecteurs ayant une capacité de production et d’investissement.À partir de cette réforme, <strong>les</strong> générationsfutures pourront disposer de meilleures et plusnombreuses opportunités d’auto-développement etaugmentera leur pouvoir d’achat, ce qui dynamiserala chaîne de production 3 . n3 Avec des données et des analyses de la Coordinationd’ONG et Coopératives, par l’intermédiaire de ses deuxinstituts d’analyse : l’Institut d’Etudes pour la Démocratie enformation et l’Institut d’Etudes Agraires et de DéveloppementRural. Guatemala, 2009<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>97Guatémala
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