100Érythrée10076Une prison en38plein air face à la crise mondiale100440Sans constitution ni Parlement qui fonctionnent, sans système judiciaire indépendant ni presse libre et sans transparence9498100 100 66 administrative, 100l’Erythrée, le 100pays le plus militarisé du monde, 100 manque de mécanismes 100 65nécessaires pour aborder 100 la crise9597mondiale. La récession de l’économie mondiale a fait chuter <strong>les</strong> envois de fonds vers le pays, tandis que <strong>les</strong> prix des aliments et9,4 IEG of du Bolivia carburant = 66,1ont subi une montée fulgurante. BCI of L’Erythrée Brasil = 90,2 a besoin d’une transition immédiate IEG à un of système Brasil démocratique = 68,2 degouvernance avec le soutien de la Communauté internationale. L’aide humanitaire supervisée par <strong>les</strong> ONG internationa<strong>les</strong>indépendantes semble être le plan d’urgence le plus efficace pour sauver <strong>les</strong> vies de la population sans défense.097 991000Eritrean Movement for Democracy and Human Rights(EMDHR)Daniel R Mekonnen 100Bien avant que la crise financière 52 mondiale ne s’aggrave,vers fin 2008, l’Erythrée était déjà plongéeIndice des Capacités de Base (ICB)100ICB = 60 IEG = 47Enfants atteignantla cinquième année60 d’écoledans un profond chaos économique, social et politique.Le pays possède un des historiques mondiaux00<strong>les</strong> plus lourds en ce qui concerne la protection des2898droits humains, comme 5193l’affirment divers organismesde surveillance des droits humains régionaux 99 et Accouchements assurés par du Survivance jusqu’à100 100 100100 100internationaux, y compris la Commission Africaine personnel médical spécialisél’âge de 5 ansdes Droits de l’Homme et des Peup<strong>les</strong> et le Groupe1 Voir Mekonnen, D.R. (2009). Transitional Justice: Framing aModel for Eritrea. VDM Publishing: Saarbrucken, Allemagne.Indice d’Equité de Genre (IEG)Activité économiqueEmpowerment5462100 100,1 IEG of El Salvador = 67,5 BCI of Eritrea = 60,2de Travail de l’ONU sur la Détention Arbitraire. La Erythréens. Comme <strong>les</strong> anciennes autorités d’occupationIEG of Eritrea = 47,1Les indicateurs sociaux et de développementcrise des droits humains s’est aggravée après le chocfrontalier avec l’Ethiopie, entre 1998 et 2000. Depuislors, le Gouvernement a utilisé <strong>les</strong> suites du conflitcomme prétexte pour supprimer <strong>les</strong> droits et <strong>les</strong>du Derg (le comité coordinateur des forcesarmées, policières et de l’armée de terre) durant <strong>les</strong>années 1970 et 1980, le Gouvernement paraît avoir,lui aussi, déclaré la guerre à son propre peuple. UnLes indicateurs de développement sont contradictoires.Certaines sources soulignent dans leursrapports, des « progrès » dans certains secteurscomme la mortalité infantile et la morbidité maternelle.libertés fondamenta<strong>les</strong>. 100propos très répandu entre 100 <strong>les</strong> Erythréens signale queToutefois, étant donné 100 l’atmosphère politiqueIEG of = 47,3Une prison en plein airla seule différence entre le régime 83 du Derg et celui extrêmement répressive et l’impossibilité d’obtenirde l’actuel Front Populaire pour la Démocratie et la des données fiab<strong>les</strong>, il est difficile de prendre cesL’Erythrée est indépendante depuis 1991, mais ellen’a pas encore offert à ses citoyens de véritable liberté.Justice (FPDJ), c’est que <strong>les</strong> fonctionnaires du Dergs’exprimaient généralement en amharique (la lan-rapports au pied de la lettre. En réalité, <strong>les</strong> politiqueséconomiques erronées de l’autoritaire FPDJ ont totéristiquesDe fait, on peut à peine entrevoir des caracgueofficielle éthiopienne) tandis que ceux du FPDJ talement vidé l’économie nationale 11 et locale biende gouvernementNO 0 VA00libre et démocratique parlent le tigré, un dialecte national qui a un statut avant que ne survienne la crise financière globale,100conventionnel<strong>les</strong> 1 . De part le monde, presque tous<strong>les</strong> pays ont réussi à ériger un pacte, un document100 100national obligatoire ou une constitution. La plupartd’entre eux ont également des Parlements en activitéofficiel de facto.Les personnes qui n’adhèrent pas à88l’idéologie100 100de l’État ou qui ont des croyances religieuses nonacceptab<strong>les</strong> officiellement par le Gouvernement,fin 2008.L’Erythrée est qualifié de manière désastreuse100dans plusieurs 81100rapports provenant de sources 85 indépendantes.Par exemple, l’Indice de la Faim place le100et font appel à des élections régulières et périodiques, souffrent de persécutions systématiques et sont pays à l’antépénultième position, c.-à-d. au 116BCI of Kenya = 71IEG of Kenya = 59èmeindépendamment de leur liberté ou leur impartialité punies sévèrement par le système sécuritaire et militaire.rang sur 118 pays classés par le rapport 2 . Le pays reçoitréel<strong>les</strong>. D’un autre côté, ils autorisent l’existence demoyens de communication privés, même si, parfois,<strong>les</strong> contrô<strong>les</strong> sont tellement restrictifs que la libertéde presse est annulée. En Erythrée, le GouvernementCeci ayant pour résultat, <strong>les</strong> violations desdroits humain, devenues endémiques ; la violationest la norme et la protection l’exception. Quelquesestimations conservatrices suggèrent que plus deune très mauvaise qualification dans l’Indice deCapacités de base (ICB), dans lequel il laisse entrevoirde sérieuses difficultés dans chaque dimensiondu développement social. Selon Journalistes Sansa adopté une Constitution en 1997 mais ne l’a 20.000 personnes sont enfermées sans avoir eu de Frontières 3 , l’Erythrée est le pire pays au monde en100100100jamais mise en pratique. Le Parlement a cessé de procès et sans avoir de contact avec l’extérieur. El<strong>les</strong> ce qui concerne la liberté de la presse, volant la place83fonctionner en février 2002. Les moyens de communicationsont réparties dans plus de 300 prisons formel<strong>les</strong> et de la Corée du Nord dans le classement. En dépitprivés (radio, télévision, presse écrite etélectronique) ont disparu entre 1997 et 2001; seulsinformel<strong>les</strong> réparties un peu partout dans le pays.La plupart de ces centres de rétentions sont dirigésde sa faible population de 4 millions d’habitants,l’historique alarmant du pays en ce qui concerne <strong>les</strong>subsistent <strong>les</strong> moyens officiels, 23 qui sont toujours par des Généraux de l’armée, qui n’ont de comptes violations des droits humains, le place en 4 ème source9plus fidè<strong>les</strong> à l’élite dirigeante 0 qu’à la vérité. Et pire à rendre ni à la police ni aux 0 tribunaux ordinaires. En émettrice de réfugiés dans 0 le monde. Les dernièresencore, depuis son indépendance, le pays n’a jamais résumé, le pays a été transformé en une prison en35jouit d’élections libres 57 et impartia<strong>les</strong>.plein air où <strong>les</strong> droits et <strong>les</strong> libertés fondamenta<strong>les</strong> 2 Welt Hunger Ilfe (2007). 47 The Challenge of Hunger 2007.100 100 74 100100Aujourd’hui, quand on voit <strong>les</strong> longues queues sont totalement bâillonnés par des pratiques 81 100dominantesDisponible 100 sur : . Consultédans <strong>les</strong> rues d’Asmara pour aller chercher son pain,le 4 janvier 2008.on réalise que la vie est devenue très difficile pour <strong>les</strong> desques et kafkaïennes.IEG of Nepal = 51,2 ICB de Nigeria = 66,33 Reporters Without IEG Borders of Niger (2007). Annual = 44,4Worldwide1000Éducation42 9894 100Press Freedom Index. Disponible sur : . Consultado el 16 de octubre de2007.25100100Rapports nationaux 86 <strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>100 10010074
19.400 demandes réalisées en 2005-2006 le situeà peine au-dessus d’états détruits et chaotiquescomme la Somalie, l’Iraq et le Zimbabwe 4 .Le pays le plus militariséLa militarisation excessive est un autre de ses gravesproblèmes. Les élèves de l’enseignement secondairesont obligés de s’inscrire à des camps militairespour recevoir une « éducation formelle ». Le Campd’Entraînement Militaire Sawa, tristement célèbre,est un des endroits où <strong>les</strong> étudiants sont disciplinésconformément au strict règlement militaire. L’abusifProgramme de Service Militaire National (PSMN),qui commence à dix-huit ans et qui ne se terminejamais, fait partie de l’étape préparatoire de l’endoctrinement.Les nombreux et détestab<strong>les</strong> abus desdroits humains perpétrés sous le PSMN incluent desviols et autres genres de violence sexuelle contre<strong>les</strong> recrues. Durant <strong>les</strong> dernières années, la totalitédes institutions académiques ont été placées sousle contrôle effectif de commandants militaires. En2003, le pays se considérait comme l’état le plusmilitarisé au monde ; en outre, il avait le troisièmepourcentage le plus élevé de Produit National Brutdestiné aux dépenses militaires 5 , après la Corée duNord et l’Angola. Vers la moitié de l’année 2000, <strong>les</strong>forces armées comptaient dans leurs rangs 300.000personnes, plus que dans toute autre période deleur histoire. Depuis lors on croit que la quantitéd’effectifs a augmenté de manière exponentielle.Les recrues constituent 45,27 % du total de l’arméenationale, et sa vulnérabilité est proportionnelle àsa quantité.La crise qui domine le pays a été exacerbée parla récession de l’économie mondiale, qui a provoquél’arrêt des envois de fonds provenant de l’étranger.Les coûts des aliments et du carburant sont montésen flèche. On dit que <strong>les</strong> prix du carburant dans <strong>les</strong>stations service strictement contrôlées par le Gouvernementsont <strong>les</strong> plus élevés au monde. De fait,il est pratiquement impossible de trouver du carburant.Les aliments peuvent être achetés seulement demanière légale dans <strong>les</strong> magasins du Gouvernementet <strong>les</strong> agriculteurs doivent vendre leur grain à cesmagasins à un prix préétabli. La vente de grains sur<strong>les</strong> marchés locaux est punie, comme le présidentlui-même l’a déclaré dans une conférence de presseen janvier 2009.La réponse du GouvernementLe Gouvernement rejette catégoriquement <strong>les</strong> rap-4 Haut-Commissariat des Nations Unies pour <strong>les</strong> Réfugiés(2007). Global Trends: Refugees, Asylum Seekers,Returnees, Internally Displaced and State<strong>les</strong>s Persons.Genève. Disponible sur : .5 Awate Team (2003). Defending Indefensible, IndulgingIncompetence. Disponible sur : .ports sur <strong>les</strong> problèmes économiques ou sur la répressionpolitique, et il <strong>les</strong> qualifie de « propagandeennemie ». De fait, le président a expliqué que <strong>les</strong>rapports qui font part des pénuries économiques dupays sont l’expression des frustrations « de personnessuralimentées et capricieuses » qui ne saventpas administrer leurs ressources. En réalité, <strong>les</strong> gensmeurent littéralement de faim – à cause de la famineprovoquée par le FPDJ.L’Erythrée ne possède pas d’outils législatifs,administratifs ou institutionnels qui permettent derépondre adéquatement à la crise mondiale actuellecar le pays n’a pas de Constitution ni de Parlementqui fonctionnent adéquatement, pas de système judiciaireindépendant ni de presse libre, pas de transparenceadministrative et encore moins un budgetnational publié officiellement. En outre, <strong>les</strong> mécanismestraditionnels pour faire face à des problèmescomme celui de l’émigration sont, pratiquement,inexistants. Sous une suffocante loi martiale, <strong>les</strong>points d’entrée et de sortie sont fermés de manièrehermétique. Après avoir consommé <strong>les</strong> faib<strong>les</strong> ressourcesdont peut disposer la population affamée– spécialement <strong>les</strong> femmes, <strong>les</strong> personnes âgéeset <strong>les</strong> enfants – cette population ne peut se déplacernulle part ailleurs et doit se résigner à mourir dans<strong>les</strong> villages. Le Gouvernement n’a pas encore adoptéde programme pour protéger la population la plusvulnérable.Les ONG manipulées par le GouvernementUn agenda de développement solide qui se base sur<strong>les</strong> Droits, doit donner une préférence stratégique àl’autonomisation et à la responsabilisation des communautésloca<strong>les</strong>. Cette perspective doit accorderaux personnes le pouvoir et la capacité de devenir <strong>les</strong>principaux acteurs de leurs vies. Une manière éventuelled’y parvenir serait la participation d’organisationsde la société civile et d’ONG loca<strong>les</strong> indépendantesreprésentant <strong>les</strong> intérêts de leurs communautés.Mais malheureusement, l’atmosphère répressiverend le travail de la société civile indépendante impossible.Le pays a seulement trois organisationsloca<strong>les</strong> compromises avec l’agenda de développementnational pour le prétendu bénéfice de la populationen général : le Syndicat National de FemmesErythréennes, le Syndicat National de la Jeunesse etdes Etudiants Erythréens et la Confédération Nationaledes Travailleurs Erythréens. Il y existe d’autres« organisations de la société civile » plus redoutab<strong>les</strong>,mais dont on ne connait que le nom.Cependant, comme tout le monde le sait, cestrois organisations actives ne sont ni authentiquesni suffisamment indépendantes pour représenter<strong>les</strong> intérêts de leurs membres. El<strong>les</strong> fonctionnentcomme des ligues (branches) féminine, juvénile etde travailleurs du parti au gouvernement, qui choisitses chefs et qui exige leur loyauté. Autrement dit,ce sont des exemp<strong>les</strong> typiques d’ONG manipuléespar le Gouvernement, conçues pour dissimuler ladépendance du pays de l’aide externe et pour feindreune participation de la société civile qui n’existepas. Les seu<strong>les</strong> organisations de la société civileindépendantes, comme le Mouvement Erythréenpour la Démocratie et <strong>les</strong> Droits Humains, travaillentdepuis l’exil et sont accusées par le Gouvernementde « marionnettes de l’ennemi » ; s’ils sont attrapésdans le pays, leurs membres sont emprisonnés ettorturés.La coopération internationaleLa coopération internationale est cruciale pour résoudre<strong>les</strong> multip<strong>les</strong> crises mondia<strong>les</strong> qui frappentde manière disproportionnée <strong>les</strong> populations despays en développement. Pendant de nombreusesannées, le déficit alimentaire de l’Erythrée a étécouvert par l’aide alimentaire donnée par la Communautéinternationale (même si le Gouvernementne le reconnaît pas). Les organisations d’aide et <strong>les</strong>ONG internationa<strong>les</strong> ont joué un rôle fondamentaldans cet aspect. Toutefois, beaucoup d’entre el<strong>les</strong>ont été expulsées à la suite de la politique duGouvernement d’« autosuffisance », politique illusoire.Bien qu’il ne rejette pas l’aide alimentaire,le Gouvernement complique <strong>les</strong> démarches pourqu’elle puisse entrer dans le pays. Il préfère l’aideinternationale en espèces.L’Union Européenne demeure toujours l’un desprincipaux fournisseurs internationaux d’alimentset d’aide au développement de l’Erythrée. Elle a récemmentapprouvé un lot d’aide au développementpour 122 millions d’EUR (approximativement 161millions d’USD) du 10 ème Fonds de DéveloppementEuropéen, mais elle a des préoccupations légitimesquant au dédain montré par le gouvernementérythréen envers <strong>les</strong> exigences léga<strong>les</strong> qu’entraînetout plan d’aide au développement responsable. Cesexigences consistent à s’engager pour <strong>les</strong> principesde bonne gouvernance, de reddition de comptes etde respect des droits humains ainsi que de l’état dedroit, des principes qui n’existent pas en Erythrée. Lepays n’a ni la volonté politique, ni <strong>les</strong> moyens d’assurerune véritable politique de développement et il n’ya pas de processus transparent de prise de décisionsqui permette de formuler et de mettre en pratique <strong>les</strong>politiques étatiques pouvant aider à surmonter lacrise mondiale actuelle.Il est immédiatement nécessaire de mener lepays vers un système démocratique de gouvernanceet soutenu par la Communauté internationale. Enmême temps, l’aide humanitaire contrôlée par desONG internationa<strong>les</strong> indépendantes se présentecomme la façon la plus efficace de sauver la viede la population sans défense, asphyxiée par lagrave répression politique et l’effondrement économique.n<strong>Social</strong> <strong>Watch</strong>87Érythrée
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