Coopration au travail et individualisation dans la Gestion des ...
Coopration au travail et individualisation dans la Gestion des ... Coopration au travail et individualisation dans la Gestion des ...
Aoki (op. cité) souligne la coordination horizontale basé sur l’échange d’informations,pour montrer la superiorité de la firme japonaise sur la firme américaine et d’autres analystesactuels des organisations soulignent des aspects proches comme l’interpénetration de fonctions(Schuman 1991). Pour Zarifian (1993 et 1994) ces contributions constitueraient uneversion « pauvre » de la coopération. Il propose une version « riche », où il s’agit de travaillerensemble, en développant tout un espace d’intersubjectivité, c’est à dire de compréhensonréciproque et des accords solides sur la nature des problèmes à traiter, l’identité (au moinspartielle) des objectifs, le sens donné aux actions et la convergence des mobiles des individusqui agissent ensembleLa notion de collaboration est plus vague que celle de coopération, elle designe uneactivité ou travail commun, pour la poursuite d’un intéret commun. Les auteurs de la sociologiedu travail (Crozier 1985; Reynaud 1996), de la micro-ecónomie (théorie des jeux) et la théoriedes conventions, qui expliquent l’action collective, se réfèrent surtout à ce concept ou bien àcelui de concertation, qui indique le surpassement des stratégies ou des intérêts individuels pourl’atteinte d’un objectif commum.Le tableau 1 résume les contributions de quelques auteurs sur le domaine vaste de lacoopération. La dernière colonne fait ressortir les différents aspects structurels,comportementaux, attitudinaux (cognitifs et afféctifs) et temporels de la coopération chezchaque auteur, lesquelles on reprend tout de suite.5
- Page 1 and 2: Coopération au travail et individu
- Page 7 and 8: Les caractéristiques de la coopér
- Page 9 and 10: structurent la situation social.
- Page 11 and 12: augmente, les caractéristiques att
- Page 13 and 14: Pour les opérateurs des groupes (s
- Page 15 and 16: sociale et afféctive. Les pression
- Page 17 and 18: performance,... par opposition à d
- Page 19 and 20: FIGURE 2Critères d’individualisa
- Page 21 and 22: Q2: Est-ce-que l’existence conjoi
- Page 23 and 24: compléter et de vérifier l’info
- Page 25 and 26: département peut rester isolé ou
- Page 27 and 28: (habituellement annuelles) pour ren
- Page 29 and 30: aussi. Le tableau 1 montre des corr
- Page 31 and 32: On peut vérifier que le degré de
- Page 33 and 34: - la rémuneration de base fixe, ba
- Page 35 and 36: Les données des interviews nous co
- Page 37 and 38: Formation. Il y a un grand dynamism
- Page 39 and 40: Pour les opérateurs l’idée de c
- Page 41 and 42: Dès à présent on peut dire que l
- Page 43 and 44: RéférencesAmadieu, J.-F. 1995. Le
- Page 45 and 46: Mac Allister, D.J. 1995. Affect- an
- Page 47: v Toutefois Storey (1993) dit qu’
Aoki (op. cité) souligne <strong>la</strong> coordination horizontale basé sur l’échange d’informations,pour montrer <strong>la</strong> superiorité de <strong>la</strong> firme japonaise sur <strong>la</strong> firme américaine <strong>et</strong> d’<strong>au</strong>tres analystesactuels <strong>des</strong> organisations soulignent <strong>des</strong> aspects proches comme l’interpén<strong>et</strong>ration de fonctions(Schuman 1991). Pour Zarifian (1993 <strong>et</strong> 1994) ces contributions constitueraient uneversion « p<strong>au</strong>vre » de <strong>la</strong> coopération. Il propose une version « riche », où il s’agit de <strong>travail</strong>lerensemble, en développant tout un espace d’intersubjectivité, c’est à dire de compréhensonréciproque <strong>et</strong> <strong>des</strong> accords soli<strong>des</strong> sur <strong>la</strong> nature <strong>des</strong> problèmes à traiter, l’identité (<strong>au</strong> moinspartielle) <strong>des</strong> objectifs, le sens donné <strong>au</strong>x actions <strong>et</strong> <strong>la</strong> convergence <strong>des</strong> mobiles <strong>des</strong> individusqui agissent ensembleLa notion de col<strong>la</strong>boration est plus vague que celle de coopération, elle <strong>des</strong>igne uneactivité ou <strong>travail</strong> commun, pour <strong>la</strong> poursuite d’un intér<strong>et</strong> commun. Les <strong>au</strong>teurs de <strong>la</strong> sociologiedu <strong>travail</strong> (Crozier 1985; Reyn<strong>au</strong>d 1996), de <strong>la</strong> micro-ecónomie (théorie <strong>des</strong> jeux) <strong>et</strong> <strong>la</strong> théorie<strong>des</strong> conventions, qui expliquent l’action collective, se réfèrent surtout à ce concept ou bien àcelui de concertation, qui indique le surpassement <strong>des</strong> stratégies ou <strong>des</strong> intérêts individuels pourl’atteinte d’un objectif commum.Le table<strong>au</strong> 1 résume les contributions de quelques <strong>au</strong>teurs sur le domaine vaste de <strong>la</strong>coopération. La dernière colonne fait ressortir les différents aspects structurels,comportement<strong>au</strong>x, attitudin<strong>au</strong>x (cognitifs <strong>et</strong> afféctifs) <strong>et</strong> temporels de <strong>la</strong> coopération chezchaque <strong>au</strong>teur, lesquelles on reprend tout de suite.5