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OFFICIEL - Débats parlementaires de la 4e République

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20 ASSEMBLEE NATIONALE — SEANCE DU îi JANVIER 1058'<strong>de</strong>s ma<strong>la</strong><strong>de</strong>s ayant cette qualité et qui Tequiôrent ses soins en invoquantleur droit <strong>de</strong> choisir leur mé<strong>de</strong>cin. Il lui <strong>de</strong>mman<strong>de</strong> si ce<strong>de</strong>rnier peut sans inconvénients accepter <strong>de</strong> donner les soins réc<strong>la</strong>méssi l'assuré social n'invoque pas cette qualité et ne réc<strong>la</strong>meaucune prestation ou si ces mêmes soins sont dispensés gratuitement.1958, quel est le montant du coût <strong>de</strong> l'immeuble somptueux conslruilen plein centre <strong>de</strong> Caen qui <strong>la</strong>isse supposer que tous les sinistréscaennais ont eu satisfaction; 3° quelles sont les prévisions « dépensesbâtiments » pour 1958 et les années suivantes, ainsi que lesdépenses envisagées pour toutes autres constructions, hospitalièresen particulier._9724. — 14 janvier 1958. — M. Mérigon<strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion les raisons puur lesquellesle personnel hospitalier ne perçoit plus l'in<strong>de</strong>mnité forfaitaire pourles heures effectuées au <strong>de</strong>là <strong>de</strong> <strong>la</strong> quarantière heure et si lesétablissements hospitaliers sont autorisés à modifier leurs horaires<strong>de</strong> travail sans tenir compte <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi <strong>de</strong> quarante heures.9732. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale s'il est exact que <strong>la</strong>sécurité sociale effectue le remboursement, au personnel paramédical,<strong>de</strong>s frais occasionnés par l'injection <strong>de</strong> Peroxidase So'omi<strong>de</strong>salors que ce médicament n'a pas eu légalement le visa duministère <strong>de</strong> ta santé publique.9725. — 14 janvier 1958. — M. Schei<strong>de</strong>r <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion l'importance <strong>de</strong>s créditsqui seraient nécessaires pour donner « les moyens matériels » auxchirurgiens spécialistes du cœur. 11 est anormal, quand on connaîtles progrès faits dans le domaine « opération cardiaque » par lespraticiens Irançais <strong>de</strong> voir <strong>de</strong>s ma<strong>la</strong><strong>de</strong>s, surtout <strong>de</strong> jeunes enfants,partir à l'étranger pour se faire opérer et ceci à grands frais etsurtout avec <strong>de</strong>s risques plus grands du <strong>la</strong>it d'un long dép<strong>la</strong>cement.9726. — 14 janvier 1958. — M. Vergés <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion quels sont: 1° le nombretotal et par catégorie (ai<strong>de</strong> médicale aux tuberculeux, etc.) <strong>de</strong>sbénéficiaires <strong>de</strong> l'ai<strong>de</strong> sociale; 2» le montant total et le montantpar nature <strong>de</strong>s dépenses d'ai<strong>de</strong> sociale dans les départements <strong>de</strong> <strong>la</strong>Guyane, <strong>de</strong> <strong>la</strong> Gua<strong>de</strong>loupe, <strong>de</strong> <strong>la</strong> Martinique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> Réunion <strong>de</strong>puisl'introduction <strong>de</strong> l'ai<strong>de</strong> sociale dans les départements d'outre-mer.TRAVAIL ET SECURITE SOCIALE9727. — 14 janvier 1958. — M. Virgile Barel expose à M. le ministre!du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale qu'un citoyen français, âgé <strong>de</strong>\soixante-dix-huit ans, titu<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> l'allocation aux vieux travailleurs |sa<strong>la</strong>riés, a <strong>de</strong>mandé le bénéfice <strong>de</strong> l'allocation supplémentaire instituéepar <strong>la</strong> loi du 30 juin 1950 avec effet du 1 er avril 1956; que sa<strong>de</strong>man<strong>de</strong> a élé rejetée par <strong>la</strong> caisse compétente, qu'il s'est adresséà <strong>la</strong> commission <strong>de</strong> première instance qui a confirmé <strong>la</strong> décision<strong>de</strong> <strong>la</strong> caisse en invoquant le fait que ce citoyen français ayantperdu sa compagne a transféré son domicile 500 mètres plus loin, :chez sa fille, à Monte-Carlo. Or, <strong>la</strong> principauté <strong>de</strong> Monaco est une jterre étrangère et <strong>la</strong> loi du 30 juin 1956 exige, entre autres condi-jtioos, que le <strong>de</strong>man<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> l'allocation supplémentaire « rési<strong>de</strong> sur ile territoire métropolitain ou dans les départements <strong>de</strong> <strong>la</strong> Gua<strong>de</strong>-Iloupe, <strong>de</strong> <strong>la</strong> Guyane, <strong>de</strong> <strong>la</strong> Martinique ou <strong>de</strong> <strong>la</strong> Réunion ». 11 lui|<strong>de</strong>man<strong>de</strong> quelles mesures il compte prendre pour faire corrigerles dispositions d'une loi qui porte atteinte aux intérêts légitime^<strong>de</strong> vieux travailleurs français.9728. — 14 janvier 1958. — M. Cagne se référant à <strong>la</strong> réponse donnéele 6 décembre 1956 à sa question n° 3661 concernant <strong>la</strong> situation ducentre départemental d'appareil<strong>la</strong>ge <strong>de</strong>s acci<strong>de</strong>ntés du travail etdans <strong>la</strong>quelle il était précisé que <strong>de</strong>s améliorations étaient en coursafin <strong>de</strong> remédier, à cet état <strong>de</strong> fait, signale à M. le ministre du tra.vail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale qu'actuellement, <strong>la</strong> section départementale<strong>de</strong>s anciens combaltants, qui a passé une convention avec<strong>la</strong> sécurité sociale, dispose d'un local vi<strong>de</strong> au rez-<strong>de</strong>-chaussée, àl'aile Sud du bâtiment. Cet emp<strong>la</strong>cement réglerait au mieux le problèmeposé par <strong>la</strong>dite question. 11 lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si les domaines,qui ont ta charge <strong>de</strong> <strong>la</strong> répartition <strong>de</strong>s locaux, ne pourraient pas lesremettre à <strong>la</strong> disposition du centre départemental d'appareil<strong>la</strong>ge, etS'il ne pourrait pas intervenir dans ce sens.9733. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale quels sont : 1° le nombre<strong>de</strong> mulilés <strong>de</strong> guerre; 2° les employeurs assujettis à l'emploiobligatoire <strong>de</strong>s mutilés <strong>de</strong> guerre, <strong>de</strong>s mulilés du travail; 3° lenombre <strong>de</strong> déc<strong>la</strong>rations faites aux préfectures par ies chefs d'entrepriseen application du décret du 20 mai 1955 (mutilés <strong>de</strong> guerre),si possible le nombre par département, à défaut celui du département<strong>de</strong> <strong>la</strong> Creuse; 4° le nombre <strong>de</strong> mutilés bénéficiant déjà etayant bénéficié, <strong>de</strong>puis <strong>la</strong> publication du décret, <strong>de</strong> « l'emploi obligatoire».9734. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale: 1° s'il est exact qu'ail1 er octobre 1957 3.220.100 <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s d'allocation supplémentaire dufonds national vieillesse avaient été déposées, soit 77 p. 100 <strong>de</strong>sestimations avancées par ses prédécesseurs lors <strong>de</strong> <strong>la</strong> discussiondu fond national <strong>de</strong> solidarité ; 2° quel est le pourcentage <strong>de</strong>s<strong>de</strong>man<strong>de</strong>s ayant déjà fait i'objet d'un premier payement; 3° quelest le pourcentage <strong>de</strong>s rejets; 4° s'ii est exact qu'au 1 er octobre 1957sur 3.220.100 <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s 2.317.717 avaient fait l'obiet <strong>de</strong> premierspayements; 5» quel est le nombre <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s d'allocation supplémentairedéposées dans le département <strong>de</strong> <strong>la</strong> Creuse au titr«général et au litre agricole, le nombre <strong>de</strong> rejets.9735. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale: 1» quels ont été, parcatégories, le montant <strong>de</strong>s récents relèvements <strong>de</strong> sa<strong>la</strong>ires <strong>de</strong>s différentsemployés <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale, notamment <strong>de</strong>s cadres,effectués en raison <strong>de</strong>s augmentations du coût <strong>de</strong> <strong>la</strong> vie; 2° quelétait le montant <strong>de</strong>s traitements <strong>de</strong>s cadres <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité socialeen 1953, et actuellement (par catégorie).7M. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. lefisyb du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale: 1° s'il est exact qu'auirar<strong>de</strong>s sept <strong>de</strong>rnières années l'indice <strong>de</strong>s sa<strong>la</strong>ires a été multiplié73,76, ie niveau du p<strong>la</strong>fond par 3,5 et les recouvrements par 4,1;parmi les 73 miliiards énoncés dans une précé<strong>de</strong>nte questioncrite comme représentant le « retard » constaté dans les recou-/vrements, quelle est <strong>la</strong> part <strong>de</strong> Paris et <strong>de</strong> <strong>la</strong> région parisienne, <strong>la</strong>liste <strong>de</strong>s principaux re<strong>de</strong>vables, notamment quelle est <strong>la</strong> part <strong>de</strong>l'Etat; 3° s'ii est exact que Paris et sa région versent un tiers <strong>de</strong>scotisations <strong>de</strong> sécurité sociale.9737. — li janvier 1058. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale quelle est, dans les« dépenses hospitalières », <strong>la</strong> part <strong>de</strong>s honoraires hospitaliers verséspar les organisiiies <strong>de</strong> sécurité sociale au corps médical hospitalier<strong>de</strong> <strong>la</strong> métropole.9729. — 14 janvier 1958. — M. Chêne <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministredu travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale: 1° le nombre, par département:a) d'ouvriers espagnols; b) d'ouvriers italiens employés dans lesusines, chantiers, administrations; 2» quelle serait, en cas <strong>de</strong> chômageou <strong>de</strong> fermetures d'usines, <strong>de</strong> chantiers, <strong>la</strong> conséquence surie contrat <strong>de</strong> travail <strong>de</strong> ces ouvriers.9738. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale quelle esl, pour chaquedépartement, <strong>la</strong> part <strong>de</strong>s honoraires médicaux hostipaliers vers'é*par les organismes <strong>de</strong> sécurité spciale.9730. — 14 janvier 1958. — M. Etienne Fajon expose à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale que <strong>la</strong> direction <strong>de</strong> <strong>la</strong>S. I. P. A. (Société industrielle pour l'aéronautique) <strong>de</strong> Suresnes,ayant procédé, le 2 janvier, au licenciement d'un ouvrier, lui a fournicomme seul prétexte l'existence d'un rapport <strong>de</strong> <strong>la</strong> D. S. T. re<strong>la</strong>tifà ses opinions politiques, et <strong>de</strong>man<strong>de</strong> en vertu <strong>de</strong> quelles instructionsministérielles un service <strong>de</strong> police intervient en contradictionformelle avec <strong>la</strong> Constitution.9731. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale: 1° quel est le montant<strong>de</strong>s dépenses <strong>de</strong> « bâtirnenl » effectuées par les organismes <strong>de</strong><strong>la</strong> sécurité sociale, par année, <strong>de</strong> 1950 à 1957; 2» à l'heure <strong>de</strong> <strong>la</strong>réduction <strong>de</strong>s crédits <strong>de</strong> <strong>la</strong> reconstruction que comporte le programme9739. — 11 janvier 1958 — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. te.ministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale le nombre d'é<strong>la</strong>blisse-" 1ments <strong>de</strong> soins appartenant aux organismes <strong>de</strong> sécurité sociale etcréés grâce au fond <strong>de</strong> l'action sanitaire et sociale.9740. — 14 janvier 1958. — M. Fontanet attire l'attention <strong>de</strong> M. leministre du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale sur <strong>la</strong> lenteur souventexcessive <strong>de</strong> l'instruction <strong>de</strong>s dossiers <strong>de</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> retraite déposéspar les vieux travailleurs sa<strong>la</strong>riés. E<strong>la</strong>nt donné <strong>la</strong> situation difficile<strong>de</strong>s vieux travailleurs sa<strong>la</strong>riés pendant <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> s'élendant <strong>de</strong><strong>la</strong> cessation <strong>de</strong> leur travail à l'attribution <strong>de</strong> leur pension, il <strong>de</strong>mandas'il ne serait pas possible <strong>de</strong> fixer un dé<strong>la</strong>i maximum pour <strong>la</strong> liquidation<strong>de</strong> ces dossiers <strong>de</strong> retraite.

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