12 ASSEMBLEE NATIONALE — SEANCE DU îi JANVIER 1058'3609. — 14 janvier 1958. — M. FrétJéric-Dupeirt <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre <strong>de</strong>s anciens combattants et victimes <strong>de</strong> guerre si unenfant adopté peut être assimilé à un enfant légitime en ce quiconcerne <strong>la</strong> bonification d'un an prévue pour <strong>la</strong> liquidation <strong>de</strong> <strong>la</strong>le traite.9610. — 14 janvier 1958. — M. Kerzic expose à M. le ministre <strong>de</strong>sanciens combattants et victimes <strong>de</strong> guerre qu'un sujet italien ayantopté pour <strong>la</strong> France au début <strong>de</strong> <strong>la</strong> guerre a été, <strong>de</strong> ce fait, requispour le S. T. 0. en 19-13 et rapatrié comme grand ma<strong>la</strong><strong>de</strong> en 1944,puis naturalisé Français en 1948. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>: 1» quels sont lesdroits <strong>de</strong> l'intéressé au titre d'une pension d'invalidité; 2° par qustorganisme peut-il être aidé et secouru, étant dans une situationdifficile.BUDGET9611. — 14 janvier 1956. — M. Alduy <strong>de</strong>manda à M. le secrétaired'Etat au budget les dispositions qu'il compte prendre en matièred'exonération <strong>de</strong> taxe vignelte automobile en ce qui concerne <strong>la</strong>Situation particulière <strong>de</strong>s représentants, voyageurs et p<strong>la</strong>ciers ducommerce et <strong>de</strong> l'industrie qui ne sont pas encore personnellementpropriétaires du véhicule indispensable à l'exercice <strong>de</strong> leur profession,ledit véhicule <strong>de</strong>meurant, jusqu'à l'extinction complète <strong>de</strong> <strong>la</strong><strong>de</strong>tte contractée par eux, immatriculé au nom <strong>de</strong> l'employeur quia consenti le prêt pour en permettre l'acliat.9612. — 14 janvier 1958. — M. Ailoin expose à M. Is secrétaired'Etat au budget qu'à <strong>la</strong> suite du décret du 29 juillet 1957 assujettissantcertains artisans à <strong>la</strong> T. V. A. au taux majoré <strong>de</strong> 25 p. 1(K>,un certain nombre <strong>de</strong> ceux-ci ont opté pour le régime <strong>de</strong> <strong>la</strong> T. V. A.,<strong>de</strong> façon à pouvoir déduire <strong>la</strong> taxe payée sur l'achat <strong>de</strong>s matièrespremières. Mais <strong>la</strong> loi du 13 décembre 1957 a rétabli le régimeartisanal en imposant les artisans, producteurs d'objets soumis autaux majoré, à une taxe complémentaire <strong>de</strong> 7,5 p. 100 s'ajoutant à<strong>la</strong> taxe locale normalement perçue. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> quel va être 'eBort v<strong>de</strong>s artisans ayant opté pour le régime <strong>de</strong> <strong>la</strong> T. V. A.; et sil'option tombe d'elle-même ou sur simple <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> l'intéressé.9613. — 14 janvier 1958. — M. Bône <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le secrétaired'Etat au budget si un agent d'un service <strong>de</strong> contentieux, qui taitsouscrire <strong>de</strong>s contrats et est rémunéré exclusivement à <strong>la</strong> commission,doit être patenté comme asent d'afîaires ou non et s'il doitpayer <strong>la</strong> taxe sur le chiffre d'affaires.9614. — 14 janvier 1958. — M. Bouyer expose à M. le secrétaired'Etat au budget que, dans <strong>la</strong> réponse du 18 avril 1956 à <strong>la</strong> questionn° 94, il est précisé: «toutefois, les opérations <strong>de</strong> commissionou <strong>de</strong> représentation portant sur les produits soumis à linetaxe unique sont, soit paj tolérance administrative, soit en vertufle textes légaux, exonérés du payement <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe locale ». Telest le cas <strong>de</strong>s vins, cidres, poirés, hydromels, thé, café et extraitssolubles <strong>de</strong> café et <strong>de</strong> thé et <strong>de</strong>s vian<strong>de</strong>s ». Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si lesproduits ayant déjà acquitté une taxe unique, telles .que les levuresentrant dans <strong>la</strong> vinification, sont, comme il semblerait logique, exonérésau même titre.9815. — 14 janvier 1958. — M. Courtier signale à M. le secrétaired'Etat au budget qu'un chef d'entreprise achetant <strong>de</strong>s locaux neulsdans un immeuble nouvellement construit a le droit d'alîecler àces achats le montant <strong>de</strong> ce qu'il doit verser comme taxe à <strong>la</strong>construction <strong>de</strong> 1 p. 100 sur les sa<strong>la</strong>ires <strong>de</strong> ses employés et ouvriers.Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si un chef d'entreprise achetant <strong>de</strong>s locaux anciensqu'il fait remettre en état pour y faire <strong>de</strong>s logements h usage <strong>de</strong>ses ouvriers peut également intégrer dans ses frais d'achats et <strong>de</strong>réparations, le montant
13 ASSEMBLEE NATIONALE — SEANCE DU îi JANVIER 1058'9624. — 14 janvier 1958. — M. Raymond Mondoit (Réunion) <strong>de</strong>man<strong>de</strong>à M. le secrétaire d'Etat au budget quelles mesures il compte prendrepour éviter que les agents <strong>de</strong> l'arrondissement du service maritime <strong>de</strong><strong>la</strong> Réunion ne connaissent pas les inconvénients graves qui résulteraient<strong>de</strong> leur affiliation à plusieurs caisses <strong>de</strong> retraites.9633. — 14 janvier 1958. — M. Pierre Ferrand <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. <strong>la</strong>ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées: 1° dansquelles conditions s'effectuent les affectations militaires du contingent<strong>de</strong>s parachutistes; 2° si ces affectations se font d'office oupar voie <strong>de</strong> volontariat.9625. — 14 janvier 1958. — M. Raymond Mondon (Réunion) attirel'attention <strong>de</strong> M. ie secrétaire d'Etat au budget sur l'arrêt du conseild'Ktat, en dote du 9 novembre 1956, qui a annulé les décretsn»* 51-989 et 51-990 du 28 juillet 1951 ainsi que l'arrêté Interministérieldu 6 aoiit 1951 constituant en cadres locaux les surveil<strong>la</strong>nts<strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong>s ponts et chaussées <strong>de</strong>s D. 0. M., d'une part, ieschefs, sous-chefs d'atelier, les mécaniciens et ouvriers <strong>de</strong> travaux<strong>de</strong> ces mêmes départements, d'autre part. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à quelledate il compte pouvoir prononcer l'intégration et le rec<strong>la</strong>ssement,à compter du 1 er janvier 1918, en tenant compte <strong>de</strong> leur ancienneté<strong>de</strong> service, <strong>de</strong>s agents intéressés dans les cadres <strong>de</strong> leurs homologuesmétropolitains.9634. — 14 janvier 1958. — M. Isorni expose à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées qu'un étudiant eupharmacie a été condamné à mort, le 0 octobre 1941, par te tribunalmilitaire provisoire <strong>de</strong> Poitiers et exécuté le 9 octobre1944; que <strong>la</strong> décision vient d'être annulée par un arrêt <strong>de</strong> <strong>la</strong>cour <strong>de</strong> cassation en date du 2G décembre 19."fi « tant dans l'intérêt<strong>de</strong> <strong>la</strong> loi que du condamné », si.r pourvoi introduit d'ordre <strong>de</strong>M. le gar<strong>de</strong> <strong>de</strong>s sceaux. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>: 1° <strong>de</strong> préciser <strong>la</strong> nature<strong>de</strong> l'intérêt du condamné, aujourd'hui exécuté; 2° quelle in<strong>de</strong>mnitéil envisage <strong>de</strong> verser aux parents <strong>de</strong> <strong>la</strong> victime; 3° à défaut duversement spontané d'une in<strong>de</strong>mnité par l'Etat, quels recours peuventintroduire les parents.9526. — 14 janvier 195S. — M. Bernard Paumier <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. lesecrétaire d'Etat au budget, à ia suite <strong>de</strong> <strong>la</strong> réponse faite lenovembre 1957 à sa question écrite n» 8471: 1® quels sont lespnvs exportateurs <strong>de</strong> tabac en France; 2° quel est le montant, parpays, <strong>de</strong>s sommes afférentes à ces importations.9627. — 14 janvier 1958. — M. Bernard Paumier <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. lesecrétaire d'État au budget: 1° quelle est <strong>la</strong> quantité d'alcoolimportée par <strong>la</strong> Fiance <strong>de</strong>puis le 1 er janvier 1957; 2° quel est lemontant <strong>de</strong>s crédits consacrés à cette importation; 3° dans quelspays sont effectué» ces achats d'aleoois.9628. — 14 janvier 1958. — M. Ritter expose à M. le secrétaired'ftat au budget: qu'une société à responsabilité limitée a pourobjet <strong>de</strong>s opérations commerciales et, en général, toutes opérationsmobilières et immobilières; que <strong>de</strong>puis 1930 cette société a abandonnétoute exploitation commerciale et gère exclusivement sapropriété immobilière. Il <strong>de</strong>man<strong>de</strong>: 1° si <strong>la</strong>dite société doit êtreconsidérée, au point <strong>de</strong> vue fiscal, comme société commerciale oucomme société immobilière; 2° si elle est considérée comme sociétécommerciale, a-t-elle le droit <strong>de</strong> déduire <strong>de</strong> son bénéfice imposableles majorations <strong>de</strong> loyers d'habitation consécutives à <strong>la</strong> loi <strong>de</strong> 1918,i>( ur les exercices 1952-1955, nonobstant le fait que son activité seborne à l'encaissement <strong>de</strong> loyers; 3° peut-elle, en tant que sociétécommerciale, ne gérant qu'un immeubie, opter pour le régime <strong>de</strong>société familiale (décret n» 55-594 du 20 mai 1955, art. 3, IV) ;4° si elle choisit <strong>de</strong> se transformer en société civile immobilièrepar modification <strong>de</strong>s statuts, cette opération est-elle à considérercomme cessation au point <strong>de</strong> vue fiscal.9S35. — 14 janvier 1958. — M. Jean Laïné <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. leministre <strong>de</strong> ia défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées: 1° ce qu'ilfaut entendre par «prime opérationnelle»; 2° quelles sont les catégories<strong>de</strong> militaires qui <strong>la</strong> perçoivent et selon quelies conditions;3» quel est ie montant global exact <strong>de</strong> <strong>la</strong> dépense due à cetteprime.9636. — 14 janvier 1958. — M. Mech <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées, en présence <strong>de</strong>schiffres astronomiques et probablement erronés donnés par certainsjournaux sur les officiers, sous-officiers et soldats servant,d'une part, en Afrique du Nord et, d'autre part, en métropole,en Allemagne ou dans tes territoires d'outre-mer, <strong>de</strong> lui donner<strong>la</strong> statistique exacte sur cette répartition d'effectifs.9637. — 14 janvier 1958. — M. Maurice Nico<strong>la</strong>s expose à M. <strong>la</strong>secrétaire d'Etat aux forces armées (air) qu'un acci<strong>de</strong>nt, qui auraitpu avoir <strong>de</strong> très graves conséquences, est survenu sur l'aérodrome<strong>de</strong> Poitiers, l'avion ayant accrcohé un hangar qui sert <strong>de</strong> dépôt<strong>de</strong> munitions. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il est compatible avec <strong>la</strong> sécurité<strong>de</strong>s pilotes et du personnel <strong>de</strong> tolérer un dépôt <strong>de</strong> munitions auxabords d'un aérodrome et s'il faut attendre une catastrophe pourprendre <strong>de</strong>s mesures <strong>de</strong> sécurité, .cet acci<strong>de</strong>nt étant le troisièmesurvenu à cet endroit, et s'il lui paraît logique <strong>de</strong> former <strong>de</strong>sélèves pilotes sur un terrain présentant <strong>de</strong> tels dangers.9629. — 14 janvier 1958. — M. Salvetat expose à M. le secrétaired'Etat au budget qu'en application du nouveau tarit <strong>de</strong>s patentesles charcutiers sont susceptibles d'être c<strong>la</strong>ssés dans ia catégorie A2ou dans <strong>la</strong> catégorie A4, selon qu'ils sont réputés vendre <strong>de</strong> <strong>la</strong>charcuterie fine ou <strong>de</strong> <strong>la</strong> charcuterie commune. II lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>quels sont les critères qui permettent <strong>de</strong> déterminer leur c<strong>la</strong>ssilicu-.Lon dans l'une ou l'autre <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux catégories.9638. — 14 janvier 1958. — M. Schei<strong>de</strong>r <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le secrétaired'Etat aux forces armées (air) si le voyage gratuit vers <strong>la</strong> métropole,au bout <strong>de</strong> six mois <strong>de</strong> séjour en Algérie pour les militairescadres mariés, et au bout <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux ans polir les autres, représenteun droit et, dans l'affirmative, quelles sont les raisons pour lesquellesle militaire est obligé d'en faire <strong>la</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> au généralcommandant <strong>la</strong> région aérienne.DEFENSE NATIONALE ET FORCES ARMEES9630. — 14 janvier 1958. — M. Berrang <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le secrétaired'Etat aux forces armées (air) si uu militaire (officier ou sousofficier)affecté en Algérie au titre du « maintien <strong>de</strong> l'ordre »peut faire venir sa famille en Algérie et, dans l'affirmative, s'ilpeut prétendre au remboursement <strong>de</strong>s frais <strong>de</strong> voyage et <strong>de</strong> déménagementpour celle-ci, même si 1e déménagement a été effectué.9631. — 14 janvier 1958. — M. Berrang <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées si un militaire officierou sous-officier, ayant un traitement à subir, peut avoir:1» le choix <strong>de</strong> son mé<strong>de</strong>cin; 2° le choix pour subir le traitementà domicile ou à l'hôpital (un sachet <strong>de</strong> bismuth pous les joursplus une intraveineuse tous les <strong>de</strong>ux jours). Quelles sont lesdémarches à entreprendre pour continuer le traitement à domiciledans le cas où l'intéressé aurait déjà, contre sa volonté, étéhospitalisé.9632. — 14 janvier 1958. — M. Etienne Fajon expose à M. leministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées que <strong>la</strong> direction<strong>de</strong> <strong>la</strong> S. I. P. A. (Société industrielle pour l'aéronautique) <strong>de</strong>Suresnes, ayant procédé le 2 janvier au licenciement d'un ouvrier,lui a fourni comme seul prétexte l'existence d'un rapport Qe <strong>la</strong>ï>. S. T. re<strong>la</strong>tif à ses opinions politiques, et <strong>de</strong>man<strong>de</strong> en vertu <strong>de</strong>quelles instructions ministérielles un service <strong>de</strong> police intervienten contradiction formelle avec <strong>la</strong> Constitution.9S39. — 14 janvier 1958. — M. Schei<strong>de</strong>r <strong>de</strong>man<strong>de</strong> h M. le secrétaired'Etat aux forces armées (air) s'il est tenu compte, pour les affectationsen métropole <strong>de</strong>s militaires mis en p<strong>la</strong>ce en Algérie au titreprovisoire du « maintien <strong>de</strong> l'ordre », du fait que le militairepossè<strong>de</strong> dans sa garnison d'origine un logement lui appartenant.9649. — 14 janvier 1958. — M. Schei<strong>de</strong>r <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées s'il est exact qu'unenfant en bas âge est décédé, il y a <strong>de</strong>ux mois, au dispensaire<strong>de</strong> <strong>la</strong> cité Marine <strong>de</strong> Valmy (Oran-Atgérie), le mé<strong>de</strong>cin militaire(marine) ayant refusé d'effectuer une visite au domicile <strong>de</strong>s parentspour consulter l'enfant qui avait une forte fièvre. Dans l'affirmative,considérant qu'aucun mé<strong>de</strong>cin civil n'habite près <strong>de</strong> <strong>la</strong> cité Marine<strong>de</strong> Valmy: 1° les raisons pour lesquelles un mé<strong>de</strong>cin peut refuser<strong>de</strong> se dép<strong>la</strong>cer pour consulter un ma<strong>la</strong><strong>de</strong>. Dans le cas <strong>de</strong> décès:a) peut-on invoquer <strong>la</strong> non-assistance à personne en danger;i).) quelles sont les responsabilités en jeu; 2» les mesures urgentesprises pour que <strong>de</strong> tels faits ne puissent se reproduire; 3° dans le cassignalé, quels sont les recours <strong>de</strong>s parents.9541. — 14 janvier 1958. — M. Schei<strong>de</strong>r <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre<strong>de</strong> <strong>la</strong> défense nationale et <strong>de</strong>s forces armées si un militaire blesséen service aérien commandé, hospitalisé pendant trois mois, peutprétendre à <strong>la</strong> surprime familiale pendant <strong>la</strong> durée <strong>de</strong> son hospitalisation(hospitalisé à Oran, épouse <strong>de</strong>meurant à Aïn-el-Turck).