Jules DUVAL - Proverbes patois - IEO ParÃs - Free
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( 500 ) passé j; disant que toutcela était mort--;etil ri'ji, pas encbrëretrémpé ses forcés dans l'àmourd'unë société meilleure,' dont il préparerait ïé prochain àVène^ ment * se créant ainsidànsson coeur lé'cûltedë l'a»* venir j plus puissant pour lebien que celui dû passé; Telles sont lès misères de notre temps' comme de tous les temps de transition. Malgré lès douleurs qu'elles suscitent, elles sont 1 un progrès, parce qu'elles sont un affranchissement.' Si on a droit de lés condamner v ce ne peut être ^u'au nom de là prophétie et nullement au nom dé la tradition,; les yeux portés en avant et non retournés en arrière. Toutes lés là^ méntàtiôns sûr le passé sont de stériles gémîssemènsï s'il a été Vaincu, c'ésl qu'il ne suffisait pasàux besoins; s'il eût suffi, pourquoi n'ëût-il pas duréiL'éS idées et les institutions obéissent comme tous les êtresàla loi de la déchéance et du rajeunissement universels; elles s'écoulent comme les heures, comme les ansi ; comme les flots. Celui qui maudit cette perpétuelle mobilité, une des plus admirables lois de là Providence qui n*a pas voulu fatiguer les créatures par l'insipidité' d'un spectacle tbujbùrs le même , ressëmblëâ tin navigateur jeté sur lés grandes eaux d'un fleuve qui, au lieu de gouverner bravement; sur les vàgùés .voudrait lés fixer et s'indignerait dé leur indocilité; Le couj*aht l'emperfe avec ses murmures. ,: >.;=;- . Maïs nèhouS abandonnons pas hous-mêmës au courant dé nos idées qui nous emporterait îoîndësTivës, etréVéhbns à nos • . >; ; ; :iji:;)';
( 501 ) L'honneur du collectionnement (&i le mot n'est pas bien français, je prie qu'on m'en indique un meilleur) appartient moins à moi qu'à de nombreux amis qui ont bien voulu apporter leur épi à ma gerbe. Je les prie rd'agréer ici mes remerclmens. Il en est même quelques-uns qui, à raison de la part considéra ble qu'ils ont prise à la récolte .doivent être perspnnellement nommés : ce sont MM. Gmou DE BUZABEINGUES, le savant correspondant de l'Institut,qui n'est indifférent à aucune manifestation de l'esprit du Rouergue; M;...LESCÇBE ḌE LAVEBNHE ,!;membre du,conseil-général d'un patriotisme non moins ardent ; M. l'abbé Bpus- QUET , curé de Buzeins, dont nos lecteurs ont apprécié l'élégante érudition dans des pages qui précèdent ; M. BABRAL, instituteur àSalles-la-Source, qui s'honore par l'organisation et la direction sur des bases .neuves, des écoles populaires gratuites des,MM. Çarce? nac, de Rodez; enfin M. FBOMEHX;, d'Huparlaç, qui s'est donné Ja noble ambition de continuer le sillon littéraire du:prieur -de Pradinas. Je;.les,prie d'agréer ' ce témoignage
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venir j plus puissant pour lebien que celui dû passé;<br />
Telles sont lès misères de notre temps' comme de<br />
tous les temps de transition. Malgré lès douleurs qu'elles<br />
suscitent, elles sont 1 un progrès, parce qu'elles<br />
sont un affranchissement.' Si on a droit de lés condamner<br />
v ce ne peut être ^u'au nom de là prophétie<br />
et nullement au nom dé la tradition,; les yeux portés<br />
en avant et non retournés en arrière. Toutes lés là^<br />
méntàtiôns sûr le passé sont de stériles gémîssemènsï<br />
s'il a été Vaincu, c'ésl qu'il ne suffisait pasàux besoins;<br />
s'il eût suffi, pourquoi n'ëût-il pas duréiL'éS idées et<br />
les institutions obéissent comme tous les êtresàla loi<br />
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s'écoulent comme les heures, comme les ansi ; comme<br />
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une des plus admirables lois de là Providence qui n*a<br />
pas voulu fatiguer les créatures par l'insipidité' d'un<br />
spectacle tbujbùrs le même , ressëmblëâ tin navigateur<br />
jeté sur lés grandes eaux d'un fleuve qui, au lieu<br />
de gouverner bravement; sur les vàgùés .voudrait<br />
lés fixer et s'indignerait dé leur indocilité; Le couj*aht<br />
l'emperfe avec ses murmures.<br />
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Maïs nèhouS abandonnons pas hous-mêmës au courant<br />
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etréVéhbns à nos<br />
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