Jules DUVAL - Proverbes patois - IEO ParÃs - Free
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( 550 ) bus de cet axiome, que lorsqu'ils appellent un méde^ cin dans un cas grave, ils commencent par lui demander s'il pense que la guérispn soit possible , et si la réponse n'est pas très-affirmative, ils lui déclarent que si.le malade ne doit pas guérir , il est inutile de l'alonger , de le faire durer,,' ( L'oloungues pas, lou fogues pas dura. ) La naïveté dé l'intérêt va plus loin; lorsque la maladie së'pèrpètùe sous une tendance quelconque ,bn fait dire. une-messe d'un,cap ou d'altre, d'un biais; ou d'autre...,Fait-il beau le,jour d'une pareille messe? Je préfère la superstition de,l'Espagnol; c'était un réfugié catalan : il disait à mon curé en mauvais langage: capelane franciscou celebra.me la messo per lo bourra qu'es, en pericoulq de partou. « Curé français, dis-moi la messe pour l'ânesse qui est en péril d'enfantement. L. » 216. N'as prou d'ourdit, —as prou palh'ol Uech. Tu en assez d'ourdi; tu as assez de paille au lit. (Tu as assez vécu. '"' ) e] MÉDECINS. M,-.;:. - 2ÏJA:-- Osénado de medeci*— lo terro lo coubrisAA Anerie de médecins --- la terre la recouvré. 218. ;' DcjbUbésbbbUcaisproucèsperduts, Dejoubes medecis éëtnen tèris boussuts.! ; De jeunes avocats procès perdus; de jeunes médecins cimetières bossueux, [ ondulés de tertres .indices de nombreuses morts). , , »e Groupe : MÉNAGE( g tous-groupes ). »j NbVBHITlJRE. 219."-''- L'opetit ben en mongen.
[ 551 ) L'appétit vient en mangeant. ,:• 220. Per se groità et per'mongea Y b pas qu'à coumença. Pour se gratter et pour manger il n'y a qu'à commencer. 221. Boucitroisit n'o pas de '7 goust. '[ •' Morceau manié n'a pas dé goût A !ir " ; 222; Que n'es pas hobill'b mongeà N'ou es pas o trobolha. Qui n'est pas leste à table — né l'est pas au travail; '-.' 223. Bal mai un boun gnifougnafoù Que tontes dcgnifbugnafqus. Il, vaut mieux-un bon mangeur---qu'une troupe de rongeurs. , '"'A 224. Quond n'y p per un n'y o per dous. .... Quand il y en a pour un., il, y en a pour deux. 225. Ce que coiisto y { .,. ;;; ,,,,, Me degousto. Ce qui coûte me dégoûte;. 226. Que mongeo lou po soniounchuro Lou mongeo sons mesura. Qui mange le pain sans pitance — le mange sans mesure [oùnchurb de urigére , biridré , assaisonner, ) 227. Que que y ajo ' '''-"r-'--' Dèpo'y àjoi Quoiqu'il advienne .qu'il y ait' du pairi. 228. ; v Po'strbrigié Es coûmponàtgè. Pain élranger — vaut pitance. '( Goumppnaige de tum, pane ,àgen, qui va avec le: pain ^pitance. B'.
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bus de cet axiome, que lorsqu'ils appellent un méde^<br />
cin dans un cas grave, ils commencent par lui demander<br />
s'il pense que la guérispn soit possible , et si la<br />
réponse n'est pas très-affirmative, ils lui déclarent que<br />
si.le malade ne doit pas guérir , il est inutile de l'alonger<br />
, de le faire durer,,' ( L'oloungues pas, lou fogues<br />
pas dura. )<br />
La naïveté dé l'intérêt va plus loin; lorsque la maladie<br />
së'pèrpètùe sous une tendance quelconque ,bn<br />
fait dire. une-messe d'un,cap ou d'altre, d'un biais; ou<br />
d'autre...,Fait-il beau le,jour d'une pareille messe? Je<br />
préfère la superstition de,l'Espagnol; c'était un réfugié<br />
catalan : il disait à mon curé en mauvais langage:<br />
capelane franciscou celebra.me la messo per lo bourra qu'es,<br />
en pericoulq de partou. « Curé français, dis-moi la messe<br />
pour l'ânesse qui est en péril d'enfantement. L. »<br />
216. N'as prou d'ourdit, —as prou palh'ol Uech.<br />
Tu en assez d'ourdi; tu as assez de paille au lit. (Tu<br />
as assez vécu.<br />
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)<br />
e] MÉDECINS. M,-.;:.<br />
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2ÏJA:-- Osénado de medeci*— lo terro lo coubrisAA<br />
Anerie de médecins --- la terre la recouvré.<br />
218. ;'<br />
DcjbUbésbbbUcaisproucèsperduts,<br />
Dejoubes medecis éëtnen tèris boussuts.! ;<br />
De jeunes avocats procès perdus; de jeunes médecins<br />
cimetières bossueux, [ ondulés de tertres .indices<br />
de nombreuses morts). , ,<br />
»e Groupe : MÉNAGE( g tous-groupes ).<br />
»j NbVBHITlJRE.<br />
219."-''- L'opetit ben en mongen.