Programme SAAGA I - UCAR Africa Initiative
Programme SAAGA I - UCAR Africa Initiative
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O1<br />
O4<br />
O6<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
La Conference Sahel 2007: améliorer la<br />
qualité de vie en comprenant mieux les<br />
phénomènes météorologiques<br />
02 au 06 avril 2007, Ouagadougou<br />
Avantages socio-économiques de<br />
l‘augmentation des précipitations<br />
par ensemencement des nuages :<br />
Expériences du Burkina Faso<br />
par<br />
Alhassane A Diallo, Ali Jacques GARANE<br />
Direction de la Météorologie<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
Slide 1<br />
O1 OWNER, 3/31/2007<br />
O4 OWNER, 4/2/2007<br />
O6 OWNER, 4/2/2007
O5<br />
I - Introduction<br />
Plan<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
II - L’évaluation économique<br />
• II.1 La production d’électricité<br />
• II.2 Impact sur l’agriculture<br />
• II.3 Forêt, chasse, pêche et élevage<br />
• II.4 Impact sur l’eau domestique<br />
III- Détermination des coûts<br />
IV- Détermination des bénéficesb<br />
V- Le rapport bénéfice b<br />
/coût<br />
V. Avantages sociaux<br />
VI. DésavantagesD<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
Slide 2<br />
O5 OWNER, 4/2/2007
O2<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
I - Introduction<br />
La situation climatique du Burkina Faso est caractéris<br />
risé par :<br />
- une péjoration p<br />
continue et très s variable des<br />
précipitations avec des années de sécheresse s<br />
sévère; s<br />
- une économie majoritairement basée e sur l’agriculture<br />
l<br />
essentiellement de type pluvial;<br />
- une faible importance des superficies irriguées malgré<br />
les efforts importants en cours;<br />
- 80% de la population occupée e par l’agriculture l<br />
qui<br />
contribue pour près s de 31% dans PIB;<br />
- une agriculture très s sensible aux aléas as climatiques<br />
(inondations,sécheresses, séquences s<br />
de sécheresses,<br />
s<br />
conditions météorologiques m<br />
extrêmes, etc. );<br />
- Ressources en eau limitées<br />
- des conséquences importantes des variations du climat<br />
et du temps sur les productions agro-sylvo<br />
sylvo-pastorales, donc<br />
sur l’él<br />
’économie.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
Slide 3<br />
O2 OWNER, 3/31/2007
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
I – Introduction (suite)<br />
- Une démographie d<br />
importante et une croissance accélérée<br />
des villes due à l’exode rural, et une disparition continue<br />
des villages rattrapes;<br />
- Une accentuation des pénuries p<br />
d’eau d<br />
pour les différents<br />
usages : L’agriculture, L<br />
les besoins domestiques et<br />
l’industrie.<br />
- En 1997, un déficit d<br />
pluviométrique très s important, et le<br />
quasi dessèchement des barrages et retenues d’eau d<br />
alimentant Ouagadougou.<br />
Cette situation a poussé les Autorités s a envisager des<br />
solutions durables pour régler r<br />
les pénuries p<br />
d’eau d<br />
récurrentes, l’opl<br />
opération d’augmentation d<br />
des précipitations<br />
par ensemencement des nuages appelée, e, Opération <strong>SAAGA</strong><br />
et qui deviendra le <strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong> a été lancé avec le<br />
soutien important du Royaume du Maroc.<br />
O<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
Slide 4<br />
O3 OWNER, 3/31/2007
II Évaluation<br />
économique<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
L’évaluation<br />
économique vise à chiffrer l’impact l<br />
de l’eau l<br />
additionnelle et à déterminer le rapport bénéfice/cob<br />
fice/coût t dans<br />
différents secteurs économiques concernés s :<br />
• l’agriculture, la forêt, la pèche, p<br />
la chasse, l’él<br />
’élevage, l’eau l<br />
domestique, la production d’éd<br />
’électricité, etc…<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II Évaluation<br />
économique ( suite )<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
Usage<br />
Energie Hydroélectrique (temps du<br />
turbinage additionnel)<br />
Agriculture Pluviale (amélioration des<br />
rendements)<br />
Agriculture Irriguée (extension des<br />
superficies)<br />
Elevage (extension et diversité de la zone de<br />
pâturage)<br />
Forêt /chasse/ Pêche (volume additionnel de<br />
bois de chauffe, accroissement du potentiel<br />
de chasse, production de poisson<br />
additionnelle )<br />
Eau domestique additionnelle<br />
5% d’augmentation<br />
des précipitations<br />
10%d’augmentation des<br />
précipitations<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II Évaluation<br />
économique ( suite)<br />
II.1 La production d’éd<br />
’électricité<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• Le gain de production d’éd<br />
’électricité est obtenu en multipliant la<br />
quantité additionnelle d’éd<br />
’énergie, résultant r<br />
de l’eau l<br />
additionnelle par<br />
le coût t unitaire de l’él<br />
’énergie<br />
à base de combustible fossile. Il faut<br />
ajouter si possible les effets boule de neige suite à cette énergie<br />
supplémentaire.<br />
• Au Burkina Faso, avec l’action l<br />
du programme <strong>SAAGA</strong>, les<br />
investigations ont permis de montrer que pour un volume<br />
supplémentaire de 10% au niveau du barrage de Bagré avec ses<br />
1,7milliards de mètres m<br />
cubes, on a enregistré une croissance de la<br />
production d’éd<br />
’électricité également d’environ d<br />
10%.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II Évaluation<br />
économique ( suite)<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
II.2 Impact sur l’agriculturel<br />
• On pourra s’appuyer s<br />
sur les cultures de rente et vivrières res dont les<br />
rendements sont liés à la qualité de la saison des pluies (hauteur de<br />
précipitation et distribution spatio-temporelle);<br />
temporelle);<br />
• Il convient de faire la part entre l’agriculture l<br />
pluviale et irriguée.<br />
Pour l’agriculture l<br />
pluviale, l’impact l<br />
est estimé à partir de la<br />
production additionnelle multipliée e par le coût t unitaire des produits.<br />
• Pour l’impact l<br />
des l’irrigation, l<br />
l’extension l<br />
des champs dont la valeur<br />
économique est celle due à l’augmentation des produits résultant r<br />
de<br />
l’extension constitue le bénéfice. b<br />
• Des analyses faites dans le cadre de l’él<br />
’étude de faisabilité du APENS<br />
(Projet d’Augmentation d<br />
des Précipitations par Ensemencement des<br />
Nuages au Sahel) ont montré qu’un un important flux financier était<br />
généré par l’eau l<br />
additionnelle.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II Évaluation<br />
économique ( suite)<br />
II.3 Forêt, chasse, pêche et élevage<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• L’accroissement de la production de biomasse (forêt), de l’extension l<br />
et de la qualité des zones de pâturage (fourrage et transhumance)<br />
et de l’eau l<br />
des barrages et autres retenues, résultant r<br />
de l’eau l<br />
additionnelle est l’impact. l<br />
• Il a été montré que pour le couvert végétal, v<br />
il existe une relation<br />
directe entre la pluviométrie annuelle et son extension<br />
septentrionale. De même une saison de pluie plus longue et bien<br />
répartie spatiale conduit à une restauration de la biodiversité plus<br />
riche. Le bénéfice b<br />
est la quantité additionnelle de biomasse (bois de<br />
chauffe) multiplié par le coût t unitaire<br />
• Pour la chasse, une plus longue saison des pluies et une abondante<br />
végétation sont propices à la faune sauvage, le potentiel de chasse<br />
est alors accru.<br />
• La disponibilité de plus d’eau d<br />
favorise la production halieutique.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II Évaluation<br />
économique ( suite)<br />
II.3 Forêt, chasse, pêche et élevage (suite)<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• L’extension de l’aire l<br />
de pâturage et la disponibilité de l’eau l<br />
conduit à la réduction r<br />
des pertes de bétailb<br />
• Améliore la part de l’él<br />
’élevage dans le PIB des états grâce à<br />
l’accroissement et à l’amélioration du pâturage qui réduit r<br />
les déplacements d<br />
du cheptel ( élevage extensif dominant )<br />
• Le bénéfice b<br />
est la quantité additionnelle du cheptel<br />
résultant de l’accroissement l<br />
de fourrage calculée e en<br />
multipliant celui-ci ci par le coût t unitaire<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II - Évaluation<br />
économique ( suite)<br />
II.4 - Impact sur l’eau l<br />
domestique<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• Face à l’accroissement des besoins en eau des populations<br />
dû à la démographie d<br />
et aux changements climatiques,<br />
l’augmentation des précipitations par ensemencement des<br />
nuages constitue une option prometteuse.<br />
• Une étude menée, e, a montré que pour un accroissement<br />
annuel de 5% des retenues, plusieurs pays à l’horizon<br />
20025/2030 verraient leurs besoins substantiellement<br />
couverts.<br />
• Il faut déterminer d<br />
la quantité d’eau additionnelle disponible<br />
dans les barrages, retenues d’eau d<br />
et mares, et utilisable<br />
pour la population.<br />
• Le bénéfice b<br />
est détermind<br />
terminé en calculant le coût t qui serait<br />
engagé, , selon d’autres d<br />
solutions techniques, pour délivrer d<br />
la<br />
même quantité d’eau domestique additionnelle que celle<br />
résultant de l’ensemencement l<br />
des nuages.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
II- Évaluation<br />
économique ( suite)<br />
II.4 - Impact sur l’eau l<br />
domestique (suite )<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
Selon les estimations faites par l’étude réalisée en 2003 pour le programme régional APENS,<br />
on a la situation suivantes pour certains pays (dont les données disponibles) de la zone<br />
CILSS :<br />
Pays Demande globale<br />
en eau en<br />
2000/2005<br />
Burkina Faso 334.7*10 6 m 3 /an<br />
(total)<br />
Cap Vert 2.3*10 6 m 3 /an<br />
(total)<br />
Gambie 9.3*10 6 m 3 /an<br />
(total)<br />
Demande globale en<br />
eau en 2025/2030<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1<br />
Accroissement absolu<br />
de la demande en eau<br />
876*10 6 m 3 /an (total) 541.4*10 6 m 3 /an<br />
84738 m 3 /j (total) 28.63*10 6 m 3 /an<br />
186613m 3 /j (total)<br />
Source : Document de programme APENS (2004)<br />
58.82*10 6 m 3 /an
O7<br />
III - Détermination des coûts<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• La détermination d<br />
des coûts prend en compte les équipements<br />
(radars, vecteurs aériens a<br />
et terrestres, les télécommunications, t<br />
le<br />
réseau de mesure et d’observation, d<br />
les véhicules v<br />
tenant compte des<br />
l’amortissement) et le fonctionnement qui comprend outre les<br />
salaires, les consommables, l’entretien l<br />
et la maintenance, etc.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
Slide 13<br />
O7 OWNER, 4/2/2007
IV- Détermination des bénéficesb<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• Pour chaque usage avec 2 scenarii (5% et 10%), les bénéfices b<br />
sont<br />
calculés<br />
IV.1- Le rapport bénéfice b<br />
/coût<br />
L’analyse financière fait au plan régional, r<br />
incorpore par année e sur<br />
un tableau d’exploitation d<br />
prévisionnel, les estimations du coût t du<br />
programme, les flux financiers attendus par secteur, les marges<br />
brutes sur la base d’un d<br />
certain nombre d’hypothd<br />
hypothèses:<br />
. le développement d<br />
de la pêche et de la chasse procure un flux<br />
supplémentaire de cinq(5) milliards de FCFA;<br />
.la perte de biomasse due à l’érosion, la baisse des rendements<br />
agricoles sont de 3% par an<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
IV.1 - Le rapport bénéfice /coût (suite)<br />
Tableau de synthèse de ces différents éléments.<br />
Rubriques Année1 Année2 Année3 Année4 Année5 Total<br />
A Investissements 1545.7 14207.2 14132.9 14132.9 13676.903 57695.603<br />
B Culture du coton : flux financier 0 4000 4000 4000 4000 16000<br />
supplémentaire pour une<br />
superficie de 100000ha<br />
C Culture du riz par irrigation : 0 10500 11025 11550 12075 45150<br />
flux financier supplémentaire<br />
pour une superficie de<br />
350000ha<br />
D Elevage : estimation de flux 0 1821.15 1821.15 1821.15 1821.15 7284.6<br />
financier supplémentaires<br />
E Flux financier supplémentaires 0 5000 5000 5000 5000 20000<br />
dus au développement de la<br />
pêche et de la chasse<br />
F Perte due à l’érosion engendrée 0 7807.5 7807.5 7807.5 7807.5 31230<br />
par l’ensemencement<br />
G Marge Brute -1545.7 -693.55 -94.25 430.75 1411.747 -491.003<br />
H Marge Brute cumulée -1545.7 -2239.25 -2333.5 -1902.75 -491.003<br />
Marge brute G = (B + C + D + E) – (A + F)<br />
NB : Cette marge brute peut être considérée comme déjà actualisée compte tenu du fait que les montants<br />
des différentes rubriques ont été estimé en tenant compte de l’actualisation.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
IV.1- Le rapport bénéfice b<br />
/coût t (fin)<br />
• Donc pour un rendement moyen annuel de coton de 600 kg/ha, ce<br />
rendement va baisse à (600*0.97) = 582 kg/ha soit une moyenne<br />
absolue de 18 kg/ha et donc de 18*4) = 72kg/ha pour quatre (4)<br />
ans. Cette baisse équivaut alors pour une aire de 100000ha cultivée<br />
à une baisse de la récolte r<br />
de 7200000 kg soit une perte de flux<br />
financier net de (400*7200000) = 2.88 milliards de francs CFA pour<br />
les quatre années<br />
;<br />
• de même pour un rendement moyen annuel de riz irrigué de 4.5t/ha<br />
sur la période p<br />
considérée, la baisse va donner un rendement de<br />
(4.5*0.97) =4.635t/ha soit une baisse moyenne absolue de 0.135<br />
t/ha équivalente<br />
à (0.135*4) = 0.54 t/ha pour 4 ans. Ainsi, pour<br />
une superficie irriguée e de 350000 ha, cela revient à une baisse de la<br />
récolte de (0.54*350000) = 189000 tonnes de riz. Cette quantité de<br />
riz perdue correspond à une perte de flux financier de<br />
(150000*189000) = 28.35 milliards de francs CFA pour les quatre<br />
années;<br />
• Tout cela conduit à estimer une perte pour l’ensemble l<br />
(coton et<br />
culture du riz par irrigation) de 31.23 milliards de francs CFA pour<br />
quatre années.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
V- Avantages sociaux<br />
• L’impact socio-économique conomique de l’ensemencement l<br />
des nuages concerne<br />
les rapports sociaux et a une incidence sur la vie économique et<br />
sociale des populations ;<br />
• Les avantages sociaux retenus, sans que cette liste ne soit exhaustive<br />
sont :<br />
• L’amélioration de la balance de paiement des Etats en économisant sur<br />
l’acquisition de combustible fossile pour la production d’éd<br />
’électricité ;<br />
• La diminution de l’importance l<br />
des épidémies de méningite m<br />
en cas de<br />
traitement précoce La littérature renseigne que pour une pluie<br />
précoce de 3mm, le nombre de cas de méningite m<br />
cérébroc<br />
bro-spinale peut<br />
tomber de 50% ;<br />
• Sécurisation / augmentation de la production agricole ;<br />
• Réduction des tensions sociales ;<br />
• Réduction des déplacements d<br />
de populations.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
V- Avantages sociaux (suite)<br />
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
• Réduction des conflits liés à l’exploitation des ressources naturelles<br />
(éleveurs / agriculteurs) ;<br />
• Contribution à une meilleure santé de la population ;<br />
• Contribution à la réduction r<br />
de la pauvreté ;<br />
• Réduction des rejets de gaz polluants et à effets de serre ( à cet effet,<br />
à titre illustratif la Centrale de Ouaga II, a rejeté en 2002 les polluants<br />
et gaz ci-dessous<br />
:<br />
Rejets de polluants provenant de la production de la Centrale<br />
électrique de Ouaga II en 2002 (source SONABEL)<br />
CO2 SO2 NO2 Cendres<br />
90624124,56 Kg 380786,76 Kg 142935,42 Kg 378796,646 Kg<br />
• Contribution à la lutte contre la désertificationd<br />
;<br />
• Accroissement du PIB ;<br />
• Accroissement de l’offre l<br />
hydrique.<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
VI- Désavantages<br />
• Enchérissement des prix des produits agricoles (céréales,<br />
cheptel, etc) ;<br />
• Risque d’augmentation d<br />
de certaines maladies liées<br />
à<br />
l’eau (paludisme, bilharziose,…);<br />
• Risque de destruction d’ouvrages d<br />
(routes, ponts, digues<br />
de barrages et retenues d’eau, d<br />
…) ;<br />
• Risque d’inondations d<br />
locales ;<br />
• Aggravation de l’él<br />
’érosion hydrique ;<br />
• Risque de pollution de l’environnement l<br />
par les produits<br />
utilisés s (Ag, I, Ca, Na, ..)<br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1
<strong>Programme</strong> <strong>SAAGA</strong><br />
© 2005 <strong>SAAGA</strong> 1