saison-culturelle-abbevilloise-2012-2013 - Communauté de ...
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La richesse patrimoniale d’Abbeville permettra cette année <strong>de</strong> vivre et <strong>de</strong> découvrir les œuvres non<br />
seulement dans notre beau théâtre à l’italienne ou à l’Espace Culturel Saint André, mais aussi dans la<br />
chapelle du Carmel, dans nos parcs et jardins, dans le Magic Mirror, sous le chapiteau d’un cirque, dans<br />
les rues, les cafés et les salles publiques <strong>de</strong>s communes <strong>de</strong> l’Abbevillois…<br />
Cette <strong>saison</strong> <strong>culturelle</strong> <strong>2012</strong>-<strong>2013</strong> ne sera que surprise, enchantement, émerveillement.<br />
Tout au long <strong>de</strong>s Quatre Saisons Culturelles, notre Ville écrira ainsi un scénario au sein duquel se<br />
croiseront <strong>de</strong>s artistes locaux, régionaux, nationaux et internationaux qui offriront aux publics, enfants<br />
et adultes, <strong>de</strong>s spectacles pour la plupart en création.<br />
Espace <strong>de</strong> diffusion aujourd’hui renommé dans le nord ouest <strong>de</strong> la France, les Scènes d’Abbeville sont<br />
cette <strong>saison</strong> encore associées à <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s références internationales du spectacle vivant : Carolyn<br />
Carlson et le Centre Chorégraphique National <strong>de</strong> Roubaix pour la danse, Nora Granovsky et la Comédie<br />
<strong>de</strong> Picardie pour le théâtre, Jean-Philippe Courtis pour la voix et Killa Carltoon pour les arts urbains.<br />
Chaque ren<strong>de</strong>z-vous proposé par les Scènes d’Abbeville sera une belle découverte : la scène française<br />
avec Yves Jamait, Hubert Félix Thiéfaine ou Rover, la scène lyrique avec La Traviata dirigée par Amaury du<br />
Closel ou encore La Reine Margot composée et dirigée par Goran Bregovic avec son célèbre Orchestre<br />
<strong>de</strong>s Mariages et <strong>de</strong>s Enterrements accompagné par les Voix Bulgares et le Chœur d’Hommes <strong>de</strong> Belgra<strong>de</strong>.<br />
L’actualité <strong>culturelle</strong> internationale transformera le théâtre en dance floor avec le concert événementiel<br />
du groupe mythique Earth, Wind & Fire ou encore les canadiens Propofol qui seront à l’affiche <strong>de</strong>s soirées<br />
club <strong>de</strong> l’Espace Culturel Saint André.<br />
Les artistes locaux seront également à l’honneur avec la création circassienne <strong>de</strong>s Mains Goch’ accompagnés<br />
par l’Orchestre d’Harmonie d’Abbeville en ouverture du spectacle équestre <strong>de</strong> Pagnozoo, Lucas<br />
Parton et les Funky Jet, le groupe After’s qui rendra un hommage à U2 ainsi que la jeune scène Abbevilloise<br />
<strong>de</strong> l’Espace Culturel Saint André qui nous donne ren<strong>de</strong>z-vous à ces soirées club.<br />
Je vous souhaite à toutes et à tous quatre belles <strong>saison</strong>s <strong>culturelle</strong>s !<br />
Nicolas Dumont<br />
Maire d’Abbeville<br />
Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la Communauté <strong>de</strong> Communes <strong>de</strong> l’Abbevillois
a<br />
u<br />
t<br />
o<br />
m<br />
ne
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
centre ville<br />
places<br />
jacques becq<br />
& max lejeune<br />
samedi 15<br />
septembre<br />
<strong>2012</strong><br />
Le 1 er festival international<br />
<strong>de</strong>s arts <strong>de</strong> la<br />
rue Abbeville Street Art<br />
organisé dans le cadre<br />
<strong>de</strong>s Journées Européennes<br />
du Patrimoine<br />
sera l’occasion <strong>de</strong> rythmer<br />
les visites <strong>de</strong>s promeneurs<br />
dans notre<br />
ville par <strong>de</strong>s vagues <strong>de</strong><br />
poésie.<br />
Durant cette journée,<br />
Abbeville Street Art offrira<br />
au public un temps<br />
<strong>de</strong> bonheur pour faire<br />
le plein d’énergie !<br />
Cette journée est organisée en<br />
partenariat avec le Pôle National<br />
Cirque et Arts <strong>de</strong> la Rue.<br />
WET PICNIC (Gb)<br />
THE BIRTHDAY PARTY - Création <strong>2012</strong><br />
Durée : 35 mn<br />
Que se passe-t-il dans la tête d’un homme au cours<br />
d’un repas d’anniversaire ? Ce spectacle, oscillant<br />
entre humour noir, tragédie et comédie,abor<strong>de</strong> les<br />
thèmes <strong>de</strong> la solitu<strong>de</strong> et du souvenir .<br />
Avec : Matt Feerick, Graeme Cockburn, Charlotte<br />
Dubery, Judy Barrington Smuts, Mary Eddowes<br />
entre<br />
10h30 & 18h<br />
tout public<br />
arts <strong>de</strong><br />
la rue
GEORGE ORANGE (Gb)<br />
MAN ON THE MOON<br />
Durée : 35 mn<br />
Clown excentrique, George Orange a rapporté<br />
un morceau <strong>de</strong> lune dans ses bagages au cours<br />
<strong>de</strong> ses voyages. L’équilibriste se promène sur un<br />
croissant <strong>de</strong> lune : structure métallique et poétique<br />
sortie <strong>de</strong> son imaginaire… Souvent comparé<br />
à Jacques Tati ou à Mr Bean, George Orange<br />
compose <strong>de</strong>s spectacles à part…<br />
Des expériences inoubliables…<br />
Avec : George Fuller<br />
Abbeville<br />
Street Art 1<br />
Photo crédit : Mark Robson<br />
LARKIN’ ABOUT<br />
GRANNY TURISMO<br />
Durée : 30 mn<br />
Photo credit : Joël Verhoustraeten<br />
Pas d’attente à l’arrêt <strong>de</strong> bus pour ces dames !<br />
Doris, Marge et Mary forment la seule et unique<br />
équipe britannique <strong>de</strong> chariot <strong>de</strong> courses. En<br />
route vers nulle part mais toujours <strong>de</strong> retour<br />
pour l’heure du thé ! Suivez ces trois « ladies » qui<br />
pimentent leur train-train quotidien et partent<br />
sur les chapeaux <strong>de</strong> roues !<br />
Avec: Martin Taylor, Ric Taylor and Geof Atwell
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
Les soirées<br />
club<br />
tarif spécial<br />
découverte<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 30mn<br />
avant le concert<br />
assis / <strong>de</strong>bout<br />
bar & restauration<br />
légère sur place<br />
musiques<br />
actuelles<br />
TREMPLIN PICARDIE MOUV’<br />
PROPOFOL SAMEDI 20 10 <strong>2012</strong> 19h00<br />
BACHIBOUSOUK<br />
VENDREDI 28 09 <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
Originaire <strong>de</strong> Picardie, BachibouSouk donnent son premier concert le 21 juin 2008 sur<br />
une terrasse <strong>de</strong> bar Amiénois. Dès lors, ils débutent une histoire qui les mène, au gré <strong>de</strong><br />
plus <strong>de</strong> 150 concerts, sur les routes <strong>de</strong> Picardie puis <strong>de</strong> France et <strong>de</strong> Belgique.<br />
Ils auront ainsi l’occasion <strong>de</strong> partager l’affiche avec <strong>de</strong>s artistes qui les ont influencés<br />
comme entre autres : SINSEMILIA, Jacques HIGELIN, THIEFAINE, Les BLEROTS DE RA-<br />
VEL ou encore Emir KUSTURICA.<br />
Chanson française empreinte <strong>de</strong> Ska, <strong>de</strong> zouk, <strong>de</strong> reggae ou encore <strong>de</strong> swing, BachibouSouk<br />
mène une exploration musicale sans limites et pour tout public.<br />
SAMEDI 27 10 <strong>2012</strong> - 20h30<br />
HISTOIRE D’UN ART TRISTE<br />
De AZIZ EL YOUSSOUFI<br />
Un solo qui raconte une histoire, où le mouvement<br />
hip hop revient à ses racines parfois proches du<br />
mime, du <strong>de</strong>ssin animé, du robot ou du combat. Aziz<br />
a travaillé avec le désir que chaque mouvement ne<br />
soit pas une performance mais retrouve son sens originel,<br />
avec humour.<br />
Jonathan Gagné et Marie-Anne Arsenault sont dans divers<br />
projets musicaux <strong>de</strong>puis longtemps. Ayant une direction<br />
musicale et une énergie similaires, les <strong>de</strong>ux acolytes en<br />
viennent rapi<strong>de</strong>ment à vouloir développer leurs affinités ;<br />
ils veulent composer, écrire et mener leur propre barque.<br />
Grâce à leur expérience, ils savent exactement la direction<br />
et le son qu’ils veulent donner à leur projet : du pop-rockélectro<br />
en français, en mettant l’emphase sur les textures<br />
sonores <strong>de</strong>s claviers. Lui à la batterie, elle à la voix et à la<br />
basse, ils ont rapi<strong>de</strong>ment trouvé une formule qui déménage<br />
et leur ressemble. Après une année à composer et à se perfectionner en informatique,<br />
ils trouvent le 3e membre qui leur permet <strong>de</strong> passer du salon à la scène : Anh<br />
Phung. Musicienne aguerrie, sa fougue et son énergie complètent parfaitement le<br />
trio. Originaire <strong>de</strong> Vancouver, sa couleur apporte aux jeux <strong>de</strong> claviers et aux choeurs<br />
un accent unique.
DISIZ - Rap - VENDREDI<br />
11 01 <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
Ecrivain et rappeur<br />
né en 1978, Disiz a<br />
rencontré le succès<br />
en 2001 avec le légendaire<br />
“Je pète les<br />
plombs” et son album<br />
“Poisson Rouge”...En<br />
2006 il gagne une<br />
Victoire <strong>de</strong> la Musique<br />
pour son troisième<br />
album «Les Histoires<br />
extraordinaires d’un<br />
jeune <strong>de</strong> Banlieue».<br />
En 2008 il raccroche les gants du Hip Hop avec le classique<br />
Disiz The End pour se tourner vers l’hybri<strong>de</strong> et<br />
audacieux album “Dans le ventre du Crocodile” qu’il<br />
signe sous le nom <strong>de</strong> Peter Punk. Accro à son premier<br />
amour musical, il revient au rap avec “Luci<strong>de</strong>”, un EP<br />
(6 titres)dans lequel il nous présente un Hip Hop<br />
haute couture comme on n’en fait plus, avec lucidité<br />
et originalité.<br />
soirées club<br />
AZZEDEEN/JOHNNY MADNESS<br />
JEUDI 14 03 <strong>2013</strong> - 20h30<br />
Dans le cadre du festival Les Nuits du Blues<br />
Azze<strong>de</strong>en est d’ici comme il est d’ailleurs :<br />
<strong>de</strong> Mantes-la-jolie, <strong>de</strong> Barbès, <strong>de</strong> Tunisie et<br />
même <strong>de</strong> Memphis - son blues est un grand<br />
voyageur. Il est partout chez lui et s’entend<br />
avec toutes les musiques : le folk, le rock, les<br />
musiques du Maghreb et la chanson française.<br />
Ses compagnons <strong>de</strong> route sont ainsi<br />
nombreux et si vous le croisez, n’hésitez<br />
pas à le retenir…<br />
Libanais, Johnny Madness fait ses premières imitations<br />
dès l’enfance : Il s’inspire <strong>de</strong> ses proches, <strong>de</strong><br />
ses amis, <strong>de</strong> ses profs, <strong>de</strong> commerçants…Mais c’est<br />
en arrivant en France en 1989 qu’il découvre la diversité<br />
<strong>de</strong> la variété française. Il déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> les imiter,<br />
puis viendront les présentateurs télé, les hommes<br />
politiques… Vers les années 2000 sa voix mue, il<br />
<strong>de</strong>vient baryton et découvre le « human beat box »<br />
(ou art <strong>de</strong> la percussion vocale) qu’il pratique sans<br />
relâche au point d’atteindre une précision et une<br />
clarté auxquelles le public se montre sensible.<br />
DJ PANIK / EVER NEVER - Electro<br />
VENDREDI 12 04 <strong>2013</strong> - 20h30<br />
Sous le pseudonyme «Ever Never» se<br />
cachent <strong>de</strong>ux musiciens Grégoire et Thomas.<br />
Véritable catalyseur d’émotion, leur<br />
musique s’imprègne d’une forte culture<br />
électronique (De Vitalic au Chemical<br />
Brothers) et d’une vraie expérience en<br />
matière <strong>de</strong> live. Armés <strong>de</strong> leurs machines<br />
analogiques ils proposent une vision mature,<br />
harmonique, sincère et percutante<br />
<strong>de</strong> l’univers qui les entoure.<br />
Ever Never est sans nul doute «Le<br />
Groupe» à suivre <strong>de</strong> très près pour cette<br />
année ou pour «toujours»…<br />
Dj Panik est un artiste incontournable <strong>de</strong> la scène<br />
drum ‘n’ bass internationale qui nous livre sur le plateau<br />
<strong>de</strong> l’Espace Culturel Saint André un mini mix <strong>de</strong><br />
30 min d’une efficacité redoutable. Ajoutez à cela une<br />
technique <strong>de</strong> mix irréprochable mariant dubplates<br />
du mon<strong>de</strong> entier, ses propres productions et remixes<br />
inedits, nul doute que Panik saura vous mettre en<br />
jambes pour cette 3ème soirée club <strong>de</strong> la <strong>saison</strong>!
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
MICHELE TORR<br />
en concert avec vous<br />
<strong>2012</strong> -13 Michelle Torr chante l’amour, la passion, le don <strong>de</strong> soi. Sa voix caressante et<br />
puissante, aux accents veloutés, émane <strong>de</strong>s tréfonds <strong>de</strong> son être. Cette artiste<br />
hors du commun offre un spectacle d’une grâce et d’une pureté rares, riche <strong>de</strong><br />
toutes les émotions. Avec sa présence, son talent, ses magistrales interprétations<br />
a cappella, sa voix claire, éclatante, avec ce rien <strong>de</strong> modulations rauques<br />
qui apportent une sensualité douce et prenante elle conquiert tous les publics.<br />
théâtre<br />
municipal<br />
production<br />
nuits d’ artistes<br />
08 92 70 04 62<br />
vendredi 5<br />
octobre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
tarif : 45 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
variétés
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
vendredi 12<br />
octobre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
la paix<br />
Vincent Colin et la troupe malgache Landy Vola Fotsy adaptent<br />
La paix d’Aristophane, plaidoyer pacifiste loufoque et décapant.<br />
Le théâtre, c’est la vie !<br />
L’un se nourrit <strong>de</strong> l’autre, et la<br />
troupe itinérante Landy Vola<br />
Fotsy scelle l’alliance au quotidien<br />
avec une extraordinaire<br />
constance, élevant l’art au<br />
rang <strong>de</strong> force indispensable,<br />
éducative et réjouissante.<br />
À Madagascar, un <strong>de</strong>s pays<br />
d’après Aristophane<br />
adaptation et mise en scène : Vincent Colin<br />
en collaboration avec : Doly Odéamson<br />
avec : Philippe Blancher et la Cie Landy Vola Fotsy<br />
conseil musical : Alex Sorres<br />
costumes : Juliette Adam<br />
lumières et régie : Alexandre Dujardin<br />
les plus pauvres <strong>de</strong> la planète, rongé par une sévère crise politique, la troupe dirigée<br />
par Doly Odémason a maintenu le cap avec ténacité et talent. Avec très peu <strong>de</strong><br />
moyens, les quinze comédiens-paysans sillonnent sans relâche les villages, dévoilent<br />
<strong>de</strong> frappantes concordances entre les oeuvres et l’histoire contemporaine <strong>de</strong> leur île.<br />
Le metteur en scène Vincent Colin, grand voyageur exigeant et curieux, collabore<br />
avec la troupe <strong>de</strong>puis dix ans. Ils ont monté ensemble Mille francs <strong>de</strong> récompense <strong>de</strong><br />
Victor Hugo, présenté à Paris en 2004, salué par la critique et le public. Il adapte aujourd’hui<br />
La paix du dramaturge grec Aristophane, qui dénonce 400 ans avant notre<br />
ère avec un humour courageux et décapant la guerre dévastatrice du Péloponnèse.<br />
Le vigneron Trygée, accablé par les malheurs <strong>de</strong> la guerre, part à la recherche <strong>de</strong> la<br />
déesse Paix au pays <strong>de</strong>s dieux <strong>de</strong> l’Olympe. Trygée <strong>de</strong>vient le paysan malgache Lagnole,<br />
qui s’en prend aux puissants et s’élève contre les affrontements meurtriers.<br />
La féerie du théâtre fait naître un rire libre et insolent, à travers une comédie politique et<br />
musicale rythmée, loufoque et flamboyante.<br />
tout public<br />
durée : 1h05<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
théâtre
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
mardi 16<br />
mercredi 17<br />
octobre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h10<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
danse<br />
artiste associée<br />
carolyn carlson<br />
HIDDEN<br />
CAROLYN CARLSON<br />
Avec Hid<strong>de</strong>n, quartet pour les danseurs du Centre Chorégraphique National, Carolyn Carlson<br />
s’immerge dans l’univers <strong>de</strong> Kaija Saariaho. Elle s’inspire <strong>de</strong> la spiritualité qui éclaire<br />
la musique <strong>de</strong> la compositrice finlandaise. La création <strong>de</strong> Carolyn Carlson se laisse porter<br />
par « les mystérieux appels émanant <strong>de</strong> l’âme », le souffle du secret caché <strong>de</strong>rrière chaque<br />
réalité emporte les quatre danseurs dans l’étrangeté d’un mon<strong>de</strong> entre ciel et terre. Affleurent<br />
<strong>de</strong>s images <strong>de</strong> l’invisible, expressions <strong>de</strong>s sources impénétrables <strong>de</strong> la vie.<br />
Projet d’excellence pour la compagnie, Hid<strong>de</strong>n est interprété par <strong>de</strong>s danseurs d’une<br />
gran<strong>de</strong> virtuosité.<br />
Chorégraphie Carolyn Carlson, avec la complicité <strong>de</strong>s interprètes<br />
Interprètes Jacky Berger, Yutaka Nakata, Isida Micani (ou Sara Orselli), Chinatsu Kosakatani<br />
Assistante chorégraphique Valentina Romito<br />
Musique oeuvres <strong>de</strong> Kaija Saariaho<br />
Montage et mixage son conçu par Carolyn Carlson et Rémi Malcou<br />
Lumières Rémi Nicolas<br />
Scénographie Carolyn Carlson avec la collaboration <strong>de</strong> Fifi et <strong>de</strong> Robert Pereira<br />
Vidéo Baptiste Evrard<br />
Costumes Chrystel Zingiro assistée <strong>de</strong> Manue Piat<br />
Poèmes <strong>de</strong> Saint-John Perse, dits par Amin Maalouf<br />
(extraits <strong>de</strong> l’album L’aile du songe <strong>de</strong> Kaija Saariaho)<br />
Caché<br />
…..mystérieux appels émanant <strong>de</strong> l’âme<br />
Prémices <strong>de</strong>s vents et <strong>de</strong> l’air<br />
Des pierres et <strong>de</strong>s jardins<br />
Le secret tapi dans le Tout<br />
…………vacillant dans les cieux<br />
La <strong>de</strong>rnière parole non dite<br />
Une gamme ron<strong>de</strong> et lointaine<br />
Sur fond <strong>de</strong> sifflement cosmique<br />
La terre prend l’o<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> l’air<br />
La pression <strong>de</strong> la roche<br />
L’air incorporé<br />
Un soupir <strong>de</strong> mère<br />
Houppelan<strong>de</strong>s d’oiseaux en plein vol<br />
La fusion primordiale<br />
La feuille <strong>de</strong> papier que vous avez dans les mains est un arbre.<br />
Carolyn Carlson
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
amour noir<br />
Avec un impeccable quatuor d’acteurs, Jean-Louis Benoit frappe vite et fort dans ces scènes<br />
<strong>de</strong> la vie conjugale signées Courteline, foncièrement pessimistes et terriblement drôles.<br />
textes : la peur <strong>de</strong>s coups, la paix chez soi, les boulingrin, <strong>de</strong> Georges Courteline<br />
mise en scène : Jean-Louis Benoit<br />
avec : Thomas Blanchard, Ninon Brétécher, SébastienThiéry, Léna Bréban<br />
scénographie : Laurent Peduzzi<br />
costumes : Marie Sartoux<br />
création lumière : Olivier Tisseyre<br />
maquillages et coiffures : Cécile Kretschmar<br />
régie générale et son : Jérémie Tison<br />
Production : La compagnie <strong>de</strong> Jean-Louis Benoit et Théâtre National <strong>de</strong> Marseille La Criée<br />
La compagnie <strong>de</strong> Jean-Louis Benoit est subventionnée par le Ministère <strong>de</strong> la Culture et <strong>de</strong> la communication.<br />
théâtre<br />
municipal<br />
vendredi 26<br />
octobre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h30<br />
tarif : a<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
«Il n’a pas l’air gai, monsieur Courteline (…), mais avec son air <strong>de</strong> pompes funèbres, il a mis la salle<br />
en joie...» Le metteur en scène Jean-Louis Benoit souligne ainsi la qualité <strong>de</strong> ces pièces à la<br />
fois farcesques et terriblement sombres, comiques et fondamentalement pessimistes, ordinaires<br />
et foncièrement cruelles. Courteline a choisi <strong>de</strong> rire <strong>de</strong> la tragédie ! La tragédie <strong>de</strong><br />
l’amour sans amour, menant tout droit à la violence la plus pernicieuse et la plus cruelle.<br />
Contrairement aux vau<strong>de</strong>villistes Fey<strong>de</strong>au ou Labiche, Courteline n’utilise pas d’intrigues élaborées<br />
ni <strong>de</strong> quiproquos mais croque sur le vif <strong>de</strong>s tranches <strong>de</strong> vie en entomologiste minutieux.<br />
Trois pièces très brèves en un acte, exposent ces fulgurantes scènes <strong>de</strong> la vie conjugale.<br />
Dans La peur <strong>de</strong>s coups, un mari pleutre accuse sa femme <strong>de</strong> s’être comportée<br />
comme une fille auprès d’un capitaine, dans La paix chez soi, un littérateur<br />
minable veut acheter sa tranquillité en soumettant son épouse rouée à un<br />
système d’amen<strong>de</strong>s, et enfin, dans Les Boulingrin, Monsieur et Madame se déchirent copieusement<br />
et prennent en otage <strong>de</strong> leur haine dévastatrice leur invité, Monsieur <strong>de</strong>s Rillettes.<br />
La fin délirante et hilarante explose en apothéose.<br />
Comme Courteline, Jean-Louis Benoit<br />
frappe vite et fort grâce à une mise en scène<br />
vive et endiablée <strong>de</strong> bout en bout, interprétée<br />
par un quatuor d’acteurs impeccables.<br />
Férocement drôle !<br />
théâtre
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
dimanche 11<br />
novembre <strong>2012</strong><br />
16h00<br />
EARTh WIND & FIRE<br />
experience<br />
feat AL MC KAY<br />
C’est l’événement du début <strong>de</strong> la <strong>saison</strong> <strong>culturelle</strong> <strong>abbevilloise</strong> qui invite dans le cadre<br />
du festival Picardie Mouv le groupe mythique <strong>de</strong>s années 70, Earth, Wind & Fire. Formation<br />
fondée en 1969 par Maurice White et dénommée aujourd’hui Earth Wind & Fire<br />
Exprerience, elle est à nouveau à la mo<strong>de</strong> par la grâce d’une présence dans la BO du film<br />
Intouchables. Rassemblés autour du guitariste Al McKay (compositeur entre autres titres<br />
du hit September) et du trompettiste Michael Haris, 13 musiciens sur scène dont quatre<br />
cuivres qui assènent le funk et <strong>de</strong>s claviers qui conservent cette touche symphonique<br />
qui avait fait la renommée d’AW&F donneront un concert époustouflant à l’occasion <strong>de</strong><br />
la sortie d’un nouvel album intitulé «Now, Then & Forever».<br />
Première partie découverte<br />
funky jet<br />
Groupe abbevillois né d’une fusion <strong>de</strong> musiciens issus<br />
d’univers musicaux différents, aux influences allant du<br />
jazz jusqu’aux grands noms <strong>de</strong> la funk.<br />
Grâce à son énergie débordante, Funky Jet emmène<br />
son public au coeur <strong>de</strong>s 70’s pour un voyage sans<br />
limites...<br />
A l’occasion <strong>de</strong> cette soirée, le groupe vous dévoilera<br />
son premier opus. Alors, Get ready to the funk!<br />
durée : 3h00<br />
tarif : 5 & 10 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 14h30<br />
assis - <strong>de</strong>bout<br />
placement libre<br />
festival<br />
picardie<br />
mouv
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
orchestre <strong>de</strong> picardie<br />
Un moment musical européen<br />
Wolfgang Ama<strong>de</strong>us Mozart: Divertimento in D major K.136<br />
Felix Men<strong>de</strong>lssohn: Octuor op.20<br />
Wolfgang Ama<strong>de</strong>us Mozart: Séréna<strong>de</strong> K.525 « Eine Kleine Nachtmusik »<br />
interprètes :<br />
Taiping Wang, Florence Dumé, Caroline Lalancette, Ivayalo Danailov – violons,<br />
Hristo Arolski, Radoslav Yordanov – altos,<br />
Stanislav Ouchinkin, Boris Radilov – violoncelles<br />
Un groupe <strong>de</strong> musique <strong>de</strong> chambre composé <strong>de</strong> musiciens <strong>de</strong> l’Orchestre <strong>de</strong> Picardie et<br />
du New Symphony Orchestra Sofia (Bulgarie) partenaire du Réseau Européen d’Orchestres<br />
ONE® présente trois gran<strong>de</strong>s œuvres du répertoire pour octuor à cor<strong>de</strong>s.<br />
chapelle<br />
du carmel<br />
samedi 17<br />
novembre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h05<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 20h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
musique<br />
classique<br />
Au programme, <strong>de</strong>ux inaltérables bijoux <strong>de</strong> Mozart <strong>de</strong> caractères très différents :<br />
le Divertimento KV 136 (1772) est une délicieuse petite symphonie à l’italienne en<br />
trois mouvements datant <strong>de</strong>s années salzbourgeoises alors que la célèbre Petite<br />
Musique <strong>de</strong> Nuit, composée bien plus tard, à Vienne en 1787, appartient au genre<br />
« léger » <strong>de</strong> la séréna<strong>de</strong>. Quatre mouvements, tous inoubliables, s’y succè<strong>de</strong>nt<br />
sans coutures ni remplissage, illuminés d’une grâce, d’un naturel, d’une évi<strong>de</strong>nce<br />
<strong>de</strong> tous les instants.<br />
En 1825, dans la maison familiale <strong>de</strong>s Men<strong>de</strong>lssohn <strong>de</strong>s faubourgs <strong>de</strong> Berlin, vit<br />
le jour une œuvre qui allait révéler au mon<strong>de</strong> le génie d’un adolescent <strong>de</strong> seize<br />
ans. C’est après avoir entendu le double quatuor à cor<strong>de</strong>s <strong>de</strong> Ludwig Spohr que<br />
Men<strong>de</strong>lssohn eut l’idée d’écrire quelque chose dans le même genre. Loin <strong>de</strong> cette<br />
formule « expérimentale » cependant, le jeune musicien, qui avait complètement<br />
assimilé les modèles du classicisme viennois, avait inventé tout autre chose :<br />
une texture sonore inédite, tenant à la fois <strong>de</strong> la musique <strong>de</strong> chambre et du style<br />
symphonique, et, surtout, un élan, une tension, une violence parfois, qui font <strong>de</strong><br />
l’Octuor pour cor<strong>de</strong>s le symbole même <strong>de</strong> la fougueuse jeunesse du romantisme.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
le moche<br />
Artiste associée à la Comédie <strong>de</strong> Picardie et aux Scènes d’Abbeville, Nora<br />
Granovsky met en scène la comédie délirante et percutante <strong>de</strong> Marius<br />
von Mayenburg, qui interroge et dénonce la dictature <strong>de</strong> la beauté.<br />
<strong>2012</strong> -13Comédie satirique, cruelle et délirante, Le Moche dénonce la dictature <strong>de</strong> la beauté et la<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
vendredi 23<br />
novembre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h20<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 20h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
théâtre<br />
artiste associée<br />
Nora Granovsky<br />
toute puissance <strong>de</strong>s canons normatifs qui la définissent et l’imposent. C’est bientôt la<br />
société tout entière, et chacun <strong>de</strong>s individus qui la composent, qui se trouvent à la botte<br />
<strong>de</strong>s diktats <strong>de</strong> l’apparence. Dans le mon<strong>de</strong> du travail, soumis à une implacable course au<br />
ren<strong>de</strong>ment, et au sein <strong>de</strong>s relations amoureuses, la spirale inflationniste est en marche.<br />
Lette, ingénieur talentueux, vient <strong>de</strong> mettre au point le connecteur 2CK, mais c’est son<br />
assistant Karlmann qui doit le présenter à un congrès, car le physique <strong>de</strong> Lette n’est pas<br />
assez séduisant. Rentré chez lui, sa femme confirme : «tu es moche», ce qui le mène chez le<br />
Dr Scheffler pour une chirurgie esthétique. Il acquiert une beauté si irrésistible qu’il réussit<br />
tout, et le mé<strong>de</strong>cin s’empresse <strong>de</strong> réaliser le même visage à d’autres.<br />
Bientôt la chute inexorable s’annonce…<br />
Le théâtre nous tend ici un miroir déformant et pourtant haute définition !<br />
<strong>de</strong> Marius Von Mayenburg<br />
texte francais Hélène Mauler<br />
et René Zahnd<br />
L’Arche est éditeur<br />
et agent théâtral du texte représenté.<br />
mise en scène : Nora Granovsky<br />
son : Braka<br />
costumes/scénographie :<br />
Nora Granovsky<br />
lumières : David Laurie<br />
avec : Bruno Buffoli, Christophe Carassou,<br />
Sarah Lecarpentier, Maxence Van<strong>de</strong>vel<strong>de</strong><br />
Production : BVZK<br />
Avec le soutien du Conseil général du Pas <strong>de</strong> Calais,<br />
du Conseil régional Nord - Pas-<strong>de</strong>-Calais,<br />
<strong>de</strong> la DRAC Nord - Pas-<strong>de</strong>-Calais,<br />
<strong>de</strong> la Ville <strong>de</strong> Harnes,<br />
<strong>de</strong> la Communauté d’agglomération Hénin-Carvin (CAHC)
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
du 22 au 25<br />
novembre <strong>2012</strong><br />
tout public<br />
tarif : découverte<br />
assis<br />
placement libre<br />
théâtre<br />
amateur<br />
théâtre amateur<br />
rencontres départementales<br />
JEUDI 22 NOV<br />
20h30-Compagnie Des Rives - Mais 68<br />
Dramaturgie-Mise en scène-Lumière-Son : Julie-Anne Roméo<br />
Durée : 1h45<br />
SAMEDI 24 NOV<br />
15h-Compagnie Théâtre tiroir<br />
Le Paradoxe <strong>de</strong> l’écrivain sur et <strong>de</strong> Jean-Jacques Rousseau<br />
Scénographie et mise en scène : Philippe Georget<br />
Durée : 1H40<br />
18-19H30 : Apéro-débat avec Jean-Paul Alègre sur la question <strong>de</strong> l’écriture<br />
théâtrale.<br />
Partenariat FNCTA : Gilles El Zaim et Guy Mignien<br />
20H30 : Compagnie les lurons - Suite 1<br />
Mise en scène : Mavikana BADINGA<br />
Durée: 1h30<br />
DIMANCHE 25 NOV<br />
15 h- Compagnie Les Castels Blanc - La tête à Topors<br />
Scènes écrites et adaptées par Alexis Tripier<br />
Durée : 20 minutes<br />
16h30- Collectif Éphémère<br />
Apéro Loufoque Autour <strong>de</strong> la Femme<br />
Mise en scène : Thierry Mercier<br />
Durée : 45 minutes<br />
18h : Match d’improvisation avec le MIAM<br />
Les différentes troupes se rencontrent sur scène à l’improviste autour<br />
d’une sélection <strong>de</strong> textes contemporains (textes tirés <strong>de</strong>s ateliers<br />
d’écriture menés à Abbeville).<br />
19h30 : Compagnie L’halluette - Un train pas tout à fait comme les autres<br />
Mise en scène : Christelle Thuillier<br />
Durée : 45 minutes
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
ORCHESTRE DE PICARDIE<br />
Direction : Arie van Beek<br />
Sergueï Prokofiev : Pierre et le Loup opus 67<br />
Après une présentation <strong>de</strong>s instruments par les musiciens,<br />
le film d’animation <strong>de</strong> Suzie Templeton “Pierre et le Loup”<br />
sera projeté en complément <strong>de</strong> l’œuvre musicale.<br />
Une occasion unique pour les enfants<br />
<strong>de</strong> découvrir un grand chef-d’œuvre<br />
<strong>de</strong> la musique classique<br />
<strong>de</strong> façon originale et ludique.<br />
théâtre<br />
municipal<br />
vendredi 30<br />
novembre <strong>2012</strong><br />
10h30<br />
14h30<br />
Jeune public<br />
dès 6 ans<br />
durée : 60mn<br />
tarif scolaire<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 10h & 14h<br />
assis<br />
placement libre<br />
ciné<br />
concert<br />
Pierre et le Loup<br />
Le babil <strong>de</strong> l’oiseau-flûte, la sinuosité peureuse<br />
du canard au hautbois, les pattes <strong>de</strong><br />
velours du chat à la clarinette, les admonestations<br />
bourrues du grand-père au basson,<br />
sans oublier, aux cor<strong>de</strong>s, le frais et radieux<br />
thème <strong>de</strong> Pierre… Avec ses fameuses présentations<br />
d’instruments, Pierre et le Loup<br />
(1936) est <strong>de</strong>venu un modèle jamais égalé<br />
<strong>de</strong> l’illustration musicale pour les enfants.<br />
Mais on découvrira aussi avec grand intérêt<br />
la récente version cinématographique du<br />
chef-d’œuvre <strong>de</strong> Prokofiev.<br />
L’aimable manichéisme du conte original<br />
y est profondément transformé au profit<br />
d’un émouvant récit d’apprentissage dans<br />
la Russie d’aujourd’hui. Tour à tour réalistes<br />
et poétiques, les images animées font<br />
mouche à chaque fois. Et, surtout, la réalisatrice<br />
britannique Suzie Templeton a su<br />
parfaitement adapter son propos à la merveilleuse<br />
musique <strong>de</strong> Prokofiev, qui semble<br />
ici dotée d’une portée toute nouvelle.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
Tigers in the tea house<br />
carolyn carlson<br />
Chorégraphie : Carolyn Carlson<br />
Assistant artistique : Quentin Rouillier<br />
Interprétation : Jacky Berger, Yutaka Nakata, Zheng Wu<br />
Musique originale : John Boswell<br />
Lumières : Emma Juliard<br />
Costumes : Tajung-Lina Wu, Yusuke Otsuka<br />
Scénographie : Euan Burnet-Smith<br />
Création originale <strong>de</strong>s rôles : Yutaka Takei, Zheng Wu et Won Myeong Won<br />
«Un cercle dont la circonférence est nulle part et dont le centre est partout», Pensée Zen<br />
théâtre<br />
municipal<br />
dimanche 2<br />
<strong>de</strong>cembre <strong>2012</strong><br />
16h00<br />
tout public<br />
durée : 1h10<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 15h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
danse<br />
artiste associée<br />
carolyn carlson<br />
« J’ai rencontré trois danseurs hors du commun avec une énergie et une vision extraordinaires.<br />
Leur puissance silencieuse ressemble à celle <strong>de</strong> tigres endormis surgissant d’une<br />
attitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> repos pour révéler une énergie indomptée, saisissant ainsi la poésie d’une<br />
méditation en action.<br />
À la suite <strong>de</strong> mes voyages en Extrême-Orient et d’années d’étu<strong>de</strong> et <strong>de</strong> pratique <strong>de</strong>s philosophies<br />
Zen - Bouddhistes, qui m’ont profondément influencée, j’ai fait la rencontre <strong>de</strong><br />
ce « trio ». Ces artistes créatifs sont une source d’inspiration : le coeur <strong>de</strong> ma recherche la<br />
plus personnelle sur les visions <strong>de</strong> l’existence orientales et occi<strong>de</strong>ntales.<br />
Ce nouveau travail tisse la tapisserie <strong>de</strong> la culture orientale en tant que représentation<br />
d’un mouvement circulaire dans le flux et le mysticisme, l’Ouest étant représenté<br />
comme un vol linéaire dans un perpétuel mouvement en avant.<br />
Des postures méditatives, créant un « Haiku » visuel, se diffusent<br />
tranquillement pour répondre au besoin d’activation du temps<br />
et <strong>de</strong> l’espace, <strong>de</strong>s images surgissant avec une énergie indomptée.<br />
La contemplation entre <strong>de</strong>ux mon<strong>de</strong>s : l’action, la non-action,<br />
l’être, le non-être, se transforme en une visite mystique, où<br />
tout ce qui est à l’arrêt peut faire bouger l’univers ».<br />
Carolyn Carlson
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
ginger<br />
production<br />
0892 704 204<br />
samedi 8<br />
<strong>de</strong>cembre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
tarif : 39 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
concert<br />
Écorché vif au lyrisme percutant, Hubert-Félix Thiéfaine est un<br />
poète artisan discret et luci<strong>de</strong> qui, en près <strong>de</strong> 35 ans <strong>de</strong> carrière,<br />
a su transcen<strong>de</strong>r doutes, angoisses et épreuves pour forger, à<br />
l’écart <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s frivolités, une œuvre <strong>de</strong>nse, singulière,<br />
résolument à part. 2011 a marqué le grand retour d’Hubert<br />
Félix Thiéfaine avec une nouvelle tournée et un nouvel album.<br />
La tournée HOMO PLEBIS ULTIMAE TOUR est une occasion exceptionnelle<br />
<strong>de</strong> parcourir en live trente ans d’une carrière inclassable<br />
mais aussi et surtout <strong>de</strong> découvrir les titres du nouvel opus<br />
du chanteur-poète Suppléments <strong>de</strong> mensonges produit par Edith<br />
Fambuena et Jean-Louis Pierot.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
Trai ts d’union<br />
L’art français et américain <strong>de</strong> l’après-guerre, 1940 – 2000<br />
Le Musée d’Abbeville met à l’honneur <strong>de</strong>s artistes français et américains <strong>de</strong><br />
l’après-guerre afin <strong>de</strong> présenter les liens formels et stylistiques qui les unissent.<br />
Un trait d’union entre <strong>de</strong>ux continents. Couleurs et formes possédant un rythme<br />
évolutif, lignes et traits ciselant les toiles. Seront présentées <strong>de</strong>s oeuvres d’artistes<br />
ayant travaillé en France et aux Etats-Unis au cours <strong>de</strong> la secon<strong>de</strong> moitié du<br />
XXe siècle : Bazaine, Le Moal, Kijno, Estève, Singier, Manessier, Soulages, Pollock,<br />
Tal Coat, De Staël, Poliakoff, Schnei<strong>de</strong>r, Jenkins et Hartung.<br />
musée<br />
du samedi 3<br />
novembre <strong>2012</strong><br />
au mercredi 3<br />
mars <strong>2013</strong><br />
Tarifs :<br />
Musée + expo : 3 €.<br />
Gratuit pour les<br />
moins <strong>de</strong> 18 ans<br />
exposi tion<br />
Conseillers scientifiques :<br />
Pierre Encrevé, Christine Manessier et Eric <strong>de</strong> Chassey, Directeur <strong>de</strong> la Villa Médicis<br />
©Fondation Gandur pour l’art. ADAGP-Paris <strong>2012</strong>
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
ARAT KILO<br />
Ethio-jazz<br />
Jeudi 13 décembre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
place<br />
max<br />
lejeune<br />
magic mirror<br />
du 13 au 16<br />
<strong>de</strong>cembre<br />
<strong>2012</strong><br />
L’Éthiopie fascine <strong>de</strong>puis longtemps les mon<strong>de</strong>s <strong>de</strong> la<br />
musique. Bien sûr, on connaît le rastafarisme mystique<br />
<strong>de</strong> Marcus Garvey injecté dans les gènes du reggae<br />
jamaïcain.<br />
La musique d’Arat Kilo prend une autre trajectoire<br />
en s’aventurant sur le terrain <strong>de</strong> l’Ethio-jazz et l’Ethio<br />
groove. Oui, Arat Kilo est fasciné par cette pério<strong>de</strong> très<br />
spéciale <strong>de</strong> la musique éthiopienne, au point d’en faire<br />
le coeur <strong>de</strong> son répertoire.<br />
Avec Arat Kilo, on n’est pas dans l’orthodoxie, les garçons<br />
n’hésitent pas à flirter avec le reggae et à frayer avec le<br />
dub atmosphérique. Ajoutez-y une prise <strong>de</strong> son et un<br />
mixage à la hauteur <strong>de</strong> leurs ambitions : nous voilà embarqués<br />
pour une... Nuit en Abyssinie. Et plus si affinités !<br />
entrée libre<br />
bar & restauration<br />
légère sur place<br />
concerts<br />
musique<br />
du mon<strong>de</strong><br />
Photo crédit : Marc Bentégeat<br />
Photo : D.R.
EL GAFLA<br />
Salam à toi<br />
Vendredi 14 décembre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
El Gafla, (la caravane en arabe), est un combo rock oriental<br />
<strong>de</strong> sept musiciens qui associe l’énergie du rock aux<br />
rythmes méditerranéens sur <strong>de</strong>s textes franco-arabes.<br />
Karim Chaya insuffle une vie débordante à une poésie<br />
délicate, zébrée <strong>de</strong> virulence. Dans les pas <strong>de</strong> la Mano<br />
Negra, <strong>de</strong>s Négresses Vertes ou encore <strong>de</strong> Zebda, cette<br />
<strong>de</strong>uxième soirée consacrée aux noëls du mon<strong>de</strong> est une<br />
invitation à l’ouverture, à la fête et à la danse.<br />
Irrésistiblement.<br />
Photo crédit : Julien Mouroux<br />
magic mirror<br />
noëls du mon<strong>de</strong><br />
SLONOVsKI BAL<br />
Musique <strong>de</strong>s Balkans<br />
Samedi 15 décembre <strong>2012</strong><br />
20h30<br />
Depuis plus <strong>de</strong> dix ans, Slonovski Bal puise son énergie<br />
aux sources <strong>de</strong>s musiques balkaniques et orientales. Le<br />
groupe enflamme la scène et surprend par sa singularité<br />
et l’authenticité <strong>de</strong> sa musique en perpétuelle évolution.<br />
Porté par cinq musiciens français, serbes et macédoniens,<br />
Slonovski Bal insuffle à sa musique <strong>de</strong>s énergies<br />
nouvelles puisant dans le jazz, le groove et les sonorités<br />
actuelles. Le secret <strong>de</strong> Slonovski Bal, c’est une constante<br />
inventivité musicale toujours entre écriture et improvisation,<br />
qui donne fraîcheur et vitalité à leur musique.<br />
Le groupe a participé à plus <strong>de</strong> 500 concerts <strong>de</strong>puis<br />
sa création dont le Sziget Festival (Budapest), le World<br />
music Festival (Chicago), le Festival Convivencia (Porto),<br />
le Festival Multi-musiques (Montréal) ou encore le Festival<br />
Gipsy Fever (Bruxelles).<br />
Photo crédit : Marc Bentégeat
HIVER
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
orchestre <strong>de</strong> picardie<br />
direction arie van beek<br />
Le moment musical d’Arie van Beek...<br />
Programme à définir<br />
Un buffet est proposé au public à l’issue du concert<br />
SAMEDI 19 JANVIER <strong>2013</strong> - CARMEL<br />
CONCERT DE MIDI - 12h30<br />
Durée 1h00<br />
Ouverture <strong>de</strong>s portes : 12h00<br />
Assis placement libre - TARIF B<br />
chapelle<br />
du carmel<br />
musique<br />
classique<br />
orchestre <strong>de</strong> picardie<br />
Manifestations aidées par<br />
direction damian iorio<br />
Un directeur <strong>de</strong> théâtre et une pastorale<br />
VENDREDI 8 FEVRIER <strong>2013</strong> - THEATRE - 20h30<br />
Durée 2h<br />
Ouverture <strong>de</strong>s portes : 19H30<br />
Assis placement libre - Tarif B<br />
Betsy Jolas<br />
Quatre psaumes <strong>de</strong> Schütz<br />
Wolfgang Ama<strong>de</strong>us Mozart<br />
Le Directeur <strong>de</strong> Théâtre, K.486<br />
Ludwig van Beethoven<br />
Symphonie n°6 en fa majeur op.68 «Pastorale»<br />
Manifestations aidées par Musique Nouvelle en Liberté<br />
théâtre<br />
municipal<br />
credit steven walthew<br />
Créé à Vienne le 7 février 1786, Le Directeur <strong>de</strong> théâtre est l’œuvre lyrique la plus courte<br />
sans doute jamais écrite par Mozart. Elle se compose d’une ouverture et d’une suite<br />
d’airs et d’ensembles dont la verve pétillante et joyeuse est un véritable enchantement.<br />
Cette comédie musicale <strong>de</strong> poche ainsi que les autres œuvres présentées dans<br />
le cadre <strong>de</strong> ce concert sont dirigées par Damian Iorio. Avec, en ce qui concerne le mini<br />
opéra <strong>de</strong> Mozart, les soprano Angélique Pourreyron et Julia Kogan, le ténor Julian<br />
Dran et le baryton Julien Salzmann. Non moins rares, le Quatre Psaumes d’Heinrich<br />
Schütz transcrits pour orchestre par Betsy Jolas gagnent amplement à être découverts.<br />
Enfin, morceau <strong>de</strong> bravoure <strong>de</strong> cette belle programmation, la Symphonie Pastorale<br />
<strong>de</strong> Beethoven aux paysages grandioses et fraternels.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
tout public<br />
tarif : b<br />
& badge festival<br />
ouverture<br />
<strong>de</strong>s portes :<br />
30 mn avant<br />
le spectacle<br />
assis<br />
placement libre<br />
humour<br />
les bigola<strong>de</strong>s<br />
3 ème festival<br />
SAMEDI 19 JANVIER <strong>2013</strong> - 20h30 900ème !<br />
MA COLOCATAIRE EST ENCORE UNE GARCE !<br />
Mise en scène <strong>de</strong> Anne ROUMANOFF<br />
Une comédie <strong>de</strong> Fabrice BLIND,<br />
Michel DELGADO et Nelly MARRE<br />
Avec Fabrice BLIND, Amandine Bessi<br />
et Samuel Rosenbois<br />
Hubert, la quarantaine, célibataire sympathique et<br />
débonnaire vient d’acquérir grâce à un petit héritage,<br />
un charmant appartement parisien. Mais la<br />
locataire actuelle, Sasha, jolie jeune femme très sexy,<br />
n’est pas vraiment disposée à partir : les fenêtres<br />
offrent un point <strong>de</strong> vue idéal sur les quatre distributeurs<br />
automatiques <strong>de</strong> billets <strong>de</strong> banque situés au rez-<strong>de</strong>-chaussée… Sasha y héberge<br />
Luigi, son fiancé, escroc abruti et narcissique, qu’elle fait passer pour son frère. Les galères<br />
commencent alors pour Hubert, qui, naïf, ira <strong>de</strong> déboires en surprises avec ses<br />
<strong>de</strong>ux colocataires…<br />
Quiproquos et rebondissements en rafale pour cette comédie désopilante, menée à un<br />
rythme d’enfer par 3 comédiens déchaînés !<br />
DIMANCHE 20 JANVIER <strong>2013</strong> - 16h00<br />
KRYSTOFF FLUDER - Oui je suis noir, et alors ?<br />
Mise en scène : Lionel Henry<br />
Après 35 ans d’absence, découvrez Krystoff Flu<strong>de</strong>r <strong>de</strong><br />
retour sur les planches dans son premier spectacle<br />
solo avant ses adieux à la scène.<br />
Dans ce spectacle il se livre à vous sans pu<strong>de</strong>ur, sans<br />
crainte et parfois même sans slip. Quel courage diront<br />
certains, il va trop loin diront d’autres ! Mais a-t-il seulement<br />
une limite ? Non, car le plaisir qu’il souhaite<br />
vous donner est sans limites !<br />
Comme l’a très bien dit Nietzsche, dans un allemand<br />
qui frise la perfection: « Deviens ce que tu es! ». Une<br />
pensée que Krystoff a fait sienne, avec un enthousiasme<br />
et une générosité chevillés au corps ! Et quel<br />
corps !<br />
Un spectacle imaginé, écrit et joué par Krystoff Flu<strong>de</strong>r,<br />
avec la complicité <strong>de</strong> Lionel Henry.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
vendredi 25<br />
janvier <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
GORAN BREGOVIC<br />
L’ORCHESTRE DES MARIAGES ET DES ENTERREMENTS<br />
LES VOIX BULGARES<br />
LE CHOEUR D’HOMMES DE BELGRADE<br />
Margot, mémoires d’une reine malheureuse<br />
Création mondiale sur comman<strong>de</strong> du festival <strong>de</strong> musique <strong>de</strong> Saint-Denis<br />
C’est à Goran Bregovic que l’on doit la musique du film culte <strong>de</strong> Patrice Chéreau<br />
La Reine Margot. C’est dire si le musicien est familier <strong>de</strong> l’histoire <strong>de</strong> cette<br />
reine cultivée, personnage fascinant aux intrigues compliquées, première<br />
épouse d’Henri IV qui évolua au coeur <strong>de</strong> l’une <strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s les plus troubles<br />
<strong>de</strong> l’histoire. Margot fut certes reine mais aussi simple femme manipulée,<br />
sacrifiée par son époux jusqu’à l’exil forcé. Toute sa vie entourée d’hommes<br />
<strong>de</strong> lettres, la Reine Margot, qui ne cachait pas son goût pour l’écriture, rédigea<br />
avec assiduité ses mémoires. A partir <strong>de</strong> ce journal, le visionnaire Goran<br />
a vu un rapprochement troublant et cinglant entre le <strong>de</strong>stin <strong>de</strong> Margot et<br />
celui d’une autre femme prise dans la tourmente <strong>de</strong>s années <strong>de</strong> guerre en<br />
ex-Yougoslavie. La barbarie n’a pas d’âge, ni <strong>de</strong> frontière.<br />
Avec son irrésistible Orchestre <strong>de</strong>s Mariages et <strong>de</strong>s Enterrements, <strong>de</strong>s voix<br />
choristes, <strong>de</strong>s voix solistes, une récitante, Goran Bregovic concocte une nouvelle<br />
partition autour <strong>de</strong> Margot et <strong>de</strong> ses jeunes soeurs <strong>de</strong> l’Est. Avec ses<br />
cuivres et ses voix acidulées Goran Bregovic revisite l’Histoire à la vitesse<br />
d’un cheval au galop.<br />
tout public<br />
durée : 2h00<br />
tarif : a<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
concert
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
ginger<br />
production<br />
08 92 70 42 04<br />
dimanche 27<br />
janvier <strong>2013</strong><br />
16h00<br />
tout public<br />
tarif : 29 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
kev’adams<br />
Jeune prodige <strong>de</strong> 18 ans, il est l’une <strong>de</strong>s <strong>de</strong>rnières révélations <strong>de</strong> la scène française.<br />
Adulé par Michel Boujenah et Gad Elmaleh, il a joué la première partie<br />
<strong>de</strong> leurs spectacles avec une décontraction et une maturité étonnante.<br />
Si Kev’Adams avait été un adulte, il vous aurait parlé <strong>de</strong>s ados comme on en<br />
parle aujourd’hui : avec une expérience d’adulte, une vision d’adulte, un coeur<br />
d’adulte. Si Kev’Adams avait été un adulte, ce ne serait pas Kev’Adams. Parce<br />
que Kev’ est un ado. Un vrai. 17 ans et une aisance hors du commun, Kev’ vous<br />
fait comprendre, apprendre, vivre ou revivre l’adolescence mais surtout en<br />
rire. Il est le meilleur copain, l’amoureux du lycée, le neveu préféré, le petit fils<br />
idéal : on a tous une raison d’aimer Kev’Adams.<br />
THEYOUNG<br />
MAN SHOW<br />
humour
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
production<br />
NUITS D’ARTISTES<br />
08 92 70 04 62<br />
dimanche 3<br />
février <strong>2013</strong><br />
15h00<br />
tout public<br />
tarif : 30 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 14h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
COUNTRY SHOW<br />
Dance and music live<br />
Le nom du groupe «TEXAS SIDESTEP» rappelle une petite virée au Texas, ou<br />
encore un pas <strong>de</strong> danse country... Envie <strong>de</strong> dépaysement ? Envie <strong>de</strong> retrouver<br />
l’ambiance chaleureuse d’un saloon avec ses danseurs et sa musique country<br />
si typique ? C’est sans aucun doute ces raisons qui ont poussé son fondateur<br />
(André), il y a près d’une dizaine d’années, à créer ce groupe remarquable,<br />
formé <strong>de</strong> talentueux musiciens, passionnés et efficaces, et <strong>de</strong> surcroît, country<br />
du stetson aux boots.<br />
TEXAS SIDESTEP réunit tous les instruments typiques <strong>de</strong> la musique country<br />
: violon, mandoline, harmonica, pedal steel guitare, chanteurs, chanteuse,<br />
guitares acoustiques et électriques, accordéon cajun, piano, basse et batterie.<br />
Cette diversité permet à ce groupe d’interpréter la musique country sous<br />
toutes ses formes, dans le respect du style et <strong>de</strong>s instruments d’origine.<br />
TEXAS SIDESTEP distille un répertoire très varié, mais résolument «pur<br />
country», influencé par les ramifications <strong>de</strong> cette musique. Leur répertoire, en<br />
constante évolution, est constitué <strong>de</strong>s plus belles superstars actuelles <strong>de</strong> la<br />
new-country : Alan JACKSON, George STRAIT, Tracy LAWRENCE, RALABAMA,<br />
Brad PAISLEY, Mark CHESNUTT, les DIXIE CHICKS et bien d’autres !!<br />
variétés
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
LUNDI 4/02 : 14h30<br />
MARDI 5/02 : 10h00 et14h30<br />
MERCREDI 6/02 : 18h30 ( Tout public )<br />
JEUDI 7/02 : 10h00 et 14h30<br />
VENDREDI 8/02 : 10h00<br />
Durée : 40 minutes<br />
LA BARBE BLEUE<br />
COMPAGNIE ARTOPIE - Santucci-Salliot<br />
création <strong>2013</strong><br />
Interprètes :<br />
Chloë Beillevaire<br />
Jules Leduc<br />
Vincent Clavaguera<br />
Musique :<br />
Création musicale<br />
d’Aleksi Aubry-Carlson<br />
Que se cache t-il <strong>de</strong>rrière la porte fermée ? un mystère, le mystère<br />
<strong>de</strong> la Barbe Bleue…<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
tarif :<br />
scolaire &<br />
découverte<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 30 mn<br />
avant le spectacle<br />
assis<br />
placement libre<br />
jeune<br />
public<br />
Inspiré du conte <strong>de</strong> Charles<br />
Perrault et sensible à l’analyse<br />
<strong>de</strong> Clarissa Pinkola Estes, la<br />
compagnie Artopie s’interroge<br />
sur ce qu’il y a <strong>de</strong>rrière les apparences<br />
en mettant en scène<br />
un Barbe Bleue qui n’est peutêtre<br />
pas celui que l’on croit.
j’ai perdu siméon<br />
Marionnettes et objets<br />
Création du théâtre Foz<br />
robinson<br />
Marionnette sur table<br />
en lumière ultra-violette<br />
11 - 12 - 14 - 15 FEVRIER : 10h00 et14h30<br />
MERCREDI 13 FEVRIER : 18h00<br />
JEUNE PUBLIC A PARTIR <strong>de</strong> 2ANS ½<br />
Durée : 40 minutes<br />
A l’approche d’une clairière…<br />
Un arbre invite le public sous ses branches fleuries, pour<br />
un instant <strong>de</strong> printemps, pour un instant <strong>de</strong> bonheur…<br />
L’arbre, posé dans le silence, par sa présence, son élégance<br />
et sa sérénité, prépare le public à voyager au<br />
coeur d’une histoire, celle d’Ernest et Célestine qui ont<br />
perdu Siméon... ou, la perte du doudou vécu par Ernest<br />
et Célestine. Cette création lie la tendresse <strong>de</strong>s relations,<br />
l’humour <strong>de</strong>s situations et la poésie <strong>de</strong>s tableaux... Une<br />
histoire pleine d’amour qui enveloppe l’imaginaire <strong>de</strong><br />
chacun…<br />
Auteur-illustrateur contemporain, GABRIELLE VINCENT a su<br />
avec justesse, tant par ses <strong>de</strong>ssins que par ses textes, mettre en<br />
situation <strong>de</strong>s tranches <strong>de</strong> vie à travers lesquelles on croit à l’impossible.<br />
Classique <strong>de</strong>s bibliothèques enfantines et familiales,<br />
ses ouvrages sont <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> quinze ans une véritable<br />
référence auprès <strong>de</strong>s grands proches <strong>de</strong>s petits. Les albums<br />
d’Ernest et Célestine sont à consommer sans modération.<br />
LUNDI 11 MARS <strong>2013</strong> : 10h00 et 14h30<br />
MARDI 12 MARS <strong>2013</strong> : 10h00 et 14h30<br />
JEUNE PUBLIC A PARTIR DE 3 ANS<br />
Durée : 45 minutes<br />
Jean-Paul, explorateur en culotte courte,<br />
est un vrai moulin à paroles !<br />
Toujours une question à poser!<br />
Alors quand il faut aller au lit…<br />
Tous les soirs c’est le même numéro,<br />
impossible <strong>de</strong> le faire dormir !<br />
Aujourd’hui maman utilise les grands moyens : papa !<br />
Au départ, tout semblait aller normalement, le bambin<br />
était couché et papa racontait les histoires <strong>de</strong> Robinson.<br />
Les problèmes commencèrent quand, pris par son imagination,<br />
il transforma la chambre en vaisseau amiral<br />
traversant une tempête tropicale…<br />
Le bateau échouera sur une île<br />
paradisiaque, cachant <strong>de</strong>s personnages<br />
inquiétants ayant<br />
une ressemblance avec <strong>de</strong>s voisins<br />
connus <strong>de</strong> la famille…
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
YVES JAMAI T<br />
Mercredi 20 02 <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
ROVER<br />
Jeudi 21 02 <strong>2013</strong> - 20h30<br />
Il n’est jamais trop tard pour <strong>de</strong>venir Jamait. Sorti<br />
<strong>de</strong> l’ombre à quarante ans passés, cet artiste réfute<br />
l’étiquette <strong>de</strong> « chanteur engagé ». Néanmoins, son<br />
répertoire <strong>de</strong> chansons réalistes évoque souvent la<br />
vie quotidienne <strong>de</strong> ceux que l’on préfère oublier. Les<br />
émotions à fleur <strong>de</strong> peau, Jamait ne renie rien <strong>de</strong> ses<br />
origines populaires, et y puise au contraire le goût<br />
<strong>de</strong>s rencontres. Yves Jamait, chanteur, auteur, compositeur<br />
puise l’inspiration <strong>de</strong> ses textes au coeur <strong>de</strong><br />
la vie quotidienne. Angoisse existentielle <strong>de</strong>s veilles<br />
<strong>de</strong> lundi, joies et déchirements amoureux, coups <strong>de</strong><br />
gueules sur la société défilent au gré <strong>de</strong>s sentiments<br />
<strong>de</strong> l’auteur. Yves Jamait insiste sur ce point : il n’est<br />
pas un chanteur engagé. Il écrit au fil <strong>de</strong> ses impressions<br />
sur tout ce qui fait la vie : un jour l’amour,<br />
l’autre le travail, mais toujours, toujours, ce qu’il y a<br />
au creux du ventre.<br />
Album : « <strong>saison</strong> 4 »<br />
VIANNEY CLAVREUL<br />
Première partie découverte<br />
tarif : b<br />
& badge festival<br />
Restauration<br />
légère sur place<br />
assis<br />
placement libre<br />
festival<br />
musiques<br />
actuelles<br />
Timothée Régnier, alias Rover, est un songwriter<br />
français ayant fait ses premières armes en tant que<br />
producteur alors qu’il vivait au Liban, avec The New<br />
Government pour qui il travaille sur <strong>de</strong>ux albums<br />
en 2006. Très influencé par le rock (Beach Boys, The<br />
Beatles, Joy Division, Supertramp, Interpol...) mais<br />
aussi par les musiques électroniques, Rover, également<br />
acteur, parvient en 2008 à placer <strong>de</strong>ux <strong>de</strong> ses<br />
titres pour le film A New-York Thing d’Olivier Lecot<br />
(co-production Arte). Puis en 2011, Rover signe un<br />
contrat chez Cinq7, label sur lequel il sort son premier<br />
EP homonyme en octobre <strong>de</strong> la même année,<br />
quatre titres inspirés du folk, <strong>de</strong> la pop et <strong>de</strong>s musiques<br />
électroniques. Invité spécial <strong>de</strong> cette 3ème<br />
édition du AWG, ce frenchy vous fera apprécier son<br />
rock’n’roll à l’ancienne !<br />
Album : « Rover »
AXEL BAUER<br />
Vendredi 22 02 <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
Fils du speaker <strong>de</strong><br />
la radio <strong>de</strong> Londres,<br />
l’homme qui disait<br />
« les Français<br />
parlent aux Français<br />
» et batteur <strong>de</strong><br />
Django Reinhardt,<br />
Axel Bauer signe<br />
avec Vogue pour un<br />
premier single qui<br />
va défrayer la chronique.<br />
«Cargo» va rester dans les premières places du<br />
top pendant toute l’année 84. Un clip en noir<br />
et blanc, érotique et sulfureux, signé Mondino,<br />
va même tourner sur MTV. Axel reçoit alors <strong>de</strong>s<br />
propositions <strong>de</strong> contrats avec les US mais c’est<br />
finalement à Londres, pour EMI qu’il va livrer son<br />
premier album.<br />
Axel Bauer revient à Paris, signe avec le label<br />
Mercury et sort peu après l’album Sentinelle.<br />
Le single Eteins la lumière couronne l’album<br />
d’un premier disque d’or.Entre <strong>de</strong>ux concerts,<br />
il compose avec son groupe un nouvel album.<br />
Personne n’est parfait sort en 2001, très vite les<br />
ventes décollent avec le duo avec Zazie : A ma<br />
place.Axel continue avec un album enregistré en<br />
Irlan<strong>de</strong>, live en studio.Bad Cowboy sort en 2006,<br />
produit par Dan Presley (Cali, The Bree<strong>de</strong>rs).<br />
Axel repart alors sur les routes, enchaînant les<br />
concerts. Un nouvel album est attendu pour février<br />
<strong>2013</strong> et une autobiographie est disponible<br />
chez Michel Laffont :<br />
«Maintenant tu es seul».<br />
KING CHARLES<br />
Samedi 23 02 <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
King Charles promet <strong>de</strong> distiller<br />
sans retenue sa musique teintée<br />
d’Afro-beat, folk, glam, rock’n<br />
roll, pop ou encore country…<br />
Des chansons aux rythmiques<br />
joyeuses,agrémentées d’idées<br />
novatrices, qui parlent <strong>de</strong>s<br />
gens, d’amour, <strong>de</strong> vie… Bref, <strong>de</strong>s chansons qui ont du corps, et<br />
qui <strong>de</strong>vraient faire partie intégrante <strong>de</strong>s doux souvenirs que le<br />
festival Abbeville Winter Groove vous laissera.<br />
King Charles, avec sa coupe <strong>de</strong> cheveux si caractéristique, est<br />
<strong>de</strong> ces artistes dont on dit assez singulièrement “j’ai déjà entendu<br />
ce nom”… Il est sans doute aussi <strong>de</strong> ces artistes dont<br />
on parlera encore dans dix ans. Après avoir été récompensé<br />
<strong>de</strong> l’Award du meilleur auteur/compositeur en 2009 lors <strong>de</strong> la<br />
compétition américaine ISC (pour sa chanson “Love Lust”), King<br />
Charles a cette agaçante manie <strong>de</strong> rafler <strong>de</strong>s ovations partout<br />
où il passe, à l’instar <strong>de</strong> la Scala <strong>de</strong> Londres, ou encore dans la<br />
presse (émission TV Taratata, dans les colonnes <strong>de</strong>s Inrocks, <strong>de</strong><br />
Rock’n folk, etc.)<br />
AF TER’s au Théâtre<br />
Dimanche 24 02 <strong>2013</strong><br />
16h00<br />
La passion <strong>de</strong> la musique live et <strong>de</strong><br />
la scène.......Tel est le ciment <strong>de</strong> ce<br />
groupe d’abbevillois qui distille ses<br />
reprises <strong>de</strong> standards pop, rock,<br />
blues, en y mettant une âme, une<br />
couleur propre au groupe, et ce,<br />
<strong>de</strong>puis 2005.<br />
Il y un an, After’s a souhaité opérer un véritable tournant en proposant un projet très ciblé, sous forme d’hommage,<br />
<strong>de</strong> «Tribute», au groupe irlandais, mondialement connu, U2.<br />
After’s propose donc un show live <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux heures, balayant trois décennies d’un richissime répertoire en y<br />
mettant, là aussi, toute son âme....Énergie garantie!
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
dimanche 3<br />
mars <strong>2013</strong><br />
16h00<br />
LA traviata<br />
Opéra en quatre parties (1853)<br />
Musique <strong>de</strong> Giuseppe Verdi<br />
Livret <strong>de</strong> Francesco Maria Piave d’après Alexandre Dumas-fils<br />
L’opéra le plus populaire<br />
et le plus novateur <strong>de</strong> Verdi<br />
« Ici repose Alphonsine Plessis, née le 15 janvier 1824, décédée le 5 février 1847, De profundis »<br />
Au cimetière <strong>de</strong> Montmartre, cette épitaphe semble veiller sur le sommeil <strong>de</strong> Marie Duplessis,<br />
célèbre courtisane et reine <strong>de</strong>s nuits parisiennes, aimée <strong>de</strong> Musset, probablement aussi <strong>de</strong> Liszt,<br />
et qui, rongée par la tuberculose, mourra ruinée à 23 ans à peine. Pourtant son souffle inon<strong>de</strong><br />
toujours les cœurs, immortalisée par ses incarnations successives : Marguerite Gautier puis Violetta<br />
Valery, la « dévoyée » <strong>de</strong> La Traviata, une <strong>de</strong>s plus belles figures <strong>de</strong> femme <strong>de</strong> tout l’opéra.<br />
Au détour d’un séjour parisien, la pièce <strong>de</strong> Dumas-fils éveille l’inspiration lyrique <strong>de</strong> Verdi et<br />
lui offre l’occasion d’un tableau intimiste mettant à nu la mauvaise conscience <strong>de</strong> la société.<br />
Point <strong>de</strong> rencontre entre <strong>de</strong>ux mon<strong>de</strong>s antinomiques, le rêve <strong>de</strong> l’idylle bourgeoise et la réalité<br />
<strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> ville, entre la société parisienne, frivole, cynique, jouisseuse, et une autre société,<br />
paisible et provinciale, La Traviata impose une situation contemporaine, obligeant le public à se<br />
confronter à son propre univers quotidien. Verdi ose pour la première fois prendre, non un héros<br />
comme personnage principal, mais une héroïne, et qui plus est une prostituée ! Ici, ce sont les<br />
préjugés <strong>de</strong> la bourgeoisie qui brisent le <strong>de</strong>stin <strong>de</strong> cette femme qui va trouver sa ré<strong>de</strong>mption<br />
dans l’amour et la mort, dans ce sacrifice qui irradie toute l’œuvre. Et ce n’est pas un hasard si le<br />
livret multiplie les signes <strong>de</strong> la mise à mort, comme la venue <strong>de</strong> matadors, et souligne ainsi la<br />
tragique coïnci<strong>de</strong>nce entre la fête et la mort.<br />
Dans une nouvelle version mise en scène par Pierre Thirion-Vallet et dirigée par Amaury du Closel,<br />
l’opéra le plus populaire et le plus novateur <strong>de</strong> Verdi investit la scène du théâtre d’Abbeville<br />
pour une représentation exceptionnelle.<br />
tout public<br />
durée : 2h45<br />
tarif : a<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 15h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
opéra<br />
ORCHESTRE OPERA NOMADE<br />
Direction musicale : Amaury du Closel<br />
Mise en scène : Pierre Thirion-Vallet<br />
Décor : Frank Aracil / Atelier Artifice<br />
Costumes : Évelyne <strong>de</strong> Graeve, Véronique Henriot<br />
Lumières : Véronique Marsy<br />
Chef <strong>de</strong> chant : Daniel Navia<br />
Surtitrage : David M. Dufort
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
faisons un rêve<br />
sacha gui try<br />
mise en scène : Arnaud Décarsin<br />
avec : Marianne Epin, Emmanuel Courcol, Arnaud Décarsin<br />
Production : Comédie <strong>de</strong> Picardie<br />
Coproduction : Les tireurs <strong>de</strong> langue<br />
L’acteur et metteur en scène Arnaud Décarsin expose et dissèque la mécanique<br />
du désir, qui se déploie dans la langue enchanteresse <strong>de</strong> Sacha Guitry.<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
mardi 5<br />
mercredi 6<br />
mars <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h20<br />
tarif : b/scolaires<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 20h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
«Au contact <strong>de</strong> Guitry, ma fantaisie se libère, je me rends compte que je suis drôle !» C’est<br />
ainsi que se révèle l’emblématique auteur parisien à Arnaud Décarsin, alors tout jeune<br />
acteur, encore élève. Quelque vingt-cinq années plus tard, après avoir fait la preuve<br />
<strong>de</strong> son talent lors <strong>de</strong> multiples aventures artistiques, aux côtés <strong>de</strong> Christian Schiaretti<br />
et <strong>de</strong> bien d’autres, il met en scène la langue enchanteresse <strong>de</strong> Faisons un rêve,<br />
qu’il interprète avec ses compagnons <strong>de</strong> route Marianne Épin et Emmanuel Courcol.<br />
Écrite en 1916 avant la célébrité, la pièce explore la mécanique du désir bouleversant<br />
les corps et les âmes en une folle journée. Le trio explosif du mari, <strong>de</strong><br />
la femme et <strong>de</strong> l’amant vit à fond le temps <strong>de</strong> la conquête et <strong>de</strong> ses minutieuses<br />
stratégies : ils ten<strong>de</strong>nt <strong>de</strong>s pièges, rusent, mentent, osent tout. «Elle est la proie,<br />
le danger la grise. Lui et le mari sont les chasseurs, la violence <strong>de</strong> leur désir les brûle.»<br />
Un programme qui enflamme le présent, d’une implacable logique, à travers quatre<br />
duos intimes et <strong>de</strong>ux solos, celui <strong>de</strong> l’homme, célèbre, au téléphone, et celui <strong>de</strong> la<br />
femme dans le <strong>de</strong>rnier acte, d’une étonnante intensité. La langue précise, concrète<br />
et délectable <strong>de</strong> Guitry prend corps et sens à travers un jeu d’acteurs virevoltant et<br />
millimétré. D’une profon<strong>de</strong> superficialité… comme les rêves.<br />
théâtre
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
production<br />
NUITS D’ARTISTES<br />
08 92 70 04 62<br />
jeudi 7 mars<br />
<strong>2013</strong><br />
15h00 & 20h30<br />
BAGAD DE LANN-BIHOUE<br />
LA TOURNéE DES 60 ANS<br />
A l’occasion <strong>de</strong> ses 60 ans, le BAGAD DE LANN-BIHOUE sera en tournée mondiale<br />
<strong>2012</strong>-<strong>2013</strong> pour un spectacle exceptionnel. Ambassa<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> la musique<br />
celtique et <strong>de</strong> la Bretagne, ils ont joué avec Alan Stivell, Tri Yann, Carlos Nunez,<br />
Nolwen Leroy…<br />
Leur répertoire sans cesse renouvelé est constitué <strong>de</strong> compositions et <strong>de</strong> morceaux<br />
traditionnels. Il témoigne <strong>de</strong> la richesse du patrimoine celtique. Cinquante<br />
artistes se produiront sur la scène du théâtre d’Abbeville, bagad, danseurs,<br />
chanteurs, pour un voyage dans l’âme d’un peuple qui sait maintenir ses<br />
traditions bien vivantes.<br />
tout public<br />
tarif : 39 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 14h00 & 19h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
musiques<br />
tradi tionnelles
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
production<br />
NUITS D’ARTISTES<br />
08 92 70 04 62<br />
vendredi 8<br />
mars <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
tarif : 35 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
Après leur succès au cinéma, les Bodin’s sont <strong>de</strong> retour sur scène dans une toute nouvelle comédie.<br />
La saga continue…<br />
<strong>de</strong> et avec Vincent Dubois et Jean-Christian Fraiscinet<br />
Décor : Luc Boissinot<br />
Costumes : Maryléne Richard<br />
Création Lumières : Samuel Grellet<br />
Maria Bodin, vieille<br />
Musique : Hervé Devol<strong>de</strong>r<br />
paysanne coriace <strong>de</strong><br />
87 ans perd la boule.<br />
Placée contre son<br />
gré en maison <strong>de</strong> retraite,<br />
elle déci<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />
léguer sa ferme à son<br />
fils Christian, exilé à<br />
Paris, avec femme et<br />
enfants, <strong>de</strong>puis plusieurs<br />
années. Christian<br />
entrevoit l’opportunité<br />
d’un retour au<br />
pays.<br />
Mais cet héritage<br />
inattendu, n’est-il pas<br />
un ca<strong>de</strong>au empoisonné<br />
?<br />
les bodin’s<br />
retour au pays<br />
humour
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
wind woman<br />
carolyn carlson - short stories<br />
Chorégraphie : Carolyn Carlson<br />
Interprète : Céline Maufroid<br />
Musique originale : Nicolas <strong>de</strong> Zorzi<br />
costume : Chrystel Zingiro<br />
Production : Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas <strong>de</strong> Calais<br />
théâtre<br />
municipal<br />
dimanche<br />
10 mars <strong>2013</strong><br />
16h00<br />
spectacle<br />
en trois parties<br />
short stories 1/3<br />
tout public<br />
durée : 1h30<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 15h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
Avec Wind Woman, Carolyn Carlson a choisi d’interroger le sentiment <strong>de</strong><br />
l’éphémère. Le vent, qui s’écoule sans durer, peut faire preuve à la fois d’une<br />
gran<strong>de</strong> douceur et d’une puissance terrifiante. Avec Céline Maufroid, interprète<br />
<strong>de</strong> ses créations <strong>de</strong>puis plusieurs années, elle s’est mise à l’écoute <strong>de</strong>s<br />
souffles qui nous enveloppent et <strong>de</strong> ceux qui émanent <strong>de</strong> notre intérieur.<br />
Chaque être vivant, à travers sa respiration, représente une machine à créer<br />
du vent. Wind Woman adresse une invitation à chacun, à écouter, à ressentir<br />
le souffle du mon<strong>de</strong> et <strong>de</strong> sa propre âme.<br />
danse<br />
artiste associée<br />
carolyn carlson
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
solo<br />
carolyn carlson - short stories<br />
Création<br />
Chorégraphie : Céline Maufroid<br />
Interprètes : Chinatsu Kosakatani et Jacky Berger<br />
Production : Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas <strong>de</strong> Calais<br />
Carolyn Carlson a confié à Céline Maufroid, qui est aujourd’hui une <strong>de</strong> ses<br />
interprètes cardinales, la tâche <strong>de</strong> créer une pièce autour du thème du feu.<br />
Les interprètes en seront Chinatsu Kosakatani et Jacky Berger qui sont eux<br />
aussi <strong>de</strong>ux piliers <strong>de</strong> la compagnie. Ainsi, ce duo prendra organiquement sa<br />
place dans une soirée consacrée aux éléments.<br />
théâtre<br />
municipal<br />
spectacle<br />
en trois parties<br />
short stories 2/3<br />
danse<br />
artiste associée<br />
carolyn carlson
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
spectacle<br />
en trois parties<br />
short stories 3/3<br />
mandala<br />
carolyn carlson - short stories<br />
Chorégraphie : Carolyn Carlson<br />
Interprétation : Sara Orselli<br />
Musique: Michael Gordon: Weather parts 3 & 1<br />
Costume :Chrystel Zingiro<br />
Lumières : Freddy Bonneau<br />
Production : Centre Chorégraphique National Roubaix Nord-Pas <strong>de</strong> calais<br />
avec la collaboration <strong>de</strong> l’Atelier <strong>de</strong> Paris-Carolyn Carlson<br />
Les soli <strong>de</strong> Carolyn Carlson concentrent son approche spirituelle et existentielle <strong>de</strong><br />
la danse. Elle les décrit comme <strong>de</strong>s mo<strong>de</strong>s <strong>de</strong> partage <strong>de</strong> l’état <strong>de</strong> solitu<strong>de</strong> propre à<br />
la condition humaine.<br />
Mandala est une incarnation <strong>de</strong> la pulsation du coeur humain, constitutive <strong>de</strong> l’espace<br />
universellement partagé par tout être, du commencement à la fin <strong>de</strong> nos existences.<br />
Le temps <strong>de</strong> la vie prend ici la forme <strong>de</strong> l’ensō, le cercle du bouddhisme zen, qui symbolise<br />
à la fois l’univers et le geste artistique parfait, celui qui ne peut être accompli<br />
que par un esprit totalement libre.<br />
Les motifs circulaires apparus dans les champs <strong>de</strong> céréales constituent une autre<br />
source d’inspiration. Ils <strong>de</strong>meurent sans réponse, comme un message émis par une<br />
force <strong>de</strong> l’esprit ou <strong>de</strong> l’ailleurs, <strong>de</strong>s formes dont la beauté inattendue laisse une trace<br />
visuelle au plus profond <strong>de</strong> l’âme.<br />
Cette trace, c’est aussi celle imprimée par la musique puissante <strong>de</strong> Michael Gordon.<br />
Elle porte l’énergie du mouvement et lui confère la force <strong>de</strong> l’ondulation insistante<br />
d’une pulsation.<br />
Sara Orselli donne corps à une pièce<br />
qui représente un aboutissement<br />
<strong>de</strong> la complicité nouée <strong>de</strong>puis plus<br />
d’une décennie entre Carolyn Carlson<br />
et son interprète.<br />
danse<br />
artiste associée<br />
carolyn carlson
FRANCE 3 PARTENAIRE<br />
DE TOUTES LES CULTURES<br />
Les canaux <strong>de</strong> réception <strong>de</strong> France 3 Picardie :<br />
SATELLITE CANAL SAT : 270 FRANSAT : 301 ADSL Bouygues : 490 Orange : 320 Free : 321 SFR : 321 Bbox : 190<br />
à voir ou à revoir sur<br />
pluzz.fr<br />
france3.fr
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
divan<br />
production<br />
03 20 33 30 70<br />
mercredi 13<br />
mars <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
tarifs : 35 /32 & 30 €<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
Journaliste, auteur <strong>de</strong> Thierry<br />
Le Luron, co-auteur du Radio<br />
Bistrot d’Anne Roumanoff<br />
chez Michel Drucker, sociétaire<br />
<strong>de</strong>s Grosses Têtes <strong>de</strong> Philippe<br />
Bouvard sur RTL, pilier <strong>de</strong><br />
la Revue <strong>de</strong> Presse <strong>de</strong>s Deux<br />
Anes sur Paris Premiere, podcasteur<br />
suivi par <strong>de</strong>s milliers<br />
d’abonnés, Bernard Mabille<br />
voit la vie en rire. Sa façon à lui<br />
<strong>de</strong> combattre le désespoir.<br />
Aujourd’hui, sur scène, le <strong>de</strong>rnier<br />
refuge <strong>de</strong> nos libertés menacées,<br />
il fracasse avec jubilation,<br />
taille avec délectation,<br />
tire sans sommation, puisant<br />
dans l’actualité la plus chau<strong>de</strong><br />
pour déboulonner les clones<br />
qui nous imposent leur société<br />
délirante.<br />
humour
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
du 14 au 24<br />
mars <strong>2013</strong><br />
Théâtre Municipal<br />
Espace Culturel<br />
Saint André<br />
Maison Pour Tous<br />
Bars et différents<br />
lieux publics<br />
<strong>de</strong> la ville<br />
Communauté <strong>de</strong><br />
Communes<br />
<strong>de</strong> l’Abbevillois.<br />
festival<br />
nui ts du blues<br />
19 ème édi tion<br />
Le dix neuvième opus <strong>de</strong>s Nuits du Blues sera encore riche <strong>de</strong> diversités et découvertes<br />
!<br />
Parmi celles-ci, sur le plan musical la venue <strong>de</strong> Mud Morganfield, le fils aîné <strong>de</strong> Muddy<br />
Waters, l’une <strong>de</strong>s légen<strong>de</strong>s du Blues. Mud est bien le digne fils <strong>de</strong> son pére, il<br />
distille avec autant <strong>de</strong> talent, <strong>de</strong> feeling et d’élégance le blues <strong>de</strong> Chicago. Mais il y<br />
apporte une empreinte personnelle très forte qui en fait, non pas « un fils <strong>de</strong> », mais<br />
un artiste à part entière.<br />
Se produira le même jour, Shar Baby, une guitariste chanteuse, qui dès sa plus tendre<br />
enfance a baigné dans le milieu du Blues. Son répertoire qui oscille constamment<br />
entre blues rural et blues urbain, lui a permis tout au long <strong>de</strong> sa carrière <strong>de</strong> jouer au<br />
côté <strong>de</strong>s plus grands. Ses textes racontent avec finesse le quotidien du peuple afro<br />
américain dans les Etats Unis d’aujourd’hui.<br />
En clôture <strong>de</strong>s Nuits, la scène <strong>abbevilloise</strong> accueillera l’Heritage Blues Orchestra.<br />
Qualifié par Taj Mahal <strong>de</strong> groupe vivifiant et fabuleux, cette formation offre une véritable<br />
plongée dans le mon<strong>de</strong> du blues, allant <strong>de</strong>s chants <strong>de</strong> travail <strong>de</strong>s origines au<br />
blues électrique, en passant par les églises et les juke joints, sans oublier quelques<br />
détours sur les premiers pas du jazz, le tout, conduit avec une maestria impressionnante.<br />
Se situera également en pré-ouverture <strong>de</strong> l’événement une soirée club spéciale<br />
blues avec les concerts <strong>de</strong> Johnny Madness et <strong>de</strong> Azze<strong>de</strong>en qui proposent chacun à<br />
leur manière, une approche très personnelle et talentueuse <strong>de</strong> la musique du diable.<br />
A partir du lundi 18, le groupe Talaho entamera sa rési<strong>de</strong>nce d’une semaine, pério<strong>de</strong><br />
pendant laquelle il proposera la création <strong>de</strong> son spectacle jeune public, un conte<br />
musical lié aux premiers temps du blues, s’y ajouteront <strong>de</strong>s interventions musicales<br />
et aussi diverses actions, liées aux instruments utilisés par les premiers bluesmen et<br />
leurs successeurs.<br />
Une exposition consacrée à Woody Guthrie, le créateur,<br />
dans les années trente, <strong>de</strong>s Protest Songs sera présentée<br />
et accompagnée <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux conférences, l’une consacrée<br />
à la vie <strong>de</strong> ce musicien et à son environnement social,<br />
l’autre à un personnage étonnant, Alan Lomax, qui pendant<br />
<strong>de</strong>s années collecta les musiques et chants traditionnels<br />
du sud <strong>de</strong>s Etats Unis et fut aussi le découvreur<br />
<strong>de</strong> LeadBelly et autres Muddy Waters.<br />
Seront également au ren<strong>de</strong>z vous le cinéma, les concerts<br />
off et bien sûr le Marathon Blues qui pour sa troisième<br />
édition s’appuiera sur un nouveau concept.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
seasi<strong>de</strong><br />
création <strong>2013</strong> - c ie le passe-muraille<br />
« Une ville au bord <strong>de</strong> la mer…<br />
La mer, ouverte vers un ailleurs…<br />
Zoé aime les crevettes, les galets. Et la mer, surtout, qui un jour l’emmènera très loin. Plus loin que ne pourra jamais aller Bakhtiar, qu’elle croise un jour<br />
sur cette plage <strong>de</strong> la Baie <strong>de</strong> Somme…<br />
Luke aime les oiseaux, qui volent au-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> la mer. Bien au-<strong>de</strong>ssus <strong>de</strong> cette mer profon<strong>de</strong>, insondable, qui parfois effraie…<br />
Aux portes <strong>de</strong> l’adolescence et encore prêts à toutes les métamorphoses, Zoé et Luke ont <strong>de</strong>s envies <strong>de</strong> fuite et <strong>de</strong> voyages immobiles. »<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
lundi 25<br />
mardi 26<br />
mars <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h10<br />
tarif : découverte<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
théâtre<br />
« Seasi<strong>de</strong> » est un spectacle directement né <strong>de</strong> la rési<strong>de</strong>nce menée à Cayeux sur<br />
Mer par la compagnie Le Passe-Muraille. Il trouve ses racines dans le travail mené<br />
par Céline Brunelle auprès <strong>de</strong> la population et <strong>de</strong> l’i<strong>de</strong>ntité maritime <strong>de</strong> la ville.<br />
Sur place, <strong>de</strong>ux auteurs ont écrit chacun une histoire: un auteur français, Bertrand<br />
Foly (associé <strong>de</strong>puis trois ans aux « Nocturnes <strong>de</strong> Cayeux ») et une auteure<br />
anglaise, Rosanna Lowe.<br />
« Seasi<strong>de</strong> » est né d’une envie <strong>de</strong> parler <strong>de</strong>s contradictions <strong>de</strong> cette étendue incroyable,<br />
insondable, qui est à la fois une ouverture, <strong>de</strong> par l’horizon infini qu’elle<br />
propose à l’Homme ; mais aussi un « no man’s land » qui isole l’Homme.<br />
Parfois, il faut partir, prendre le large. Et partir vers un « ailleurs », c’est aller à la<br />
découverte <strong>de</strong>s autres. Et peu importe le pays, le paysage, peu importe la langue<br />
et l’origine ethnique. Le voyage est le même pour tous : une terre sur laquelle on<br />
vit, une mer qui nous emmène au loin.<br />
Mais partir, c’est aussi aller à la découverte <strong>de</strong> soi. « Seasi<strong>de</strong> » explore cette frontière<br />
entre la construction soli<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’histoire humaine et le futur qui glisse entre<br />
les doigts, imprévisible ; entre l’ancrage et la mise à l’eau.<br />
Texte : Rosanna Lowe et Bertrand Foly<br />
Mise en scène : Céline Brunelle<br />
Costumes : Joëlle Loucif<br />
Conception décor : Joëlle Loucif et David Bru<br />
Marionnettes : Claire Vialon<br />
Musique : David Ferrara<br />
Avec Elaine Bastible et David Ferrara<br />
Production : Compagnie Le Passe-Muraille, Amiens<br />
Métropole, Espace Culturel St André d’Abbeville.<br />
Avec le soutien <strong>de</strong> la DRAC Picardie.<br />
La compagnie Le Passe-Muraille est conventionnée avec<br />
la Ville <strong>de</strong> Cayeux sur Mer,<br />
la Communauté <strong>de</strong> Communes Baie <strong>de</strong> Somme Sud,<br />
le Département <strong>de</strong> la Somme,<br />
la Région Picardie<br />
et le Pays <strong>de</strong>s 3 Vallées.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
c ie LES nouveaux nez<br />
création <strong>2013</strong> - tableaux d’une exposi tion<br />
Tableaux d’une Exposition est un cycle <strong>de</strong> pièces pour piano écrit en 1874 par<br />
Mo<strong>de</strong>st Moussorgski qui ont été inspirées par une série <strong>de</strong> dix tableaux peints par<br />
son ami Viktor Hartmann. Mo<strong>de</strong>ste Moussorgski se met dans la peau d’un visiteur<br />
qui va s’arrêter <strong>de</strong>vant chaque tableau et en exprimer musicalement une émotion.<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
Le clown s’associe à tout : le clown et la musique, le clown et la magie, le clown et les<br />
animaux… La musique <strong>de</strong>vient drôle, la magie <strong>de</strong>vient drôle, les animaux <strong>de</strong>viennent<br />
drôles… Et si l’ambition serait que la musique ne <strong>de</strong>vienne pas drôle, mais reste « la<br />
musique » ? Et que l’émotion qu’elle dégage reste « l’émotion <strong>de</strong> la musique » et pas<br />
l’émotion du clown ? Là, c’est plus compliqué parce que les <strong>de</strong>ux arts chassent sur <strong>de</strong>s<br />
terrains rivaux ! La musique classique est sacrée et le clown est profane. Roseline Guinet<br />
alias Madame Françoise est une gran<strong>de</strong> clown, une gran<strong>de</strong> « profanatrice » et elle<br />
admire la musique sacrée. Une gran<strong>de</strong> profane qui rêve du sacré… Rebecca Chaillot est<br />
une gran<strong>de</strong> pianiste classique, mais la vie en orchestre, la vie concrète <strong>de</strong> la musicienne<br />
sacrée, ce n’est pas très drôle et du coup, elle rêve <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> profanation <strong>de</strong> Roseline<br />
Guinet.<br />
MARDI 2 AVRIL : 10h00 &14h30<br />
MERCREDI 3 AVRIL : 18h30<br />
JEUDI 4 AVRIL : 10h00 &14h30<br />
VENDREDI 5 AVRIL : 10h00 &14h30<br />
tout public<br />
durée : 1h10<br />
tarifs : scolaire &<br />
découverte<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 30 mn<br />
avant le spectacle<br />
assis<br />
placement libre<br />
jeune<br />
public<br />
à partir <strong>de</strong> 8 ans<br />
Avec :<br />
Roseline Guinet alias Madame Françoise, clown<br />
Rebecca Chaillot, pianiste<br />
Mise en scène<br />
Nikolaus Maria Holz<br />
Création lumière<br />
Hervé Gary<br />
Costumes<br />
Patricia <strong>de</strong> Petiville<br />
Décor et accessoires<br />
Victor Fernan<strong>de</strong>z
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
mardi<br />
9 avril <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h50<br />
tarifs : a<br />
& scolaires<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
théâtre<br />
le cid<br />
c ie sandrine angla<strong>de</strong><br />
Sandrine Angla<strong>de</strong> met en scène un théâtre <strong>de</strong> l’intime,<br />
explorant au plus près la confrontation <strong>de</strong>s sentiments<br />
et les relations filiales bouleversées.<br />
Drame politique autant que tragédie amoureuse, Le Cid et ses alexandrins musicaux<br />
racontent le combat implacable entre la loi <strong>de</strong> l’amour et celle <strong>de</strong> l’honneur, d’une antinomie<br />
absolument parfaite. Car pour Rodrigue, venger son vieux père oblige à tuer le<br />
père <strong>de</strong> sa promise, Chimène, un acte qui plonge l’aimée dans le désespoir et le<br />
reniement <strong>de</strong> son attachement. Ce nœud inextricable torture les <strong>de</strong>ux amants. «Ce qui<br />
nous intéresse ici, c’est l’intime. L’extrême attention à porter sur la confrontation <strong>de</strong>s sentiments,<br />
les déchirures. L’envie d’être très près du public. Comme donner à voir dans les yeux.»<br />
La metteure en scène Sandrine Angla<strong>de</strong> veut ainsi faire entendre la langue sublime <strong>de</strong> Corneille<br />
«à l’endroit <strong>de</strong> notre mo<strong>de</strong>rnité», explorant la notion <strong>de</strong> filiation et <strong>de</strong> transmission, scrutant<br />
cette dissonance entre l’amour et l’honneur que chacun est forcé <strong>de</strong> résoudre. Avec une<br />
équipe complice <strong>de</strong> huit comédiens - dont Priscilla Bescond et Damien Houssier dans les<br />
rôles <strong>de</strong> Chimène et Rodrigue - elle resserre le propos autour <strong>de</strong>s couples parents / enfants.<br />
Le rythme <strong>de</strong> la langue est relayé par un musicien à la batterie, scandant la puissance <strong>de</strong>s<br />
mots, frappant les sentiments à cru. Le plateau est nu, une vaste toile rouge se lève en<br />
velum : dans une épure élégante, les affrontements.<br />
<strong>de</strong> Pierre Corneille<br />
mise en scène : Sandrine Angla<strong>de</strong><br />
scénographie : Clau<strong>de</strong> Chestier<br />
costumes : Clau<strong>de</strong> Chestier<br />
lumières : Sébastien Lefèvre<br />
collaboration artistique : Sophie Robin<br />
régie générale : Jeanne Putelat<br />
avec : Damien Houssier,<br />
Priscilla Bescond,<br />
Laurent Montel,<br />
Jean-Paul Muel,<br />
Pierre-François Doireau,<br />
Gérard Hardy, Sterenn Guirriec,<br />
Nicolas Larmignat (batteur)<br />
(distribution en cours)<br />
Production déléguée : Compagnie Sandrine Angla<strong>de</strong><br />
Coproduction (en cours) : Compagnie Sandrine Angla<strong>de</strong>, Maison <strong>de</strong> la Culture <strong>de</strong> Nevers et <strong>de</strong> la Nièvre,<br />
Comédie <strong>de</strong> Picardie, Théâtre <strong>de</strong> Saint-Quentin en Yvelines - Scène Nationale, Romans Scènes,<br />
Ferme <strong>de</strong> Villefavard en Limousin. Avec le soutien du Jeune Théâtre National et <strong>de</strong> la Ville <strong>de</strong> Vincennes.<br />
La Compagnie remercie pour la mise à disposition <strong>de</strong> leurs espaces et <strong>de</strong> leur matériel :<br />
François Verret et la Compagnie FV, l’Arcal - Compagnie Nationale <strong>de</strong> Théâtre Lyrique et Musical et la Compagnie Philippe Genty.
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
production<br />
nuits d’ artistes<br />
08 92 70 04 62<br />
mercredi<br />
10 avril <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h30<br />
tarif : 43€<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
ANNE ROU(GE)manoff<br />
l’amour en rouge<br />
La maturité va bien à Anne Roumanoff. Dans ce nouveau spectacle, la pétillante<br />
“Dame en Rouge” revient plus mordante que jamais pour croquer à pleines <strong>de</strong>nts<br />
dans l’actualité. Rien n’échappe à<br />
son regard acéré : les obsédés du<br />
bio, Facebook, la crise <strong>de</strong> la <strong>de</strong>tte,<br />
les diktats alimentaires... Elle sait<br />
raconter mieux que personne l’égoïsme,<br />
la suffisance et la superficialité<br />
<strong>de</strong> notre époque. Pourtant, on ressort<br />
<strong>de</strong> son spectacle le cœur léger<br />
car elle parvient, avec finesse et humanité,<br />
à nous faire sourire <strong>de</strong> tout<br />
ce qui nous angoisse.<br />
Collaboration artistique : Gil Galliot<br />
Lumière : Sébastien Debant<br />
Décor : Yves Valente<br />
Musiques : Mario Santangeli<br />
Régie lumière : Sébastien Debant<br />
Régie son : Philippe Blancheteau<br />
Régie Plateau &<br />
administration <strong>de</strong> tournée : Frédéric Pétard<br />
humour
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
production<br />
nuits d’ artistes<br />
08 92 70 04 62<br />
dimanche<br />
5 mai <strong>2013</strong><br />
17h00<br />
tout public<br />
tarif : 43€<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 16h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
LES MARINS D’IROISE<br />
Des Quarantièmes Rugissants à Surabaya, en passant par la ra<strong>de</strong> <strong>de</strong> Brest, le marin<br />
a toujours chanté. Bien plus que le mineur ou le paysan, l’homme embarqué sur les<br />
grands voiliers n’a cessé <strong>de</strong> rythmer sa tâche, hissé, ramé, viré au son <strong>de</strong>s couplets<br />
vigoureusement entonnés, <strong>de</strong>s refrains gonflés <strong>de</strong> vie. Face à l’abandon auquel<br />
l’océan le vouait, en but à la puissance <strong>de</strong>s vents mauvais et <strong>de</strong>s vagues chasseresses,<br />
l’homme <strong>de</strong> mer a clamé sa volonté d’exister. Sans compter que sur l’étendue trompeuse,<br />
en pério<strong>de</strong>s troubles, l’ennemi n’était jamais loin. Alors les marins ont aussi<br />
chanté cet ennemi et le combat, raillant parfois leurs propres capitaines, rappelant<br />
dans le texte, qui changeait parfois au gré du vent, qu’ils étaient là surtout pour le<br />
parfum d’aventure et pour gagner leur vie, pas forcément pour se battre. Le marin,<br />
enfin à terre, ne peut s’arrêter <strong>de</strong> chanter. D’un port à l’autre, d’une nuit à l’autre, il<br />
raconte la vie esquissée sur les flots, l’espoir criblé <strong>de</strong> sel, les découvertes <strong>de</strong> vénéneuses<br />
îles sous le vent, mais toujours salue la solidarité <strong>de</strong>s gens <strong>de</strong> mer.<br />
Le groupe <strong>de</strong>s Marins d’Iroise est né en 1992 très exactement, lors d’une première<br />
fête brestoise <strong>de</strong>s « Vieux Gréements », <strong>de</strong>venue fameuse et incontournable au fil <strong>de</strong>s<br />
différentes éditions. Pour continuer le voyage, ces gars <strong>de</strong> Brest, anciens <strong>de</strong> l’arsenal<br />
pour beaucoup, au pied marin pour tous, font revivre une tradition qui n’a rien <strong>de</strong><br />
passéiste. Ils chantent pour que les gens sachent qu’un bateau, ça vient ou revient<br />
d’ailleurs, que ça repartira bientôt à l’autre bout du mon<strong>de</strong>, vers <strong>de</strong>s rivages plus sucrés,<br />
<strong>de</strong>s soleils plus purs ou <strong>de</strong>s eaux si froi<strong>de</strong>s que la neige s’y pose.! Ne dit-on pas,<br />
après tout, qu’un marin sommeille en chacun d’entre nous ?<br />
musiques<br />
tradi tionnelles
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
m a i l<br />
vauban<br />
vendredi 17 mai :<br />
14h30<br />
séance scolaire<br />
samedi 18 mai :<br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h10<br />
tarifs : b<br />
& scolaire<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 1h<br />
avant le spectacle<br />
assis<br />
placement libre<br />
cirque<br />
cirque pagnozoo<br />
emmène-moi<br />
La compagnie Pagnozoo et son art équestre entre ciel et terre emportent les spectateurs dans un périple<br />
onirique, envoûtant et flamboyant.<br />
En musique, comme toujours avec la compagnie Pagnozoo, cette chevauchée fantastique<br />
emporte les spectateurs dans un tourbillon d’émotions. Une chevauchée qui s’inpire ici <strong>de</strong>s<br />
tempêtes : celles qui déchaînent les mers, celles aussi qui déboussolent les consciences et<br />
les sociétés.<br />
Le spectacle explore autant les ouragans déchaînés que les brusques mouvements <strong>de</strong><br />
l’âme, au fil <strong>de</strong> rythmes fulgurants ou lents, traversés d’instants d’accalmie sereins et apaisants.<br />
Les artistes montrent l’homme aux prises avec son environnement, avec ses doutes.<br />
«On parle aussi <strong>de</strong> sa capacité à sublimer son existence quand il est mis en péril» confie la<br />
compagnie, fondée par Jacques Pagnot.<br />
Le pouvoir <strong>de</strong> l’imaginaire et la poésie gestuelle s’édifient et se déploient à travers un art<br />
équestre patient et audacieux, sur une piste circulaire, dans une gran<strong>de</strong> proximité avec les<br />
spectateurs.<br />
Auteur et peintre, Clair Arthur met en scène<br />
avec maîtrise et délicatesse ce spectacle inspiré,<br />
onirique et envoûtant.<br />
Neuf chevaux, cinq voltigeurs acrobates et<br />
équilibristes, trois musiciens et le maître <strong>de</strong><br />
manège composent un périple flamboyant et<br />
enchanteur.<br />
La prouesse et la remarquable fluidité laissent<br />
voir le lien charnel et intime aux chevaux mais<br />
aussi la fragilité <strong>de</strong> l’homme face au mon<strong>de</strong>,<br />
ainsi que l’immense et salutaire besoin d’évasion<br />
<strong>de</strong>s artistes… et du public.<br />
mise en scène et scénographie :<br />
Clair Arthur<br />
direction artistique :<br />
Jacques Pagnot<br />
porteur <strong>de</strong> projet :<br />
Pascal Pagnot<br />
création musicale :<br />
Marc Goujot, Olivier Tuaillon,<br />
Thibaut Chipot<br />
costumes : Stéphane Thomas<br />
avec : Calou, Jacques, Caro, Alice, Nolwen, Claire, Olivier,<br />
Marc et Thibaut<br />
et les chevaux : Tango, Jazzy, Hacrobate, Kala, Okapi,<br />
Néomio, Patch, Oman, Charleston, Vicky et Papito
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
samedi<br />
18 mai <strong>2013</strong><br />
16h00<br />
tout public<br />
tarif : découverte<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 15h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
collectif les mains goch’<br />
orchestre d’harmonie d’abbeville<br />
création <strong>2013</strong><br />
Cirque à 4 mains<br />
Approchez, approchez ! Les Mains Goch’ et<br />
l’Orchestre d’Harmonie d’Abbeville investissent<br />
le Théâtre pour un après-midi follement,<br />
hautement et vertigineusement<br />
circassien !<br />
Venez assister à la première représentation<br />
<strong>de</strong> MDR (Moments <strong>de</strong> rencontre), création<br />
<strong>2013</strong> du collectif artistique <strong>de</strong>s Mains Goch’.<br />
Cette pièce clownesque, aérienne et jonglée,<br />
nous parle <strong>de</strong> nos relations aux autres et <strong>de</strong>s<br />
nouveaux outils <strong>de</strong> communication (réseaux<br />
sociaux, sites <strong>de</strong> rencontre...) à travers la rencontre<br />
<strong>de</strong> <strong>de</strong>ux personnages hauts en couleur.<br />
Vous pourrez également découvrir <strong>de</strong>s numéros<br />
<strong>de</strong>s artistes <strong>de</strong>s Mains Goch’ et <strong>de</strong>s<br />
œuvres musicales célèbres consacrées au<br />
cirque, comme la Strada <strong>de</strong> Nino Rota, et bien<br />
d’autres interprétées par les musiciens <strong>de</strong><br />
l’Orchestre d’Harmonie d’Abbeville.<br />
L’Orchestre d’Harmonie d’Abbeville qui<br />
regroupe une cinquantaine <strong>de</strong> musiciens<br />
amateurs <strong>de</strong> différents âges (<strong>de</strong> 13 ans à 73<br />
ans) s’est présenté au concours national <strong>de</strong><br />
Hondschoote le 3 juin <strong>2012</strong> dans le niveau<br />
« supérieur » et a obtenu un premier prix<br />
mention très bien Il est principalement représenté<br />
par <strong>de</strong>s instruments à vent et <strong>de</strong>s<br />
percussions. Il est dirigé <strong>de</strong>puis septembre<br />
1998 par Brigitte Bailleul assistée par Grégoire<br />
Kosin Walczak et Maxime Tuncq.<br />
cirque
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
MARDI<br />
28 mai <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 1h45<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
faut pas payer<br />
Olivier Mellor, partenaire fidèle <strong>de</strong> la Comédie <strong>de</strong> Picardie, met en scène la comédie cinglante, féroce et loufoque<br />
<strong>de</strong> Dario Fo. Une création d’actualité, et une farce jubilatoire.<br />
Italie, années 70. La misère frappe durement. Militant politique, acteur, metteur en<br />
scène et dramaturge, Dario Fo a écrit avec son épouse Franca Rame <strong>de</strong> nombreuses<br />
pièces où la parole est donnée aux plus démunis. Dans un contexte économique, politique<br />
et social très tendu, comment la désobéissance civile peut-elle s’exercer ? Réponse<br />
dans un quartier ouvrier <strong>de</strong> Turin, où les habitants avaient décidé d’instituer<br />
l’autoréduction <strong>de</strong>s prix. Réponse aussi dans la pièce Faut pas payer !, une bouffonnerie<br />
délirante qui sort <strong>de</strong>s cadres sans perdre <strong>de</strong> vue sa cible - l’injustice et les abus <strong>de</strong> pouvoir.<br />
Antonia et Margherita ne peuvent plus payer leurs factures, elles se servent au supermarché<br />
sans passer par la caisse. Pour ne pas révéler la vérité au mari d’Antonia, le butin se<br />
retrouve sous le lit, et sous le manteau <strong>de</strong> la voisine… <strong>de</strong>venue enceinte. La police les<br />
poursuit, les déclassés se font entendre, s’agitent et se démènent, tenaillés par la faim.<br />
Artiste associé à la Comédie <strong>de</strong> Picardie, Olivier Mellor s’empare joyeusement <strong>de</strong> cette<br />
parole universelle, sans oublier le jeu <strong>de</strong>s corps, essentiel. «Dario Fo étale une palette incroyable<br />
<strong>de</strong> possibilités, et construit pour les acteurs un terrain <strong>de</strong> jeu jouissif et gigantesque.»<br />
Cette comédie cinglante, féroce et loufoque laisse éclater un rire libérateur qui appelle à<br />
la liberté. Quand le débat politique est mené par <strong>de</strong>s artistes, ça déménage !<br />
<strong>de</strong> DarioFo<br />
texte français : Valeria Tasca, Toni Cecchinato<br />
(éditions dramaturgie)<br />
mise en scène : Olivier Mellor<br />
lumière : Benoît André<br />
son : Séverin «Toskano» Jeanniard<br />
scénographie : Noémie Boggio,<br />
Alexandrine Rollin<br />
régie : Benoît André, Syd Etchetto<br />
costumes, maquillages : Hélène Falé<br />
avec : Marie Laure Boggio, Stéphane Piasentin,<br />
Rémi Pous, Vincent Tepernowski, Mylène Gueriot<br />
Production : Comédie <strong>de</strong> Picardie, Compagnie du Berger<br />
théâtre
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
harris alexiou<br />
DANS LE CADRE DE L’ANNEE GRECQUE A ABBEVILLE<br />
DU JUMELAGE ENTRE LES VILLES D’ABBEVILLE ET<br />
Haris Alexiou est considérée comme l’une <strong>de</strong>s chanteuses les plus populaires<br />
dans son pays d’origine, la Grèce. Elle chante le soleil et la<br />
mer, les habitants et leurs sentiments, <strong>de</strong>s chansons d’auteur, parmi lesquelles<br />
certaines sont signées par Theodorakis et Papadopoulou.<br />
Elle s’est produite sur les plus gran<strong>de</strong>s scènes du mon<strong>de</strong> et ses œuvres ont été<br />
récompensées <strong>de</strong> nombreuse fois.<br />
Elle donnera ce concert exceptionnel à Abbeville à l’occasion du 20ème anniversaire<br />
du jumelage entre les villes d’Abbeville et d’Argos. Vous serez subjugués<br />
par son talent et son côté immensément charismatique.<br />
théâtre<br />
municipal<br />
lundi 3<br />
juin <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tout public<br />
durée : 2h00<br />
tarif : a<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
concert<br />
semaines<br />
grecques
ET DU 20 e ANNIVERSAIRE<br />
D’ARGOS<br />
Antiqui tés grecques,<br />
étrusques et siciliennes<br />
5 juin – 06 octobre <strong>2013</strong><br />
musée boucher <strong>de</strong> perthes d’abbeville<br />
en partenariat avec le Musée du Louvre<br />
Autour <strong>de</strong> l’exposition :<br />
22 Juin <strong>2013</strong> à 17h00<br />
Journées nationales <strong>de</strong> l’archéologie<br />
Conférence <strong>de</strong> Christine Walter :<br />
les collections grecques, étrusques et romaines<br />
du Musée Boucher-<strong>de</strong>-Perthes<br />
©RMN/Thierry Ollivier - Musée d’Abbeville
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
théâtre<br />
municipal<br />
vendredi 7 juin <strong>2013</strong><br />
14h30 & 20h30<br />
tarifs : scolaire<br />
& découverte<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 14h - 20h<br />
assis<br />
placement libre<br />
samedi 8 juin <strong>2013</strong><br />
20h30<br />
tarif : b<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 19h30<br />
assis<br />
placement libre<br />
spectacle<br />
LE CARNAVAL DES ANIMAUX<br />
SMAÏN<br />
ORCHESTRE SYMPHONIQUE DES éLéVES DU CONSERVATOIRE<br />
A RAYONNEMENT INTERCOMMUNAL D’ABBEVILLE<br />
DIR :Maitane Sebastian<br />
Des éléphants qui font du rap... Camille Saint-Saëns n’avait peut-être pas tout<br />
a fait prévu cela, lorsqu’il composa son Carnaval <strong>de</strong>s Animaux en 1886 ! Il n’imaginait<br />
sûrement pas non plus qu’un dénommé Francis Blanche, humoriste <strong>de</strong><br />
son état, allait réveiller la malice <strong>de</strong> cette oeuvre musicale par <strong>de</strong>s calembours<br />
<strong>de</strong> haute volée. A tel point que son texte, plein d’esprit, séduisit davantage les<br />
adultes que les jeunes auditeurs.<br />
La plume <strong>de</strong> Smaïn<br />
Quelques décennies plus tard, les héritiers <strong>de</strong> Saint-Saëns ont eu l’idée <strong>de</strong> faire<br />
appel à un autre humoriste pour mo<strong>de</strong>rniser ce récit : Smaïn s’y est collé sans<br />
bou<strong>de</strong>r son plaisir et a rédigé un livret qui réjouira assurément les enfants.<br />
Pour accompagner Smaïn, l’Orchestre symphonique du Conservatoire à Rayonnement<br />
Intercommunal sera dirigé par Maitane Sebastian. Cette formation <strong>de</strong><br />
jeunes musiciens, qui reprend <strong>de</strong>puis 2009 le flambeau <strong>de</strong> la Société philharmonique<br />
ayant existé à Abbeville <strong>de</strong> la première moitié du XIXème siècle à la veille<br />
<strong>de</strong> la Secon<strong>de</strong> Guerre mondiale, s’est vu décerner le Premier Prix au Concours<br />
National organisé par la Fédération musicale <strong>de</strong> la Somme.<br />
MON DERNIER AVANT LE PROCHAIN<br />
smaïn<br />
Après avoir concocté un one-man show infernal<br />
dans Rebelote, un spectacle inspiré <strong>de</strong> la vie<br />
quotidienne, Smaïn revient sur les planches.<br />
De retour dans le bistrot <strong>de</strong> son enfance,<br />
l’humoriste nous transporte dans son<br />
drôle <strong>de</strong> quotidien : le mariage mixte, le<br />
psy, l’adoption, la police, les racistes, une<br />
visite <strong>de</strong> Paris très particulière.<br />
Désormais plus théâtral, son nouveau spectacle<br />
reprend <strong>de</strong> nombreux extraits subtilement<br />
choisis parmi ses meilleurs sketchs.<br />
Un nouveau, un grand SMAÏN, et ce<br />
pour notre plus grand plaisir !
<strong>saison</strong><br />
<strong>culturelle</strong><br />
<strong>de</strong> l’ Abbevillois<br />
<strong>2012</strong> -13<br />
le li t 29<br />
Guy <strong>de</strong> Maupassant<br />
Mise en scène : Ladislas Chollat<br />
« Ce que l’on aime avec violence finit toujours par vous tuer.»<br />
Guy <strong>de</strong> Maupassant dans La Nuit<br />
avec :<br />
david sabison<br />
sylvie jobert<br />
espace<br />
CULTUREL<br />
S t andré<br />
mardi 11 &<br />
mercredi 12<br />
juin <strong>2013</strong> - 20h30<br />
tout public<br />
tarifs : b<br />
& scolaires<br />
ouverture <strong>de</strong>s<br />
portes : 20h00<br />
assis<br />
placement libre<br />
Le capitaine Epivent s’éprendra finalement d’une très belle femme rouennaise,<br />
Irma, et, un an durant, on pourra croire à une « ré<strong>de</strong>mption par l’amour » <strong>de</strong> ce<br />
caractère entièrement dévoué à son apparence. Malheureusement la guerre <strong>de</strong><br />
1870 passe par là et le capitaine est envoyé sur le front. Pendant ce temps la<br />
ville <strong>de</strong> Rouen est occupée par les Prussiens. A son retour il ne retrouve Irma<br />
qu’à l’hôpital où elle est soignée pour une syphilis en phase terminale. Elle lui<br />
apprend que, violée par les Prussiens,<br />
elle a contracté la maladie et a<br />
refusé <strong>de</strong> se soigner, préférant<br />
coucher avec tout ce que<br />
la ville comptait <strong>de</strong> soldats<br />
pour en tuer le plus<br />
possible. Epivent ne<br />
peut s’empêcher <strong>de</strong><br />
la considérer comme<br />
une prostituée…<br />
Photo crédit : Régis Nardoux - Dominique Mignon<br />
théâtre
BAINS DE MUSIQUE<br />
JUIN ET SEPTEMBRE<br />
Tous les samedis à 15h30, Place Max Lejeune, <strong>de</strong>s<br />
fanfares, <strong>de</strong>s bandas, <strong>de</strong>s brass-bands mettront le<br />
centre-ville en effervescence musicale.<br />
FETE DE LA MUSIQUE<br />
21 JUIN<br />
Orchestres <strong>de</strong> jazz, <strong>de</strong> variétés, <strong>de</strong> rock, <strong>de</strong> musique<br />
traditionnelle, chanteurs, musiciens, chorales… pop,<br />
renaissance, electro, chanson, métal, musique <strong>de</strong><br />
chambre, hip hop… Toutes les musiques sont en fête !<br />
SPECTACLES AU JARDIN<br />
Ren<strong>de</strong>z-vous tous les vendredis en soirée au Parc<br />
d’Emonville. Au programme : convivialité, fraîcheur,<br />
découvertes musicales.<br />
Exposition d’art contemporain<br />
dans le jardin du Carmel<br />
DE JUILLET À OCTOBRE<br />
Exposition <strong>de</strong> sculptures installée dans le jardin du<br />
Carmel. Ouverture lors <strong>de</strong>s spectacles au jardin et<br />
visites guidées en semaine.<br />
3 ème Festival<br />
HIP HOP IMPACT<br />
20 JUILLET
En allant vers l’Est - Jeudi 27 septembre <strong>2012</strong> – 20H Église Saint-Gilles d’Abbeville<br />
CONSERV<br />
Il ne fait pas <strong>de</strong> doute que notre chanson russe si nostalgique est une enfant du Nord, ou peut-être a-t-elle été dans une certaine mesure<br />
transmise par les Orientaux dont les chants sont pareillement nostalgiques, même dans l’heureuse Andalousie. Écoutez un voiturier <strong>de</strong> la<br />
Volga : son chant est une lamentation, on y ressent la domination tatare.<br />
Mikhaïl I. Glinka<br />
Ilya Repin - Portrait <strong>de</strong> Mikhaïl Glinka<br />
De 1836, date <strong>de</strong> la création d’Une vie pour le tsar, opéra <strong>de</strong> Glinka qualifié alors par l’aristocratie<br />
russe <strong>de</strong> «musique <strong>de</strong> cocher», à 1913, date du scandale provoqué à Paris par le Sacre du Printemps<br />
<strong>de</strong> Stravinski, «une musique qui résume tout l’art mo<strong>de</strong>rne», que <strong>de</strong> querelles entre occi<strong>de</strong>ntalistes<br />
et slavophiles, <strong>de</strong> doutes ou au contraire d’arrogance, mais aussi que <strong>de</strong> recherches et d’audaces.<br />
L’école russe s’est constituée tardivement mais il n’aura fallu que quelques décennies pour qu’elle<br />
s’impose sur la scène musicale européenne.<br />
à RAYON<br />
Alexei Lubimov est un pianiste hors normes. Tout en étant <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> tradition <strong>de</strong>s pianistes<br />
russes, telle qu’elle s’est développée dès la fin du 19ème siècle dans les <strong>de</strong>ux prestigieux conservatoires<br />
<strong>de</strong> Saint-Pétersbourg et <strong>de</strong> Moscou, Alexei Lubimov appartient à ces quelques interprètes<br />
Au programme :<br />
Mikhaïl I. Glinka-Piotr I. Tchaïkovski -Serge Rachmaninov-Igor Stravinski-Ekatarina Walter Kühne -Serge Prokofiev-Edison Denisov<br />
En allant vers l’Est - Mardi 9 octobre <strong>2012</strong> – 20H Chapelle du Carmel d’Abbeville<br />
Alexei Lubimov piano - Un concert exceptionnel<br />
qui savent se tourner vers la musique <strong>de</strong> leur temps et susciter <strong>de</strong>s créations. Il fonda même à Moscou<br />
Alternativo, un festival consacré à l’avant-gar<strong>de</strong> musicale. Le concert <strong>de</strong> ce soir est consacré<br />
à ces chefs-d’œuvre <strong>de</strong> la mo<strong>de</strong>rnité que sont les Prélu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong> Debussy – Alexei Lubimov<br />
jouera douze Prélu<strong>de</strong>s extraits <strong>de</strong>s Premier et Second Livres - ainsi qu’à <strong>de</strong>s compositeurs <strong>de</strong> l’URSS<br />
<strong>de</strong> la secon<strong>de</strong> moitié du 20ème siècle.<br />
Les <strong>de</strong>rniers enregistrements d’Alexei Lubimov, les Impromptus <strong>de</strong> Schubert et les trois <strong>de</strong>rnières<br />
Sonates <strong>de</strong> Beethoven, sont impressionnants.<br />
INTERCO<br />
Vendredi 23 novembre <strong>2012</strong> – 20H Chapelle du Carmel d’Abbeville<br />
Au programme : Clau<strong>de</strong> Debussy-Valentin Silvestrov-Arvo Pärt-Galina Oustvolskaïa<br />
Ravel complexe et multiple - Conférence <strong>de</strong> Michel Sendrez pianiste et compositeur - Vendredi 23 novembre <strong>2012</strong> - 18H Chapelle du Carmel d’Abbeville<br />
En prélu<strong>de</strong> à la rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> Michel Sendrez, cette conférence sur un compositeur qui lui est proche et sur lequel il a beaucoup réfléchi.<br />
Christelle Abinasr piano<br />
Christelle Abinasr, pianiste formée au CNSM <strong>de</strong> Paris, revient à Abbeville, proposant un magnifique<br />
programme <strong>de</strong> musique française pour le piano : le premier cahier <strong>de</strong>s Images <strong>de</strong> Clau<strong>de</strong><br />
Debussy, composé <strong>de</strong>s «Reflets dans l’eau»,<br />
L’<br />
«poème <strong>de</strong> l’agonie <strong>de</strong><br />
ABB<br />
la lumière» (André Suares), d’un<br />
«Hommage à Rameau», compositeur dont Debussy admirait «l’absolue beauté <strong>de</strong> la musique» et<br />
<strong>de</strong> «Mouvements» qui tournent dans un rythme implacable. Suivra Gaspard <strong>de</strong> la nuit <strong>de</strong> Maurice<br />
Ravel, un sommet <strong>de</strong> la création pianistique, «trois poèmes romantiques <strong>de</strong> virtuosité transcendante»<br />
selon Ravel qui voulait surpasser en virtuosité tout ce qui avait été écrit jusqu’alors : l’»Ondine»<br />
est envoûtante, «Le Gibet» lancinant, «Scarbo» démoniaque et sarcastique. Christelle Abinasr<br />
complètera ce programme par la création d’une œuvre <strong>de</strong> Florent Gauthier, jeune compositeur<br />
résidant à Marseille.<br />
Au programme : Clau<strong>de</strong> Debussy-Florent Gauthier-Maurice Ravel
En allant vers l’Est - Mardi 4 décembre <strong>2012</strong> – Chapelle du Carmel d’Abbeville<br />
ATOIRE<br />
à 18h - Jean-Baptiste Porquet piano<br />
Au programme : Alexandre Scriabine<br />
à 19h - Trio Tanaka – Claire Outrebon,<br />
Didier Padé, Alain Muszynski percussions,<br />
Sida Bessaïh clarinette<br />
Au programme : Piotr I. Tchaïkovski<br />
Nicolaï Rimski-Korsakov<br />
Aram Khatchatourian – Edison Denisov<br />
à 20H Georges Dumé piano<br />
Au programme : Mo<strong>de</strong>st P. Moussorgski<br />
Serge Prokofiev<br />
L’école russe du piano est prestigieuse. Que <strong>de</strong> noms pourrions-nous citer ; du fondateur<br />
en 1862 du Conservatoire <strong>de</strong> Saint-Pétersbourg, Anton Rubinstein, enfant<br />
prodige puis pianiste prodigieux, aux interprètes d’aujourd’hui. Et que d’œuvres<br />
essentielles écrites pour l’instrument, particulièrement à la fin du 19ème siècle<br />
et au début du 20ème siècle, <strong>de</strong>s Tableaux d’une exposition <strong>de</strong> Moussorgski, la<br />
première gran<strong>de</strong> œuvre pianistique <strong>de</strong> l’école russe, aux Étu<strong>de</strong>s, Sonates et autres<br />
pièces <strong>de</strong> ces immenses interprètes-compositeurs que furent Scriabine, Rachmaninov<br />
ou Prokofiev.<br />
Au cours <strong>de</strong> cette soirée, le Trio Tanaka vous proposera <strong>de</strong>s transcriptions <strong>de</strong> musique<br />
<strong>de</strong> ballet et d’opéra, domaine souvent réservé aux pianistes, et Sida Bessaïh<br />
une œuvre du grand compositeur russe <strong>de</strong> la secon<strong>de</strong> moitié du 20ème siècle,<br />
Edison Denisov.<br />
NEMENT<br />
C’est ainsi que naît le Quatuor Obane ; d’un joli mot, Obane, qui sonne<br />
Quatuor Obane - Mardi 5 février <strong>2013</strong> – 20H Église Saint-Fuscien <strong>de</strong> Grand Laviers<br />
Régis Altmayer-Henzien – Simon Charbonnel – Florian Chauvet – Julien Coupet guitares<br />
Deux duos <strong>de</strong> guitare se présentent en 2008 au concours <strong>de</strong> duos <strong>de</strong><br />
Fontenay-sous-Bois. Ils arrivent ex-aequo et déci<strong>de</strong>nt alors <strong>de</strong> fusionner.<br />
bien.<br />
La guitare : «un petit orchestre», disait Hector Berlioz. Alors quatre guitares,<br />
quel orchestre ! C’est pourquoi le Quatuor Obane propose un programme<br />
largement tiré du répertoire symphonique, <strong>de</strong>s transcriptions<br />
d’ouvertures d’opéra et <strong>de</strong> musique <strong>de</strong> ballet, mais aussi <strong>de</strong>s compositions<br />
originales pour quatre guitares et <strong>de</strong>s compositions écrites pour le<br />
MMUNAL<br />
Quatuor.<br />
Au programme :<br />
Georg Fr. Haen<strong>de</strong>l -Wolfgang A. Mozart-Gioacchino Rossini-Fe<strong>de</strong>rico Moreno Torroba-Piotr I. Tchaïkovski-Astor Piazzolla-Paulo Bellinati<br />
Rési<strong>de</strong>nce du compositeur Michel Sendrez - Samedi 19 janvier <strong>2013</strong> - 11H30 Conservatoire <strong>de</strong> musique et <strong>de</strong> danse <strong>de</strong> l’Abbevillois<br />
Conférence <strong>de</strong> Séverine Delbosq sur la danse butô.<br />
Exprimer le rapport <strong>de</strong> l’homme au mon<strong>de</strong>, à Dieu, à l’amour, à la vie, à la mort ; combler cette béance qui nourrit l’angoisse existentielle.<br />
Essayer <strong>de</strong> faire sens, <strong>de</strong> réveiller notre conscience.<br />
Michel Sendrez<br />
Quatuor Sendrez<br />
Marina Beheretche, Laura Prieu violons<br />
Au<strong>de</strong> Fa<strong>de</strong> alto<br />
Maitane Sebastian violoncelle<br />
Julien Le Pape piano<br />
Sida Bessaïh clarinette contrebasse<br />
Marcos Loureiro <strong>de</strong> Sá chant<br />
Séverine Delbosq danse butô<br />
Marionnettes réalisées par les élèves <strong>de</strong><br />
l’École intercommunale <strong>de</strong>s beaux-arts<br />
<strong>de</strong> l’Abbevillois<br />
Vendredi 29 mars <strong>2013</strong> – 20H Chapelle du Carmel d’Abbeville<br />
EVILLOIS<br />
Le compositeur et ancien pianiste <strong>de</strong> l’Orchestre National <strong>de</strong> France, Michel Sendrez,<br />
qui fête cette année son 80ème anniversaire, est un homme d’une culture impressionnante.<br />
L’écouter parler a quelque chose <strong>de</strong> fascinant ; il ne cesse <strong>de</strong> conjuguer<br />
musique, philosophie, littérature, arts plastiques, danse. À propos d’Ohui, sa pièce<br />
pour violoncelle seul, il évoque auprès <strong>de</strong> la danseuse Séverine Delbosq le Cri <strong>de</strong><br />
Munch ; il imagine <strong>de</strong>s marionnettes pour les Six Mélodies sur <strong>de</strong>s poèmes <strong>de</strong> Roland<br />
Malcome ; son Quatuor à cor<strong>de</strong>s résonne <strong>de</strong>s cris du mon<strong>de</strong>. Sa volonté <strong>de</strong> dépasser<br />
les limites <strong>de</strong> la forme musicale est évi<strong>de</strong>nte et son ouverture au mon<strong>de</strong> rare.
Grands interprètes <strong>de</strong> la musique contemporaine<br />
CONSERV<br />
Mardi 2 avril <strong>2013</strong> – 20H Chapelle du Carmel d’Abbeville<br />
Avec la participation du plasticien Aitor <strong>de</strong> Mendizabal. En collaboration avec l’École intercommunale <strong>de</strong>s<br />
beaux-arts <strong>de</strong> l’Abbevillois<br />
Devant un ciel mouvant, en contemplant durant <strong>de</strong> longues heures les beautés magnifiques<br />
<strong>de</strong> la nature si incessamment renouvelées, une incomparable émotion m’étreint ; la vaste<br />
nature se reflète en mon âme … et insensiblement mes mains prennent <strong>de</strong>s poses d’adoration.<br />
C’est cela que j’appelle prier.<br />
Clau<strong>de</strong> Debussy<br />
Marine Perez flûte<br />
Au<strong>de</strong> Fa<strong>de</strong> alto<br />
à<br />
Frédérique<br />
RAYON<br />
Cambreling harpe<br />
Frédéric Stochl contrebasse<br />
On pourrait intituler ce concert : Michel Sendrez et la littérature. Yggdrasil pour contrebasse renvoie à un poème <strong>de</strong><br />
Jacques Lacarrière, Notes confi<strong>de</strong>ntielles pour harpe et contrebasse à un poème soufi du 16ème siècle ou encore à<br />
Eluard, les Quatre Pièces pour flûte et harpe comme la Pièce courte pour alto sont un hommage à René Char. Mais Michel<br />
Sendrez et la littérature serait un intitulé réducteur. Car le compositeur a imaginé ses compositions jouées au milieu <strong>de</strong>s<br />
œuvres <strong>de</strong> son ami le plasticien d’origine vénézuélienne et installé au Pays basque, Aitor <strong>de</strong> Mendizabal. Sans oublier<br />
son dialogue avec la musique et Debussy en particulier au travers <strong>de</strong> Traces entrelacées écrites pour flûte, alto et harpe.<br />
INTERCO<br />
Mercredi 10 avril <strong>2013</strong> – 19H Église Saint-Jean-Baptiste d’Épagne<br />
alexandra Luiceanu harpe - Orchestre symphonique du CRI<br />
direction Mai tane Sebastian - Classe <strong>de</strong> trombone <strong>de</strong> Luc Herbaut<br />
Depuis sa création sous la direction <strong>de</strong> Maitane Sebastian, l’Orchestre Symphonique<br />
du CRI <strong>de</strong> l’Abbevillois ne cesse <strong>de</strong> se produire dans <strong>de</strong>s projets ambitieux : Concours<br />
national <strong>de</strong> la Fédération musicale, collaborations avec le Chœur Albert Laurent, commémoration<br />
du 250ème anniversaire<br />
L’<br />
<strong>de</strong> la naissance<br />
ABB<br />
<strong>de</strong> Jean-François Lesueur, travail<br />
avec l’Orchestre <strong>de</strong> Picardie, concertos avec les professeurs solistes du conservatoire.<br />
Cette année une nouvelle collaboration voit le jour avec le compositeur Michel Sendrez<br />
en rési<strong>de</strong>nce au conservatoire : l’orchestre interprétera l’une <strong>de</strong> ses œuvres ainsi<br />
que le Boléro <strong>de</strong> Maurice Ravel, compositeur dont Michel Sendrez est aujourd’hui l’un<br />
<strong>de</strong>s spécialistes les plus pointus.<br />
Œuvres <strong>de</strong> Michel Sendrez et Maurice Ravel
Passion Harpe - Vendredi 17 mai <strong>2013</strong> – 20H Église Saint-Martin <strong>de</strong> Bellancourt<br />
Harpa<br />
ATOIRE<br />
Diva - alexandra Luiceanu harpe<br />
Ce concert s’annonce comme une véritable fête. La harpe s’y montrera en<br />
habit <strong>de</strong> diva et, amoureuse, capricieuse, mutine ou enflammée, chantera<br />
les airs les plus célèbres d’opéras <strong>de</strong> Haen<strong>de</strong>l, Mozart, Bizet, Puccini, Offenbach<br />
et Verdi. Mais la diva se fera brillante et virtuose pour De Falla ou Élias<br />
Parish Alvars.<br />
Diplômée du CNSM <strong>de</strong> Lyon, lauréate <strong>de</strong> la Fondation mécénat musical <strong>de</strong> la<br />
Société Générale et du Concours international <strong>de</strong> harpe <strong>de</strong> Cagliari, professeure<br />
au CRI <strong>de</strong> l’Abbevillois, Alexandra Luiceanu est à l’aube d’une carrière<br />
prometteuse. Sa passion <strong>de</strong> la littérature et <strong>de</strong> la peinture l’amène à vouloir<br />
sortir <strong>de</strong>s limites traditionnelles du récital et à proposer, comme ce soir, <strong>de</strong>s<br />
programmes qui dépassent son instrument.<br />
NEMENT<br />
Journée <strong>de</strong> la harpe à Bellancourt - Samedi 18 mai <strong>2013</strong><br />
16H Église Saint-Martin <strong>de</strong> Bellancourt<br />
Lolomis - Détradi tionnalisation Pop’n Roll <strong>de</strong>s Balkans<br />
Grâce à son principe actif composé <strong>de</strong> 40% <strong>de</strong> virtuosité, 30% <strong>de</strong> joie <strong>de</strong><br />
vivre, 29% d’arrangements expérimentaux détonants, et d’un soupçon <strong>de</strong><br />
douce folie, Lolomis agit sur votre organisme comme un puissant euphorisant.<br />
La voix envoûtante <strong>de</strong> Romane, les percussions endiablées <strong>de</strong> Louis, les<br />
flûtes planantes <strong>de</strong> Stélios, le violon magique et la harpe provocante d’Élo-<br />
MMUNAL<br />
die sont en effet les ingrédients essentiels du célèbre «Breuvage <strong>de</strong> bonne<br />
humeur», indispensable au voyage <strong>de</strong> vos sens ! Effet secondaire : un sourire<br />
aux lèvres permanent.<br />
Romane Clau<strong>de</strong>l Ferragui<br />
chant, violon, bratsch<br />
Élodie Messmer<br />
harpe, violon<br />
Stélios Lazarou<br />
flûtes<br />
laboitamuzik.fr<br />
Louis Delignon<br />
percussions<br />
Tel : 03 22 24 41 28<br />
Courriel : cri-abbevillois@orange.fr<br />
EVILLOIS<br />
<strong>2012</strong>-<strong>2013</strong><br />
<strong>saison</strong> musicale
Du 8 septembre au 21 septembre <strong>2012</strong><br />
CULTURE ET RURALI Té<br />
EXP<br />
Exposition <strong>de</strong>s photographies réalisées<br />
par le groupe d’adultes ayant participé<br />
au dispositif au cours <strong>de</strong> l’année 2011 / <strong>2012</strong>.<br />
Sous la direction artistique et technique<br />
du photographe Yazid Medmoun.<br />
Du 29 septembre au 26 octobre <strong>2012</strong><br />
Roger Agache<br />
«voir, c’est apprendre à voir.»<br />
INVITATIONS D’ARTISTES et C’EST TOUT UN ART<br />
avec le collectif d’artistes « Le Marronnier »<br />
Programmation<br />
<strong>de</strong>s exposi tions<br />
<strong>de</strong> l’école <strong>de</strong>s beaux-art<br />
Saison <strong>2012</strong> / <strong>2013</strong><br />
Du 17 novembre au 21 décembre <strong>2012</strong><br />
Alfred Manessier<br />
s’affiche aux beaux-arts !
Du 12 janvier au 1 er mars <strong>2013</strong><br />
Henri-Georges Vidal<br />
Du 6 avril au 7 juin <strong>2013</strong><br />
Aï tor Mendizabal<br />
SCULPTEUR<br />
Né en 1949, Aitor <strong>de</strong> Mendizabal, sculpteur,<br />
peintre et <strong>de</strong>ssinateur vit et travaille entre Saint<br />
Sébastien et Bélus dans les Lan<strong>de</strong>s. Diplômé <strong>de</strong>s<br />
OBeaux Arts <strong>de</strong> Rome et <strong>de</strong> Carrare.<br />
Du 22 au 28 juin <strong>2013</strong><br />
Travaux d’élèves<br />
<strong>de</strong> l’école <strong>de</strong>s beaux-art<br />
beaux arts<br />
La galerie <strong>de</strong>s<br />
18, rue <strong>de</strong>s capucins - 80100 - Abbeville<br />
03 22 24 41 15 - www.les-bozarts.fr
contacts<br />
Directeur <strong>de</strong>s Affaires Culturelles et direction artistique <strong>de</strong> la <strong>saison</strong> <strong>culturelle</strong> :<br />
Frédéric Sannier<br />
Médiateur culturel : Laurent Cauchy<br />
Espace Culturel Saint André - Tél : 03 22 20 26 88<br />
Bibliothèque Municipale<br />
Directrice : Hélène Cotrelle<br />
- section « étu<strong>de</strong> et patrimoine »-Jardin d’Emonville, place Clemenceau - Tél. : 03 22 24 95 16<br />
- section « libre accès »- 6, rue <strong>de</strong>s Capucins - Tél : 03 22 24 04 69<br />
- bibliothèque Galerie marchan<strong>de</strong> Hyper U - Tél : 03 22 31 24 40<br />
Musée Boucher-<strong>de</strong>-Perthes<br />
Directrice : Lynda Frenois<br />
24, rue Gontier-Patin - Tél : 03 22 24 08 49<br />
Scènes d’Abbeville<br />
Espace Culturel Saint André - Théâtre Municipal<br />
Rue du Moulin Quignon - Tél : 03 22 20 26 80<br />
Service Patrimoine<br />
Médiateur du patrimoine : Romain Zechser<br />
Hôtel d’Emonville, 26 place Clemenceau - Tél : 03 22 19 16 93<br />
Service <strong>de</strong>s Archives Municipales<br />
Responsable : Eric Berriahi<br />
Hôtel d’Emonville, 26 place Clemenceau - Tél : 03 22 25 43 88<br />
Conservatoire à Rayonnement Intercommunal <strong>de</strong> l’Abbevillois<br />
Directrice : Violette Garnier<br />
23, rue Lesueur - Tél : 03 22 24 41 28<br />
Ecole <strong>de</strong>s Beaux Arts<br />
Directeur : Jean-François Petitperrin<br />
18, rue <strong>de</strong> Capucins - Tél : 03 22 24 41 15<br />
Pays <strong>de</strong>s Trois Vallées<br />
Chargée <strong>de</strong> développement culturel : Christine Vanhée<br />
8, place du Gal <strong>de</strong> Gaulle - Tél : 03 22 25 07 33<br />
Conception, illustration et réalisation <strong>de</strong> la plaquette : Communauté <strong>de</strong> Communes <strong>de</strong> l’ Abbevillois - Christian Smith