« ALBERTO SPADOLINI A LA COUR DE JOSEPHINE BAKER »
Premier étage Spadolini au Château de Brignac, années 50 (coll. P. Oger) Le danseur Spadolini et Joséphine Baker “À Joséphine Baker, la reine du music-hall parisien ont été consacrés des expositions, des recherches, des biographies et des films. Ce que l’on ne savait pas encore, c’était sa brève et irrésistible histoire d’amour et artistique avec un danseur italien, Alberto Spadolini, son contemporain, né à Ancône en 1907 et décédé à Paris en 1972. Spadò, le ‘danseur nu’, c’est ainsi que l’avaient surnommé les français …”
Joséphine Baker, années 20
- Page 1: « ALBERTO SPADOLINI A LA COUR DE J
- Page 5 and 6: Studio Piaz : « Joséphine et Spad
- Page 7 and 8: « Spadolini », Papeteries de Gerv
- Page 9 and 10: Federico Fellini: “Joséphine Bak
- Page 11 and 12: Photo Cayeb : « Spadolini », Brux
- Page 13 and 14: Jean-Gabriel Domergue: “Joséphin
- Page 15 and 16: Joe Pazen: “Spadolini”, Palais
- Page 17 and 18: Spadolini et Tatiana Riabouchinska,
- Page 19 and 20: Spadolini, 1933
- Page 21 and 22: Spadolini : « Casanova », années
- Page 23 and 24: Maurice Seymour : « Hermes - Spado
- Page 25 and 26: Studio Piaz: « Spadolini », Paris
- Page 27 and 28: Studio Roger Carlet : « Spadolini
- Page 29 and 30: Studio Piaz: “Spadolini”, anné
- Page 31 and 32: Spadolini : « Le Martyre de Saint-
- Page 33 and 34: Photo Cayeb : « Spadolini », Brux
- Page 35 and 36: Spadolini et Yvette Bouland, année
- Page 37 and 38: Spadolini et Nati Morales, Paris 19
- Page 39 and 40: Spadolini: “Portrait de l’Artis
- Page 41 and 42: Spadolini : “Le Jongleur”, ann
- Page 43 and 44: Spadolini : “Le Visage de l’amo
- Page 45 and 46: Spadolini: « Duilio, la première
- Page 47 and 48: Spadolini: “Charlotte Bara”, 19
- Page 49 and 50: Spadolini “Ballet Russe de Monte
- Page 51 and 52: Spadolini : « Notre-Dame de Paris
Premier étage<br />
Spadolini au Château de Brignac, années 50 (coll. P. Oger)<br />
Le danseur Spadolini et Joséphine Baker<br />
“À Joséphine Baker, la reine du music-hall parisien ont<br />
été consacrés des expositions, des recherches, des<br />
biographies et des films. Ce que l’on ne savait pas<br />
encore, c’était sa brève et irrésistible histoire d’amour et<br />
artistique avec un danseur italien, Alberto Spadolini, son<br />
contemporain, né à Ancône en 1907 et décédé à Paris en<br />
1972. Spadò, le ‘danseur nu’, c’est ainsi que l’avaient<br />
surnommé les français …”