ANNÉE TRAVAUX d'entret en. Traitements. DÉPENSES DE PERSONNEL DÉPENSE <strong>la</strong><strong>de</strong>nini.és <strong>de</strong> dép<strong>la</strong>cement. Allocations t'ara l'ara iliaìes. totale par année. francs. francs. francs. francs francs. 1940 800.000 72.000 3.000 18.000 893.000 1941 800.000 87.000 3.000 22.000 912.000 1942 300.000 156.COO 3.000 27.000 486.000 1943 1913 260.000 204.000 20-4.000 4.000 42.000 510.000 1944 225.000 285.000 3.000 98.000 611 .OCO 1945 375.000 515.000 5.000 5.009 83.000 978.000 1946 1940 4C0.000 662.000 062.000 6.000 261.000 1.329.OOO 1.329.000 1957 500.000 1.117.OOO 1.117.000 6.000 377.000 2.000.000 1948 500.0:0 ,o:o 1.853.000 14.000 885.000 3.252.(00 1949 1.000.000 2.304.000 28.000 853.000 4.185.000 2° Rccelles domaniales afférentes au Cher canalisé. franc«. 194 0 .. 23.000 194 1 21.000 194 2 28.0^0 194 3 . 3:2.000 194 4 3D. 000 194"> 12L(00 1J46. 228.0C0 1 9 4 7 2 7 9 . 0 0 0 194 8 323.000 194 9 360.000 15198 — M. Jean-Paul David, à- <strong>la</strong> suile <strong>de</strong>s manifesfations organises le 6 juin 1950 par le syndical général confédéré du personnel <strong>de</strong> <strong>la</strong>. Régie autonome <strong>de</strong>s transports parisiens (G. G. T.-F. S. M.) <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>s travaux publics, <strong>de</strong>s transports et du tourisme,, s'il considère comme admissible que le parti communiste, sous le couvert d'organisation sociale, se livre ù sa propagan<strong>de</strong> (sous forme <strong>de</strong> distribution <strong>de</strong> tracts et listes <strong>de</strong> souscriptions) auprès <strong>de</strong>s agents <strong>de</strong> <strong>la</strong> Régie autonome <strong>de</strong>s transports parisiens, et ce<strong>la</strong> dans <strong>de</strong>s locaux administratifs, et notamment s'il a donné son accord pour que le bâtiment situé 18 et 20, rue <strong>de</strong> Naples, acquis par <strong>la</strong> Régie autonome <strong>de</strong>s transports parisiens et mis à <strong>la</strong> disposition du comité d'entretien et <strong>de</strong> <strong>la</strong> caisse mutuelle <strong>de</strong> coordination aux assurances sociales, soit utilisé pour cette propagan<strong>de</strong>. {Question du 29 juin 1950.) Réponse. — La Régie, autonome <strong>de</strong>s transports parisiens met à <strong>la</strong> disposition <strong>de</strong> ses groupements sociaux et <strong>de</strong> <strong>la</strong> caisse mut ne <strong>de</strong> <strong>de</strong> coordination aux assurances sociales les locaux situés 18 et 20, rue <strong>de</strong> Naples. Ces organismes bénéficient <strong>de</strong> <strong>la</strong> plus <strong>la</strong>rge autonomie ae gestion. Cependant <strong>la</strong> Régie autonome <strong>de</strong>s transports parisiens, pas plus que le ministère <strong>de</strong> tutelle n'ont jamais admis que les locaux affectés à <strong>de</strong>s organisations sociales soient utilisés pour une ] ropagan<strong>de</strong> politique. La Régie autonome <strong>de</strong>s transports parisiens a réagi contre les inci<strong>de</strong>nts <strong>de</strong> cette nature chaque fois qu'elle en a (u connaissance. Des instructions utiles sont données à <strong>la</strong> direction <strong>de</strong> <strong>la</strong> Régie autonome <strong>de</strong>s transports parisiens afin que les activités ne ces organismes <strong>de</strong>meurent strictement dans le cadre social qui < si le leur. 15241. — M Maurice Béné expose à M. le ministre <strong>de</strong>s travaux publics, <strong>de</strong>s transports et du tourisme que, pendant l'occupation, <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer français a effectué <strong>de</strong> nombreux transports pour le compte <strong>de</strong>s autorités alleman<strong>de</strong>s tant militaires que civiles; que ces transports ont donné lieu au versement d'une rémunération par les autorités alleman<strong>de</strong>s. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> s'il lui est possible <strong>de</strong> lui faire connaître: 1° quel est le montant <strong>de</strong> <strong>la</strong> rémunération ainsi versée par les Allemands durant les années 1941, 1942, 1943 et 1944; 2° si cette rémunération a été déterminée forfaitairement ou suivant un barème établi en fonction du kilométrage parcouru; 3° si les bases <strong>de</strong> calcul <strong>de</strong> <strong>la</strong> rémunération étaient "fixées par une convention franco-alleman<strong>de</strong>; 4° si le montant en a été versé par les Allemands à <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer français ou à l'Etat français et, dans cette <strong>de</strong>rnière hypothèse, si celui-ci l'a rétrocédé à <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> îer français. (Question du 30 juin 1950.) Réponse. — Le montant <strong>de</strong>s créances <strong>de</strong> <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer français, au titre <strong>de</strong>s transports allemands s'est élevé, <strong>de</strong> décembre 1940 au 30 mai 4944 : pour <strong>la</strong> zone Nord, à 36.754.571.000 F; pour <strong>la</strong> zone Sud, à 2.835 millions <strong>de</strong> francs. Les remboursements effectués par tes autorités alleman<strong>de</strong>s, pour l'époque considérée, ont élé <strong>de</strong>: pour ia zone Nord, 17.665 millions <strong>de</strong> francs; pour <strong>la</strong> zone Sud, 2.152 millions <strong>de</strong> francs. Les versements annuels on! élé les suivants- 4.786 millions <strong>de</strong> francs, en 1941, 4.557 millions <strong>de</strong> francs, en 1942, 4.652 millions <strong>de</strong> francs, en 1943, 5.822 millions <strong>de</strong> francs, en 1944, dont 3.670 millions <strong>de</strong> francs pour <strong>la</strong> zone Nord et 2.152 millions <strong>de</strong> francs pour <strong>la</strong> zone Sud. 11 n'a pas été possible d'obtenir <strong>de</strong> <strong>la</strong> part du gouvernement central allemand <strong>la</strong> ratificaiion <strong>de</strong>s projels d'accords passés entre les autorités d'occupation et l'Etat français, en vue <strong>de</strong> fixer, sur <strong>la</strong> base d'un barème kilométrique le montant <strong>de</strong>s remboursements dus par les Allemands en ce qui concerne leurs transports. Aussi, les autorités d'occupation ont-elles "décidé, en mai 1941, <strong>de</strong> verser chaque mois une in<strong>de</strong>mnité forfaitaire qu'elles fixaient uni<strong>la</strong>téralement. Ces sommes étaient versées au compte courant du Trésor, à <strong>la</strong> Banque <strong>de</strong> France et réparties irimesiriollement par les soins <strong>de</strong>s services français, entre ta Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer français et les" autres parties prenantes (voies ferrées d'intérêt local) au ïnark le franc. 15263. — M. Joannès Dupraz rappelle à M. he ministre <strong>de</strong>s travaux pubîics, <strong>de</strong>s transports et du tourisme les inconvénients résultant pour <strong>de</strong> nombreuses régions à popu<strong>la</strong>tion inrale, du retard apporté à i'édielion <strong>de</strong> mesures <strong>de</strong>vinées à régler Ja situation créée par <strong>la</strong> suppression <strong>de</strong> certains services <strong>de</strong> <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer français qui empruntaient <strong>de</strong>s ligues dites secondaires, lt signale, en particulier, <strong>la</strong> situation difficile faite aux centres <strong>de</strong>sservis par Ja ligne le B<strong>la</strong>nc-Preuilly-sur-G<strong>la</strong>ise-Tours, sur <strong>la</strong>quelle les assemblées locales on! attiré à plusieurs reprises l'attention <strong>de</strong>s pouvoirs publics en proposant <strong>de</strong>s solutions. Il <strong>de</strong>man<strong>de</strong> h quel moment seront publiés les lexies réglementaires qui permettront aux comités techniques <strong>de</strong> régler, sur le p<strong>la</strong>n local, cette importante question. (Ques lion du 4 juillet 1950.) , Réponse. — La <strong>de</strong>sserte voyageurs par voie ferrée <strong>de</strong> <strong>la</strong> re<strong>la</strong>tion le B<strong>la</strong>nc-Preuilly-sur-C<strong>la</strong>ise-Tours nécessiterait <strong>la</strong> reprise <strong>de</strong> l'exploitation <strong>de</strong> <strong>la</strong> ligne le B<strong>la</strong>nc-Port-<strong>de</strong>-Piles. Or, le rétablissement d'un service ferroviaire voyageurs à l'ai<strong>de</strong> d'autorails légers sur les lignes dites <strong>de</strong> « l'Etoile du B<strong>la</strong>nc » a donné lieu à <strong>de</strong>s élu<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s comités techniques départementaux <strong>de</strong>s transport intéressés et du conseil supérieur <strong>de</strong>s transport?. Au cours <strong>de</strong> sa séance du 5 juillet 1949, le conseil supérieur <strong>de</strong>s transports s'est prononcé à <strong>la</strong> majorité <strong>de</strong> ses membres contre le rétablissement <strong>de</strong>s re <strong>la</strong> lions ferroviaires à l'ai<strong>de</strong> d'autorails légers sur les lignes dites <strong>de</strong> « l'Etoile du B<strong>la</strong>nc » (te B<strong>la</strong>nc-Châtellerault, le B<strong>la</strong>nc-Port-<strong>de</strong>-Piles, le hianc-Argenton). Sur l'insistance <strong>de</strong>s représentants <strong>de</strong>s popu<strong>la</strong>tions intéressées, le conseil supérieur a été invité à réexaminer cette affaire en secon<strong>de</strong> délibération et h limiter son examen aux <strong>de</strong>ux lignes: le B<strong>la</strong>nc-Chatellerault. le B<strong>la</strong>nc-Port-<strong>de</strong>-Piles et il s'esl <strong>de</strong> nouveau prononcé, le 11 août 1949, à une majorité plus élevée que lors <strong>de</strong> <strong>la</strong> première délibéra (ion contre le rétablissement du service ferroviaire projeté. Celle prise .(le position est principalement due aux conclusions <strong>de</strong> l'étu<strong>de</strong> économique qui a été effectuée et qui a fait ressortir que l'exploitation par aulorails légers serait plus déficitaire que l'exploitation routière actuelle. Le surcroît <strong>de</strong> charges pour l économie nationale serait <strong>de</strong> l'ordre d'une dizaine <strong>de</strong> millions. Dans ces conditions, cornute tenu <strong>de</strong> <strong>la</strong> sévère politique d'économie que doit poursuivre, <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer français afin <strong>de</strong> réduire le déficit <strong>de</strong> son exploitation, il n'a pas élé possible d'envisager le rétablissement <strong>de</strong> ces services ferroviaires voyageurs. Toutefois, lors <strong>de</strong> l'è <strong>la</strong>b! Us e ment <strong>de</strong>s nouveaux p<strong>la</strong>ns départementaux <strong>de</strong> transports qui <strong>de</strong>vront être établis en application <strong>de</strong>s dispositions du décret du 14 novembre 1949 sur <strong>la</strong> coordina 1 ion <strong>de</strong>s transports, l'étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>sserte <strong>de</strong> ces re<strong>la</strong>tions pourra, éventuellement, être reprise. 15338. — M. Jean Minjoz expose à M. le ministre <strong>de</strong>s travaux publics, <strong>de</strong>s transports et du tourisme que lorsqu'un mutilé se présente aux guichets <strong>de</strong> <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins <strong>de</strong> fer fronçais en tant que sa<strong>la</strong>rié, pour réc<strong>la</strong>mer le billet <strong>de</strong> congé payé avec réduction <strong>de</strong> 30 p. 100 pour sa famille, il lui est répondu: «'impossible. le billet est indivisible; or, c'est à vous qu'il doit être accordé comme sa<strong>la</strong>rié et nous ne pouvons tenir compte <strong>de</strong> votre carte <strong>de</strong> mutilé. Si vous voulez bénéficier pour votre épouse <strong>de</strong> <strong>la</strong> réduction <strong>de</strong> 30 p. 100 il vous faut renoncer, pour vous, k votre réduction d'invalidité (<strong>de</strong> 50 p. 100 ou <strong>de</strong> 75 p. 100), et nous vous établirons lô billet commun que nous pouvons seulement vous donner ». Or, sans permettre aux mutilés <strong>de</strong> cumuler leur réduction pour invalidité et <strong>la</strong> réduction accordée aux sa<strong>la</strong>riés, il serait juste <strong>de</strong> leur permettre <strong>de</strong> bénéficier, pour eux, du taux <strong>de</strong> réduction permanent fixé par 1a loi <strong>de</strong> 1921, et, pour leurs familles, <strong>de</strong> <strong>la</strong> réduction <strong>de</strong> 30 p. 100 accordée aux familles <strong>de</strong> sa<strong>la</strong>riés; il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>: s'il n'est pas possible <strong>de</strong> prendre, au plus tôt, avant les départs massifs <strong>de</strong> vacances, toutes mesures nécessaires pour faire cesser cette injustice. (Question du 11 juillet 1950.) Réponse. — Le régime <strong>de</strong>s billets popu<strong>la</strong>ires <strong>de</strong> congé annuel a été créé pour répondre aux dispositions légis<strong>la</strong>tives prises en 1936 en faveur <strong>de</strong>s travailleurs sa<strong>la</strong>riés bénéficiant d'un congé annuel. Le droit <strong>de</strong> <strong>la</strong> famille du travailleur h bénéficier <strong>de</strong> <strong>la</strong> iarification réduite n'est qu'un accessoire du droit principal reconnu au travailleur lui-même. C'est en effet à titre purement bénévole que les anciens, réseaux et à leur suite <strong>la</strong> Société nationale <strong>de</strong>s chemins-<strong>de</strong>
1er Jrançais. ont consenti à étendre à <strong>la</strong> famille <strong>de</strong>s sa<strong>la</strong>rié«, <strong>la</strong> ïéduction réservée à cemv-ci à l'occasion <strong>de</strong> leur -congé. Il n'est pas possible d'envisager l'extension <strong>de</strong>s avantages déjà prévus en raison <strong>de</strong>s risques <strong>de</strong> frau<strong>de</strong>
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2 décembre 1914 (.Journal ojfieel
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