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JOURNAL OFFICIEL - Débats parlementaires de la 4e République

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camion. logement, dès lors que* les> intéressés:.sont en mesure d'apporter<br />

ta preuve; qu'ils payent, effectivement un loyer dans les conditions-<br />

prévues par <strong>la</strong> loi,., Il appartient 1 , dans, ce cas, aux. organismes<br />

débiteurs <strong>de</strong>/ l'allocation <strong>de</strong> logement <strong>de</strong> prendre toutes mesuresutiles<br />

en vue d'éviler les frau<strong>de</strong>s, en s'assurant par tous moyens<br />

d'investigation, et notamment auprès <strong>de</strong> l'administration <strong>de</strong>s contri-<br />

Jmtinns- directes, <strong>de</strong> 1 <strong>la</strong> réalité «t du montant du loyer -versé. Dans<br />

le, cas- particulier signalé, l'intéressé peut! donc prétendre au versement<br />

<strong>de</strong> l'allocation <strong>de</strong> logement» J'ajoute qu'aucune, directive<br />

Itfa» été donnée dans- ce sens contraire aux termes <strong>de</strong> <strong>la</strong> présente<br />

réponse, tant à l'union familiale <strong>de</strong>s caisses d'allocations familiales<br />

, .qpïct Va Société nationale' <strong>de</strong>s chemins- dé fer <strong>la</strong>nçais.<br />

2 e réponse. — Le montant <strong>de</strong>s cotisations- patronales dë sécurité<br />

sociale et d'allocations familiales restant dues, dans le département<br />

du Jura, pour <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> antérieure au 1avril 1950, s'élève respectivement<br />

à.: cotisations <strong>de</strong> sécurité sociale- -(assurances- sociales<br />

et acci<strong>de</strong>nts du travail«), 17.883,572 francs; cotisations d'allocations<br />

familiales, 18.082.-783 francs. Toutes mesures ont été prises, tant par<br />

<strong>la</strong> caisse primaire <strong>de</strong> sécurité sociale que par <strong>la</strong>. caisse d'allocations<br />

familiales <strong>de</strong> Lons-le-Saunier, pour assurer le recouvrement <strong>de</strong>s<br />

cotisations arriérées. En particulier, plus <strong>de</strong> 17 millions <strong>de</strong> cotisations<br />

ont été' confiés, pour recouvrement, par <strong>la</strong> direction régionale<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale <strong>de</strong> Dijon,, à l'administration <strong>de</strong>s finances, qui<br />

se charge d'en assurer les rentrées comme en matière <strong>de</strong> contributions<br />

directes.<br />

tB33T. — Nh Jacques Vwwlrou* <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à ». le ministre du; tra*<br />

vaiï et du <strong>la</strong> sécurité sociale: 1° si les inspecteurs du travail ont<br />

accès d'ans-les locaux affectés-aux administrations-publiques-; 2° dans<br />

<strong>la</strong> négative, quelle est l'autorité -compétente pour faire respecter,<br />

dans ces mêmes locaux les règles <strong>de</strong> salubrité et <strong>de</strong> sécurité applicables<br />

à l'industrie privée. (Question du 11 juillet 1950.)<br />

Réponse. — Les inspecteurs du travail ne sont chargés du conf3<br />

<strong>de</strong> l'application <strong>de</strong>s dispositions du, livre II du co<strong>de</strong> du travail<br />

tives, & l'hygiène et. à <strong>la</strong> sécurité dans- les établissements publics<br />

lorsque: cenxv-ci sont visés par l'article 65 du livre II du co<strong>de</strong><br />

travail» c'est-à-di^e lorsqu'ils- présentent un caractère industriel<br />

ou,; comnaeïïciaL II y a heu <strong>de</strong> signaler, toutefois, que ce contrôle<br />

s'éxerce, dans- les conditions prévues par le décret du 8 mars 1905'<br />

qui prévoit notamment <strong>la</strong> consultation du ministre- intéressé en cas<br />

<strong>de</strong>* désaccord 1 entre le directeur <strong>de</strong> l'établissement et l'inspecteur<br />

divisionnaire du. travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> main-d'œuvre sur les mesures à<br />

prendre. Dans les établissemenls publics qui revêtent un caractère<br />

strictement administratif, il n'appartient qu'à, <strong>la</strong> personne morale<br />

<strong>de</strong> qui relèvent ces établissements <strong>de</strong> faire appliquer les mesures<br />

dfhygiMe et <strong>de</strong> sécurité qui. s'imposent.<br />

w 1&36S1 — M». Jacques BardouK, se référant à <strong>la</strong> réponse faite le<br />

4 juillet 1950s a sa question- écrite n° 14964« et qui précise « qu'il y<br />

aurait intérêt à ce que ' les circonstances particulières <strong>de</strong> ce cas<br />

fussent précisées à l'administra lion, qui pourrait ainsi en entrepmndre<br />

l'examen en toute connaissance <strong>de</strong> cause », <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à<br />

M, <strong>la</strong> mihsatre du tavail et da Sa sécurité sociale si cette réponse<br />

peut être interprétée comme indiquant qu'en cas <strong>de</strong> conflit enfre<br />

un assujetti et une caisse <strong>de</strong> sécurité sociale il n'existe pas d'aulre<br />

recours pour l'assujetti qu'une intervention auprès <strong>de</strong> M. le ministre *<br />

du travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong>'sécurité sociale. (Question du 13 juillet 1950.)<br />

Réponse. —- Un arrêté du 8 juillet 1946 (Journal o[¡icíel du 12 juillet<br />

1946) a fixé les conditions dans lesquelles doit être effectuée<br />

l'immatricu<strong>la</strong>tion et <strong>la</strong> radiation <strong>de</strong>s assurés sociaux agricoles dont<br />

le 1 service est assure par l'union national* <strong>de</strong> réassurance mutuelle<br />

agricole. D'après les renseignements qui lui parviennent, <strong>la</strong>dite<br />

union-, sur l'avis motivé- <strong>de</strong>s caisses mutuelles d'assurances sociales<br />

agricoles, déci<strong>de</strong> s'il- y a. lieu ou non d'admettre les travailleurs<br />

intéressés au; bénéfice ' <strong>de</strong>s assurances sociales agricoles-. Au cas on<br />

<strong>de</strong>s difficultés surviennent au sujet du régime applicable à un travaâMeuiv<br />

le directeur régional <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale compétent,<br />

peu! soit spontanément, soit à <strong>la</strong> requête d'un travailleur, d'un<br />

employeur; ou.- d'un organisme intéressé, <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r à l'union nationale<br />

<strong>de</strong> réassurance mutuelle agricole toutes justifications re<strong>la</strong>tives<br />

à l'im ma tripu<strong>la</strong>,tion.- <strong>de</strong> <strong>la</strong> personne intéressée et, éventuellement <strong>la</strong><br />

radiation <strong>de</strong> cette <strong>de</strong>rnière <strong>de</strong> l'assurance sociale agricole. Le directeur<br />

régional <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale peut, lorsque <strong>de</strong>s difficultés<br />

d'interprétation <strong>de</strong>s textes se présentent, en référer au ministre du<br />

travail et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale et au ministre <strong>de</strong> l'agriculture.<br />

Enfin,, tonile. partie q,ui conteste une décision prise à son sujet peut<br />

faire^ trancher le différend par les commissions du contentieux <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong>, sécurité sociale.<br />

— M. VirgHe Barel expose à M*. le ministre du travail et<br />

d* La, sécurité sociale que l'inspecteur départemental du travail <strong>de</strong>s<br />

Alpes-Maritimes <strong>de</strong>mandait, il y a quatre mois, un correspondant<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> main-d'œuvre à Saint-Martin-du-Var. (Alpes-Maritimes), qui<br />

aurait à s'occuper d'une quinzaine <strong>de</strong> communes environnantes. Il<br />

lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> pour quelles raisons une candidature (il s'agit du<br />

maire <strong>de</strong> <strong>la</strong> commune: 32 ans, mutilé <strong>de</strong> guerre 100 p. 100, médaille<br />

militaire, Croix <strong>de</strong> guerre, <strong>de</strong>ux enfants h charge, sans profession,<br />

titu<strong>la</strong>ire du brevet élémentaire et du B. E. P. S.) a été refusée par<br />

le préfet sans qu'aucune explication ait été donnée au candidat qui<br />

a <strong>de</strong>mandé, h plusieurs reprises, le motif <strong>de</strong> ce refus. (Question du<br />

13 juillet 1950.)<br />

Réponse. — La candidature <strong>de</strong> M. Maiffredi au poste <strong>de</strong> correspondant<br />

local <strong>de</strong>s services <strong>de</strong> main-d'œuvre pour les quinze localités<br />

environnant <strong>la</strong> commune <strong>de</strong> Saint-Martin-du-Var, a donné lieu à<br />

un examen attentif,. L'absence <strong>de</strong> titres particuliers et <strong>de</strong> spécialisation<br />

<strong>de</strong> l'intéressé pour le poste en question n'ont pas permis <strong>de</strong><br />

réserver une suite favorable à.sa candidature.<br />

1 « — M. André Barthélémy <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à Wt. le ministre du travail<br />

et d© <strong>la</strong> sécurité sociale: 1° quel est le montant total, <strong>de</strong>s cotisations<br />

patronales <strong>de</strong> sécurité sociale non recouvrées dans le département<br />

du Jura en 1948, en 1949 et dans le premier trimestre 1950;<br />

2 quelles mesures il compte prendre pour faire rentrer ces cotisalions.<br />

(Question du 13 juillet 1950.1<br />

t. — M. le colonel Félix <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M« <strong>la</strong> ministre du travail<br />

et <strong>de</strong>: <strong>la</strong> sécurité sociale: 1 quelle est <strong>la</strong> situation, au regard' <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> sécurité sociale, d'un sa<strong>la</strong>rié qui, après avoir versé pendant <strong>de</strong><br />

nombreuses années ses cotisations, doit suspendre son activité pendant<br />

plusieurs années poinr ma<strong>la</strong>die contractée — comme militaire<br />

— l'intéressé ne bénéficiant que du payement par l'Etat <strong>de</strong>s dépenses<br />

occasionnées par <strong>la</strong> ma<strong>la</strong>die, cause <strong>de</strong> sa réforme; sans percevoir<br />

quoi que ce soit'pour toutes autres ma<strong>la</strong>dies étrangères an motif <strong>de</strong>.<br />

<strong>la</strong> réforme; 2° s-il n'a pas droit, ainsi que son conjoint, aux. prestations<br />

ma<strong>la</strong>die <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale. (Question du 13 juillet 1950.).<br />

Réponse. — 1° L'assuré ma<strong>la</strong><strong>de</strong> ou blessé <strong>de</strong> guerre qui bénéficie<strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tion <strong>de</strong>s pensions militaires continue <strong>de</strong> recevoir personnellement,<br />

au titre <strong>de</strong> cette légis<strong>la</strong>tion et à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong> l'Etat,<br />

les soins nécessités par l'affection ~ou <strong>la</strong> blessure d'origine militaire.<br />

(En cas d'interruption <strong>de</strong> travail due à cette <strong>de</strong>rnière affection, il m<br />

droit, conformément à l'article 81 <strong>de</strong> l'ordonnance du 19* octobre*<br />

1945, aux in<strong>de</strong>mnités journalières <strong>de</strong>- <strong>de</strong>mi-sa<strong>la</strong>ire. Celles-ci lui sont<br />

versées par <strong>la</strong> caisse, primaire <strong>de</strong> sécurité sociale à <strong>la</strong>quelle il est<br />

affilié pendant <strong>de</strong>s pério<strong>de</strong>s <strong>de</strong> trois années séparées par une interruption<br />

<strong>de</strong> <strong>de</strong>ux ans, sous réserve qu'il justifie auprès <strong>de</strong> cette,<br />

caisse, lors <strong>de</strong> chaque interruption <strong>de</strong> travail, <strong>de</strong>s conditions requisespar<br />

l'article 79 <strong>de</strong> l'ordonnance du 19 octobre 1945, c'est-à-dire <strong>de</strong>*<br />

soixante heures <strong>de</strong> travail sa<strong>la</strong>rié au cours <strong>de</strong>s trois mois précédant<br />

<strong>la</strong>dite interruption, à <strong>la</strong> condition que l'incapacité physique <strong>de</strong><br />

reprendre ou <strong>de</strong> continuer le travail soit reconnue par le mé<strong>de</strong>cin<br />

conseil <strong>de</strong>s assurances sociales; 2? Pour les ma<strong>la</strong>dies, blessures ouinfirmités<br />

non visées par <strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tion <strong>de</strong>s pensions militaires, lesassurés<br />

ma<strong>la</strong><strong>de</strong>s ou blessés <strong>de</strong> guerre jouissent, ainsi que les mem-:<br />

bres <strong>de</strong> leur famille, <strong>de</strong>s prestations en nature <strong>de</strong> l'assurance ma<strong>la</strong>dieou<br />

<strong>de</strong> l'assurance longue ma<strong>la</strong>die et bénéficient <strong>de</strong>s in<strong>de</strong>mnités<br />

jonrnalières et <strong>de</strong>s allocations- mensuelles allouées au titre <strong>de</strong>sditesassurances<br />

lorsqu'ils remplissent, à <strong>la</strong> date <strong>de</strong> <strong>la</strong> première constat<br />

tation médicale <strong>de</strong> l'affection, les conditions générales d'ouveriuro<br />

du droit à ces prestations prévues par les articles 79 et 80 <strong>de</strong> l'ordonnance<br />

du 19 octobre 1945. Ils sont dispensés, pour eux personnellement,<br />

du pourcentage <strong>de</strong> participation aux frais médicaux, pharmaceutiques<br />

et autres, mis à <strong>la</strong> charge <strong>de</strong>s assurés; 3° Quant aux'<br />

grands invali<strong>de</strong>s <strong>de</strong> guerre, c'est-à-dire les bénéficiaires <strong>de</strong>s dispesitions<br />

du co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s pensions militaires et d'invalidité titu<strong>la</strong>ires d'-un&<br />

pension d'invahdité, correspondant à un taux d'incapacité' d'au<br />

moins 85 n. 100, qui n'occupent aucun emploi sa<strong>la</strong>rié, ils reçoivent,<br />

conformément à <strong>la</strong> loi du 29 juillet 1950, <strong>de</strong> <strong>la</strong> caisse primaire <strong>de</strong><br />

sécurité sociale <strong>de</strong> leur rési<strong>de</strong>nce, les prestations en nature <strong>de</strong> l'assurance<br />

ma<strong>la</strong>die, <strong>de</strong> l'assurance longue ma<strong>la</strong>die et <strong>de</strong> l'assurance<br />

maternité, pour les ma<strong>la</strong>dies ou blessures non visées par <strong>la</strong> lésûs<strong>la</strong>^<br />

tion <strong>de</strong>s pensions militaires. Un règlement d'administration publique<br />

actuellement à l'étu<strong>de</strong> déterminera les modalités d'application <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

loi du 29 -juillet 1950 sus visée-<br />

^ 15173. — M. Paul Atrxioitnaz <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre du travail<br />

et dfe l'a sécurité aeciaîe: 1° si un fonctionnaire retraité- en 1940 pour<br />

ancienneté <strong>de</strong> services a l'âge <strong>de</strong> quarante-neuf ans- et qui, <strong>de</strong>puis-'<br />

le l° r janvier 1941, est immatriculé à <strong>la</strong> sécurité sociale peut prétendre<br />

à une pension proportionnelle vieillesse au titre <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité<br />

sociale, après quinze années <strong>de</strong> versement et à soixante-cinq ansd'âge,<br />

2° dans l'affirmative, si l'attribution <strong>de</strong> cette pension-proportionnelle<br />

est soumis-e aux règles du* ciimui <strong>de</strong> plusieurs pensions<br />

(actuellement permise dans <strong>la</strong> limite <strong>de</strong> quatre fois le minimum<br />

vital) : 3° dans <strong>la</strong> négative-, si l'intéressé peut prétendre à. un remboursement<br />

partiel <strong>de</strong>s sommes qui auront été versées pendant,<br />

quinze ans. (Question du-17 juillet 1950.)<br />

Réponse. — Réponse affirmative; 2° l'application <strong>de</strong> <strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tion<br />

sur les cumuls relève <strong>de</strong>s attributions <strong>de</strong> M. le ministre du<br />

budget.<br />

1537G. — M. Joseph D errai s <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à Mi. le ministre du travail<br />

et <strong>de</strong> <strong>la</strong> sécurité sociale' si tes caisses <strong>de</strong> retraites professionnelles<br />

<strong>de</strong>vant régler <strong>la</strong> situation d ? un ayant droit qui a reçu un capital<br />

lorsque son employeur s'est privé <strong>de</strong> ses services ont toute liberté<br />

pour fixer le taux <strong>de</strong> <strong>la</strong> rente viagère dont aurait bénéficié l'intéressé<br />

si le capital ci-<strong>de</strong>ssus avait été aliéné à <strong>la</strong> caisse nationale <strong>de</strong><br />

retraites ou si elles sont tenues d'adopter le taux prévu par <strong>la</strong>dite<br />

caisse pour les dépots individuels. (Question du 17 juillet 1950.)<br />

Réponse. il semble que <strong>la</strong> question posée concerne les institutions<br />

<strong>de</strong> retraites créées au profit <strong>de</strong>s sa<strong>la</strong>riés d'une ou plusieurs<br />

entreprises en vue <strong>de</strong> leur attribuer <strong>de</strong>s pensions <strong>de</strong> vieiilesse complémentaires<br />

<strong>de</strong> celles <strong>de</strong>s assurances sociales, et sur lesquelles doivent.<br />

être imputées, le cas échéant, les prestations que les intéressés<br />

ont pu recevoir <strong>de</strong> leur employeur .à leur départ <strong>de</strong> l'entreprise;

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