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JOURNAL OFFICIEL - Débats parlementaires de la 4e République

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65.000 francs. Ce chiffre excè<strong>de</strong> le maximum légal <strong>de</strong> 05.000 — 51.000:<br />

44.000 La pension doit être réduite <strong>de</strong>s 3/4 <strong>de</strong> cet excé<strong>de</strong>nt, soit.<br />

44.000 x 3<br />

: 33.000.<br />

4<br />

La pension versée sera <strong>de</strong>: 45.000 — 33.000: 12.000, à <strong>la</strong>quelle<br />

s'ajoutera, si une tierce personne est reconnue nécessaire, <strong>la</strong> majoration<br />

instituée par l'article 20 bis <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi <strong>de</strong>, 1005 s'élevant en<br />

moyenne à 35.000 irancs. Au cas où les ressources calculées comme<br />

ci-<strong>de</strong>ssus dépasseraient le montant <strong>de</strong> <strong>la</strong> pension, l'excé<strong>de</strong>nt sérail<br />

éventuellement déduit du montant <strong>de</strong> <strong>la</strong> majoration. Ainsi, un<br />

infirme ayant <strong>de</strong>s ressources égales à 70.000 francs constituant avec<br />

<strong>la</strong> pension <strong>de</strong> 45.000 un total <strong>de</strong>: 115.000 dépasse le p<strong>la</strong>fond <strong>de</strong>:<br />

d15.000 — 51.000 : 64.000. Les 3/4 <strong>de</strong> 61.000, soit 48.000, excè<strong>de</strong>nt <strong>la</strong><br />

pension <strong>de</strong>: 48.000 — 45.000 : 3.000. L'infirme n'a plus droit à pension<br />

mais, s'il a besoin <strong>de</strong> l'ai<strong>de</strong> d'une tierce personne, il percevra une<br />

majoration réduite <strong>de</strong> 3.000, soit: 35.000 — 3.000: 32.000 francs.<br />

14967. — M. Louis Bonnet <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> santé<br />

publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion comment s'établit le droit à pension<br />

Ses aveugles et infirmes disposant <strong>de</strong> ressources professionnelles<br />

comprises entre le sa<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> base et une fois et <strong>de</strong>mie le sa<strong>la</strong>ire<br />

<strong>de</strong> base. (Question du 9 juin 1950.)<br />

Réponse. — Les aveugles et infirmes qui travaillent et perçoivent<br />

Une rémunération au moins égale au quart du sa<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> base<br />

peuvent, aux termes <strong>de</strong> l'article 7 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 2 août 1949, bénéficier<br />

d'une allocation <strong>de</strong> compensation égale à <strong>la</strong> moitié du sa<strong>la</strong>ire<br />

<strong>de</strong> base, dans <strong>la</strong> limite d'un p<strong>la</strong>fond fixé au total que représente<br />

ce sa<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> base augmenté <strong>de</strong> <strong>la</strong>dite allocation <strong>de</strong> compensation.<br />

En outre, conformément à l'article 13 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi précitée et à l'article<br />

13 du décret du 30 janvier 1950 portant règlement d'administration<br />

publique pour l'application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 2 août, ils ont droit<br />

à une fraction <strong>de</strong> <strong>la</strong> pension prévue à l'article 5, dont le montant<br />

ne peut être inférieur à 5 p. 100 du taux maximum <strong>de</strong> <strong>la</strong> pension.<br />

Un exemple illustrera ces explications. Soit un infirme travailleur<br />

résidant à Paris, qui dispose <strong>de</strong> 10.000 francs <strong>de</strong> ressources personnelles<br />

et qui perçoit un sa<strong>la</strong>ire <strong>de</strong> 48.000 francs; il aura droit<br />

au titre <strong>de</strong> l'allocation <strong>de</strong> compensation à 72.000 francs par an. Il<br />

jpçut prétendre, en outre, à <strong>la</strong> pension <strong>de</strong> l'article 5 dont le montant<br />

sera calculé conformément aux dispositions <strong>de</strong> l'arrêté du 27 mars<br />

d950, ^compte tenu <strong>de</strong> ses ressources professionnelles et personnelles,<br />

mais à l'exclusion <strong>de</strong> l'allocation compensatrice. Les ressources<br />

à considérer sont donc: d'une part, 10.000 francs (ressources<br />

personnelles); d'autre part, 48.000 francs (sa<strong>la</strong>ire). Total, 58.000<br />

francs auxquelles il convient d'ajouter: 48.000 francs, montant éventuel<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> pension. Ce total <strong>de</strong> ressources <strong>de</strong> 106.000 francs, dépasse<br />

le maximum prévu par l'arrêté du 27 mars 1950 <strong>de</strong>: 106.000 — 54.000<br />

fe 52.000 francs, dont les trois quarts, soit 39.000 francs doivent être<br />

déduits du montant maximum <strong>de</strong> <strong>la</strong> pension. La pension sera donc<br />

<strong>de</strong> 48.000 — 39.000 - 9.000 francs. L'infirme travailleur dont il s'agit<br />

disposera donc <strong>de</strong> ressources égales à: 10.000 francs (ressources personnelles)<br />

+ 48.000 francs (sa<strong>la</strong>ire) + 9.000 francs (pension art. 5)<br />

[+ 72.000 francs (allocation <strong>de</strong> compensation) = 139.000 francs.<br />

15028. — M. Pierre Girardot <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> santé<br />

publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion: 1° à quelle date seront publiés les<br />

indices concernant le personnel administratif hospitalier (direction<br />

et exécution); 2° <strong>la</strong> date à <strong>la</strong>quelle seront publiés les arrêtés fixant<br />

les traitements <strong>de</strong> l'ensemble du personnel <strong>de</strong>s hôpitaux publics<br />

(administratif et soignant) pour l'année 1950; 3° <strong>la</strong> date à <strong>la</strong>quelle<br />

seront diffusées les circu<strong>la</strong>ires d'application en exécution <strong>de</strong>sdits<br />

arrêtés. (Question du 14 juin 1950.;<br />

Réponse. — 1° Les arrêtés interministériels en date du 24 juin 1950<br />

portant modification du c<strong>la</strong>ssement hiérarchique <strong>de</strong>s emplois du personnel<br />

<strong>de</strong>s établissements publics d'hospitalisation, <strong>de</strong> -soins ou <strong>de</strong><br />

cure, ont été publiés au Journal officiel du 4 juillet 1950 (p, 7261)-<br />

Une circu<strong>la</strong>ire' sera diffusée, prochainement en vue <strong>de</strong> l'application<br />

<strong>de</strong>s nouveaux indices; 2° un arrêté interministériel du 2 juin 1950,<br />

publié au Journal officiel du 6 juin (p. 6001), a permis aux administrations<br />

hospitalières d'accor<strong>de</strong>r à leur personnel au titre <strong>de</strong> l'année<br />

1950 <strong>de</strong>ux majorations <strong>de</strong> rec<strong>la</strong>ssement prenant effet respectivement<br />

du 1 er janvier 1950 et du 1 er juillet 1950; 3° les tableaux <strong>de</strong> correspondance<br />

indiquant les échelles <strong>de</strong> traitements applicables pour l'année<br />

1950 au personnel <strong>de</strong>s établissements publics d'hospitalisation,<br />

<strong>de</strong> soins ou <strong>de</strong> cure, ont été adressés à. MM. les préfets par circu<strong>la</strong>ire<br />

n° 110 du 15 juin 1950.<br />

15402. — M. Paul Anxtonnax <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> santé<br />

publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion, quelles sont les conditions <strong>de</strong> recrutement<br />

et les traitements <strong>de</strong>s directeurs économes <strong>de</strong>s hôpitaux et<br />

hospices. (Question du 15 juin 1950.)<br />

Réponse. — Les postes vacants <strong>de</strong> directeur économe et sqgfidirecteur<br />

<strong>de</strong>s hôpitaux et hospices publics font l'objet <strong>de</strong> concoTfts<br />

locaux ouverts aux candidats figurant sur <strong>la</strong> liste d'aptitu<strong>de</strong> correspondant<br />

à ces emplois, établie conformément aux dispositions du<br />

décret provisoirement applicable du 17 avril 1943. Cette liste d'aptitu<strong>de</strong><br />

comprend: 1- d'une part, les agents dont les nominations à<br />

titre provisoire effectuées avant l'intervention du décret précité et<br />

jusqu'à l'époque <strong>de</strong> son application stricte (décembre 19461 ont été<br />

confirmées par application <strong>de</strong> l'article 92 du décret du 17 avril 1913;<br />

2° d'autre part, les agents reçus au concours sur épreuves qui a lieu<br />

annuellement, <strong>de</strong>puis 1946, sur le p<strong>la</strong>n national dans les conditions<br />

fixées par l'article 94 du texte précité. Les conditions requises pour<br />

prendre part à ce concours sont les suivantes: 1° être âgé <strong>de</strong> vingtcinq<br />

ans au moins et <strong>de</strong> trente ans au plus. La limite d'âge maximum<br />

est toutefois reculée d'un temps égal à <strong>la</strong> durée <strong>de</strong>s services antérieurs<br />

civils ou militaires va<strong>la</strong>bles ou validables pour <strong>la</strong> retraite,<br />

ainsi qu'en vertu <strong>de</strong>s dispositions <strong>de</strong> l'article 162 du décret du<br />

22 juillet 1939 (enfants à charge). Par ailleurs, les candidats âgés<br />

<strong>de</strong> moins <strong>de</strong> vingt-cinq ans et réunissant les titres exigés pour se<br />

présenter sont admis à concourir sous <strong>la</strong> réserve qu'un poste ne<br />

pourra leur être attribué avant l'âge <strong>de</strong> vingt-cinq ans; 2° être titu<strong>la</strong>ire<br />

soit du diplôme <strong>de</strong> licence en droit et compter au moins <strong>de</strong>ux<br />

ans <strong>de</strong> services dans une administration <strong>de</strong> l'Etat, d'une collectivité<br />

publique, ou d un établissement public, soit du diplôme du bacca<strong>la</strong>uréat<br />

<strong>de</strong> l'enseignement secondaire ou du brevet supérieur et<br />

compter au moins cinq années <strong>de</strong> services publics va<strong>la</strong>bles pour <strong>la</strong><br />

retraite, soit comme agent d'un établissement public d'assistance<br />

ou <strong>de</strong> bienfaisance, soit comme offic'er ayant col<strong>la</strong>boré à <strong>la</strong> gestion<br />

administrative d'un hôpital militaire; 3° peuvent également participer<br />

au concours les économes, sous économes, chefs <strong>de</strong> bureau et<br />

rédacteurs d'établissements hospitaliers publics ou d'établissements<br />

publics d'assistance ou <strong>de</strong> bienfaisance comptant au moins dix ans<br />

<strong>de</strong> fonctions. Les vacances <strong>de</strong> postes qui sont signalées aux services<br />

compétents du ministère <strong>de</strong> <strong>la</strong> santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion,<br />

par les directeurs départementaux <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion sont annoncées<br />

au Journal officiel et les candidatures doivent parvenir à ces fonctionnaires<br />

dans un dé<strong>la</strong>i d'un mois. Les dossiers <strong>de</strong>s postu<strong>la</strong>nts sont<br />

examinés en premier lieu par un jury départemental et soumis<br />

ensuite à <strong>la</strong> commission nationale instituée à cet effet auprès <strong>de</strong><br />

l'administration centrale. Lorsque <strong>la</strong> commission nationale a statué<br />

sur le c<strong>la</strong>ssement adopté par le jury départemental — soit qu'elle<br />

l'ait confirmé ou modifié — <strong>la</strong> nomination du candidat c<strong>la</strong>ssé premier<br />

en définitive pour chaque poste vacant est proposée au préfet<br />

intéressé, qui doit rendre compte ensuite au min'stère <strong>de</strong> <strong>la</strong> décision<br />

qu'il a cru <strong>de</strong>voir prendre. Les traitements bruts <strong>de</strong>s directeurs économes<br />

d'hôpitaux et hospices publics (indices 300 , 390) s'échelonnent<br />

ainsi qu'il suit à compter du 1 er iuillet 1950: l rè c<strong>la</strong>sse, 510.000 F;<br />

2 e c<strong>la</strong>sse, 483.000 F; 3 e c<strong>la</strong>sse, 456.000 F; 4 e c<strong>la</strong>sse, 429.000 F; 5 e c<strong>la</strong>sse,<br />

402.000 F; 6 e c<strong>la</strong>sse, 377.000 F.<br />

15064. — M. Auguste Touchard <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong> fa<br />

santé publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion quand sera appliqué le décret<br />

n° 50-134 du 30 janvier 1950, portant règlement d'administration<br />

publique pour l'application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 2 août 1949, instituant une<br />

ai<strong>de</strong> aux aveugles et grands infirmes. (Question du 16 juin 1950.)<br />

Réponse. — La mise en application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 2 août* 1949 re<strong>la</strong>tive<br />

à l'ai<strong>de</strong> aux aveugles et grands infirmes a suivi <strong>la</strong> parution du<br />

règlement d'administration publique du 30 janvier 1950. Des instructions<br />

ont été adressées à MM. les préfets dès le 23 février 1950 en<br />

même temps que <strong>de</strong>s modèles d'imprimés <strong>de</strong>stinés à l'établissement<br />

<strong>de</strong>s <strong>de</strong>man<strong>de</strong>s leur étaient fournis. Certaines difficultés ont toutefois<br />

contribué à retar<strong>de</strong>r <strong>la</strong> présentation et l'instruction <strong>de</strong>s dossiers.<br />

En premier lieu, les barèmes d'invalidité <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 31 mars 1919<br />

auxquels se réfère expressément <strong>la</strong> loi du 2 août 1949 étant épuisés,<br />

une réimpression a été nécessaire <strong>de</strong>mandant certains" dé<strong>la</strong>is. En<br />

outre, <strong>de</strong> nombreux départements ont signalé les difficultés rencontrées<br />

par les infirmes pour faire reconnaître leur infirmité par les<br />

mé<strong>de</strong>cins assermentés prévus à l'article 2 du décret du 30 janvier<br />

1950. En même temps que <strong>de</strong>s instructions complémentaires étaient<br />

adressée«? aux préfectures par circu<strong>la</strong>ire du 7 juin 1950, un projet <strong>de</strong><br />

décret étaU mis h l'élu<strong>de</strong> pour modifier certaines disposition* du<br />

règlement d'administration publique notamment en ce qui concerne<br />

l'établissement <strong>de</strong>s certificats médicaux qui, dorénavant pourront<br />

être délivrés par un mé<strong>de</strong>cin quelconque pourvu qu'il soit inscrit au<br />

tahl e^u <strong>de</strong> l'ordre du département. De plus, le dé<strong>la</strong>i <strong>de</strong> présentation<br />

<strong>de</strong>s <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r pour bénéficier rétroactivement <strong>de</strong>s avantages <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

loi, oui, aux termes <strong>de</strong> l'article 29 du décret du 30 janvier 1950 expirait<br />

le 30 avril 1950 a été renorté au 31 juillet Ce'texte qui a reçii<br />

l'aoprohnlion du conseil d'Etat, esf actuellement soumis au contreseing<br />

<strong>de</strong>s divers ministres intéressés.<br />

15096. — M. Pierre Chevallier <strong>de</strong>man<strong>de</strong> A M. le ministre <strong>de</strong> <strong>la</strong> santé<br />

publique et <strong>de</strong> Sa popu<strong>la</strong>tion si <strong>la</strong> circu<strong>la</strong>ire n° 220 du 15 septembre<br />

1949 s'applique aux patronages « ouverts » pratiquant uniquement le<br />

p<strong>la</strong>cement familial et ne pouvant accepter <strong>de</strong> mineurs présentant<br />

<strong>de</strong>s anomalies caractérisées les rendant justiciables d'un p<strong>la</strong>cement<br />

en internat spécialisé. [Question du 20 ]uin 1950.)<br />

Réponse. — La circu<strong>la</strong>ire visée n: s'applique qu'aux établissements<br />

recevant <strong>de</strong>s mineurs inadantés et non aux patronages ouverts<br />

pratiquant uniquement le p<strong>la</strong>cement familial.<br />

15097. — M. Pierre Chevallier <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le minitsre <strong>de</strong> <strong>la</strong> santé<br />

publique et <strong>de</strong> <strong>la</strong> popu<strong>la</strong>tion si, pour <strong>la</strong> détermination du prix <strong>de</strong><br />

revient prévisionnel <strong>de</strong>s établissements hospitaliers, il peut être considère,<br />

comme atténuation à ce prix <strong>de</strong> revient, un excé<strong>de</strong>nt <strong>de</strong><br />

recettes à l'exercice précé<strong>de</strong>nt, alors que cet excé<strong>de</strong>nt n'est qu'apparent<br />

et correspond a <strong>de</strong>s dépenses qui n'ont pu être engagées<br />

avant le <strong>de</strong>rnier jour <strong>de</strong> l'exercice, mais dont l'opportunité n'esfpas<br />

contestée et qui doivent être réalisées incessamment, alors surtout<br />

que ce n est qu'en fin d'exercice qu'est apparu l'excé<strong>de</strong>nt litigieux.<br />

[Question du 20 juin 1950.)

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