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JOURNAL OFFICIEL - Débats parlementaires de la 4e République

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¡beurre fermier, ne -comprend aucun <strong>de</strong> ces termes dans les articles<br />

(re<strong>la</strong>tifs aux prix d'achat <strong>de</strong> <strong>la</strong> crème fermière et <strong>de</strong> vente <strong>de</strong>s<br />

Sbeurres <strong>de</strong> <strong>la</strong>iterie, Teprenant en ce<strong>la</strong> Içs dispositions correspondantes<br />

Me l'arrêté n° 19738 du 29 septembre 1948. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> si l'on doit<br />

»penser que <strong>la</strong> somme <strong>de</strong> 4,12 francs incluse sous <strong>la</strong> rubrique « taxe<br />

fa l'achat » est <strong>de</strong>stinée, en fait, à <strong>la</strong> rémunération <strong>de</strong>s représentants,<br />

[ce qui a été confirmé par le ministre <strong>de</strong> l'agriculture, et dont le<br />

Snontant (1 p. 100 du pri£ <strong>de</strong> vente) a été indiqué en son temps<br />

¡par le service <strong>de</strong>s prix du ministère <strong>de</strong> l'économie nationale. {Question<br />

du 29 juin 1950.)<br />

f Réponse. — La somme <strong>de</strong> 4,12 francs incluse sous <strong>la</strong> rubrique<br />

m taxe à l'achat » dans <strong>la</strong> décomposition <strong>de</strong> <strong>la</strong> marge <strong>de</strong>s transfor-<br />

[rnateurs <strong>de</strong> crèmes, n'est aucunement <strong>de</strong>stinée à <strong>la</strong> rémunération<br />

¿tes représentants: c'est une taxe fiscale qui doit être versée par<br />

l'entreprise <strong>de</strong> ramassage <strong>de</strong> crèmes au receveur <strong>de</strong>s contributions<br />

{indirectes, dont elle dépend. Les irais <strong>de</strong> ¡représentation sont inclus<br />

îdans <strong>la</strong> rubrique « Fabrication », qui comprend en réalité les frais<br />

¡<strong>de</strong> fabrication, les frais d'amortissements, les frais généraux, les<br />

-tarais commerciaux et le bénéfice. Les frais commerciaux, c'est-à-dire<br />

Ries frais <strong>de</strong> représentation, retenus, ont été <strong>de</strong> l'ordre <strong>de</strong> 1 p. 100<br />

du prix <strong>de</strong> vente. A ce sujet, l'attention <strong>de</strong> l'honorable parlementaire<br />

test attirée sur un communiqué re<strong>la</strong>tif aux commissions <strong>de</strong>s repré<br />

»sentants <strong>de</strong> commerce, publié au Bulletin officiel <strong>de</strong>s services cles<br />

mnx du 18 octobre 1940, rédigé en ces teimes: « L'attention du minisftère<br />

<strong>de</strong> l'économie nationale a été appelée, à <strong>de</strong> fréquentes reprises,<br />

6su>r les difficultés qui s'élèvent entre employeurs, voyageurs et représentants<br />

<strong>de</strong> commerce au sujet du payement <strong>de</strong>s commissions qui<br />

leur sont dues. La direction <strong>de</strong>s prix croit <strong>de</strong>voir rappeler à cet<br />

[égard que les voyageurs <strong>de</strong> commerce, représentants et p<strong>la</strong>ciers,<br />

reçoivent <strong>de</strong> leurs commettants un sa<strong>la</strong>ire qui se concrétise le plus<br />

¡souvent par un taux <strong>de</strong> commission sur les produits vendus. Le<br />

•montant <strong>de</strong> <strong>la</strong> commission est donc débattu librement entre les parties;<br />

<strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tion du travail dispose que les taux contractuels doivent<br />

être maintenus. Par ailleurs, <strong>la</strong> procédure suivie par <strong>la</strong> direction<br />

<strong>de</strong>s prix pour l'établissement <strong>de</strong>s prix n'est pas en contradiction<br />

avec les dispositions réglementaires du ministère du travail. Il est<br />

¡tenu compte en général, dans le calcul du prix <strong>de</strong> revient ou dans<br />

xeiui <strong>de</strong>s marges commerciales, <strong>de</strong>s frais <strong>de</strong> commission suivant un<br />

pourcentage qui est apprécié par le comité central <strong>de</strong>s prix. Le pourcentage<br />

-qui concerne uniquement l'administration ne lie en rien<br />

les industriels ou les commerçants, qui doivent respecter les contrats<br />

(passés avec leurs représentants. De toute façon, <strong>la</strong> rémunération<br />

<strong>de</strong> ces <strong>de</strong>rniers s'impute légalement soit sur le prix à <strong>la</strong> production,<br />

'soit sur <strong>la</strong> marge commerciale, sans donner lieu à majoration <strong>de</strong>s<br />

¡prix autorisés. En conséquence, les employeurs ne peuvent arguer<br />

du pourcentage retenu par les services <strong>de</strong>s prix pour diminuer te<br />

montant <strong>de</strong>s commissions légalement dues à leurs représentants.<br />

jEn revanche, et mis à part le cas où les représentants, en vertu <strong>de</strong><br />

fleur contrat, ont droit aux commissions sur les ordres indirects, ces<br />

feerniers ne peuvent exiger <strong>de</strong>s industriels ou commerçants le verisément<br />

<strong>de</strong> commissions lorsqu'il n'est pas fait recours à leurs services<br />

».<br />

15211. — M. Pierre AfoeHn expose à M. le ministre <strong>de</strong>s finances et<br />

dés affaires économiques qu'une société bénéficiant <strong>de</strong>s dispositions<br />

<strong>de</strong> l'article 7 bis du co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s impôts directs (art. 40, co<strong>de</strong><br />

Wénéral <strong>de</strong>s impôts), à raison <strong>de</strong>s plus-values réalisées lors <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

Cession intervenue avant le 1 er janvier 19491 d'un établissement<br />

Exploité <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> cinq ans, fusionne après cette date dans les<br />

'conditions prévues par l'article 210 du co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s impôts, sans<br />

avoir achevé ses réinvestissements, le dé<strong>la</strong>i imparti à cet effet<br />

n'étant pas encore expiré. Il -lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>, dans cette situation: a) si<br />

;<strong>la</strong> plus-value non ¡réinvestie à <strong>la</strong> date <strong>de</strong> <strong>la</strong> fusion et ¡rapportée aux<br />

[¡bénéfices imposables au titre <strong>de</strong> l'année <strong>de</strong> <strong>la</strong> fusion au nom <strong>de</strong> <strong>la</strong><br />

•société absonbée sera soumise à l'impôt sur les sociétés au taux <strong>de</strong><br />

'8 p. 100 (co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s impôts, art. 219) ; b) si, dans le cas où<br />

'<strong>la</strong> société absorbante aurait pris <strong>la</strong> charge du sol<strong>de</strong> <strong>de</strong>s réinvestisse-<br />

!<strong>de</strong> <strong>la</strong> fusion. '{Question du 30 juin 1950.)<br />

f Réponse. — a) et b). Réponse affirmative, sous réserve, bien<br />

entendu, que <strong>la</strong> plus-value en cause ait, compte tenu <strong>de</strong> <strong>la</strong> jurispru<strong>de</strong>nce<br />

décou<strong>la</strong>nt <strong>de</strong>s arrêts du conseil d'Etat en date <strong>de</strong>s 5 janvier<br />

1948 (requête n» 80717) et 4 juillet 1949 (requête n° 99911) —<br />

¡bénéficié à bon droit, au moment <strong>de</strong> sa réalisation, <strong>de</strong> l'exoneration<br />

édictée par l'article 7 bis du co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s impôts directs (actuellement<br />

art. 40 du co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s impôts).<br />

v 15212. — M. Maurice Béné, se référant à <strong>la</strong> réponse faite le 26 avril<br />

1950 à <strong>la</strong> question écrite n° 13796, <strong>de</strong>man<strong>de</strong> A M. le ministre <strong>de</strong>s<br />

finances et <strong>de</strong>s affaires économiques pourquoi une pension concédés<br />

le 1« mai 1925 en vertu <strong>de</strong> l'article 30 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 14 avril 1924, dont<br />

Ja constitution du droit est <strong>la</strong> suivante: services actifs: 31 ans;<br />

campagnes: 9 ans 7 mois. Lors <strong>de</strong> <strong>la</strong> revision, le 27 juin 1949, les<br />

"droits <strong>de</strong> ce capitaine retraité sont <strong>de</strong>venus: services actifs: 26 ans;<br />

campagnes: 8 ans 6 mois. Il lui signale qu'à une réc<strong>la</strong>mation <strong>de</strong> 1 intéressé<br />

au secrétariat aux forces armées il a été répondu, à <strong>la</strong> date<br />

du 21 novembre 1949, qu'il lui avait été fait application <strong>de</strong>s articles<br />

16 et 17 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 20 septembre 4948, ce qui est contraire au<br />

principe général <strong>de</strong> <strong>la</strong> non-rétroactivité <strong>de</strong>s lois et à <strong>la</strong> réponse susyisée.<br />

.(Question du 30 juin 1950.)<br />

1<br />

Réponse. ~ Ainsi qu'il a été indiqué dans <strong>la</strong> réponse faite lo<br />

26 avril 1950 à <strong>la</strong> question écrite n 13796, l'article 61 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du<br />

gO septembre 1948 a pour objet <strong>de</strong> tenir compte <strong>de</strong>s nouvelles<br />

échelles <strong>de</strong> traitement et <strong>de</strong>s nouvelles modalités <strong>de</strong> calcul prévues<br />

au titre III <strong>de</strong> <strong>la</strong>dite loi, sans modifier en rien les règles qui ont<br />

servi <strong>de</strong> base à <strong>la</strong> constitution du droit. C'est pourquoi les années <strong>de</strong><br />

services effectifs doivent être transformées en annuités liquidables<br />

afin <strong>de</strong> servir <strong>de</strong> base à <strong>la</strong> détermination du pourcentage applicablo<br />

au traitemenet indiciaire affecté à l'emploi et c<strong>la</strong>sse ou gra<strong>de</strong> el<br />

échelon détenu par le pensionné, qui constitue l'expression <strong>de</strong> ses<br />

droits au regard du régime actuel <strong>de</strong>s pensions. Or, les trente premières<br />

années <strong>de</strong> service va<strong>la</strong>bles dans <strong>la</strong> liquidation d'une pension<br />

d'ancienneté pour les militaires dont le droit est acquis après trente<br />

ans représentent vingt-cinq annuités livùdables assurant aux bénéficiaires<br />

une pension égale .à 50 p. 100 <strong>de</strong> <strong>la</strong> sol<strong>de</strong> retenue pour base<br />

<strong>de</strong> <strong>la</strong> liquidation, i<strong>de</strong>ntique au minimum <strong>de</strong> pension d'ancienneti<br />

assurée dans cette hypothèse par <strong>la</strong> loi du 14 avril 1924. Ce modj<br />

<strong>de</strong> détermination conserve donc intégralement les avantages acquis<br />

sous le régime <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 14 avril 1924. En l'espèce, <strong>la</strong> carrier*<br />

accomplie par l'officier en cause correspond effectivement à vingtsix<br />

annuités liquidables ; par contre, les campagnes <strong>de</strong>vant en tout<br />

état <strong>de</strong> cause être prises en compte intégralement, il est possible<br />

forces armées, <strong>la</strong> revision éventuelle <strong>de</strong> sa pension au titre dq<br />

l'article 53 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 20 septembre 1948.<br />

15213. — M. Albert Boooagny <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>s finances<br />

et <strong>de</strong>s affaires économiques: 1° quel est le tfux <strong>de</strong> <strong>la</strong> pension d'une,<br />

veuve <strong>de</strong> guerre 1939-1945, femme <strong>de</strong> capitaine en 1944, lieutenant do<br />

reserve eh 1939 au 174» R. I. F.; 2° quelles sont les majorations pour<br />

enfants, l'aîné <strong>de</strong>s trois ayant quinze an«. (Question du 30 juin 1950.)'<br />

Réporise. — Le taux annuel d'une pension <strong>de</strong> veuve <strong>de</strong> capitaine<br />

allouée au titre <strong>de</strong>s paragraphes 1er ou 2 <strong>de</strong> l'article '43 du co<strong>de</strong> <strong>de</strong>s<br />

pensions militaires d'invalidité et <strong>de</strong>s victimes <strong>de</strong> <strong>la</strong> guerre varie<br />

selon l'échelon du gra<strong>de</strong>, <strong>de</strong> 37.000 francs (1 er échelon) à 41.000 francs<br />

échelon). Ces taux peuvent être portés respectivement à 47 000<br />

ou 50.700 francs si <strong>la</strong> veuve est soit âgée <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> soixante ans,<br />

soit atteinte d'une ma<strong>la</strong>die incurable ou entraînant une incapacité<br />

.permanente <strong>de</strong> travail, dans <strong>la</strong> mesure toutefois où elle n'est impol<br />

i e à <strong>la</strong> surtaxe progressive que pour un revenu ne dépassant pas<br />

30.000 francs après application <strong>de</strong> l'abattement à <strong>la</strong> ba=e et <strong>de</strong>s<br />

, r' A^vnua îvlo. uu uiua ue ce supplément variane<br />

en fonction du nombre d'enfants à charge, il serait nécessaire, pour<br />

repondre avec précision à <strong>la</strong> question posée, <strong>de</strong> savoir si l'aîné <strong>de</strong>s<br />

enfants, âgé <strong>de</strong> quinz-e ans révolus, est p<strong>la</strong>cé en apprentissage, poursuit<br />

ses étu<strong>de</strong>s ou s'il est, par suite d'infirmité ou <strong>de</strong> ma<strong>la</strong>die incurable<br />

dans l'impossibilité permanente <strong>de</strong> se livrer à un travail<br />

sa<strong>la</strong>rié. Dans l'affirmative, le taux <strong>de</strong> ce supplément est <strong>de</strong> 12 500<br />

ou <strong>de</strong> 22.200 francs suivant que <strong>la</strong> veuve bénéficie ou non du taux<br />

exceptionnel défini à l'alinéa 2. Dans <strong>la</strong> négative, ledit supplément<br />

est <strong>de</strong> 9.700 francs, quel que soit le taux <strong>de</strong> <strong>la</strong> pension principale,<br />

Imfin h AfìllA nPTiSirm snnl- cncipontihlûi Ar> J „ _<br />

7 ^ y^Lvi/i^ iiKuj ica in cslcjuhmis îdiiniidi'tjs<br />

(allocations familiales et <strong>de</strong> sa<strong>la</strong>ire* unique) prévues par <strong>la</strong> loi du<br />

22 août 1946 et les textes subséquents, dont le montant est déterminé<br />

en fonction du sa<strong>la</strong>ire moyen départemental afférent au lieu <strong>de</strong><br />

rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> <strong>la</strong> pensionnée. Ces <strong>de</strong>rnières prestations ne sont toutefois<br />

servies a l'intéressée, accessoirement à <strong>la</strong> pension qui lui est<br />

allouée, que dans, <strong>la</strong> mesure où elle n'est pas susceptible d'y prétendre<br />

au titre, notamment, d'une activité professionnelle<br />

15214. — M. Eugène Deiahoutre expose à M. le secrétaire d'Etat<br />

aux affaires économiques que: par décision n° 79 du 14 mars 1910 du<br />

'ministère du ravitaillement (contrôle <strong>de</strong>s prix), re<strong>la</strong>tive aux conserves<br />

<strong>de</strong> légumes et <strong>de</strong> fruits, « les fabricants <strong>de</strong> conserves'<br />

<strong>de</strong> legumes et <strong>de</strong> fruits ont été autorisés, oour les fabrications<br />

à entreprendre pendant <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> stabilisation <strong>de</strong>s prix à<br />

incorporer aux tarifs qu'ils pratiquaient le 1erveur<br />

qui prouva que le rapport était faux, attendu qu'il avait signalé au<br />

vérificateur que ses chiffres ne correspondaient pas à <strong>la</strong> comptabilité.<br />

Les chiffres en question n'ayant pas été vérifiés, dans <strong>la</strong><br />

comptabilité à <strong>la</strong> suite <strong>de</strong> ce rapport, le conserveur dont il s'agit<br />

fut condamné à une amen<strong>de</strong> d'un million <strong>de</strong> francs. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>'<br />

si ce fabricant était autorisé à établir ses prix conformément à <strong>la</strong><br />

formule susvisée en un moment où le prix <strong>de</strong>s champignons frais<br />

n'était pas staibilisé, alors que le (prix du champignon mis en con- ;<br />

serve était taxé, alors surtout que <strong>la</strong> décision énoncée ci-<strong>de</strong>ssus<br />

avait été communiquée à <strong>la</strong> fédération <strong>de</strong>s syndicats <strong>de</strong> conserveurs<br />

<strong>de</strong> légumes et <strong>de</strong> fruits pour application. (Question du 30 juir\<br />

1950.)<br />

Réponse. — Les seules décisions intervenues en matière <strong>de</strong> fixation<br />

du prix <strong>de</strong>s conserves <strong>de</strong> champignons pour <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> considérée<br />

qui s'étend du l or septembre 1939 au 15 mai 19it sont les<br />

suivantes: 1° décision n° 1263 du comité national <strong>de</strong> surveil<strong>la</strong>nce

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