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JOURNAL OFFICIEL - Débats parlementaires de la 4e République

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ASSEMBLEE<br />

14382. — M. ¿eau Mé<strong>de</strong>sin expose à M. le ministre <strong>de</strong>s finances et<br />

<strong>de</strong>s affaires économiques '<strong>la</strong> situation d'une personne mariée en 1918,<br />

divorcée en 1931 et non remariée, dont le jugement <strong>de</strong> divorce a<br />

été prononcé aux torts réciproques. Le mari, colonel aviateur, a été<br />

mis à <strong>la</strong> retraite en 1937 et est mort, en déportation en 1915, sans<br />

¡s'être remarié. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong> quels sont exactement les droits à<br />

pension <strong>de</strong> l'intéressée, ainsi que les. formalités qu'elle <strong>de</strong>vra remplir<br />

pour en bénéficier. (Question du 13 juin 1950.)<br />

Réponse. — Aux termes <strong>de</strong> l'article 20 <strong>de</strong> ia loi du 14 avril 1924 en<br />

vigueur à <strong>la</strong> date du décès du mari <strong>de</strong> l'intéressée, <strong>la</strong> femme divorcée<br />

ne pouvait prétendre h pension <strong>de</strong> reversion que si le divorce<br />

avait été prononcé à son profit. La jurispru<strong>de</strong>nce du conseil d'Etat<br />

interprète cette disposition comme excluant du bénéfice <strong>de</strong> <strong>la</strong> réversion<br />

<strong>la</strong> femme dont le divorce a été prononcé aux torts réciproques<br />

<strong>de</strong>s époux, ce <strong>de</strong>rnier étant alors réputé prononcé contre <strong>la</strong> femme<br />

et en drainant <strong>la</strong> perte <strong>de</strong> ses droits à pension (cf. conseil d'Etat,<br />

Cx 19 décembre 1929, Duereux veuve Darey ; 11 janvier 1934, C.raneris).<br />

Par ailleurs, l'intéressée se trouve également sans droit à<br />

pension au titre <strong>de</strong> <strong>la</strong> légis<strong>la</strong>tion sur les victimes <strong>de</strong> guerre, le<br />

sent Lût qu'elle soi! dixnrée supposant h <strong>la</strong> recevabilité d'une<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> pension <strong>de</strong> l'espèce.<br />

15035. — M. Paul Bastid <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>s finances<br />

et <strong>de</strong>s affaires économiques: si les exportateurs peuvent recevoir<br />

<strong>de</strong> leurs fournisseurs étrangers, en franchise <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe à <strong>la</strong><br />

production, les marchandises qu'ils <strong>de</strong>stinent à l'exportation, et sous<br />

quelles conditions ; 2° si les fournisseurs <strong>de</strong>s exportateurs peuvent<br />

récupérer oit se faire rembourser <strong>la</strong> taxe à <strong>la</strong> production ayant<br />

grevé l'achat <strong>de</strong> produits qu'ils livrent en franchise <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe.<br />

(Question du 15 juin 1950.)<br />

Ré} ton se. — A condition qu'il s'agisse <strong>de</strong> re<strong>de</strong>vables ayant pris<br />

<strong>la</strong> position <strong>de</strong> producteur: 1° réponse affirmative, sous réserve d'en<br />

formuler <strong>la</strong> <strong>de</strong>man<strong>de</strong> expresse à l'administration <strong>de</strong>s douanes au<br />

moment <strong>de</strong> l'importation; 2 réponse affirmative.<br />

15036. — M. Joseph Denaîs <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>s finances<br />

et <strong>de</strong>s affaires économiques: 1° quel est le régime fiscal applicable,<br />

en cas <strong>de</strong> vente par un ^producteur et par" un non producteur,<br />

respectivement, à un exportateur producteur et à un exportateur<br />

non producteur; 2® comment les exportateurs non producteurs peuvent<br />

se faire rembourser ia< taxe à <strong>la</strong> produclion grevant les producteurs<br />

exportateurs, que cette taxe ait été acquittée à l'importation<br />

ou à l'intérieur. {Question du 15 juin 1950.)<br />

Réponse. — 1° et 2°, l'exonération <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe h <strong>la</strong> production,<br />

pour les affaires d'exportation, ne peut jouer intégralement que si<br />

les fournisseurs <strong>de</strong> l'exportateur et l'exportateur lui-même ont <strong>la</strong><br />

qualité <strong>de</strong> producteur fiscal; il est précisé, à cet égard, que les<br />

simples commerçants ont 1a» faculté <strong>de</strong> prendre <strong>la</strong> position <strong>de</strong> producteur<br />

en vue <strong>de</strong> <strong>la</strong> revente h d'autres producteurs ou à. l'exportation<br />

(art. 263, 2° du co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s impôts), à condition <strong>de</strong> se<br />

soumettre aux obligations générales <strong>de</strong>s producteurs. Dans cette<br />

situation, les exportateurs ont le choix entre <strong>de</strong>ux systèmes pour<br />

bénéficier <strong>de</strong> l'exonération: a) dans le premier système, ils doivent,<br />

pour les produits qu'ils se promurent sur le marché intérieur,<br />

<strong>de</strong>man<strong>de</strong>r h leurs fournisseurs <strong>de</strong> leur facturer distinctement <strong>la</strong><br />

taxe acquittée par eux et, pour les produits importés, réc<strong>la</strong>mer à<br />

l'administration <strong>de</strong>s douanes un avis d'importation mentionnant <strong>la</strong><br />

taxe à <strong>la</strong> production (ou <strong>la</strong> part représentative <strong>de</strong> ceîîe-ei), qu'ils<br />

ont payée à cette administration. Ils n'acquittent ensuite, sous<br />

réserve <strong>de</strong>s justifications habituelles, aucune taxe sur leurs ventes<br />

h l'exportation et ont droit à <strong>la</strong> restitution <strong>de</strong> l'impôt avant grevé<br />

leurs achats ou leurs importations <strong>de</strong> produits <strong>de</strong>stinés h ' être<br />

exportés; b) dans le <strong>de</strong>uxième système, les intéressés ont, sous<br />

certaines conditions prévues par l'article 266 du co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s<br />

impôts, <strong>la</strong> possibilité <strong>de</strong> s'approvisionner, soit h l'intérieur, soit à<br />

l'importation, en franchise du payement <strong>de</strong> l'impôt. De leur côté,<br />

les producteurs fournisseurs <strong>de</strong>s exportateurs sont admis, soit (système<br />

a) à déduire du montant <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe qu'ils facturent celui <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> taxe qui a grevé leurs achats ou leurs importations <strong>de</strong> produits<br />

correspondants, soit (système b) à <strong>de</strong>man<strong>de</strong>r le remboursement ou<br />

l'imputation <strong>de</strong> <strong>la</strong> taxe qui a grevé leurs propres achats <strong>de</strong> produits<br />

livrés en franchise. S'iîs n'ont pas pris <strong>la</strong> position <strong>de</strong> producteur,<br />

les simples commerçants reven<strong>de</strong>urs ne sont jamais re<strong>de</strong>vables <strong>de</strong><br />

<strong>la</strong> taxe à <strong>la</strong> production sur leurs ventes, à quelque <strong>de</strong>stination que<br />

ce som, mais ils ne peuvent, en contre-partie, bénéficier <strong>de</strong> l'imputation<br />

ou du remboursement <strong>de</strong> l'impôt ayant grevé leurs achats<br />

ou leurs importations <strong>de</strong> produits <strong>de</strong>stinés ù <strong>de</strong>s producteurs ou à<br />

l'exportation.<br />

15037. — M. Auguste Rencure! expose A M. le ministre <strong>de</strong>s<br />

finances et <strong>de</strong>s affaires économiques le cas d'un fonctionnaire civil,<br />

ancien combattant <strong>de</strong> 1914-1918, blessé le 30 juillet 1918, qui a droit,<br />

pendant un an, au bénéfice <strong>de</strong> <strong>la</strong>, campagne double. Il lui <strong>de</strong>man<strong>de</strong><br />

si, en application <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi Dessein, cet ancien combattant a droit<br />

à <strong>la</strong> bonification va<strong>la</strong>ble pour l'avancement <strong>de</strong> 50 p. 100 <strong>de</strong> <strong>la</strong> campagne<br />

double pendant un an, à <strong>la</strong> date <strong>de</strong> <strong>la</strong> blessure, ce qui donnerait,<br />

dans le cas signalé, six mois <strong>de</strong> bonification. (Question du<br />

15 juin 1950.)<br />

Réponse. -— Aux fermes <strong>de</strong> l'article 33 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 19 mars 1928»<br />

dont les dispositions ont complété celles <strong>de</strong> l'article 23 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du<br />

9 décembre 1927 — dite loi Dessein les fonctionnaires, anciens |<br />

NATIONALE<br />

combattants <strong>de</strong> <strong>la</strong> campagne 1914-1918, « jouissent d'une pension<br />

d'invalidité égale ou supérieure à 40 p. 100 pour blessures regues,<br />

ou ma<strong>la</strong>dies contractées, dans une unité combattante, ne pourioni<br />

pas recevoir une majoration d'ancienneté inférieure à celle attribués<br />

au plus favorisé <strong>de</strong>s cambattanls non mutilés <strong>de</strong> leur c<strong>la</strong>sse da<br />

mobilisation ». En • conséquence, tandis que le texte primitif ce<br />

l'article 23 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi du 9 décembre 1927 fixait le terme <strong>de</strong>s majorations,<br />

soit au premier jour <strong>de</strong> <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> prévue pour le renvoi<br />

dans ses foyers, <strong>de</strong> l'échêton <strong>de</strong> démobilisation dont les intéresses<br />

auraient normalement fait partie, soit à leur date d'entrée ou <strong>de</strong><br />

rentrée en fonctions (si celle-ci était antérieure audit jour»,<br />

disposition nouvelle, instituée en faveur <strong>de</strong>s anciens combat,anis<br />

titu<strong>la</strong>ires d'une pension d'invalidité <strong>de</strong> 40 p 100 au moins, a p<strong>la</strong>cé<br />

ce terme, en principe, à <strong>la</strong> date <strong>de</strong> libération <strong>de</strong> <strong>la</strong> c<strong>la</strong>sse <strong>de</strong> démobilisation<br />

<strong>de</strong>s agents en cause, quelle que soit <strong>la</strong> date <strong>de</strong> leur<br />

entrée ou <strong>de</strong> leur rentrée en fonctions. En outre, le temps pa^sê<br />

par les intéressés à l'hôpital, ou en congé <strong>de</strong> convalescence, postérieurement<br />

à <strong>la</strong>dite libération, et, au plus <strong>la</strong>rd, jusqu'à <strong>la</strong> date <strong>de</strong><br />

cessation <strong>de</strong> l'état <strong>de</strong> guerre (23 octobre 1919), ouvre droit à <strong>la</strong><br />

majoration <strong>de</strong> cinq dixièmes. Dans le cas d'espèce soumis par<br />

l'honorable parlementaire, il semble que le blessé en cause peut<br />

bénéficier, s'il justifie d'une pension d'invalidité égale ou supérieure<br />

à 40 p. 100, d'une majoration d'ancienneté d'une" durée égale à <strong>la</strong><br />

moitié <strong>de</strong> <strong>la</strong> pério<strong>de</strong> comprise entre le 30 juillet 1918 et soit <strong>la</strong> dato<br />

<strong>de</strong> libération <strong>de</strong> sa c<strong>la</strong>sse <strong>de</strong> mobilisation, soit celle du 23 octolue<br />

1919, dons l'hypothèse où <strong>la</strong> première date serait postérieure à cette<br />

<strong>de</strong>rnière.<br />

15053. — M. René BMlères <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>s finances<br />

et <strong>de</strong>» affaires économiques : 1° pour quelles raisons le eu racine<br />

professionnel a cessé d'être reconnu, par ia <strong>de</strong>uxième direction <strong>de</strong>s<br />

contributions directes <strong>de</strong> ia Seine, notamment aux achats <strong>de</strong> livres<br />

et aux frais <strong>de</strong> cabinet <strong>de</strong> travail que les membres <strong>de</strong> l'enseignement<br />

public sont obligés <strong>de</strong> supporter sans aucun dédommagement<br />

<strong>de</strong> leur administration ; 2° quelle est <strong>la</strong> nature exacte <strong>de</strong>s justifralions<br />

h produire par les intéresses, le service n'ayant jamais motivé<br />

sa décision sur ce point. (Question du 16 juin 1950.)<br />

Réponse. — l Les frais <strong>de</strong> cabinet et les frais d'achat <strong>de</strong> livres<br />

supportés par les membres <strong>de</strong> l'enseignement ont effectivement le<br />

caractère <strong>de</strong> dépenses professionnelles, mais ces faits sont, en principe,<br />

couverts par <strong>la</strong> déduction forfaitaire <strong>de</strong> 10 ou vie 5 p. iud que<br />

les intéressés sont admis h effectuer sur le montant <strong>de</strong> leur traitement<br />

tpour <strong>la</strong> détermination <strong>de</strong> <strong>la</strong> base <strong>de</strong> l'impôt sur, le revenu<br />

<strong>de</strong>s personnes physiques. Ce n'Ist, par su-île, que lorsqu'ils <strong>de</strong>man<strong>de</strong>nt<br />

<strong>la</strong> déduction <strong>de</strong>s dépenses réelles que ces contribuables peuvent<br />

va<strong>la</strong>blement comprendre dans le décompte <strong>de</strong> ces dépenses<br />

les frais <strong>de</strong> cabinet et les frais d'achat <strong>de</strong> livres. D'après les renseignements<br />

qui ont été recueillis, c'est bien d'ailleurs conformément<br />

à ces dispositions qu'a été réglée <strong>la</strong> situation <strong>de</strong>s membres <strong>de</strong> l'enseignement<br />

public qui sont domiciliés dans le ressort <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>de</strong>uxième<br />

direction <strong>de</strong>s contributions directes du département <strong>de</strong> <strong>la</strong> Seine;<br />

2° aucune disposition légis<strong>la</strong>tive ou réglementaire n'ayant déterminé<br />

<strong>la</strong> nature <strong>de</strong>s justifications que doivent supporter les contribuables<br />

qui <strong>de</strong>man<strong>de</strong>nt <strong>la</strong> déduction <strong>de</strong> leurs frais réels, les intéressés peuvent<br />

recourir à tous les mo<strong>de</strong>s-<strong>de</strong> preuve du droit commun. En cas<br />

<strong>de</strong> désaccord avec le service <strong>de</strong>s contributions directes, ils ont le<br />

droit <strong>de</strong> faire trancher le différend par les tribunaux administratifs.<br />

15056, — M. André-Jean Girôin <strong>de</strong>man<strong>de</strong> à M. le ministre <strong>de</strong>s<br />

finances et <strong>de</strong>s affaires économiques, comme suite à <strong>la</strong> réponse fai'.e<br />

le 26 avril 1950 à sa que-lion écrite n® 13225 concernant <strong>la</strong> caisse<br />

nationale <strong>de</strong>s marchés <strong>de</strong> l'Etat: 1° les raisons pour lesquelles<br />

l'effectif <strong>de</strong>s titu<strong>la</strong>ires au 1 er janvier 1949 s'élève à* 272, alors que<br />

l'article 13 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi n° 48-1991 du 31 décembre 1913 n'en compte<br />

que 244; 2 a quels sont les numéros d'enregistrement <strong>de</strong>s dossieis<br />

adressés à <strong>la</strong> caisse <strong>de</strong>s marchés te 1 er janvier et le 31 décembre<br />

<strong>de</strong> chaque année, du 1 er janvier 19-44 au 31 décembre 19*9, en tenant<br />

compte <strong>de</strong> l'erreur matérielle d'enregistrement qui s'est produite<br />

en Lm. (Question du 16 juin 1950.)<br />

Réponse. — 1 a) Les effectifs autorisés mar l'article 13 <strong>de</strong> <strong>la</strong> loi<br />

n 18-1991 du 31 décembre 1948 s'élèvent à 2U agents; b) l'article 6<br />

du décret n° 50-294 du 8 mars 1950 portant notamment fixation <strong>de</strong>s<br />

effectifs <strong>de</strong>s employés <strong>de</strong> bureau à <strong>la</strong> caisse nation aie <strong>de</strong>s marchés<br />

<strong>de</strong> l'Etat précise que ce nombre est <strong>de</strong> 28. Ces emplois pouvant être<br />

attribués à <strong>de</strong>s auxiliaires <strong>de</strong> <strong>la</strong> caisse en vertu <strong>de</strong>s dispositions<br />

générales du décret n° 47-1236 du 7 juillet 1947 (art. 33) l'effe-'lif<br />

autorisé du personnel titu<strong>la</strong>ire se trouve ainsi porté <strong>de</strong> 24 4 à 272<br />

agents;<br />

2° Les numéros d'enregistrement <strong>de</strong>s dossiers adressés à ia caisse<br />

<strong>de</strong>s marchés, le 1 er janvier et le 31 décembre <strong>de</strong> chaque année<br />

du 1 er janvier 1944 au 31 décembre 1919, en tenant compte <strong>de</strong> l'erreur<br />

matérielle d'enregistrement qui s'est produite en 1948 sont le a<br />

suivants :<br />

1944. — 3 janvier no 6.212; 31 décembre n° 7.311.<br />

1945. — 2 janvier n° 7.312; 29 décembre n° 9.076.<br />

•1946. — 2 janvier n° 9.077; 31 décembre n° 13.028.<br />

1947. — 2 janvier n° 13.029; 31 décembre n° 16.290.<br />

1948. — 2 janvier n° 16.291; 2 août n 17.873.<br />

Ici se situe l'erreur purement matérielle précé<strong>de</strong>mment indiquée,<br />

le dossier suivant portant le n° 13.874 au lieu <strong>de</strong> 17.874. 30 décembre<br />

11° 19.839.<br />

1949. — 4 janvier 19.840; 30 décembre n° 21,656,

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