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Réduire le risque de cancer de l’intestin<br />
Soyez prudent avec la viande rouge!<br />
La chair est parfois faible. C’est ainsi que beaucoup consomment régulièrement saucisses,<br />
hamburgers, salami, lardons, etc. Pourtant, il est vivement conseillé de faire taire, de temps en<br />
temps, le carnivore qui sommeille en vous. En effet, le lien de cause à effet entre la viande<br />
rouge et le cancer de l’intestin est loin d’être imaginaire. Un mot d’explication!<br />
Comment la viande rouge peut-elle augmenter le risque de cancer de l’intestin Voici quelques<br />
éléments:<br />
• L’hème, pigment ferreux donnant la couleur rouge, attaque les parois du gros intestin.<br />
• Des combinaisons cancérigènes attaquant les cellules peuvent se former dans les viandes<br />
fumées, salées et séchées.<br />
• Manger beaucoup de viande rouge signifie aussi consommer plus de graisses. Il existe<br />
également un lien de cause à effet entre celles-ci et le cancer de l’intestin, bien qu’il soit<br />
moindre.<br />
• Les amateurs de viande rouge mangent souvent moins de légumes, alors qu’ils contiennent<br />
justement plus de molécules qui protègent le gros intestin.<br />
• Lors des barbecues, grils et fritures, de nombreuses combinaisons cancéreuses se créent.<br />
Ces mélanges sont moins nombreux en cas de cuisson normale ou à la vapeur.<br />
Cela signifie-t-il qu’il vaut mieux ne pas manger de viande rouge Pas du tout, car la viande rouge<br />
contient des substances alimentaires essentielles telles que le fer et les protéines. Il suffit d’en<br />
modérer la consommation et de suivre ces quelques conseils:<br />
• Ne mangez pas plus de 500 g de viande par se<strong>mai</strong>ne. Ces 500 g correspondent à environ<br />
700 à 750 g de viande crue.<br />
• N’intégrez la viande rouge au menu qu’une fois sur 4.<br />
• Optez pour des alternatives comme le poisson, la volaille, les légumineuses et les variantes<br />
végétariennes.<br />
• Réduisez la quantité de viande dans les repas composés. Ajoutez, par exemple, un peu plus<br />
de tomates dans la sauce bolognaise.<br />
Source: Bodytalk<br />
Les centres de bronzage<br />
font grise mine<br />
Vous ne voulez laisser aucune chance au<br />
cancer de la peau Dans ce cas, bronzer en<br />
toute sécurité, même sous un banc solaire,<br />
est primordial. A cet égard, la législation<br />
relative aux bancs solaires a été renforcée<br />
l’année passée. Les nouvelles règles sont<br />
toutefois encore loin d’être appliquées<br />
partout, avec tous les risques que cela<br />
comporte.<br />
Le relèvement de la limite d’âge de 15 à 18<br />
ans, l’interdiction de banc solaire pour les<br />
personnes présentant un type de peau 1,<br />
des tableaux d’information précisant les<br />
instructions,…: ce ne sont que quelquesuns<br />
des éléments visés par la nouvelle<br />
législation qui, bien trop souvent, sont<br />
insuffisamment respectés par les centres<br />
de bronzage.<br />
Le banc solaire est-il donc si dangereux<br />
Effectivement. Tout comme le soleil, les bancs<br />
solaires émettent des rayons UVA et UVB,<br />
tous deux cancérigènes. Une personne<br />
faisant régulièrement du banc solaire avant<br />
l’âge de 30 ans présente ainsi 75 % de risques<br />
en plus de développer un cancer de la peau.<br />
Un maximum de 10 séances de banc solaire<br />
par an est dès lors recommandé.<br />
Source: Test-Santé<br />
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