Mise en place de la base de données spatialisée de ... - Tour du valat
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Petra Cohez-Vajda<br />
<strong>Mise</strong> <strong>en</strong> <strong>p<strong>la</strong>ce</strong> <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>base</strong> <strong>de</strong> données Salicornia<br />
Ext<strong>en</strong>sion<br />
spatiale<br />
(Partie spatiale)<br />
Entité<br />
géographique<br />
(Partie statique)<br />
Caractéristiques non<br />
spatiales<br />
(Partie <strong>de</strong>scriptive)<br />
Figure II. Représ<strong>en</strong>tation <strong>de</strong> l’<strong>en</strong>tité géographique par <strong>de</strong>s c<strong>la</strong>sses UML dans POLLEN<br />
(d’après Gayte & Libourel, op.cit)<br />
On retrouve le formalisme UML dans plusieurs autres modèles <strong>de</strong>s données<br />
spatiotemporelles, par exemple dans <strong>la</strong> modélisation MADS 27 , ou dans MECOSIG 28<br />
qui propose le formalisme CONGOO 29 (Par<strong>en</strong>t et al.,1999; Pantazis & Donnay<br />
,1996).<br />
La critique <strong>de</strong>s modélisations c<strong>la</strong>ssiques est qu’elles ne sont pas adaptées à <strong>la</strong><br />
modélisation d’une dynamique spatio-temporelle <strong>de</strong>s objets (Par<strong>en</strong>t et al., op.cit).<br />
Notre choix s’est porté néanmoins sur MERISE, car on a considéré qu’il<br />
correspondait à notre besoin :<br />
1. Son approche re<strong>la</strong>tionnelle correspond à l’é<strong>la</strong>boration <strong>de</strong> notre structure <strong>de</strong>s<br />
données sous un SGBDR comme Access (c’est vrai que l’on peut concevoir<br />
un modèle à l’approche objet et l’implém<strong>en</strong>ter dans un SGBD Re<strong>la</strong>tionnel<br />
aussi que dans un SGBD ori<strong>en</strong>té objet).<br />
2. On ne doit gérer que <strong>de</strong>s élém<strong>en</strong>ts spatiaux simples (objets ponctuels). On n’a<br />
pas d’objets plus complexes (comme par ex : polyligne, polygone…). Ainsi<br />
on ne doit pas gérer <strong>de</strong> règles topologiques (connexion, superposition,<br />
intersection…etc.) <strong>en</strong>tre nos points. Nos suivis génèr<strong>en</strong>t <strong>de</strong>s relevés ou <strong>de</strong>s<br />
observations « discrets dans le temps et dans l’espace». On ne modélise pas<br />
<strong>de</strong> phénomènes continus, ni d’évolution d’objet. Donc notre modèle est<br />
re<strong>la</strong>tivem<strong>en</strong>t simple.<br />
3. De plus l’adaptation d’un formalisme comme UML aurait <strong>de</strong>mandé plus <strong>de</strong><br />
réflexion et donc plus <strong>de</strong> temps. Or on a considéré que dans notre cas même<br />
si on choisit une approche re<strong>la</strong>tionnelle ou une approche ori<strong>en</strong>tée objet, on<br />
n’aura pas <strong>de</strong> différ<strong>en</strong>ce fondam<strong>en</strong>tale au résultat.<br />
Concernant <strong>la</strong> modélisation <strong>de</strong>s données, MERISE distingue 3 phases avec les<br />
modèles correspondants.<br />
4.2 Niveau conceptuel<br />
Il s’agit d’id<strong>en</strong>tifier, <strong>de</strong> décrire les dép<strong>en</strong>dances fonctionnelles et d’é<strong>la</strong>borer un<br />
M.E.A. modèle <strong>en</strong>tité – association appelée souv<strong>en</strong>t comme modèle conceptuel <strong>de</strong>s<br />
données (cf. Annexe III).<br />
Dans ce modèle :<br />
les <strong>en</strong>tités (objets distincts) et leurs attributs (caractéristiques) sont id<strong>en</strong>tifiés,<br />
27 MADS : Modélisation d’Application à Données Spatio-Temporelle<br />
28 MECOSIG : Métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Conception <strong>de</strong> SIG<br />
29 CONGOO : Conception Géographique Ori<strong>en</strong>té Objet<br />
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