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supplément
N°56
JUIN 2 0 1 0
R A S S E M B L E R - P R O P O S E R - A G I R
POUR L’ENSEIGNEMENT PROFESSIONNEL PUBLIC
S Y N D I C A T N A T I O N A L U N I T A I R E D E L ’ E N S E I G N E M E N T P R O F E S S I O N N E L
Pour suivre en temps réel l’actualité syndicale : www.snuep.com, www.fsu.fr
SU P P L É M E N T nU M É R O 56 - J U I N
2 0 1 0 - PO U R L’ E N S E I G N E M E N T
PR O F E S S I O N N E L PU B L I C 1

A C T U A L I T É
ET
POUR UN SYNDICALISME FORT
AVEC LE SNUEP-FSU
VOUS
Êtes-vous :
Seul(e)
ou
bien
accompagné(e)
Ne restez pas
isolé(e)
De bonnes raisons de se
syndiquer au SNUEP-FSU
Parce que tout au long de votre carrière,
vous pouvez rencontrer des diff i c u l t é s
concernant vos droits, vos promotions,
vos mutations…
Le SNUEP-FSU est un outil indispensable
de défense individuelle.
Parce que l’existence d’un Service Public
d’Education de qualité est périodiquement
remise en cause par une volonté de
rentabilisation...
Le SNUEP-FSU agit pour la défense et
la promotion de l’Enseignement
Professionnel Public.
Parce que toutes les difficultés d’une
société en crise (chômage, exclusions,
racismes, violence…) se répercutent
aussi dans nos classes...
Le SNUEP-FSU participe aux mouvements
sociaux.
Parce que, quel que soit le gouvernement,
nous assistons régulièrement à des
tentatives de remise en question de nos
statuts, de nos acquis...
Le SNUEP-FSU est un outil de défense
collective.
Parce que l’école publique doit évoluer, se
transformer pour faire face aux défis de
l’avenir...
Le SNUEP-FSU impulse la réflexion et
le débat, dans et hors de la profession,
sur la qualité du service public et la
transformation de l’école.
Parce que le syndicalisme démocratique
et indépendant suppose le débat et la
réflexion commune...
Le SNUEP-FSU vous informe au travers
de sa presse académique et nationale
Que fait le syndicat
Faire face à l’administration, exiger la
transparence, combattre l’autoritarisme,
garantir l’égalité de traitement, défendre
individuellement tous les collègues,
syndiqués ou non, conseiller sur les
mesures de carte scolaire, accompagner
l’affectation des TZR, etc : le SNUEP-
FSU agit pour vous, PLP et CPE de
l’enseignement professionnel public.
Construit avec les PLP et CPE de
l’enseignement professionnel public, le
SNUEP-FSU :
• informe l’ensemble des personnels
• réfléchit et agit dans le cadre de ses
mandats
• Intervient pour défendre chacune et
chacun au quotidien, au lycée et dans
toutes les instances,
• Contribue à mettre en place un projet
syndical qui organise l’action en recherchant
l’unité la plus large avec l’Intersyndicale
de l’enseignement professionnel,
avec la FSU (1 ère fédération de
l’EN) et ses syndicats nationaux.
AUJOURD’HUI,
JE ME SYNDIQUE
POUR apporter ma contribution à la
construction de l’outil syndical, pour
agir et pour peser sur l’avenir
POUR construire le syndicat majoritaire
dont a besoin aujourd’hui la
profession, sur des mandats élaborés
démocratiquement
POUR donner à toute la profession les
moyens de se défendre et d’avancer
POUR exiger collectivement un
enseignement professionnel public
de qualité
Syndiquez-vous
au
Le SNUEP-FSU est une organisation syndicale au plus près des
collègues
Tous les responsables enseignent : ils ont une part de service à effectuer
dans leur établissement. Ils tiennent à rester proche de la réalité quotidienne
de la profession. Aucun responsable et aucun militant ne perçoit d’indemnités.
Mais le SNUEP-FSU ne vit que grâce aux cotisations des adhérent-e-s,
son unique source de financement
Il défend toute la profession, prend le temps d’accompagner vos démarches,
de régler les litiges auprès de l’administration.
Il finance ses publications et tous les frais afférents au fonctionnement (poste,
matériel, téléphone…) pour la défense des personnels.
2 SU P P L É M E N T nU M É R O 56 - J U I N 2 0 1 0 - PO U R L’ E N S E I G N E M E N T PR O F E S S I O N N E L PU B L I C

E D I T O R I A L
R E F U S O N S L E S R É G R E S S I O N S S O C I A L E S
Notre ministre Luc Châtel a poursuivi la mise en œuvre des réformes tant contestées
par les enseignants : rénovation de la voie professionnelle, masterisation des
enseignants, modification du décret EPLE…, à un rythme soutenu depuis la rentrée
scolaire 2009-2010.
L’ensemble de ces réformes permet au gouvernement de continuer le plus grand plan
social de l’éducation nationale en supprimant pour la rentrée 2010 prochaine pas
moins de 16 000 postes et au moins autant pour les rentrées 2011 et 2012.
ACTUALITÉ :
DE BONNES
RAISONS P O U R
S E S Y N D I Q U E R P. 2
ÉDITO P. 3
HS E T C I R C U L A I R E
D E R E N T R É E P. 4
MO T I O N BN 6 M A I P. 5
FI C H E P R É L È V E M E N TP. 6
BU L L E T I N A D H É S I O N P. 7
SE C R É TA I R E S E T
C O R R E S P O N D A N T S
ACADÉMIIQUES P. 8
Le SNUEP-FSU et la FSU ont défendu tout au long de cette année scolaire l’idée
d’un service public d’enseignement ambitieux : celui de l’école publique laïque qui a
comme objectif de former des citoyen-ne-s ayant un niveau de qualification permettant
de s’adapter à l’évolution technologique et du marché du travail, mais avec des
diplômes reconnus dans les conventions collectives.
Parce qu’il incarne le droit à la qualification pour tous, qu’il a fait la preuve de ses
capacités d’intégration sociale et professionnelle, mais aussi parce qu’il coûte cher
l’enseignement professionnel public est la proie de toutes les attaques libérales.
Constituer un front syndical le plus unitaire possible pour le défendre et le
promouvoir est le premier objectif du SNUEP-FSU.
Les difficultés à enseigner montrent une insupportable dégradation de nos conditions
de travail. Tandis que progresse la précarité, l’autonomie toujours plus grande des
chefs d’établissement est confortée et conjuguée avec une gestion « au mérite »
dans de nombreux domaines. Cela induit un climat détestable dans bien des
établissements. Seule la solidarité et la cohésion des personnels peuvent faire
face à une telle situation.
Le SNUEP-FSU œuvre à l’unité de toutes les organisations syndicales
représentant les PLP et défendant l’enseignement professionnel. Dans tous les
établissements, la section syndicale du SNUEP-FSU est le contre-pouvoir dans
laquelle tous les PLP et CPE doivent se retrouver pour débattre et agir.
Seul le SNUEP-FSU est force de proposition contre les régressions libérales. Il
promeut et défend l’avenir de l’enseignement professionnel public, les conditions de
travail et combat ainsi les CCF, l’oral de rattrapage tel qu’il
est, ou encore le conseil pédagogique….
Rien n’est jamais définitivement joué ! Chacun peut aider et
contribuer à changer la donne : notre premier acte est de
nous rassembler. C’est pourquoi il est important de se
syndiquer, mais aussi de faire adhérer nos collègues au
SNUEP-FSU pour animer les sections locales dans les
établissements.
Tous et toutes ensemble
nous pouvons peser
Nicolas DUVEAU
Co-Secrétaire Général

A C T U A L I T É
DES HEURES SUPPLÉMENTAIRES
À LA RENTRÉE C’EST NON !
• Des heures moins bien payées que les
heures « n o r m a l e s » (dès le 5 è m e
échelon, pour un PLP).
• Des heures qui entraînent des absences
supplémentaires, donc des frais
supplémentaires pour « garder » les
enfants
• Des heures qui peuvent être refusées
(sauf la première*) pour permettre la
création d’emplois, de postes statutaires.
• Des heures qui ne sont pas comptabilisées
pour la pension [elles sont prises
en compte dans la RAFP ( R e t r a i t e
Additionnelle de la Fonction Publique)],
complément aléatoire à la pension parce
que ces heures sont « t r a n s f o r m é e s »
en points dont la valeur n’est pas
garantie (système par capitalisation).
• Des heures qui sont défiscalisées : elles
créent l’illusion d’augmentation du
pouvoir d’achat (aux personnes qui ne
paient pas d’impôt, le percepteur
n’enverra pas de chèque).
• Des heures qui remettent en cause nos
droits et notre statut.
• Des heures qui alourdissent notre travail
alors que celui-ci se dégrade, avec le
CCF partout présent maintenant.
* Elle peut aussi être refusée quand on travaille
à temps partiel, ou qu’on est inscrit à un
concours ou quand on a des enfants en bas âge.
À chacun de
refuser les heures
supplémentaires
Ensemble, imposons
la transformation des
heures supplémentaires
en heures poste
Épreuve de contrôle
NOUVEAU RATAGE OU RATTRAPAGE
Après l’intervention du SNUEP-FSU au
niveau du ministère, l’épreuve de rattrapage
a été modifiée pour la session 2010
(BO n°18 du 6 mai 2010). Il est vrai que ce
n’était pas dur de faire mieux, la première
version faisant preuve de beaucoup
d’improvisation et d’amateurisme. Mais le
compte n’y est toujours pas ! Bien que le
ministère ait pris en compte notre demande
de voir évoluer l’épreuve notamment en y
intégrant les disciplines générales, il ne
modifie pas le coefficient de l’épreuve qui
à elle seule permet toujours de rattraper
l’ensemble des autres épreuves avec un
coefficient 22 ou 23 suivant le bac ! En
2009, cette épreuve avait permis d’aff i c h e r
un taux de réussite record pour le Bac Pro
avec 87 % en moyenne.
Au moment où le ministère décide de
généraliser le contrôle en cours de
formation (CCF), le SNUEP-FSU s’interroge
sur la pertinence d’une telle épreuve. Dans
un souci de réelle égalité entre les trois
voies de formation, nous demandons que
le ministère abandonne le « tout CCF » et
revienne à une épreuve ponctuelle en fin
d’année pour l’ensemble des épreuves du
baccalauréat professionnel. C’est à cette
seule condition qu’une épreuve de
rattrapage pourrait être envisagée.
Circulaire de rentrée 2010
Le Ministère enfonce le clou
La circulaire de rentrée 2010, met en application les différentes contre-réformes de l’Education Nationale. Commençant par le trépied : Liberté,
Egalité, fraternité, dès la première phrase, ce texte se résume plutôt en « Libéralisme, Responsabilisation, personnalisation ! »
Parcours personnalisé
La « personnalisation des parcours » en est le maître-mot, ignorant groupe-classe et stigmatisant toute approche collective de la pédagogie.
Le tri social des élèves est à l’œuvre et ce, de plus en plus tôt : détection précoce des difficultés, mise à l’écart des « perturbateurs », prise en
charge prématurée des décrocheurs par des organismes extérieurs à l’Ecole.
Pour « Soutenir les élèves en grande difficulté en dialoguant avec les familles », le ministère ne propose rien de nouveau. L’accent est mis sur
les problèmes d’absentéisme. Le volet répressif est mis en avant : la difficulté scolaire n’est pas abordée, comme s’il suffisait de venir à l’école
pour réussir !
Formation d’enseignants
La circulaire confirme le désengagement de l’Etat dans la formation professionnelle des professeurs stagiaires avec la mise en avant du modèle
du « compagnonnage ». Pour ce qui est de la gestion de classe, le ministère a prévu à la rentrée la diffusion d’un DVD.
La voie professionnelle
Il est question de la nouvelle loi sur la formation/orientation. L’offre de formation initiale en lycée professionnel doit de plus en plus être en
adéquation avec la logique de l’offre de formation continue.
La mise en concurrence entre formation initiale et formation continue (contrat de professionnalisation) devrait se développer à travers le
développement des lycées de métiers. Ainsi, dès 16 ans, les jeunes pourront choisir entre voie scolaire, apprentissage ou autres contrats
(professionnalisation…), réservés avant aux adultes en formation continue. C’est la réponse du ministère pour traiter l’échec scolaire mais c’est
surtout un bon moyen de faire des économies.
L’accompagnement personnalisé
Constatant de réels dysfonctionnements, le ministère demande aux recteurs d’appliquer les textes !!! Ainsi, il recommande que les heures prévues
pour l’accompagnement personnalisé (AP) soient bien attribuées. Le ministère promet aux enseignants une aide future sur le site d’Eduscol. Dans
ce cadre, l’Environnement Numérique de Travail devrait devenir l’outil incontournable.
Pour le SNUEP-FSU, il est hors de question de développer un AP qui mettrait encore plus à l’écart les élèves en difficulté. L’AP doit être au service
de la réussite de tous les élèves et notamment de ceux qui en ont le plus besoin. Nous savons qu’il ne pourra pas compenser la perte d’une année
de formation mais il ne doit pas servir de caution à une réorientation précoce des élèves en difficultés.
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A C T U A L I T É
MOTION DU BN DU 6 MAI
Travailler plus longtemps et toucher moins :
c’est inacceptable !
Le rapport alarmant du COR (Conseil
d’Orientation des Retraites) vient de faire
apparaître des déficits abyssaux pour
l’ensemble des régimes si les règles en
vigueur concernant l’âge de départ, le
montant des pensions, ou le niveau des
recettes ne sont pas changées. Pour que
cela soit encore plus impressionnant, le
COR va même jusqu’à faire des
projections jusqu’en 2050 ! Ce n’est
plus de la prévision mais de la voyance !
Qui aurait pu prévoir en 1970 ce qui se
passe aujourd’hui
De plus le COR présente ces résultats en
déficit cumulé (2 600 milliards). Il faudrait
comparer ce chiffre aux 80 000 milliards
de PIB (Produit Intérieur Brut) cumulé
sur la même période. La dépense
nouvelle se monterait à 3 %, soit environ
100 milliards d’euros à trouver en plus en
2050. Les gouvernements successifs en
trente ans ont déplacé 10 % des
richesses du revenu du travail vers les
placements en bourse. On voudrait
nous faire croire que la manoeuvre
i n v e r s e limitée à 3 % et étalée sur
quarante ans est impossible
La pension, sur quelle base
Le SNUEP-FSU revendique le maintien
de la prise en compte des six derniers
mois de salaire pour les fonctionnaires.
En effet, la fin de carrière est toujours la
mieux rémunérée, pour les fonctionnaires
dont le parcours professionnel est moins
aléatoire que celui des salariés du secteur
privé, pour lesquels sont prises en compte
les vingt-cinq meilleures années (Faut-il
aussi rappeler que le principe de la prise
en compte des six derniers mois est lié à
des raisons historiques de compensation
pour les fonctionnaires dont les salaires
étaient moindres à l’époque que ceux des
salariés du privé ).
Le SNUEP-FSU exige le retour à un taux
de remplacement de 75 % du dernier
traitement. Il refuse l’idée que le montant
de la pension dépende de l’espérance de
vie moyenne des personnes.
Et à quel âge
Le SNUEP-FSU s’oppose à tout allongement
de la durée de cotisation et revendique,
pour tous, le droit à la retraite à 60
ans et le retour aux 37,5 annuités, avec le
maintien du minimum garanti.
Sur quels principes
Le SNUEP-FSU refuse toute mise en place
d’un régime relevant de l’individualisation
(par capitalisation) ou d’un système de
comptes notionnels. Il réaffirme son
attachement au maintien du Code des
pensions civiles et militaires de 1964.
D’autres solutions sont possibles
Dans le cadre de la crise, on entend faire
payer le prix aux actifs et aux retraités, en
appliquant de façon rigoureuse les directives
européennes. Et le gouvernement entend
s’attaquer dès à présent aux retraites alors
que le calendrier initial imposait un état des
lieux en 2012.
D’autres choix que ceux matraqués depuis
quelque temps par les média existent. La
question des retraites relève d’un choix de
financement et de société, et non d’une
remise en cause des droits des fonctionnaires.
Cela tient davantage d’une autre
politique économique, sociale et fiscale (taxer
les revenus du capital, taxer les transactions
boursières, etc.) que celle retenue aujourd’hui.
Le SNUEP-FSU appelle tous les
c o l l è g u e s à participer aux actions
unitaires à venir et à les amplifier.
La formation des professeurs stagiaires
attaquée de plein fouet
Loin du dialogue social et des propositions
syndicales, le gouvernement veut
également passer en force sur le dossier
de la formation des enseignants. Les
professeurs stagiaires se retrouveront dès
la rentrée dans une classe à temps plein
sans avoir parfois effectué de stage et sur
des postes préalablement bloqués dans
les établissements. Leur formation professionnelle
sera pour une très grande partie
effectuée en dehors de leur temps de
service. Non seulement cela constitue un
recul inacceptable en terme de formation
professionnelle, mais aussi cela bloquera
davantage le système des mutations déjà
fortement grippé par les suppressions
massives de postes. Les élèves seront
contraints de voir se succéder plusieurs
enseignants et remplaçants pendant
l’année scolaire.
Le SNUEP-FSU dénonce une fois de plus
les conditions d’accueil et de formation
des professeurs stagiaires pour la
rentrée 2010. Il appelle les professeurs à
s’opposer à une telle dégradation de la
formation de ces nouveaux e n s e i g n a n t s
ainsi que les conditions d’enseignement
des professeurs stagiaires et des tuteurs.
Pour permettre d’être entendu par l e
ministère, le SNUEP-FSU appelle les
collègues à ne pas être volontaires
pour cette tâche dans ces conditions là.
Il demande aux équipes enseignantes
de signer collectivement la motion
« Pas d’enseignement de qualité
sans enseignants bien formés »
(voir site) .
Directrice de la publication : Marie-Caroline Guérin - N° CP : 1213 S 05844 – ISSN : 1762-2808 - Collaboratif : Jean Sébastien Bélorgey -
PAO : ASTEC, nicole.cocard@wanadoo.fr – Illustrations : Annie Malarme (p.1), Jean Sébastien Bélorgey (p.2) – Relecture : Isabelle Lauffenburger
Imprimerie : SIPE, 91350 GRIGNY – 1 euro – Régie publicitaire : COM D'HABITUDE PUBLICITE, 25 rue Fernand Delmas, 19100 Brive,
05 55 24 14 03, contact@comdhabitude.fr, www.comdhabitude.fr
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valable du 01/09/2010 AU 31/08/2011
Adressez ce bulletin d’adhésion et votre règlement à :
Section Académique ou SNUEP-FSU : 12, rue Cabanis 75014 PARIS
Remplissez complètement et LISIBLEMENT ce bulletin, cela facilite le travail des militant(e)s. Merci
Ancien adhérent N°
M. Mme Mlle
NOM (dans l’ordre si nom composé) :
Prénom administratif :
Nom de naissance :
Date de naissance : / /
Bat., étage, porte :
Lieu-dit :
N° rue, boulevard :
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COMMUNE
Tél : - - - - Fax : - - - -
Port. : - - - -
Courriel :
Spécialité : Code spécialité (si connu) :
Secrétaire local (SL1) :
Secrétaire local adjoint (SL2) :
Correspondant local (CL) :
RESPONSABILITÉS
COTISATIONS MÉTROPOLE
Sans traitement 27 Retraite PLP 1 87
Retraité PLP CI Norm 96 Retraité PLP HC 108.......
Outremer : contactez la section académique
Etranger : contactez le SNUEP-FSU national
PLP/CPE
Ech CI norm HC Non-titulaire
1 93 123 93
2 99 141
3 102 150 Temps
4 105 162 partiel :
5 111 174 au prorata
6 117 186 de la quotité
7 123 192 du traitement
8 132
9 144
10 153
11 168
Banque :
........................
........................
Agence :
........................
........................
Chèque :
n°..........................
n° ........................
n° ........................
Le SNUEP-FSU pourra utiliser les informations ci-dessus pour
m’adresser les publications syndicales. Je demande au SNUEP de me
communiquer les informations professionnelles et de gestion de ma
carrière auxquelles il a accès à l’occasion des commissions.
Je l’autorise à faire figurer ces informations dans des fichiers et les
traitements automatisés dans les conditions fixées par les art. 26 et 27
de la loi du 06/01/1978.
Cette autorisation à reconduire lors du renouvellement d’adhésion est
révocable dans les mêmes conditions que le droit d’accès en
m’adressant au SNUEP-FSU.
ACADÉMIE (au 01/09/2010) :
SITUATION ADMINISTRATIVE
PLP CPE CI Norm HC
Stagiaire IUFM
Non-titulaire CDI
Temps partiel :
Échelon au 01/09/10 :
Depuis le : / /
Stagiaire sur poste
Nb d’heures
Emploi particulier : (Détachement faisant fonction,
Greta, MGI, inspection, congés divers) :
Retraité en congé sans emploi
AFFECTATIONS
n° du code R.N.E.
IUFM : - -
A Titre Pro (ATP) - -
ZR - -
LIEU D’EXERCICE
Etab. d’exercice - -
Rattachement admin. - -
Type d’établissement
LP SEP SEGPA EREA
Collège Lycée SUP FC
Nom de l’établissement :
Ville :
COTISATION
Montant : ......................... €
Mode de paiement :
Prélèvement (sur banque métropolitaine
Renouvellement prélèvement
Chèque(s)
Date d’adhésion :
Signature :

POUR LA DÉFENSE DE NOS MÉTIERS
AVEC LE SNUEP-FSU
SYNDIQUEZ-VOUS…
Se syndiquer au SNUEP, c’est se donner les moyens :
• de faire respecter ses droits
• d’acquérir de nouveaux droits
• d’une expression collective, constructive, critique et indépendante
• d’être dans un syndicat de la FSU, 1ère fédération des agents
de l’Etat, aux côtés d’autres syndicats enseignants, le SNES,
le SNUIPP, le SNEP, majoritaires dans leur secteur
Une cotisation pas chère
Conformément aux textes en
v i g u e u r, 66 % de votre cotisation
annuelle sont déductibles de vos
impôts ! Par exemple, une cotisation
de 144 € (PLP 9 è m e
échelon) ne vous revient en réalité
qu’à... 48 € !
Comment Payer
Par prélèvement : remplir
l’imprimé et joindre un RIB.
Par chèque : sous la forme
d’un chèque global ou de 2 ou
3 chèques échelonnés. Dans
ce dernier cas, il vous suffit de
porter les dates d’encaissement
souhaitées au dos de
chacun des chèques.
Vous trouverez le bulletin d’adhésion sur notre site : snuep.com
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route des religieuses,
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06 39 40 34 81
28 lotissement M’Wambani Majicavo
Koropa, 97690 Koungou
Montpellier
Emmanuel CANERI
manu.caneri@laposte.net
Tél. : 06 45 35 72 05
SNUEP-FSU Languedoc-Roussillon,
143 chemin Mas Audran
34520 La Caylar
Nancy-Metz
Patrick LANZI, palanzi@yahoo.fr
Tél. : 03 83 33 39 73 - 06 66 77 88 40
Immeuble Quartz, allée René Lalique
Apt 6, 54270 Essey les Nancy
Nantes
Serge BERTRAND,
nantes@snuep.com
Tél. : 06 79 47 08 94
Maison des Syndicats,
8 place de la Gare de l’Etat
case postale 8, 44276 Nantes Cedex 2
Nice
Andrée RUGGIERO
andree.ruggiero@orange.fr
Tél. : 04 94 30 01 09 - 06 79 44 06 81
SNUEP-FSU, Bourse du Travail
13 avenue Amiral Collet, 83000 To u l o n
Orléans-Tours
Gilles PELLEGRINI
Cathy LAVA N A N T
snuep.orleans-tours@orange.fr
Tél. : 02 38 37 04 20
41 boulevard Buyser, 45250 Briare
Paris
Christine GUENARD - Hervé SCALCO
snuepfsu75@free.fr
Tél. : 06 77 56 43 67 - 06 89 11 52 06
12 rue Cabanis 75014 Paris
Poitiers
Alain GOUMARD
malau@club-internet.fr
Tél. : 06 20 79 08 80
FSU, avenue du Parc d’Artillerie
86000 Poitiers
Reims
Régis DEVALLÉ
regis-devalle@snuep.com
Tél. : 06 12 68 26 60
18 rue de Vitry
51250 Sermaize-les-Bains
Rennes
Annie SEVENO
seveno.annie@wanadoo.fr
Tél. : 02 99 83 46 34 - 06 16 84 41 24
131 rue Belle Epine
35510 Cesson-Sévigné
Rouen
Jérôme DUBOIS
f.feras@numericable.com
jdsnuep@free.fr
Tél. : 06 19 92 75 91
SNUEP-FSU, 4 rue Louis Poterat
76100 Rouen
Strasbourg
Bernard REVOLLON - Denis HAMM
bernard.revollon@laposte.net
strasbourg@snuep.com
Tél. : 03 88 28 91 23 - 09 50 68 54 85
5 rue du Bellay, 67200 Strasbourg
Toulouse
Didier CILIBERTI, dciliberti@free.fr
Tél. : 06 26 19 64 91
Collège de Caraman, 31460
Caraman
Versailles
Valérie BOUVERI 06 86 00 20 18
snuepversailles@gmail.com,
Tél. : 01 45 65 02 56 – 01 45 80 14 95
12 rue Cabanis, 75014 Paris
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