COMPTE-RENDU DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE du 9 mars 2011

COMPTE-RENDU DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE du 9 mars 2011
M FAYON répond que l’installation sur le parvis de la salle des fêtes n’est pas possible car elle ne répond pas au
programme de travaux défini par la mairie. Pour ce qui est de l’extension du pavillon annexe cela supprimerait des
places de parking qui feraient défaut pour les commerces, et d’autre part des travaux sont envisagés à l’arrière de la
mairie pour installer un ascenseur afin de rendre accessibles les étages de la mairie.
M. THEVENET demande qu’une décision soit prise rapidement pour en informer les commerçants en ajoutant
qu’il n’y pas d’urgence dans la délocalisation de l’office de tourisme. M. MOULLIER précise que dans le dossier
de la labellisation Musée de France, le château-musée a besoin d’une entrée indépendante.
M. CELLIER précise que ce sont des prévisions de travaux et que tous les travaux ne sont pas obligatoirement à
faire en totalité.
Madame BALDINI, 2 ème Vice-présidente, fait remarquer que c’est une position ambigüe car en début de séance M.
CELLIER reprochait à la Communauté de communes de ne pas avoir fait travailler une entreprise locale.
M. Daniel CHARLIN, 3 ème Vice-président, fait deux remarques : ce sont des travaux importants et que la formule
du bail commercial permet de récupérer une partie de la mise à la sortie. D’autre part en ce qui concerne la
différenciation de loyer, c’est une volonté du propriétaire et que l’on n’a pas de prise sur cette décision.
Monsieur Hubert MARCOUX, délégué de l’Hôpital sur Rochefort, pense également que ce sont des travaux
importants mais que le propriétaire paie la taxe foncière et que si personne ne loue son local il changera de position
et baissera le montant du loyer.
M. MOULLIER ajoute qu’une agence immobilière et une société d’assurance sont preneuses pour ce local. Il fait
part ensuite de la position du bureau municipal de Boën qui n’est pas favorable pour prendre en charge les travaux
mais qui suggère la formule du bail emphytéotique comme pour la Bâtie d’Urfé cédée par bail emphytéotique au
Conseil Général de la Loire par la Diana. Ce bail pourrait avoir une durée de 30 ans, 40 ans ou 50 ans. Il évoque
d’autres formules possibles : la vente à terme ou la vente en viager.
Mme Agnès TARIT, maire de Débats rivière d’Orpra n’est pas d’accord avec Daniel CHARLIN sur le fait qu’à la
fin du bail commercial, il y aurait une indemnisation sur les travaux réalisés. Elle n’approuve pas cette
différentiation des loyers et comme ancienne commerçante elle n’est pas favorable à l’installation d’autres agences
immobilières et de banques car il y en a suffisamment à Boën.
M. GOUBY ajoute que les commerçants ne peuvent pas tous être logés au centre de Boën, il pense que l’office de
tourisme est aussi important que les commerces car il draine autant de population et de clientèle.
M. MOULLIER indique qu’il n’est pas souhaitable de dépenser autant dans un local dont on n’est pas propriétaire.
Il propose de demander au propriétaire de vendre le local sous forme de bail emphytéotique ou vente à terme. Il
propose également de questionner les commerçants sur leur intention d’achat du local.
M. MIOCHE propose également de faire une réponse rapide aux commerçants pour savoir si l’achat du local les
intéresse.
Mme BALDINI se demande comment le propriétaire pourrait choisir entre une collectivité locale et un
commerçant.
Mme Gisèle DEVAUD, déléguée de Boën, intervient en évoquant l’information qui avait été faite d’héberger
l’office de tourisme dans le bâtiment de l’hôpital local. M. MOULLIER répond que ce n’est pas possible car le
bâtiment de l’hôpital sera libéré en 2013.
Mme DEVEAUD pose la question de la localisation initiale de l’office de tourisme M. MOULLIER rappelle les
différentes localisations : le pavillon de la mairie, la salle des fêtes, puis le château.
Pour ce qui est de la place Siveton, l’emplacement ne convient pas selon l’office de Tourisme en raison de son
éloignement du centre ville.
M. Jacky THEVENET pense que c’est la communauté de communes qui verse une subvention à l’office de
tourisme de prendre la décision.
M. CELLIER répond que M. VAILLANT le président de la FDOTSI a insisté sur le fait que l’emplacement d’un
office de tourisme est primordial. Il confirme qu’il ne faut pas opposer l’office de tourisme et les commerces car ils
sont complémentaires.
M. BUISSON, Vice-président, pour clore le débat propose d’organiser une rencontre entre le propriétaire, les deux
commerçants intéressés par le local et l’office de tourisme.
M. MOULLIER, Président, propose de dire non à la location dans ces conditions.
7. Demandes de subvention : centre culturel de Goutelas et Boënnales du livre.
Lucien MOULLIER, Président, indique que la commission culturelle souhaite définir une programmation des
manifestations culturelles à rayonnement intercommunal, à savoir :
- Le Foreztival, organisé par l’association APIJ, et pour lequel la communauté de communes verse une
subvention;
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