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Projet d'Appui Conjoint à la Bonne Gouvernance dans les ...

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Progiciel<br />

Développement Spécifique<br />

PROJET D’APPUI CONJOINT À LA BONNE GOUVERNANCE DANS LES DOMAINES<br />

DES FINANCES PUBLIQUES ET DE LA STATISTIQUE (PAC)<br />

ADE - ATC Consultants<br />

Avantage<br />

Maîtrise du code source.<br />

Personnalisation totale du logiciel possible<br />

Réactivité de <strong>la</strong> maintenance.<br />

Valorisation des capacités du personnel<br />

informaticien.<br />

Le progiciel reflète l’état de l’art puisqu’il est déjà<br />

installé chez plusieurs clients qui font le même<br />

métier.<br />

Le progiciel est rapidement mis en œuvre<br />

Le progiciel est éprouvé chez d’autres clients, par<br />

conséquent faible risque de « mauvaise surprise ».<br />

L’outil répond à des besoins fréquents rencontrés<br />

par des structures variées et est parfaitement adapté.<br />

Le prestataire est un spécialiste et peut mobiliser des<br />

ressources spécifiques.<br />

Les cadres du MEF se spécialisent sur leur cœur de<br />

métier et ne se concentrent que sur leur rôle de<br />

maîtrise d’ouvrage <strong>dans</strong> <strong>les</strong> projets informatiques<br />

Inconvénient<br />

Risque important de dépassement des dé<strong>la</strong>is et<br />

coûts prévus initialement.<br />

Forte incertitude sur <strong>la</strong> qualité finale.<br />

Coût élevé, tant financier qu’humain.<br />

Incertitude sur <strong>la</strong> capacité de <strong>la</strong> maitrise<br />

d’ouvrage à produire un cahier des charges<br />

complet et tenant compte de l’état de l’art.<br />

Coût important de <strong>la</strong> maintenance réalisée en<br />

interne<br />

Pas de mutualisation de l’expertise avec<br />

d’autres MEF<br />

Dispersion des énergies (le même outil peut<br />

être développé plusieurs fois).<br />

Absence de réflexion globale (le programme<br />

répond à un besoin immédiat).<br />

Coût d’achat parfois élevé.<br />

Risque de difficulté <strong>dans</strong> l’intégration avec le SI<br />

existant.<br />

L’organisation doit s’adapter au mode de<br />

fonctionnement du progiciel.<br />

Difficulté à obtenir <strong>les</strong> codes sources souvent<br />

protégés.<br />

Risque de faillite de l’éditeur du progiciel.<br />

Coûts récurrents du support (licence forfaitaire<br />

de maintenance).<br />

Il ne faut pas être dogmatique sur le choix des types d’applications (progiciel vs spécifique),<br />

il n’y a pas de vérités universel<strong>les</strong> sur <strong>la</strong> question. Les décisions doivent se prendre au cas<br />

par cas. Mais nous pouvons préconiser que, d’une façon générale, <strong>les</strong> applications très<br />

spécifiques tel<strong>les</strong> que <strong>la</strong> GFP et <strong>les</strong> petites applications ponctuel<strong>les</strong> tel<strong>les</strong> que <strong>la</strong> gestion<br />

temporaire d’un fonds de modernisation, continuent à être des développements<br />

spécifiques, c'est-à-dire des applications entièrement conçues et réalisées par le MEF, ou<br />

alors des applications du marché ayant un code source « ouvert » (c'est-à-dire modifiable)<br />

afin que le MEF puisse <strong>les</strong> adapter. En revanche, pour <strong>les</strong> applications qui couvrent des<br />

fonctions connues et répandues, tel<strong>les</strong> que <strong>la</strong> gestion du courrier, <strong>la</strong> gestion des marchés, <strong>la</strong><br />

gestion des ressources humaines (fonctions que des milliers d’institutions à travers le<br />

monde ont déjà informatisées), ou le suivi-évaluation de projets il est préférable de recourir<br />

à des progiciels standards du marché.<br />

Il semble que <strong>la</strong> décision de généraliser le recours au développement d’applications<br />

spécifiques soit surtout motivée par <strong>la</strong> crainte des informaticiens du MEF de voir réduire<br />

l’importance de leurs interventions. Il s’agit d’une mauvaise appréciation car, au p<strong>la</strong>n<br />

international, <strong>la</strong> tendance observée est que <strong>les</strong> informaticiens ayant recours à l’utilisation de<br />

progiciels voient leur rôle renforcé et leurs compétences recherchées. Par ailleurs, on ne<br />

bâtit pas une telle stratégie pour justifier le travail des informaticiens : s’il n’y avait pas<br />

suffisamment de travail pour tous <strong>les</strong> informaticiens du ministère, <strong>la</strong> solution ne serait pas<br />

Version provisoire – 10 juin 2011 Page 47

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