Présentation « Mythes et réalités - Rabaska

LES « MYTHES ET RÉALITÉS »
• Rabaska opte maintenant pour • Accident Cleveland, 1944
Lévis
• Le terminal de “Boston”
• Terminaux offshore
• Rapport Sandia
• Projet Fall-River
• Accident Skikda, 2004
• Incident Fos-sur-mer, 2003
• Accident Belgique, 2004
• Accident Pointe-du-lac, 2005
• Accident Ultratrain, 2004
• Les terminaux français
• Santé Canada - Transport Canada
• Législation “américaine”

ACCIDENT DE CLEVELAND - 1944

ACCIDENT DE CLEVELAND - 1944
• La station d'écrêtement de pointe de Cleveland
– Construite en 1940-1944
– Trois réservoirs sphériques
• 2 400 m 3 chacun
• Double paroi acier à 3,5 % de nickel
• liège comme calorifuge
– Quatrième réservoir construit en 1942
• 4 500 m 3
• double paroi acier à 3,5 % de nickel
• isolation avec de la laine minérale.
– Réservoirs dotés de bassins de rétention pouvant contenir 30 %
du volume des réservoirs
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ACCIDENT DE CLEVELAND - 1944
• Les faits
– Lors de la première mise en froid du réservoir n° 4 une fissure en
fond de réservoir interne se produit
– Après réparation et remise en service, des tâches de givre
apparaissent ça et là
– Le 20 octobre 1944 à la fin de la campagne de remplissage le
réservoir n° 4 s'ouvre, la cuvette de 30 % du volume ne peut
contenir les 4 500 m 3 qui envahissent l'usine, il y a incendie et
rupture d'un autre réservoir.
– Le GNL sort de l'usine, se répand dans les égouts et les rues
voisines : 128 morts et plusieurs centaines de blessés
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ACCIDENT DE CLEVELAND - 1944
• Les enseignements
– Utilisation de matériaux non fragiles à des températures
cryogéniques (aujourd’hui acier cryogénique 9 % nickel)
– Zone d'isolement autour des installations gazières
– Installer un bassin de rétention d'au moins 100 % du volume
des réservoirs ou d’une enveloppe secondaire en béton
– Surveillance des points froids
– Réseau d'égouts adapté et non relié aux réseaux municipaux
Recommandations intégrées dans les normes depuis 1965
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ACCIDENT DE SKIKDA - 2004

L’USINE DE LIQUÉFACTION
Skikda - Algérie
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L’USINE DE LIQUÉFACTION
Skikda - Algérie
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L’USINE DE LIQUÉFACTION
Skikda - Algérie
POLE 1
Trains 10/20/30
Train
40
Train
30
POLE 1
Train
20
Train
10
RÉSERVOIRS GNL
Capacité : 1 MMTPA
Mise en service : 1972
Train 40
Capacité : 0,9 MMTPA
Mise en service : 1981
POLE 2
Train
N°5
Train
N°6
POLE 2
5 ° et 6 ° Trains
Capacité : 1,1 MMTPA
Mise en service : 1981
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ACCIDENT DU 19 JANVIER 2004 – SKIKDA
• Les faits
– Fuite d’origine indéterminée sur le train 40
– Produit aspiré par l’entrée d’air de la chaudière
– Première explosion dans la chaudière
– Deuxième explosion plus forte à l’extérieur
– Dommages sur les trains 30 et 20 qui étaient en exploitation
– Feu sur les trains 40/30/20
– Arrêt d’urgence de l’ensemble de l’usine, feu éteint après 8 heures
de combat
• Les conséquences
– 27 victimes, 74 blessés
– Pas de victime, ni de blessé à l’extérieur de l’usine (12 000
personnes travaillent dans le complexe pétro-chimique de Skikda)
– Des dommages limités à l’extérieur (vitres brisées)
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ACCIDENT DU 19 JANVIER 2004 – SKIKDA
• Les enseignements (enquêtes encore en cours)
– Ne pas installer la salle de contrôle, les bâtiments administratifs
et de maintenance, les bâtiments de sécurité… au milieu des
installations
– Nécessité d’une détection sur les prises d’air des équipements
– Éviter les zones confinés ou semi-confinés
– Nécessité d’un suivi et d’un contrôle des installations anciennes
• Pour les terminaux méthaniers
– Les équipements impliqués dans l’accident n’existent pas
sur un terminal méthanier
– Les normes intègrent déjà des exigences en terme de détection,
actions d’urgence, localisation des bâtiments
– Différence d’échelle et du type d’équipement entre une usine de
liquéfaction et un terminal méthanier
– Prise en compte du problème du vieillissement des installations
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ACCIDENT DU 19 JANVIER 2004 – SKIKDA
Les affirmations
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
Le 19 janvier 2004, en Algérie, un accident a fait pour 1 milliard de
dollar américain de dommage dans un rayon de 2 km! 27 personnes y
ont trouvés la mort et 78 autres ont été blessés. La Commission de
l’Énergie de la Californie a rappelé aux 4 terminaux méthaniers aux
Etats-Unis qu’ils devaient tenir compte de ce qui est arrivé en Algérie.
Un tel accident pourrait aussi leur arriver puisque eux aussi
manipulent du GNL. Un rapport au congrès va exactement dans le
même sens.
Source : Allocution M. Y. Saint-Laurent – 16/11/2004
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ACCIDENT DU 19 JANVIER 2004 – SKIKDA
La vérité
• Fact Sheet prepared by California Energy Commission
Staff
– « … in Skikda, Algeria, a steam boiler that was part of an LNG
production plant exploded…
– …LNG import terminals revaporize LNG back into natural gas,
they do not refrigerate natural gas into a liquid. Import
terminals, therefore, do not require high-pressure steam
boilers.
– The only components common to both LNG liquefaction plants
and import terminals are storage tanks and marine facilities
supporting LNG carrier loading or unloading (e.g, pumps and
piping). An LNG leak could occur at an import terminal,
although terminal design, equipment, and operating
procedures are in place to prevent such an event from
occurring or escalating.
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ACCIDENT DU 19 JANVIER 2004 – SKIKDA
La vérité
• Rapport SANDIA (Annexe E, page 159)
– Deaths and injuries occurred only in the plant area
– Damage outside the industrial area was limited to broken
windows
– The proximity of the train 40 control room to administrative,
maintenance and security/fire control buildings was a major
factor in the number of injuries and fatalitites
• Rapport au Congés américain (CRS)
– Rapport cité en référence écrit avant l’accident (LNG –
Infrastructure Security, 9 septembre 2003)
– Rapport le plus récent (LNG Import Terminals, 27 mai 2004) :
• While the recent Algerian terminal accident was quite serious,
experts point out that it did not lead to the catastrophic failure of
the main LNG storage tanks and did not cause injuries the
general public.
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LE TERMINAL D’EVERETT, MASSACHUSETTS

LE TERMINAL D’EVERETT, MASSACHUSETTS
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LE TERMINAL D’EVERETT, MASSACHUSETTS
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LE TERMINAL D’EVERETT, MASSACHUSETTS
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ÉTUDE SANDIA

L’ÉTUDE SANDIA NATIONAL LABORATORIES
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– « Une fuite de gaz naturel liquéfié (GNL) suivie d’une
explosion à bord d’un navire ou encore d’un terminal
aurait des conséquences catastrophiques pour des êtres
humains se retrouvant à l’intérieur d’un rayon de près
de deux kilomètres, soutient une nouvelle étude
dévoilée par le département américain de l’énergie
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L’ÉTUDE SANDIA NATIONAL LABORATORIES
• La vérité
– Pour un acte terroriste
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
« The most significant impacts to public safety and
property exist within approximately 500 m of a spill, due
to thermal hazards from fires, with lower public health
and safety impacts at distance beyond approximately
1600 m »
• Source : Rapport SANDIA
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ÉTUDE SANDIA NATIONAL LABORATORIES
• Étude demandée par le US Department of Energy, portant sur la
sécurité des navires méthaniers
• Sujets traités
– Historique de l’industrie du GNL
– Analyse du risque de fuite de GNL sur de l’eau
– Étude d’une fuite accidentelle
– Étude d’une fuite découlant d’un acte terroriste
– Mesures de réduction du risque
• SANDIA souligne l’importance d’une gestion du risque (Risk
Management)
• Seuils d’effets retenus par SANDIA
– 5 kW/m 2 pour le rayonnement thermique
– LII pour la dispersion
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ÉTUDE SANDIA NATIONAL LABORATORIES
• Fuite accidentelle
– Très bonne résistance des méthaniers
– En cas de collision, risque pour la cargaison de GNL uniquement
pour des gros navires, frappant à 90° et ayant une vitesse
minimale de 6 à 7 nœuds
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ÉTUDE SANDIA NATIONAL LABORATORIES
• Fuite intentionnelle / Agression terroriste
– Conséquences plus sévères que pour une fuite accidentelle
– Impact significatif sur la sécurité publique dans un rayon de
500 m, impact plus faible au delà de 1600 m et entre 500 et
1 600 m
– Inflammation quasi certaine dans le cas d’une agression
terroriste
– Mesures de mitigation (analyses de sûreté, mesures de sécurité
lors du transit des méthaniers) permettent de réduire de manière
significative le risque
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LES TERMINAUX OFFSHORE

LES TERMINAUX OFFSHORE
Les affirmations
Gaz Métro et ses partenaires propose une zone d’exclusion de 400
mètres. Aux États- Unis il y a, présentement, une tendance lourde à
implanter des terminaux méthaniers en mer, sur une plate-forme.
Source : Allocution M. Y. Saint-Laurent – 16/11/2004
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
De plus, l’étude du GIRAM a permis de constater que la tendance de plus en
plus forte est d’établir les projets de GNL offshore (en mer), à au moins 13
kilomètres de toute habitation.
Source : Comuniqué GIRAM – Octobre 2004
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Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005

LES TERMINAUX OFFSHORE
Quelques idées fausses
• La majorité des projets aux USA sont offshore
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– FAUX, 12 projets sur 53 – aucun en construction
– 3 terminaux terrestres approuvés et en cours de construction
(Hackberry LA, Freeport TX, Sabine Pass LA)
– Terminaux offshore encore à l’état de projet
• Port Pelican, 1er projet autorisé, suspendu par le promoteur pour
des raisons de coût
• En octobre 2004, USCG demande une suspension des projets
offshore
• Au Mexique, le virage est fait
– FAUX, 2 projets terrestres en construction, 1 projet offshore
approuvé
• Terminal terrestre d’Altamira (côte Est) en construction
• Terminal terrestre de Costa Azul (côte Ouest) en construction
• Un terminal offshore de Chevron Texaco vient de recevoir
l’autorisation. Encore à l’état de projet

LES TERMINAUX OFFSHORE
Les affirmations
Crystal Energy propose un site à 21 km des côtes. Les promoteurs
affirment qu’à cette distance, les risques pour la population sont
réduits ou, de façon réaliste, éliminé.
BHP Billiton propose, eux, un site à 34 km sur la côte-ouest
américaine. Ici, le promoteur affirme qu’à cette distance, les risques
seront minimisés.
Source : Allocution M. Y. Saint-Laurent – 16/11/2004
De plus, l’étude du GIRAM a permis de constater que la tendance de plus en
plus forte est d’établir les projets de GNL offshore (en mer), à au moins 13
kilomètres de toute habitation.
Source : Comuniqué GIRAM – Octobre 2004
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LES TERMINAUX OFFSHORE
Quelques idées fausses
• Les projets sont loin des côtes pour des raisons de sécurité
– FAUX. Les raisons sont techniques :
• Profondeur d’eau
• Utilisation d’infrastructures existantes (canalisations, plateforme…)
• Proximité d’une île (effet brise lames)
– TOUS les projets offshore ont une distance d’exclusion de 500 m
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LES TERMINAUX OFFSHORE
Une idée séduisante, mais… aucun en construction
• Points positifs
– Éloignement des populations
– Réduction de l’impact visuel
• Points négatifs
– Technologie en développement / non prouvée
– Aucun retour d'expérience sur ce type d'installation
– Pas de cadre réglementaire
– Pas de cadre normatif
– Sécurité problématique du fait du caractère « compact » du
terminal
– Impact sur l’environnement marin
– Coût d'un tel terminal
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INCIDENT DE FOS-SUR-MER - 2003

INCIDENT DE FOS-SUR-MER - 2003
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– « la torchère a explosé provoquant de gros
dommages matériels, et évite de peu la catastrophe»
• La vérité
– Dommages limités
– Aucune conséquence à l’extérieur du site
– Arrêt des opérations et redémarrage en sécurité en
24 heures
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INCIDENT DE FOS-SUR-MER - 2003
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ACCIDENT EN BELGIQUE - 2004

ACCIDENT EN BELGIQUE - 2004
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– « Une boule de feu de 200 mètres de haut par 500
mètres de large, des dégâts jusqu’à 6 km 17 morts et
130 blessés
• La vérité
– Suite à une endommagement par un engin de chantier
– Explosion entendue sur plusieurs kilomètres
– Victimes sur quelques centaines de mètres
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ACCIDENT EN BELGIQUE - 2004
Dommages dans un
rayon de 250 m
Source : Fluxys,
opérateur du gazoduc
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SANTÉ CANADA / TRANSPORT CANADA

SANTÉ CANADA
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– «…le plus grand risque impliquerait une fuite de gaz naturel, lequel
est inflammable, dans l’atmosphère. Le panache de gaz pourrait se
diriger vers des lieux habités… impliquant ainsi le risque d’une
catastrophe. »
• La vérité
– Vrai, le gaz naturel est inflammable à une concentration entre 5 et
15% dans l’air
– Ce risque est bien identifié et pris en compte pour définir les mesures
de sécurité
– Santé Canada participe au processus d’évaluation environnementale
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TRANSPORT CANADA
• Affirmation de Rabat-Joie
– «…pour l’atténuation des risques… il faut construire le terminal dans
un endroit éloigné ou à l’écart d’agglomérations urbaines ou de
banlieues.»
• La vérité
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– 3.15.12 Toute demande TERMPOL doit faire état de l’atténuation des
risques perçus. Les détails varient selon la proposition, mais il est
possible d’énumérer un certain nombre d’exemples :
• mettre en place des systèmes de navigation ou d’exploitation
sécuritaires et élaborer un programme proactif de prévention de la
pollution;
• construire le terminal dans un endroit éloigné ou à l’écart
d’agglomérations urbaines ou de banlieues.
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ACCIDENT DE POINTE-DU LAC - 2005

EXPLOSION À POINTE-DU-LAC
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– Une boule de feu… Gaz Métro déclare: « Ça pourrait prendre plusieurs
années avant que l’on comprenne comment éviter que cela se
reproduise »
• La vérité
– Conduite de distribution trouvée calcinée à deux endroits provoquant
une fuite de gaz naturel
– Fils électriques par terre avant l’accident
– Enquête du coroner
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ACCIDENT ULTRATRAIN - 2004

ACCIDENT ULTRATRAIN
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– 600 000 litres de diesel: il s’agit d’un 6 e accident en 7
ans…si le port méthanier est construit en plus, on
pourrait de retrouver avec encore davantage de produits
toxiques transportés en train. »
• La vérité
– Il n’y aura aucun transport par train relié à Rabaska
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PROJET FALL RIVER

LE PROJET FALL RIVER
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– … John F. Kerry, de même que le sénateur démocrate
Edward M. Kennedy s’unissent pour prendre position
contre un projet de terminal méthanier à Fall River…
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LE PROJET FALL RIVER
• La vérité
– Fall River : Un projet très
différent de Rabaska
• La rivière a 850 pieds (260 m)
de large à certain endroits
• Passage sous 4 ponts
• Des quartiers résidentiels
importants tout au long de la
rivière
• 9 125 camions de GNL par
année (30 camions par jour)
• Dragage de 144 acres (58
hectares) d’habitats
fauniques
• 9 000 résidents dans un rayon
de 1,5 km
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LES TERMINAUX FRANÇAIS

LES TERMINAUX FRANÇAIS
Les affirmations
En France, à Fos-sur-Mer près de Marseille, le complexe de gaz naturel
liquéfié (GNL) de Gaz de France est situé à 7 kilomètres de la première
résidence du secteur. Un projet d’agrandissement de ce complexe est contesté
par la population, car il réduirait la zone d’exclusion à 2,5 kilomètres d’une
zone résidentielle
Source : Comuniqué GIRAM – Octobre 2004
Gaz de France…possède déjà un site similaire à Fos-sur-mer, en
France. […] Les risques d’explosion et d’incendie font en sorte
qu’aucune habitation à cet endroit se trouve à moins de 7 km.
Présentement Gaz de France tente de doubler la capacité, donc la
grosseur du site mais se bute à une forte résistance de la population
environnante. Notons ici que le site se rapprocherait à 2.5 km de la
première habitation.
Source : Allocution M. Y. Saint-Laurent – 16/11/2004
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LES TERMINAUX FRANÇAIS
La vérité
• Fos-sur-mer
– Les centres-villes de Fos-sur-mer et de Port-St-Louis-du-Rhône se
trouvent respectivement à 6 et 7 km du site
– Des groupes d'habitation se trouvent à moins de 3 km du site
– Présence d'un restaurant à 1.5 km et de l'aciérie UGIFOS-ASCOMETAL a
environ 500 m du terminal.
– La zone d’exclusion du terminal est de 400 m.
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LES TERMINAUX FRANÇAIS
La vérité
• Nouveau terminal de Fos-sur-mer
– Gaz de France est en train de construire en second terminal méthanier
– Nouveau site à 5 km du terminal existant
– Autorisations obtenues malgré une forte opposition de la population
– Le nouveau terminal, dit de Fos-Cavaou, est situé à 3.2 km des premières
résidences
– Une plage se trouve à 2 km du site
– Les installations les plus proches du terminal de Fos-Cavaou sont un
terminal pétrolier et une aciérie
– La zone d’exclusion est de 240 m autour des installations terrestres et de
500 m autour du quai de déchargement
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LES AFFIRMATIONS DE RABAT-JOIE
Présentations publiques de
juillet 2004 :
4 options envisagées dont 3 à
Lévis
Lévis
Beaumont
OPTION 1
OPTION 2
OPTION 3
OPTION 4
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LÉGISLATION « AMÉRICAINE »
• Affirmation de Rabat-Joie
Source : Tract Rabat-Joie – Février 2005
– « Le LNG act de 1977 exige que le terminal autorisé soit situé
dans un site éloigné des populations… - pas plus de 10 personnes
par mille carré; pour la zone comprise dans les
– 4 milles (6,4 km) autour de ces équipements - pas plus de
– 60 personnes par mille carré.»
• La vérité
– Législation californienne, et non américaine, jamais appliquée, ni
en Californie, ni ailleurs
– Texte abrogé en 1987
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