AXE 1 - HISTOIRE ET ARCHEOLOGIE - Iulm
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Lettres électronique — N° 3 — printemps 2005<br />
approche comparatiste, sur les confrontations géoculturelles<br />
du champ français (J.M.G. Le Clézio) mis<br />
en regard avec des textes issus des aires subsaharienne<br />
(Ahmadou Kourouma, Calixthe Beyala) et<br />
sud-africaine (André Brink, J.M. Coetzee).<br />
Nous portons notre attention sur le rayonnement<br />
du processus initiatique dans les textes observés et<br />
étudions, à partir d’une préoccupation commune à<br />
l’ensemble des ouvrages, les convergences et les<br />
particularités des littératures mises en regard. Les<br />
figures mythiques sous-tendent les fictions et leur<br />
irradiation sera analysée dans une perspective intertextuelle<br />
et interculturelle. Nous observerons les récits<br />
et la société à laquelle ils renvoient, et l’impact de<br />
chaque ouvrage dans l’aire géo-culturelle où il<br />
s’enracine, sans omettre de replacer ces travaux dans<br />
une perspective anthropologique.<br />
Renseignements : arlette.chemain@libertysurf.fr ou<br />
nathalie.duclot@laposte.net<br />
PARIS – FRANCE – Université<br />
PARIS-5 – C.E.A.Q. (Centre d’étude<br />
sur l’actuel et le quotidien)<br />
Dir. Michel MAFFESOLI<br />
Rappel<br />
- Journées du CeaQ, 20 et 21 juin 2005<br />
- colloque à Rome le 26 mai,<br />
- colloque à la Rochelle.<br />
GREMES (Groupe de recherche sur la musique et<br />
la socialité)<br />
Le GREMES est un groupe de recherche intégré au<br />
CEAQ, placé sous l’autorité scientifique du professeur<br />
Michel Maffesoli. Il fonctionne depuis l’année universitaire<br />
2000/2001 et rassemble les étudiants-chercheurs<br />
qui s’intéressent aux phénomènes d’effervescences<br />
sociales, ainsi que ceux qui travaillent à une<br />
sociologie de la musique capable de penser les<br />
nouvelles formes musicales. L’axe principal, mais non<br />
exclusif, du groupe est constitué autour d’une<br />
réflexion approfondie sur le thème du phénomène<br />
techno.<br />
Calendrier des rencontres :<br />
- 6/01/2005 à 14 h. Entretien avec France SCHOTT-<br />
BILLMAN, autour de son livre Le Besoin de danser,<br />
Odile Jacob, 2001<br />
- 27/01/2005, 19 h, Benoît BERTHOU (Nanterre),<br />
Créer et jouer : l’art du XX e siècle <br />
- 3/02/2005, 19 h, Frédéric LEBAS (CEAQ) Essai sur<br />
le son : espace et kinesthésie dans la musique<br />
électronique<br />
- 11/03/2005, 19 h, Lionel POURTAU (CEAQ), Les<br />
interactions entre raves et législations censées les<br />
contrôler<br />
Contacts : Courriel : anne.petiau@club-internet.fr ou<br />
s.hampartzoumian@wanadoo.fr<br />
Site du Gremes : http://gremes.free.fr/<br />
GRES<br />
Prochaines rencontres :<br />
05/04/2005, 15h, Michele BONI, Disco-club et perception<br />
: « The Haptic sensibility in Philippe Starck’s<br />
works » (Espace et perception « haptique »)<br />
Si on affirme qu’on peut analyser chaque stimulation<br />
visuelle comment des séries de patterns,<br />
ordres, cycles et gradients, ou comme une organisation<br />
de formes et objets, alors est-il possible, par<br />
exemple dans le travail de Philippe Starck, argumenter<br />
pour quelque forme de « combinaison »<br />
expressément crée pour provoquer notre inconscience<br />
A travers l’analyse de la perception, un<br />
argument est développé sur l’utilisation sémiotique de<br />
Starck de la baisse de lumière et des ombres<br />
comment geste volontaire pour une diminution de<br />
l’utilisation de la vision : l’effet serait celui de stimuler<br />
le développement de la vison la plus périphérique de<br />
l’inconscience et la fantaisie la plus tactile. L’intention<br />
est celle de démontrer une perversion caractéristique<br />
(en termes Freudiens) dans l’organisation de l’<br />
architecture de Starck. A travers l’objet du désire, des<br />
insinuations sexuelles, et une amplification du « voir<br />
et du toucher » il est possible d’ interpréter l’espace<br />
de Starck comment une particulière mise en scène:<br />
une continue provocation des instincts des utilisateurs<br />
qui joue avec la notion du plaisir.<br />
11/04/2005, 15 h, Emilio MARTINEZ, Hétérotopies :<br />
autour des lieux et les liens<br />
En général, l’espace était une dimension marginale<br />
dans le développement de la sociologie,<br />
laquelle depuis ses origines privilégiait la dimension<br />
temporaire. Même la distinction établie par Comte<br />
entre statique et dynamique sociales témoigne un<br />
intérêt marqué pour expliquer les processus de<br />
changement social. Toutefois, face à l’a-espatialisme<br />
de la tradition sociologique (non seulement dans sa<br />
modalité positiviste) les nouveaux développements<br />
théoriques prêtent beaucoup plus attention à<br />
l’importance de l’espace dans la structuration du social,<br />
en suivant ainsi les voies explorées initialement<br />
par auteurs comme G Simmel, R Park et Halbwachs.<br />
La société n’ est pas a-espatial, alors une sociologie<br />
a-espatial ne peut pas exister: une évidence qui dans<br />
le passé supposait être condamné comme « spatialiste<br />
». L’espace peut être considéré comme<br />
Association Recherche sur l’Image — DIJON 19