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07.01.2015 Views

ien souvent négative, que les conditions de la mort d'un proche laissent de l'hôpital' Ces deux phrases formeront l'un des points de départ du colloque organisé le 24 octobre 2012 par l'AP- HP à l'hôpital européen Georges-Pompidou. Elles illustrent la problématique -trop rarement abordée-des missions de l'hôpital vis-à-vis des patients qui décèdent. Face à la mort, l'hôpital doit-il être considéré comme un lieu indifférencié parmi d'autres, la prise en charge du corps des défunts s'imposant à lui comme une tâche finalement accessoire, à l'issue des soins Ou bien la période post mortem fait-elle légitimement partie de ses missions, méritant à ce titre une attention particulière, et des procédures explicitement inclues dans l'organisation des soins .[D'après le résumé de l'auteur] TOUZET Patrick L’éthique comme philosophie première du soin SOINS PSYCHIATRIE 2013 ; 284 : 29-32 http://www.em-premium.com/article/786736 C’est à partir de l’éthique que se fonde le soin, une éthique ' une ' et a-corporatiste. Pour le soignant, la clinique est en référence au malade et non à une profession, condition sine qua non pour ne pas perdre le sens du soin. L’informel nous convoque du côté de ce qui échappe, de ce qui est ontologique chez l’être humain, mais peut-on pour autant en faire une exclusivité infirmière [résumé d'auteur] 18 ascodocpsy • Vu dans la base SantéPsy • Ethique

Vu dans la base SantéPsy Formation Avril 2013 Articles BEN-AHMED Lionel Quelles valeurs pour s'orienter dans les questions éthiques des gérontechnologies GERONTOLOGIE ET SOCIETE 2012 ; 141 : 183-193 http://www.cairn.info/revue-gerontologie-et-societe-2012-2-page-183.htm Afin de se doter des outils nécessaires permettant d’aborder les questions éthiques que posent les gérontechnologies, il est nécessaire de s’interroger sur leur valeur. La notion de valeur va dans un premier temps se déployer comme le résultat d’une évaluation concernant l’efficacité de l’outil technologique dans un contexte particulier. Ce contexte en s’étendant du particulier au domaine politique et social va déplacer la question de la valeur. De l’évaluation de l’efficacité technologique, nous allons passer aux principes éthiques qui sous-tendent l’utilisation des gérontechnologies. La voie du care va alors s’imposer comme une solution permettant de définir la valeur des technologies pour l’autonomie. [résumé d'auteur] MARQUES Ana, AZOCAR Betty, DAOUD Véronique, LAFFAILLE Muriel Formation Action Sociale-Santé Mentale : évaluation d’impact INFORMATION PSYCHIATRIQUE 2013 ; 89 1 : 43-49 http://www.cairn.info/revue-l-information-psychiatrique-2013-1-page-43.htm La politique de secteur est une ouverture vers la cité. Depuis sa mise en place, la question de l’articulation entre la psychiatrie et le social n’a pas cessé d’être posée. La Formation Action Sociale-Santé Mentale contribue, depuis 2006, à l’articulation de ces champs et participe d’une stratégie pilotée par la DDASS 93 . Nous présenterons l’évaluation de l’impact de cette formation sur les pratiques et sur l’articulation départementale. Elle s’appuie sur une méthode quantitative (exploitation des cahiers d’évaluation) et qualitative (49 entretiens). L’évaluation montre que l’impact de cette formation se décline en trois domaines : amélioration du repérage de la souffrance psychique, de l’orientation vers les services de soins et de l’inscription dans des pratiques de réseau. [Résumé d'éditeur] 19 ascodocpsy • Vu dans la base SantéPsy • Formation

ien souvent négative, que les conditions de <strong>la</strong> mort d'un proche <strong>la</strong>issent de l'hôpital' Ces deux<br />

phrases formeront l'un des points de départ du colloque organisé le 24 octobre 2012 par l'AP-<br />

HP à l'hôpital européen Georges-Pompidou. Elles illustrent <strong>la</strong> problématique -trop rarement<br />

abordée-des missions de l'hôpital vis-à-vis des patients qui décèdent. Face à <strong>la</strong> mort, l'hôpital<br />

doit-il être considéré comme un lieu indifférencié parmi d'autres, <strong>la</strong> prise en charge du corps<br />

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bien <strong>la</strong> période post mortem fait-elle légitimement partie de ses missions, méritant à ce titre une<br />

attention particulière, et des procédures explicitement inclues <strong>dans</strong> l'organisation des<br />

soins .[D'après le résumé de l'auteur]<br />

TOUZET Patrick<br />

L’éthique comme philosophie première du soin<br />

SOINS PSYCHIATRIE 2013 ; 284 : 29-32<br />

http://www.em-premium.com/article/786736<br />

C’est à partir de l’éthique que se fonde le soin, une éthique ' une ' et a-corporatiste. Pour le<br />

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non pour ne pas perdre le sens du soin. L’informel nous convoque du côté de ce qui échappe,<br />

de ce qui est ontologique chez l’être humain, mais peut-on pour autant en faire une exclusivité<br />

infirmière [résumé d'auteur]<br />

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