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Invité Mahamadou Doula Talata, président du Comité Olympique et Sportif du Niger (COSNI) ‘’Globalement, je pense que depuis 1972, c’est la meilleure prestation que nous ayons faite à l’occasion des Jeux olympiques’’ Réalisée par Oumarou Moussa, envoyé spécial M. le président, au vu des résultats que nos athlètes ont enregistrés ici à Londres, quelle est votre lecture de la participation du Niger aux Jeux Olympiques 2012 Ce qu’on peut dire, c’est que la délégation a été composée de façon que la plupart des fédérations sportives soient représentées, et qu’un maximum de responsables puisse découvrir ce que sont les Jeux Oympiques. Donc, je pense que sur ce plan, un effort particulier a été fait pour que nous ayons à peu près 32 personnes qui puissent participer à ces jeux. Cela a évidemment nécessité un certain sacrifice des uns et des autres pour certains qui pourraient rester quinze jours ou dix jours, nous nous sommes arrangés pour qu’il y ait des relais. Cela découle certainement de l’esprit de notre dernière Assemblée générale où tout le monde a prôné les retrouvailles. On a tous salué ces retrouvailles, et le fait qu’on puisse agir avec beaucoup plus de solidarité et de fraternité entre nous ; que le mouvement sportif et olympique au Niger soit véritablement uni. Je pense que cela a certainement dénoté, de façon positive, sur la participation effective de nos athlètes puisque, comme vous le savez, s’agissant de la nageuse, dans sa série, elle a fini première. C’est une véritable avancée par rapport à ce que nous avons vu dans les précédents Jeux Olympiques. Pour l’athlète qui a couru les 100 mètres, dans sa série, elle a fini 6 ème sur 8. Pour nous, ce n’est pas mauvais, parce que l’essentiel, c’est de ne pas terminer dernière de la série. En ce qui concerne le garçon qui a couru les 1500 mètres, je pense que c’est véritablement une bonne expérience pour lui. Cela lui a permis de voir, en réalité, à quoi correspond son niveau actuel par rapport aux niveaux mondiaux, et qu’il a du travail à faire encore. Nous allons tout faire pour l’encourager, l’accompagner, parce qu’il a de bonnes prédispositions. Office National d’Edition et de Presse Place du Petit Marché B.P : 13182 Niamey Niger Tél 20 73 34 86 /87 Télécopieur : 20 73 30 90 E-mail : onep@intnet.ne Site web : www.lesahel.ne Directeur de Publication Mahamadou Adamou Directeur de la Rédaction Assane Soumana 20 73 99 86 Réd en chef Tchirgni Maïmouna Réd en chef/Adj M.S. Soulé Manzo Directeur Technique Issa Madougou 20 73 99 87 Réd en chef M.S. Abandé Moctar Réd en chef adjt Inoussa Oumarou Secrétaire de Rédaction Wata N. Fassouma Moustapha Directeur commercial Morou Hamadou 20 73 22 43 Chef Service Communiqué et Pub. Alassane Assilila Direction Administrative et financière (DAF) Directrice: Mme Saïdou Rahamou Tél: 20 73 99 85 Chef service Recouvrement: Mme Ado Haoua Hachimou Composition : ONEP Tirage ONEP 5000 exemplaires Nous avons aussi le cas du boxeur qui nous a dignement représenté. Ce boxeur a certes perdu son combat aux points, mais tout le monde était unanime à reconnaître qu’il a fait un bon combat. C’est vrai que l’essentiel, c’est de participer, mais c’est de bien participer même si on doit perdre, parce qu’il faut toujours un gagnant et un perdant. Quant au judoka, il a passé le premier tour. Au second tour, il est malheureusement tombé sur celui qui allait avoir la médaille d’or de sa catégorie. Il aurait pu tomber sur un autre moins fort, peut-être qu’il serait allé encore en huitième de finale, et un peu plus loin. Enfin, la grande surprise pour nous était notre compatriote qui était venu pour compétir en aviron, une discipline sportive qui est encore inconnue au Niger, et qui est entrain de faire son petit chemin. Ce compatriote a été formé par des Tunisiens. Aujourd’hui, véritablement, on peut dire qu’il a été la coqueluche de tout l’aviron. Ici, plus de vingt journaux ont parlé de lui ; il y a eu des émissions à la télévision sur lui ; il a eu quelques cadeaux tels que des équipements. Il y a des perspectives heureuses pour le Niger en ce qui concerne l’aviron. Nous avons rencontré ses encadreurs. Evidemment, nous faisons attention, compte-tenu de ses connaissances actuelles, il faut faire attention pour qu’il ne tombe pas dans le piège de ce que tout le monde connait ; qu’on utilise son image, ou son nom pour se faire de l’argent à son détriment. Mais cela a pris des proportions telles que nous avons demandé au chef de mission de l’encadrer et de suivre de très près tout ce qui se fait autour de lui. Par cela, l’aviron va se développer au Niger ; il y a du matériel qui est prévu pour être donné au Niger. Il y a des brésiliens qui doivent venir au Niger au mois de décembre prochain pour faire une prospection, pour apporter du matériel, et commencer à mettre cette discipline en place, parce que nous avons des plans d’eau extraordinaires qui permettent la pratique de cette discipline, notamment le fleuve Niger, la Komadougou Yobé, les mares permanentes etc. Globalement, je pense que depuis 1972, c’est la meilleure prestation que nous ayons faite. La différence, c’est qu’en 1972, nous avions eu une médaille. Cette fois–ci, nous avons eu une très bonne participation, mais nous n’avons pas eu de médaille. Franchement, je peux dire qu’aujourd’hui, le nom du Niger est partout, dans les journaux, grâce à l’aviron. Tout le monde en parle. M. le président, quel sera l’appui du COSNI à ces athlètes pour qu’ils puissent rester dans cette bonne dynamique dans MARIAGE Salou Gati à Niamey Elhadj Kousso Moussa à Niamey Djibo Moussa à Niamey Feu Elhadj Tombo Salou à Niamey Elhadj Oumarou Salou à Niamey Boureima Salou à Niamey Boubacar Garba à Niamey Elhadj Boubacar Dotda à Niamey Amadou Soumana à Saguia Boubacar Soumana à Saguia Mahamadou Doula Talata laquelle ils sont actuellement Ecoutez, je vais me jeter à l’eau. L’appui pour que ces athlètes restent dans cette dynamique, c’est en ce qui concerne la nageuse, si elle a envie de continuer, de voir avec la fédération de natation comment faire pour lui obtenir une bourse. Compte-tenu de son niveau, je crois qu’elle vient d’avoir le BEPC, s’il y a des possibilités de trouver une bourse de sport-études, nous allons certainement prospecter dans cette direction. Pour l’athlète des 1500 mètres qui est un militaire, nous allons approcher ses supérieurs pour voir si on peut l’encourager d’une façon ou d’une autre. Nous allons y réfléchir avec ses supérieurs. Il y a des mesures à prendre, notamment le récompenser, et éviter de l’affecter dans des zones où il risque de ne plus pouvoir pratiquer ce sport et se perfectionner. En ce qui concerne l’aviron, je pense que c’est clair. La fédération internationale s’est engagée pour le Niger. Et ce garçon, nous allons prendre des dispositions pour le mettre à l’abri et le protéger. Quant au boxeur et au judoka qui nous ont donné une entière satisfaction, en fonction des souhaits de leurs fédérations, le Comité olympique s’impliquera totalement pour voir avec le CIO et la Solidarité Olympique ce qu’on peut trouver pour eux, et commencer à les former déjà pour les prochains Jeux Olympiques. C’est dès maintenant, ou au plus tard dans six mois, qu’il faut que nous trouvions les moyens de les mettre sur les pistes. Elhadj Malam Baya à Saguia E!hadj Amadou Djeido à Saguia Elhadj Kalilou Ibrahim Soumana à Niamey 0umarou Soumana à Saguia Souley Amadou à Saga Parents, Amis et Connaissances, ont la joie de vous faire part du mariage de leurs enfants M. Boureima Kousso Moussa Tailleur à Niamey avec Mlle Aïchatou Seydou Amadou, enseignante à Zinder Les cérémonies religieuses auront lieu Incha Ailah le samedi 8 Septembre 2012 à 08hOO à Niamey au quartier Saguia, sur la Route de Say La semaine traditionnelle débutera te même jour chez le jeune marié à Niamey. Archives/ONEP Cette bonne prestation des athlètes nigériens aux Jeux Olympiques de Londres coïncide avec le retour de la sérénité au sein du COSNI. Quel commentaire cela vous inspire Vous savez, traditionnellement, nous disons dans notre culture que quand dans une maison, les gens ne s’entendent pas, en général le bonheur ne vient jamais là. Il passe à côté, et va ailleurs. Aujourd’hui, nous avons la preuve des vertus qui se mesurent au finish, en termes de positivité et de progrès. Ce sont des efforts à faire. La récompense est au bout de l’effort. Les uns et les autres doivent faire un effort sur eux-mêmes, œuvrer pour plus de compréhension mutuelle, et nous dire que nous sommes tous là pour l’intérêt des jeunes. Nous ne sommes pas là pour faire des bagarres et des querelles de responsables, qui, par ailleurs gagnent leur vie en dehors de ce cadre. C’est par passion que nous sommes dans ce mouvement. Donc je pense que nous allons tenter de cultiver encore plus cette sérénité, cette cohésion et cette solidarité. Nous allons faire en sorte que les uns et les autres se soudent. Ce n’est pas facile, mais en tout cas, c’est dans cette perspective que nous nous plaçons. M. le président, quelle est votre appréciation générale sur l’organisation des Jeux Olympiques de Londres 2012 Je pense que les Jeux Olympiques de Londres 2012, véritablement comme tous les Jeux Olympiques, ont connu un succès. Parce qu’organiser des Jeux Olympiques, c’est lourd. Ce n’est pas simple. Mais il se trouve que les Jeux Olympiques de Londres se passent dans un contexte international un peu mouvementé, avec tout ce qui se passe dans les pays du nord, en Afrique, au Mexique, en Asie et autres. Il y a beaucoup de mouvements de contestations, de rebellions etc. Nous sommes dans un monde fortement controversé. Et c’est dans ce contexte que se sont tenus ces Jeux Olympiques. D’ailleurs, vous avez vu toutes les mesures de sécurité qui avaient été prises pour faire en sorte qu’il n’y ait pas de difficultés. Je pense que nous devons saluer le peuple anglais pour ce qu’il a pu faire. Globalement, je pense que c’est un succès. Hymne national Auprès du Grand Niger Puissant Qui rend la nature plus belle Soyons fiers et reconnaissants De notre liberté nouvelle Evitons les vaines querelles Afin d'épargner notre sang Et que les glorieux accents De notre race sans tutelle S'élèvent dans un même élan Jusqu'à ce ciel éblouissant Où veille son âme éternelle Qui fera le pays plus grand Debout Niger, debout ! Que notre oeuvre féconde Rajeunisse le cœur de ce vieux continent Et que ce chant s'entende aux quatre coins du monde Comme le cri d'un peuple équitable et vaillant Debout Niger, debout ! Sur le sol et sur l'onde Au son des tam-tams dans leur rythme grandissant Restons unis toujours, et que chacun réponde A ce noble avenir qui nous dit En avant... Page 4 7 septembre 2012 Sahel Dimanche
Société L’air du temps Mali : la guerre du Nord aura lieu Aura lieu, n’aura pas lieu…Finalement la guerre pour la reconquête du Nord Mali aura bien lieu. Après de longues tergiversations inutiles, les autorités maliennes viennent de se résoudre à en découdre avec les ‘’barbus’’ du Mujao et d’Ançar Dine qui, depuis bientôt six mois, occupent les villes de Kidal, Tombouctou, Gao, Ansongo et autres localités du grand Nord. En effet, acculé par les pressions fusant de toutes parts pour demander la libération par la force de l’espace occupé, le Président intérimaire du Mali n’a plus d’autre choix que de se plier à l’option de guerre. Ce qui explique la requête qu’il a adressée au Président en exercice de la CEDEAO, lui demandant l’appui des troupes de la CEDEAO aux forces maliennes apparemment décidées à laver le cinglant affront par une action musclée. Autrement dit, mieux vaut tard que jamais… Il était temps ! Car l’arrogance des hors-la-loi parait sans limite. Narguant quotidiennement le pouvoir en place à Bamako, et surtout l’armée malienne cantonnée dans la capitale et qui n’a pas fini de s’offrir en spectacle dans d’interminables querelles de clochers, les groupes islamistes n’en démordent guère. Ainsi, après avoir étendu leur domination à des localités situées à la lisière de la zone Sud, le Mujao va jusqu’à menacer de prendre Bamako dans une guerre éclair, dans le genre ‘’24 heures chrono’’. Et comme pour impressionner ses vis-à-vis, le Mujao pousse l’outrecuidance plus loin en déclarant ouvertement qu’il dispose de plus de 20. 000 batteries de missiles disséminées aux frontières du Mali. Mais ce que Mujao ignore, c’est qu’à elle seule, cette déclaration suffit pour lui attirer la foudre de toutes les armées du monde entier. Car, assurément, personne ni aucune nation au monde ne saurait tolérer l’existence d’un tel arsenal aux mains d’individus décidés à prendre leur liberté nonobstant toutes les dispositions légales et règlementaires. C’est dire que les jours à venir nous édifieront davantage sur la suite du feuilleton malien. Mais déjà, un grand tort a été fait aux populations du Nord Mali qui, depuis bientôt six mois, continuent de souffrir le martyre. En effet, après avoir chassé du Nord du pays les contingents de l’armée malienne puis ceux des rebelles du MNLA, les ‘’barbus’’ ont eu tout le loisir d’instaurer le joug implacable de la charia sur les paisibles habitants de la zone sous occupation. Abandonnées à leur triste sort, les populations ont subi, la mort dans l’âme, toutes sortes de violences et de brimades. Pour un rien, des pères de famille sont bastonnés en plein jour et à la place publique, tandis que des jeunes accusés de vol se sont retrouvés avec un bras cruellement amputé. D’autres moins chanceux ont été méchamment lapidés sous les objectifs des caméras, jusqu’à ce que mort s’en suive. Des rituels punitifs au cœur de l’horreur dont les images continuent de faire le tour de la Terre en interpelant la conscience collective sur l’urgence d’une intervention militaire pour arrêter le règne de la terreur. Assane Soumana Natif de Damari dans le canton de Bitinkodji, département de Say, M. Ali Boukari est un bijoutier d’un talent hors du commun. Issu d’une famille de bijoutiers, il ne tarde pas à marcher sur les traces de son père et de ses aînés. Après avoir passé 8 ans d’apprentissage sous l’égide de son père, il quitte son village natal pour Niamey, dans l’objectif d’ouvrir un atelier et exercer son talent. Il s’installe au Musée National, un cadre où il trouve des professionnels en la matière, venus des diverses contrées du Niger. C’est dire que la concurrence est rude, mais il faut faire avec. Conscient de son savoir-faire et de la qualité de son travail, Ali Boukari n’a pas douté un instant de ses capacités à y faire face. Aujourd’hui, à 38 ans, il totalise 25 ans de métier. Sollicité par beaucoup d’organisateurs de grands événements pour la fabrication de trophées, il a à son actif la confection du trophée international pour la Femme Active Africaine ; le trophée de Reconnaissance ; le trophée de Maman en or ; le trophée de 100% Niger, etc. Il fait partie du collectif des bijoutiers choisis pour la fabrication des médailles des Jeux de la Francophonie qui se sont déroulés en 2005 au Niger, et c’est Initiatives Entre nous Faits divers avec son frère qu’il a sculpté le joyau en bronze représentant le Feu Moumouni Djermakoye Adamou, pour immortaliser cette illustre personnalité au Rond point Humour Depuis les sinistres consécutifs aux inondations, on assiste à un retour en force d’une certaine forme rampante de mendicité qui ne dit pas son nom. En effet, au niveau des mosquées, presque à la fin de chaque séance de prière, des personnes généralement étrangères aux quartiers, saisissent l’opportunité de ce moment de recueillement et de ferveur pour faire appel à la solidarité des fidèles. La méthode consiste pour les intéressés à dresser un tableau assez sombre et très pathétique de leurs conditions de vie suite aux inondations : maison effondrée, vivres emportés et toutes richesses perdues, bref une situation de détresse totale. Entre nous, s’il est vrai que la solidarité est une des vertus les plus partagées dans notre société, il n’en est pas moins vrai que les catastrophes ne sauraient servir de fonds de commerce pour les amateurs du gain facile. Etats-Unis : Il est licencié pour avoir volé 10 centimes... il y a 49 ans A 68 ans, Richard Eggers s'est retrouvé au chômage du jour au lendemain pour une fraude anecdotique vieille de 49 ans. Décrits par Slate, les faits qui lui sont reprochés datent de 1963, à l'époque où l'homme n'a alors qu'une vingtaine d'années. Cet Américain, qui doit maintenant regretter jours et nuits cette erreur de jeunesse, a eu le malheur de remplacer une pièce de dix centimes par un morceau de carton, dans une laverie automatique. "C'est une loi à laquelle on doit obéir" Employé de la banque Wells Fargo dans l'Iowa depuis sept ans, l'homme a été licencié au mois de juillet dernier à cause d'une loi fédérale qui explique qu'une banque doit protéger ses clients de salariés malhonnêtes. Une fois les casiers judiciaires de chacun épluchés, la banque s'est rendu compte du petit impair de Richard Eggers. Il Ali Boukari, styliste modéliste en bijouterie 25 ans d’expériences et du talent à revendre M. Ali Boukari Kader Amadou/ONEP portant son nom. Ali reçoit également des commandes de trophées du Nigeria, confectionne des médailles pour le Mena National et la lutte traditionnelle. Outre ces trophées, Ali fabrique des animaux en bronze et en nickel achetés essentiellement par les touristes européens, des tableaux, des bagues en argent, des bracelets et beaucoup d’autres objets d’art d’un attrait certain. Avec un niveau de CM2, il parle le Français, ce qui lui permet de communiquer avec ses clients étrangers. Il suffit à ses clients, qui le trouvent sous le grand hangar du Musée National ou l’appellent au 96048892, d’indiquer le type de bijou et le matériau souhaités, pour concevoir et réaliser les bijoux de leurs rêves. Oumarou Bassakoy Yahaya a été renvoyé sur le champ. "C'est gênant, mais c'est une loi à laquelle on doit obéir. Nous avons la responsabilité d'éviter d'employer ou de continuer à employer quelqu'un dont nous savons qu'il a un casier judiciaire", explique une source proche de la banque, relayée par Slate. Désemparé, le vétéran de 68 ans s'est expliqué à la chaîne ABC5. Il estime notamment que ladite loi ne concerne que les cadres. "Là où je travaille, nous n'avons pas suffisamment d'autorité et nous ne prenons pas de décisions financières qui feraient une vraie différence", se défend- t-il. Une enquête a été ouverte Cependant, l'histoire ne devrait pas en rester là. Chuck Grassley, sénateur de l'Iowa s'est emparé de l'affaire et a ouvert une enquête. "Cette loi a été faite pour poursuivre ceux qui constituent un danger potentiel pour le système financier, pas pour s'attaquer à des employés. (Gentside.com) Espagne : bloqués sur l'autoroute, ils improvisent un concert Bloqué à perte de vue sur une autoroute espagnole, le groupe Kalifornia n'a pas tardé à passer le temps... Quand sur le périphérique parisien, les automobilistes klaxonneraient et hurleraient, en Espagne, les quatre musiciens ont su donner un peu de couleur et de gaieté à une autoroute un peu morne. N'ayant pas froid aux yeux, ils ont installé la sono sur le toit du mini-van qui les transportait. Plein de culot, le groupe de rock a alors entamé, après quelques larsens, la chanson mondialement connu "Highway to Hell" du groupe de hard-rock ACDC. Loin de se démonter, le guitariste perché sur le toit de son véhicule, était accompagné d'un peu plus bas par la chanteuse du groupe. La prestation est champêtre, insolite, et malgré le peu d'acoustique d'une autoroute, plutôt réussie à en juger par la réaction des dizaines d'automobilistes présents ! (Gentside.com) Aïr Transport Les maîtres de l’hospitalité Voyagez en toute assurance dans le confort, la sécurité et l’hospitalité . Avec Aïr Tansport, le transport a toujours été un plaisir et un réconfort. Tél : 20 74 36 50 Page 5 7 septembre 2012 Sahel Dimanche
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