BENEDEK MORONG ANCA JARMILA (MORONG) GUŢĂ Petroşani -2006
la faillite faire faillite les produits de remplacement le service rendu rendre dépendant engendrer la mévente encourir de mauvaises créances le prix de revient franchir les obstacles chevaucher une approche - faliment, eşec, nereuşită - a da faliment - produsele de înlocuire - serviciul prestat - a face dependent - a genera vânzarea în pierdere - a risca, a se expune (la) - creanţe proaste - preţul de cost - a învinge / a birui obstacolele - a călări, a se încăleca - o abordare 64
LE MANAGEMENT PARTICIPATIF Selon les théories globales du management, deux grands types de gestion du travail se seraient succédés au cours de l’histoire: le taylorisme d’une part, caractéristique de la société industrielle et le management “moderne” ou “participatif” qui viendrait à peu s’imposer comme mode privilégié à l’époque “postindustrielle”. L’organisation scientifique et bureacratique du travail a été imaginée par l’ingénieur américain F.W. Taylor (1856-1915). Afin d’accroître l’efficacité du travail, Taylor propose une organisation “rationnelle” de la production fondée sur les principes de séparation radicale entre la conception et l’exécution, le découpage des activités en tâches élémentaires et non qualifiées, le salaire au rendement. L’OS. condamné à une tâche infiniment répétitive (serrer toujours les mêmes boulons…) sera la figure emblématique de l’organisation scientifique du travail. Le taylorisme se répandra surtout dans les secteurs de production de masse: l’automobile, le textile, l’emballage… Le courant des relations humaines et du management moderne. Ce n’est pas une idée vraiment neuve. Dès années trente, aux États-Units, le courant des “relations humaines” a pris corps en s’appuyant sur des enquêtes concernant la condition des salariés dans les ateliers Hawthorne de la Western Electric Company, grande firme de matériel de télécomunications située à Chicago. La prise en compte des motivations du personnel, l’enrichissement des tâches, la mise en ouevre de procédure favorisant l’expression des salariés… participent de ce nouveau de pensée managérial. C’est dans sa continuité qu’il faut situer le management moderne des ressources humaines, dit management participatif. La thèse centrale est que le facteur humain prime sur le facteur technique. Ce sont les structures de groupe, les motivations collectives, l’adhésion à des projets qui sont censées produire le résultat économique. Un exemple de management participatif: Legrand. La société Legrand dont le siège social est situé à Limoges, développe différents concepts du management participatif dès le début des années 80, cherchant sans cesse à les affiner. Sa direction générale veut mobiliser les énergies, les faire converger, optimiser les performances et améliorer l’organisation. Dans une approche pragmatique, ne visant pas à appliquer un modèle existant ailleurs, elle recherche la participation de chacun dans et hors de sa spécialité, entraînant la rencontre de gens qui n’avaient pas ressenti jusqu’alors le besoin de travailler ensemble, pour qu’ils apprennent à exploiter leurs complémentarités et non leurs différences. La direction générale, dans 65
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Selon les théories globales du management, deux grands types de gestion du travail se<br />
seraient succédés au cours de l’histoire: le taylorisme d’une part, caractéristique de la société<br />
industrielle et le management “moderne” ou “participatif” qui viendrait à peu s’imposer comme<br />
mode privilégié à l’époque “postindustrielle”.<br />
L’organisation scientifique et bureacratique du travail a été imaginée par l’ingénieur<br />
américain F.W. Taylor (1856-1915). Afin d’accroître l’efficacité du travail, Taylor propose une<br />
organisation “rationnelle” de la production fondée sur les principes de séparation radicale entre la<br />
conception et l’exécution, le découpage des activités en tâches élémentaires et non qualifiées, le<br />
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boulons…) sera la figure emblématique de l’organisation scientifique du travail. Le taylorisme se<br />
répandra surtout dans les secteurs de production de masse: l’automobile, le textile, l’emballage…<br />
Le courant des relations humaines et du management moderne. Ce n’est pas une idée<br />
vraiment neuve. Dès années trente, aux États-Units, le courant des “relations humaines” a pris corps<br />
en s’appuyant sur des enquêtes concernant la condition des salariés dans les ateliers Hawthorne de la<br />
Western Electric Company, grande firme de matériel de télécomunications située à Chicago. La<br />
prise en compte des motivations du personnel, l’enrichissement des tâches, la mise en ouevre de<br />
procédure favorisant l’expression des salariés… participent de ce nouveau de pensée managérial.<br />
C’est dans sa continuité qu’il faut situer le management moderne des ressources humaines, dit<br />
management participatif. La thèse centrale est que le facteur humain prime sur le facteur technique.<br />
Ce sont les structures de groupe, les motivations collectives, l’adhésion à des projets qui sont<br />
censées produire le résultat économique.<br />
Un exemple de management participatif: Legrand.<br />
La société Legrand dont le siège social est situé à Limoges, développe différents concepts du<br />
management participatif dès le début des années 80, cherchant sans cesse à les affiner. Sa direction<br />
générale veut mobiliser les énergies, les faire converger, optimiser les performances et améliorer<br />
l’organisation. Dans une approche pragmatique, ne visant pas à appliquer un modèle existant<br />
ailleurs, elle recherche la participation de chacun dans et hors de sa spécialité, entraînant la<br />
rencontre de gens qui n’avaient pas ressenti jusqu’alors le besoin de travailler ensemble, pour qu’ils<br />
apprennent à exploiter leurs complémentarités et non leurs différences. La direction générale, dans<br />
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