Améliorer les moyens d'existence des agriculteurs amélioration des ...

Les meilleures
pratiques pour lutter
contre les oiseaux
La lutte biologique
contre les nématodes
cecidogènes
AMÉLIORATION DES CULTURES, DES PRODUITS FORESTIERS ET DE LA LUTTE CONTRE LES RAVAGEURS
En Afrique sub-saharienne, des équipes
de protection des végétaux disposent
maintenant de meilleures pratiques pour
les aider à lutter contre les oiseaux
ravageurs. Le travailleur à bec rouge dévaste
les cultures vivrières de sorgho et de millet,
ainsi que les cultures commerciales de blé et
de riz. Toutefois, les méthodes actuelles de
lutte contre les oiseaux—les pulvériser de
produits chimiques ou faire exploser leurs
aires de repos avec un mélange de carburant
diesel et d'essence—sont nocives pour
l'environnement.
Les départements de protection des végétaux
des Ministères de l'agriculture du Botswana,
du Mozambique, de la Namibie, de l'Afrique
du Sud, du Swaziland et du Zimbabwe
utilisent maintenant ces meilleures pratiques.
Ils évaluent les effets de leurs mesures de
lutte contre les oiseaux et les adaptent pour
en limiter les effets nocifs sur l'environnement,
ce qui signifie une réduction des doses de
produits chimiques et des charges d'explosifs.
Apprenez-en plus en tapant CPP74 dans
la case de recherche de la page de recherche
du CD inclus dans ce livre.
Titre du projet: Environmental impact assessments of
Quelea bird control
En Afrique orientale, les effets
conjugués des moyens de lutte
biologique, des pratiques culturales et
de nouvelles variétés résistantes aux
ravageurs permettent de réduire les
dommages causés par ces nématodes
aux précieuses cultures de tomates
d'exportation. Les nématodes cecidogènes
représentent un problème chronique pour les
producteurs de légumes. Les cultures ne
prospèrent pas sur les terres gravement
touchées, qui sont par conséquent
souvent abandonnées.
Les marchés d'exportation pour les légumes
d'Afrique orientale sont en plein essor, mais
les producteurs doivent veiller à ce que leurs
produits répondent aux normes de sécurité
fixées par les pays importateurs. Cela signifie
qu'ils ne peuvent pas utiliser de pesticides
nocifs. De nombreux petits exploitants
agricoles de l'ouest du Kenya, de la Tanzanie
et de l'Ouganda ont maintenant adopté des
pratiques de production sûres basées sur
des produits biologiques de lutte et des
variétés résistantes.
Une petite compagnie kényane produit déjà
40 kilos de fongicide biologique par semaine
et le Kenya a modifié son système
d'homologation de manière à inclure les
biopesticides. Les perspectives de la lutte
biologique sont donc considérables.
Apprenez-en plus en tapant CPP50 dans
la case de recherche de la page de recherche
du CD inclus dans ce livre.
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Titre du projet: Biocontrol of root-knot nematodes