mise en place de la base de données géographiques sur les ...

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20.11.2014 Views

Présentation de Serveur, principe de fonctionnement 6 1 Les applications sont installées et s’exécutent sur les serveurs MetaFrame... 3 …L’interface utilisateur est déportée vers le client. 2 ICA capture les ordres Graphique (GDI) de l’application Uniquement les différentiels écrans, clics souris et frappes clavier traversent le réseau 5.3.5. Centralisation et partage L’outil doit être accessible par les utilisateurs, plus particulièrement aux responsables de suivis pour la saisie et la mise à jour. Il est aussi préférable de ne disposer que d’une base de données qui centralise les données, pour être sûr que tout le monde utilise les mêmes données, et que ces données soient bien représentées à jour. Ce dernier est assuré par la constitution de la base sous SGBD Oracle. Les ressources informatiques sont favorables pour la centralisation et ensuite pour le partage de données. Il s’agit principalement de créer-les ‘rôles’ dans Oracle de façon à définir les profils des groupes d’utilisateurs habilités à consulter ou à mettre à jour les données. L’intervention d’un administrateur Oracle de la Ville de Grenoble est également prévue pour aider à sécuriser la base de données. 5.4. Des scénarios techniques On dispose des outils déjà exploités dans le SIG de la Ville de Grenoble, à savoir SIG GeoMedia, SGBDR ORACLE, SGBD Microsoft Access. Leur combinaison peut être différente et en même temps, chacune porte certains avantages, ainsi que des inconvénients. On ne doit gérer que des éléments spatiaux simples (objets ponctuels). Il n’a pas d’objet plus complexe (comme par ex : polyligne, polygone…). Ainsi nous ne devons pas gérer de règles 6 Présenation évolution Citrix, 2005, DSIT, Ville de Grenoble 28

topologiques (connexion, superposition, intersection…etc.) entre nos points. Les mises à jour génèrent les entités discrètes dans le temps et dans l’espace. On ne modélise pas de phénomène continu. Cependant on souhaite conserver l’information de dislocation des commerces dans un timing déterminé. Donc notre modèle semble être relativement simple. Plusieurs scénarios étaient envisagés : 5.4.1. Scénario n°1 On s’appuie sur le SGBDR Oracle pour stocker les données. On se focalise sur l’application de deux composants – Oracle et SIG GeoMedia et l’on intègre les composants supplémentaires d’Integraph – Dialog Builder et PickList Manager. L’objectif est la création de l’interface de saisie via GéoMedia Professional. Les données sont stockées dans la base Oracle. Schéma de scénario n°1 Oracle Schéma GDOSYS Geomedia PickList Manager Dialog Builder Avantages • Un circuit de deux composants • La maintenance de l’application plus cohérente • Pas de nécessité des compétences spécifiques en développement Inconvénients • Le circuit limité de la saisie et de la mise à jour des données via les formulaires GeoMedia • Les fonctionnalités limitées des formulaires • La nécessité de la mise en oeuvre de GeoMedia Professional à la place de la version simple de GeoMedia • Pas de possibilité d’archiver les modifications réalisées 5.4.2. Scénario n°2 On se focalise sur la base Oracle. On intègre à cette base l'ensemble des données pour le SIG sur la thématique « commerce ». On élabore des formulaires de saisie sous Access pour sécuriser la manipulation de données. 29

Prés<strong>en</strong>tation <strong>de</strong> Serveur, principe <strong>de</strong> fonctionnem<strong>en</strong>t 6<br />

1<br />

Les applications sont<br />

installées et s’exécut<strong>en</strong>t <strong>sur</strong><br />

<strong>les</strong> serveurs MetaFrame...<br />

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…L’interface<br />

utilisateur est déportée<br />

vers le cli<strong>en</strong>t.<br />

2<br />

ICA capture <strong>les</strong> ordres<br />

Graphique (GDI) <strong>de</strong><br />

l’application<br />

Uniquem<strong>en</strong>t <strong>les</strong> différ<strong>en</strong>tiels<br />

écrans, clics souris et<br />

frappes c<strong>la</strong>vier travers<strong>en</strong>t le<br />

réseau<br />

5.3.5. C<strong>en</strong>tralisation et partage<br />

L’outil doit être accessible par <strong>les</strong> utilisateurs, plus particulièrem<strong>en</strong>t aux responsab<strong>les</strong> <strong>de</strong> suivis pour <strong>la</strong><br />

saisie et <strong>la</strong> <strong>mise</strong> à jour. Il est aussi préférable <strong>de</strong> ne disposer que d’une <strong>base</strong> <strong>de</strong> données qui c<strong>en</strong>tralise<br />

<strong>les</strong> données, pour être sûr que tout le mon<strong>de</strong> utilise <strong>les</strong> mêmes données, et que ces données soi<strong>en</strong>t bi<strong>en</strong><br />

représ<strong>en</strong>tées à jour. Ce <strong>de</strong>rnier est as<strong>sur</strong>é par <strong>la</strong> constitution <strong>de</strong> <strong>la</strong> <strong>base</strong> sous SGBD Oracle.<br />

Les ressources informatiques sont favorab<strong>les</strong> pour <strong>la</strong> c<strong>en</strong>tralisation et <strong>en</strong>suite pour le partage <strong>de</strong><br />

données.<br />

Il s’agit principalem<strong>en</strong>t <strong>de</strong> créer-<strong>les</strong> ‘rô<strong>les</strong>’ dans Oracle <strong>de</strong> façon à définir <strong>les</strong> profils <strong>de</strong>s groupes<br />

d’utilisateurs habilités à consulter ou à mettre à jour <strong>les</strong> données.<br />

L’interv<strong>en</strong>tion d’un administrateur Oracle <strong>de</strong> <strong>la</strong> Ville <strong>de</strong> Gr<strong>en</strong>oble est égalem<strong>en</strong>t prévue pour ai<strong>de</strong>r à<br />

sécuriser <strong>la</strong> <strong>base</strong> <strong>de</strong> données.<br />

5.4. Des scénarios techniques<br />

On dispose <strong>de</strong>s outils déjà exploités dans le SIG <strong>de</strong> <strong>la</strong> Ville <strong>de</strong> Gr<strong>en</strong>oble, à savoir SIG GeoMedia,<br />

SGBDR ORACLE, SGBD Microsoft Access. Leur combinaison peut être différ<strong>en</strong>te et <strong>en</strong> même<br />

temps, chacune porte certains avantages, ainsi que <strong>de</strong>s inconvéni<strong>en</strong>ts.<br />

On ne doit gérer que <strong>de</strong>s élém<strong>en</strong>ts spatiaux simp<strong>les</strong> (objets ponctuels). Il n’a pas d’objet plus<br />

complexe (comme par ex : polyligne, polygone…). Ainsi nous ne <strong>de</strong>vons pas gérer <strong>de</strong> règ<strong>les</strong><br />

6 Prés<strong>en</strong>ation évolution Citrix, 2005, DSIT, Ville <strong>de</strong> Gr<strong>en</strong>oble<br />

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