Innovations agricoles au service du développement durable
Innovations agricoles au service du développement durable Innovations agricoles au service du développement durable
Fishpool, L.D. et Burban, C. 1994. ‘Bemisia tabaci, the whitefly vector of African cassava mosaic geminivirus’. Tropical Science 34: 55–72. Geddes, A.M.W. 1990. The Relative Importance of Crop Pests in Sub-Saharan Africa. Natural Resource Institutes Bulletin No. 36. NRI, Chatham, Royaume-Uni. Gibson, R.W., Kaitisha, G.C., Randrianaivoarivony, J.M. et Vetten, H.J. 1998. ‘Identification of the east African strain of sweet potato chlorotic stunt virus as a major component of sweet potato virus disease in Southern Africa’. Plant Disease 82 (9): 1063. Hahn, S.K., Terry, E.R. et Leuschner, K. 1981. ‘Resistance of sweet potato to virus complex (SPVD)’. Horticulture 16: 535–537. Jaetzold, R. et Schmidt, H. 1983. Farm Management of Kenya, Vol. 11C: National Conditions and Farm Management Information. East Kenya (Eastern and Coast 96 Provinces). Farm Management Branch, Ministère de l’agriculture, Nairobi, Kenya. Kapinga, R.E., Ewell, P.T., Jeremiah, S.C. et Kileo, R. 2005. Sweet Potato in Tanzania Farming & Food Systems: Implications for Research. CIP, Sub- Saharan Africa Region, Nairobi, Kenya, et Ministère de l’agriculture, Dar-es-Salaam, Tanzanie. Legg, J.P. 1994. ‘Bemisia tabaci: an ecological perspective’. African Crop Science Journal 2: 437–448. Legg, J.P. et Ogwal, S. 1998. ‘Changes in the incidence of African cassava mosaic virus disease and the abundance of its whitefly vector along south– north transects of Uganda’. Journal of Applied Entomology 122: 169–178. Michieka, D.O., Van der Pouw, B.J.A. et Vleeshouwer, J.J. 1978. Soils of the Kwale–Mombasa–Lunga-lunga Area. Reconnaissance Soil Survey Report No. R3. Kenya Soil Survey, Nairobi, Kenya. MoA. 2005. Rapport annuel. Ministère de l’agriculture, Nairobi, Kenya. Mukasa, S.B., Rubaihayo, P.R. et Valkonen, J.P.T. 2003. ‘Sequence variability within the 3′-proximal part of the sweet potato mild mottle virus genome’. Archives of Virology 148: 481–496. Njeru, R.W., Mburu, M.W.K., Cheramagoi, E., Gibson, R.W., Kiburi, Z.M., Obudho, E. et Yobera, D. 2004. ‘Studies on the physiological effects of viruses on sweet potato yield in Kenya’. Annals of Applied Biology 145: 71–76. Otim, M., Legg, J.P. et Kyamanywa, S. 2001. ‘Occurrence and activity of Bemisia tabaci in Uganda’. African Crop Science Conference Proceedings 5: 187– 192. Innovations agricoles au service du développement 118
Impacts des projets proposés pour le développement de la monoculture à grande échelle sur les zones humides et les collectivités tributaires de ces zones à Tana, province de la côte du Delta, au Kenya Joan Aum Otengo 1 Introduction Le delta de Tana est une zone qui offre une vue panoramique spectaculaire, composée d’une zone arbustive regorgeant de gibiers et d’oiseaux. La route est le meilleur moyen d’accéder au delta de Tana (3 heures de route) à partir de Malindi. Long d’environ 1014 km, le fleuve Tana est l’un des plus grands fleuves du Kenya. Il prend sa source sur les pentes du Mont Kenya et le parcours naturel d’Aberdare. Ses flux en cascade convergent et forment un large et puissant torrent à l’est des montagnes, avant de changer de forme et de se transformer en un fleuve sinueux et au débit lent sur la partie inférieure de son cours qui se déverse dans l’Océan Indien. Le fleuve regorge d’hippopotames et de crocodiles. L’aval du fleuve Tana délimite une vaste zone sauvage du Kenya où la bande de terre riveraine contraste nettement avec les étendues desséchées s’étalant sur des kilomètres de l’autre côté. Le fleuve Tana est la seule source d’approvisionnement en eau pour une vaste zone de brousse sèche, de sol rocailleux et enregistrant une faible pluviométrie. Ce n’est que lorsque le fleuve dépasse Hola et approche le littoral que le paysage environnant devient plus verdoyant et moins désolé. La zone du delta est une zone de savane herbeuse à faible altitude et plane, abritant des bouquets de palmiers nains (Hyhaene thebaica) et des marais, recouverte de part en part par des étiers. De petits étiers étroits aux couleurs café-crème serpentent la forêt vierge épaisse qui donne sur le petit village où de jeunes bouviers viennent avec leurs troupeaux pour se désaltérer et où les femmes lavent le linge dans la rivière, malgré les menaces constantes des crocodiles. Des hippopotames se vautrent dans des bassins d’eau peu profonds ; des antilopes, des topis, des buffles, des tragélaphes rayés et des éléphants errent dans les clairières herbeuses. Le delta du Tana est le plus célèbre des deltas pour sa faune d’oiseaux prolifique, composée de bandes d’aigrettes, de pélicans, d’ibis et de cigognes. Enfin, le fleuve déverse ses eaux couleurs chocolat riches en soie dans l’Océan Indien, à la baie d’Ungwana, une vaste étendue de plage désertique s’étendant à perte de vue des deux côtés du delta. Les terres humides du delta de Tana sont situées dans le nouveau district du delta de Tana qui était séparé du grand district du fleuve Tana. Le district du delta de Tana intègre les divisions de Garsen et de Kipini, toutes deux dans la circonscription de Garsen. La région de Tana est l’une des six zones deltaïques de l’Afrique de l’Est et la plus grande zone deltaïque du Kenya. Selon les estimations, elle a une superficie d’environ 130 000 ha, dont 69 000 ha sont régulièrement inondés. On peut soutenir que le delta du Tana est l’un des environnements naturels les plus vierges du Kenya. Il est situé dans la zone semi-aride de Garsen, dans le district du delta de Tana, dans la province de la Côte. Une caractéristique frappante du delta est la prodigieuse variété d’habitants des terres humides et la richesse de sa biodiversité. La zone est recouverte d’une vaste galerie de forêt, de zones inondées et de marais. Les marais d’eau douce alimentent des prairies verdoyantes bordées de bouquets de palmiers nains. Les lacs en croissant et les bassins permanents sont également abondants dans cet écosystème de terres humides. Le delta regorge de plantes et d’espèces animales non comptabilisées, dont certaines sont menacées d’extinction. 1. Secrétariat du Forum kényan sur les terres humides, s/c East African Wild Life Society, PO Box 20110-00200, Nairobi, Kenya. Les jeunes professionnels dans les concours scientifiques 119
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Fishpool, L.D. et Burban, C. 1994. ‘Bemisia tabaci, the whitefly vector of African cassava mosaic geminivirus’. Tropical Science 34: 55–72.<br />
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Roy<strong>au</strong>me-Uni.<br />
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Otim, M., Legg, J.P. et Kyamanywa, S. 2001. ‘Occurrence and activity of Bemisia tabaci in Uganda’. African Crop Science Conference Proceedings 5: 187–<br />
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<strong>Innovations</strong> <strong>agricoles</strong> <strong>au</strong> <strong>service</strong> <strong>du</strong> développement<br />
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