Colonel NATALE INZAGHI Responsable des Sapeurs Pompiers de ...

Colonel NATALE INZAGHI
Responsable des Sapeurs Pompiers de la Région Piémont Ligurie
LA GESTION DES TELECOMMUNICATIONS EN SITUATIONS DE CRISE avec
attention particulière à la situation de la Région Ligurie.
PRELIMINAIRES
En n’importe quelle mission de secours l’efficacité et la confiance des systèmes de
communication sont très importants pour le succès de l’action, surtout pendants les
événements calamiteux qui configurent situations de crise pour grande extension
territoriale de la calamité ou pour gravité des événements.
Devant les exigences augmentées, les ressources de communication sur réseau public ne
peuvent pas être augmentées, mais peuvent résulter jusqu’inutilisables à cause de la
grande quantité soit de communications « privées » qui se créent en même temps dans
ces situations, soit pour les probables dommages subis des réseaux et des systèmes.
Ces réseaux sont projetés sur des bases statistiques, pour un trafic moyen qui représente
seulement un petit pourcentage des usagers du service, selon un compromis entre
l’emploi moyen du réseau et les coûts d’installation et de gestion. Cette sous dimension,
qui ne permets pas l’arrivée à bon port de tous les appels produits, a comme
conséquence des ultérieures tentatives de rappelé avec la conséquence que le réseau
arrive rapidement au collapsus.
Il faut calculer à l’avance que les émergences peuvent intéresser des zones absolument
manquantes ou, de toute façon pas servies en manière appropriée, par un réseau
publique, soit fixe que cellulaire.
Il est même nécessaire de rappeler que toutes les lignes des différents services, phonie et
données, lignes changées et circuits directs, des différents opérateurs, dirigés par des
Directions fixes comme celles des Sapeurs Pompiers, sont envoyées sur un seul câble
routier, sujet à interruptions pour événements particuliers, comme tremblements de terre,
alluvions mais même aussi pour banaux travaux routiers qui pourraient causer
l’interruption du câble, en provoquant le bloc complet de toutes les communications de la
Direction. Le récent tremblement de terre de Kyoto en Japon, avec les graves dommages
aux réseaux publiques qui l’ont caractérisé, a ultérieurement confirmé la tangibilité des

hypothèses formulées. Cet état d’extrême vulnérabilité, (last mile problem), représente un
des facteurs qu’il faut considérer dans la disposition du système de télécommunications
en situations de crise.
LA STRATEGIE ADOPTEE DANS LE CHAMP DES COMMUNICATIONS
L’idée fondamentale adoptée les Sapeurs Pompiers est :
DIFFERENCIER :
Il n’est pas possible de confier complètement et exclusivement dans une
seule ressource, soit publique soit en propriété qui dans le moment du
besoin pourrait résulter insuffisante ou indisponible. L’objectif consiste à
différencier, en utilisant au mieux TOUTES les ressources disponibles, en
profitant de leurs particularités et en cherchant de compenser leurs
inévitables carences.
Les Sapeurs Pompiers ont toujours utilisé les indispensables réseaux publiques, à coté
des systèmes en propriété de télécommunication par radio en agissant selon deux
directions : emploi des ressources publiques avec accès soit pour la phonie soit pour les
données, et constitution, effectuée au début des communications par radio, d’un système
approprié à garantir la couverture de tout le territoire national (1950).
L’organisation du secours technique et anti-incendie a été en effet la première en Italie, et
entre les premières au niveau international, qui a pourvu à se doter de répétiteurs de
rediffusion locale et à les mettre en communication entre eux, avec des systèmes
d’interconnexion pour permettre les communications autonomes à longue distance même
en case d’interruption des canaux publiques de liaison ou leur indisponibilité pour
surcharge.
Le système avait été projeté et réalisé avec des réseaux radio de rediffusion à couverture
locale (ville, établissements d’intérêt particulier, tunnels, métropolitains, etc.), à couverture
provinciale, à couverture régionale, et avec un réseau infrastructural d’interconnexion,
approprié à joindre n’importe quel réseau de rediffusion entre eux, en garantissant de
cette façon la possibilité de communiquer, en plus des directions des Sapeurs Pompiers,
même de n’import quel poste de radio, véhiculaire ou portatif, avec n’importe quel
terminal, fixe ou mobile, ou avec les centres de coordination des Directions Provinciales
(niveau provincial) Directions Régionales (niveau régional), Direction Générale (niveau
national).

La caractéristique de ce réseau est d’utiliser exclusivement des liaisons par radio, avec
l’exclusion de n’importe quelle traite en câble, en résultant ce système complètement
indépendant des ressources extérieures et en réalisant, par conséquent, une vraie et
effective redondance en comparaison des réseaux publiques.
LA SITUATION ACTUELLE
Le système de télécommunication des Sapeurs Pompiers est subdivisé en deux courants
logiques de la téléphonie et de la radiocommunication.
Pour ce qui concerne la téléphonie, les Sapeurs Pompiers utilisent :
Réseau publique commutatif :
Pour la liaison entre toutes les sièges de service et avec les autres organisations et
bureaux, soit pour la gestion des communications normales soit pour l’urgence.
Lignes directes à haute confiance:
Il s’agit de lignes téléphoniques point à point, avec directions multiples et précautions
particulières pour garantir la confiance, qui relient toutes les Directions Régionales et
les Directions Provinciales particulièrement significatives (postes d’installations
nucléaires, installations militaires, établissements industriels, zones à risque, etc.)
entre elles et avec le Centre Opérationnel National de la Direction Générale (Rome).
Téléphones cellulaires :
Pour la liaison des Directeurs (Directeurs Régionaux, Directeurs Provinciaux) et des
Officiers coordonnateurs et pour la recherche du personnel expert en cas d’urgences
particulières.
Téléphones satellitaires IMMARSAT :
Chaque Direction Régionale dispose de deux stations transportables à utiliser soit
comme stations fixes soit comme stations mobiles, optimales pour fournir liaisons par
voix, par fax, par télex et données sur n’import quel point du territoire.
Analogues stations sont installées d’une façon permanente près du Centre
Opérationnel de Protection Civile du Ministère de l’Intérieur. Le Personnel formé, en
service 24 heures sur 24, peut installer les appareils en quelques dizaines de minutes
sur tout le territoire de compétence et relier par conséquent un poste de
commandement ou une salle opérationnelle avec tous les centres de décision des
Sapeurs Pompiers. Vu les réduites dimensions, ces systèmes peuvent facilement
être transportés avec des hélicoptères dont les Sapeurs Pompiers disposent sur tout le
territoire (12 Groupes) en arrivant, par conséquent, dans les zones qui ne sont pas
servies d’un réseau routier.

Nouveau réseau téléphonique VF (en expérimentation dans la Région Liguria)
On est en train d’expérimenter, dans la Région Liguria, un système de téléphonie qui
emploie des liaisons radio digitales. Ce système permet de jouir des aspects positifs
du système téléphonique (contemporanéité de beaucoup de communications,
discrétion des renseignements, facilité d’emploi) sans subir les inconvénients du
réseau publique (saturation – indisponibilité), en dépassant le problème insidieux de la
criticité du câble routier. La première phase du projet prévoit la liaison de la Direction
Régionale avec les Directions Provinciales, et ensuite l’extension à tous les postes de
secours du territoire. La caractéristique fondamentale est celle d’utiliser exclusivement
les liaisons par radio. En plus de cela, pour la complète disponibilité que seulement la
gestion à son compte peut permettre, on a prévu des embranchements avec chaînes
des ponts radio mobiles, pour relier les zones intéressées par la calamité avec les
centres de coordination en réalisant de cette façon, très rapidement, des liaisons qui
unissent les avantages du système téléphonique à ceux des réseaux radio privés.
Réseau à niveau local
Il s’agit de liaisons radio uniques ou de petits réseaux isofréquenciaux synchronisés,
au service de zones limitées du territoire, d’intérêt particulier pour le service de
secours. En particulier ils sont au service des gros établissements urbains, de zones
d’intérêt particulier industriel, etc.
Selon le niveau de priorité dans le système de communication, ils peuvent être
habilités à la liaison en interconnexion nationale.
Les réseaux isofréquenciaux synchronisés sont utilisés comme applications
particulières au service de lignes métropolitaines et de tunnels autoroutiers.
Réseau provincial
Il est la structure fondamentale du système de télécommunication des Sapeurs
Pompiers. Il est constitué par un réseau syncronisé isofréquencial pour diffuser en
même temps sur tout le territoire provincial et sur une partie appropriée du territoire
limitrophe pour garantir la coordination nécessaire dans les zones de limite
interrégional.
Le réseau est doué d’appareils de dorsal qui lui permettent la liaison en
interconnexion nationale.
Réseau radio régional.

Il constitue la première maille du système de coordination, puisque elle est constituée
par un seul réseau isofréquencial pour servir le territoire tout entier d’une région, en
garantissant de cette façon les communications et la coordination au niveau de la
Direction Régionale.
La caractéristique de garantir la couverture sur toute la région permet de faciles
monitorages et gestions des moyens en mouvement dans les limites du territoire, en
évitant la nécessité de changement de canal et la conséquente incertitude en cas
d’appel. Cette caractéristique est très appréciée en cas de mouvement de convois
mobiles, même provenant d’autres régions, pour la facilité de gestion de la
coordination.
Même ce réseau est doué d’appareils de dorsal qui lui permettent la liaison en
interconnexion nationale.
Système national d’interconnexion des réseaux radio
Il est constitué par des centres principaux d’embranchement, appelés nœuds
d’interconnexion, desquels les liaisons radio se départent vers toutes les régions
italiennes. Il constitue par conséquent un dorsal pour joindre les ponts radio de
diffusion au fin de garantir des communications au niveau national.
Liaisons radio mobiles sur véhicules
Il s’agit d’installations composées de ponts répétiteurs, réalisés avec des appareils
satellitaires, des réseaux synchronisés régionaux et provinciaux, montés sur fourgons
automobiles tout-terrain pour atteindre rapidement les positions dominantes choisies,
desquelles effectuer le service pour les zones intéressées.
Les fourgons sont doués d’un poteau télescopique et d’un groupe électrogène ; ils
sont donc absolument autonomes et permettent l’entrée en fonction du service en
quelques minutes à partir du moment de la réalisation du site d’installation.
Ces moyens sont diffusés uniformément sur tout le territoire national, et sont par
conséquence prêts à fournir le service en quelques heures.
Liaisons radio mobiles hélitransportés
Au fin de résoudre même les problèmes de réalisation des ponts radio dans des sites
impossibles à atteindre par voie terrestre, on a crée des systèmes complètes
hélitransportables. Ils sont constitués par un container, robuste mais léger, contenants
les appareils, les batteries, le poteau, les panneaux solaires et tous les accessoires
pour la réalisation d’une liaison radio complète en n’importe quelle position, avec une
alimentation à panneaux solaires. Un seul hélicoptère peut transporter le système et

trois opérateurs, qui peuvent installer et rendre opérationnel la liaison radio en moins
de deux heures.
La structure a été projetée avec des dimensions et des poids qui la rendent
transportable même avec les chats de la neige et des véhicules chenillés. Elle est
d’une forme petite (classe 100 HP) en dotation au Service de Télécommunications des
Sapeurs Pompiers. Cela permet de faire face aux situations d’indisponibilité de
l’hélicoptère ou des conditions météo particulièrement défavorables.

Pour ce qui concerne les postes de réception et transmission, les Sapeurs Pompiers
disposent de :
Postes de radio fixes dans les centrales opérationnelles à niveau pronvincial,
régional et interrégional.
Ce sont des complexes radio, operants sur plusieurs canaux de communication,
douès de systèmes de télésurveillance et télécontrole, qui activent les
interconnexions des réseaux controlés pour permettre les communications au
déhors de l’aire de compétence.
Postes de radio fixes pour centres de secours des Sapeurs Pompiers
Ce sont des stations fixes qui agissent sur plusieurs canaux (au moins deux, pour
les postes moins importants), grace auxquels la liaison est assurée avec les
équipes en action et avec les autres centres de coordination.
Postes de radio transportables.
Ce sont des appareils analogues à ceux des stations fixes, réalisés dans des
récipients qui fermés contenants meme l’antenne complète de cable et de support
à pince, la batterie et l’alimentateur, le microphone, l’hauteparleur et tous les
accessoires pour une installation d’urgence, réalisable en quelques minutes de
n’importe quel opérateur qui n’est pas spécialisé.
Appareils véhiculaires (meme nautiques et aéronautiques)
Chaque véhicule des Sapeurs Pompiers, meme spécial, est doué d’un appareil
radio. Pour un choix réalisée au début du service radio, les installations sont
préparés au fin de garantir l’absolu l’interchange des appareils sur tous les moyens
en dotations dans la nation. Cela permet, en situation de crise, de faire face à
dommages éventuels d’appareils installés sur des moyens d’importance particulière
(postes opérationnelles mobiles, voitures des officiers coordonnateurs,
hélicoptères, etc.) en changeant simplement l’appareil d’un autre moyen, en ce
moment là moins indispensable, sans l’usage d’équipements particuliers ou
d’intervention de spécialistes.
Postes radio portatifs
En situations de crise il est très important avoir la possibilité de gérer d’une facon
optimale les forces sur le territoire. Dans ce but les Sapeurs Pompiers ont soutenu
des efforts, soit d’organisation soit économiques, pour acquérir un numéro
consistant de postes radio portatifs, et actuellement la dotation dépasse la
moyenne d’un poste radio portatif tous les deux opératuers.

LA STRUCTURE DE GESTION.
A propos des systèmes de télécommunications en situations de crise,on ne peut pas
oublier de parler du personnel préposé à ce service : déjà à partir du début du service
radio, les Sapeurs Pompiers avaient decidé le choix de se douer d’un propre Service
de Télécommunications, avec du personnel et des moyens pour effectuer toutes les
activités d’étude, de projet et d’entretien des réseaux de télécommunication.
Le service de télécommunications est organisé en Centre Nationale TLC avec des
taches d’étude, planification et grande intervention ; Centres Régionaux TLC, avec des
taches de gestion complète à niveau régional, et Groupes Provinciaux de TLC, avec
des taches d’intervention de premier niveau.
Cette organisation articulée permet de disposer continuellement de personnel
technique qualifié, et peut faire face à n’importe quelle situation de crise
autonomement, immédiatement et éfficacement.
LA SITUATION DANS LA REGION LIGURIA
LES LIAISONS RADIO A LA FIN DES ANNEES 1950
A partir de la fin des années 1950 la politique opérationnelle des Sapeurs Pompiers
avait été celle de permettre à tous les Officiers Coordonnateurs de se mettre en
communication, non seulement d’un poste de radio fixe, mais aussi de n’importe quel
véhicule des Sapeurs Pompiers, avec sa Direction, avec les régions voisines et avec la
Salle Opérationnelle de la Direction Générale de Rome. Au debut cette possibilité était
plus théorique que effective, puisqu’ il n’existait plus q’un répéteur de rediffusion
habilité à l’interconnexion pour chaque région .
Ce résultat était obtenu en employant 16 canaux à 74 MHz pour effectuer les liaisons
d’interconnexion subdivisées comme ca : 8 dans l’Italie du nord et 8 dans l’ Italie du
sud et dans les iles.
Les répéteurs étaient constitués par des appareils soupape, fonctionnants sur des
canaux indépendents, et opérants sur la bande 73-74 MHz. Les appareils véhiculaires
étaient réalisés en partie à transistor, avec les stades finaux R.F. à soupapes.

Les premiers répéteurs réalisés en Liguria furent : Monte Bignone à Imperia (habilité à
l’interconnexion nationale), Forte Settepani à Savona, Santuario della Guardia et
Portofino à Genova (diap. Nr. 1)
LA CONFIGURATION COMPLETE DU SYSTEME RADIO REGIONAL
Dans les années suivantes l’installation de nouveaux répéteurs fut nécessaire.
Il fut nécessaire changer la canalisation existante alors, meme aujourd’hui utilisée, de
25 KHz, pour obtenir 20 canaux utilisables pour les répéteurs. Actuellement il est en
cours le passage à la canalisation à 12,5 KHz et l’extension de la bande utilisée pour
permettre l’employ de 50 canaux pour les répéteurs et ainsi pour les communications
directes.
La limite phisique du numéro des répéteurs etait conditionnée non seulement des
considérations économiques mais de la possibilité de répéter les canaux. L’altitude des
répéteurs, nécessairement elevée à cause de l’orographie du territoire, entrainait,
devant des surfaces pas particulièrement etendues, des aires d’interférence très
étendues (envers Sardegna, Corsica, Piemonte, Lombardia, Emilia, Toscana, ecc).
Il etait donc indispensable l’introduction des réseaux isofréquenciaux sincronisés,
rendus disponibles grace à l’évolution de la technologie et pour lesquels on a à
disposition, depuis les premières années 80, la bande de fréquence 434-444 MHz.
Le premier réseau sincronisé, encore en fonction, fut installé à niveau régional, , avec
des taches de coordination interprovincial, liaison sur les grandes routes et backup des
ponts provinciaux.
Ces premières installations misent en évidence toute de suite des problèmes pour la
Région Liguria liés à sa conformation géographique. La forme concave de la coste
comporte une réduite aire de service primaire, délimitée des obstacles sur le terrain ; il
y a donc une non désirée aire de service secondaire, causée de la propagation sur la
mer, sans obstacles et avec l’effet de la surface de la mer.
Cet effet secondaire non désiré est exalté par l’impossibilité d’employer, aux
fréquences de 73 MHz, des systèmes d’antennes efficacement directrices, pour motifs
de dimension et de poids qui empechent leur emploi sur emplacements d’haute
montagne exposées à l’action combinée du vent, de la glace et de la neige.

Ce problème a rendu nécessaire des longues recherches, effectuées avec le concours
déterminant de l’industrie nationale, qui ont porté au développement de nouvelles et
révolutionnaires techonologies de réseau isofréquencial syncronisé.
La génération actuelle de reseaux syncronisés ECOS a résolu radicalement les
problèmes dans les air servies en meme temps de plusieurs répéteurs
isofréquenciaux, puisque les phénomènes de battiment ont été éliminés avec la
syncronisation complète de touts les portants R.F. et la parfaite égalisation de basse
fréquence.
Actuellement on a monté trois nouveaux réseaux ECOS en Liguria, avec des résultats
très bons.
Les nouveaux réseaux de type ECOS ont démontré une efficacité, en termes de
couverture, absolument inattendue. Soit en transmission qu’ en réception l’aire
couverte, non seulement elle est majeure de la somme des aires des ponts
indépendants, comme prévu, mais elle est meme beaucoup plus vaste de celle des
réseaux sycrones des générations précédentes, grace à l’élimination des
dérangements dans les aires de superposition.
L’INTERCONNEXION A NIVEAU NATIONAL
Pour ce qui concerne l’interconnexion, on a effectué pendant les années, plusieurs
accroissements et améliorations sur le système, grace aussi à la disponibilité des
fréquences à 434-444MHz.
Actuellement l’Italie du nord est couverte par trois différents réseaux d’interconnexion,
(oriental, central et occidental), dirigés par trois noeuds, interconnexes à leur tour à un
super noeud, avec plus de 150 répéteurs liés.
Seulement en Liguria il y a 6 possibilités d’interconnexion avec toutes les régions de
l’Italie du nord et du centre.
Une des caratéristiques du système, outre que celle d’etre absolument indépendente
de n’import quel réseau publique, c’est de permettre plusieurs insertions, en
permettant de cette facon une liaison en « conférence » meme de plusieurs régions.
Cette possibilité est extremement utile en cas de diffusion de messages circulaires à
plusieurs territoires en meme temps.

La limite phisique au nouveau accroissement du système actuel est représentée des
fréquences à 4090 MHz puisque chaque réseau syncronisé en utilise n + 1 (n + 2 dans
les vieux réseaux). ou « n. » est le numéro des satellites. Des autres fréquences UHF
sont utilisées pour les interconnexions.
Malgré la possibilité d’utiliser dans cette bande de fréquence des antennes très
directives, et des tones sub-audio pour une diversification ultérieure, on a désormais
atteindu la limite dans la possibilité de re-emploi.
Dans les journées de propagation particulièrement efficaces, comme il arrive pendant
l’été, les interférences peuvent se multiplier et rendre difficile l’employ du système.
Pour satisfier la demande croissante de liaisons radio, de type circulaire, point-point,
phonie et données, l’Administration est en train d’adopter des points radio multicanaux
pour le système intégré de communication, comme on a expérimenté à Roma pendant
le Giubileo.
Pour diminuer toujours les besoins de fréquences et permettre par conséquence
l’installation des nouveaux systèmes de rediffusion syncronisès, on est en train
d’expérimenter une nouvelle technologie, qui prévoit l’employ d’une seule fréquence
meme pour la liaison entre les satellites et le master, en permettant de cette facon un
épaissement des réseaux qui était impensable jusq’à hier.
Un ultérieur accroissement des possibilités résultera de l’employ d’une nouvelle
technologie, récemment développée de l’industrie nationale, constituée par des
réseaux radio isofréquenciaux syncronisés qui utilisent des canaux du réseau
téléphonique en expérimentation en Liguria pour la liaison entre les ponts.
Cette techonologie, appelée Auto Adaptativité permet d’utiliser n’import quel moyen de
transmission et aussi ceux dont les caratéristiques changent dans le temps, en
garantissant constamment l’uniformité parfaite, et par conséquent, en dernière analyse,
en permettant d’adapter le système aux exigences temporanées en temps très rapides.
6) LES CHOIX FONDAMENTAUX
Il est évident que la structure base du système de télécommunications des Sapeurs
Pompiers est celle du réseau syncronisé. Ce choix est né d’une série de
considérations, desquelles certaines sont générales, étendues à toutes les
organisations de secours, tandis que des autres sont spécifiques de la réalité italienne.

Les motifs d’ordre général sont liés au fait qu’une communication d’urgence doit etre
caractérisées par :

Systèmes avec temps de set-up très réduits
Modalité de roaming et handover authomatiques et sans temps morts de
commutation
Rediffusion de type circulaire «à canal ouvert », mais avec des possibilités de
communications directes à travers un appel sélectif
Facilité d’emploi des appareils meme par du personnel du tout préparé
(volontaires – opérateurs irréguliers ou occasionnbels)
Les motifs specifiques de la nation italienne sont.
La legislation national en matière permet l’emploi de réseaux UHF pour la
réalisation de link monocanaux dediés
Les fréquences en bande 70MHz pour la rediffusion sont en numéro réduit et
deviennent toujours plus insuffisants pour l’accroissement des exigences de
communication, pour cela il est nécessaire d’optimaliser l’exploitation des
réseaux
Le grand proliférer de trasmetteurs pour radiodiffusion en FM (radio libres) a
entrainé une remarquable augmentation du niveau de dérangement et donc
l’efficacité de chaque pont radio est remarquablement diminuée.
7) LES DEVELOPPEMENTS FUTURS
L’aspect principal est représenté de l’évolution techonolgique en cours de l’analogique
au digital, dans le secteur du radiomobile publique.
Dans le secteur des communications radiomobiles pour les services publiques
d’urgence ce passage arrivera lorsque les avantages auront compensé les difficultés. Il
est presque certain qu’à moyenne ou longue période toutes les communications
professionnelles seront digitales.
Pour le moment ce sont principalement les Forces de Police intéressées à l’emploi du
digital, puisque cette solution facilite la protection des communications (exigence
prioritaire).
Les services civils de secours come ceux des Sapeurs Pompiers, n’ont pas cette
priorité, meme s’ils peuvent apprécier la possibilité d’augmenter les services associés à
la transmission des données.

Il est probable que dans peu de temps les applications de transmission des données
augmentent, en réservant les canaux analogiques soit à la phonie soit aux services
d’interrogation « data base », d’echanges de file, de radio localisation.
Cette solution permet de maintenir une transition «douce » dans l’évolution des
réseaux radiomobiles.
Plus avant l’efficacité de la modulation digitale, qu’aujourd’hui permet déjà à parité de
canaux une vitesse données quadruple par rapport à celle analogique, convaincra à
dépasser les obstacles constitués par le cout et la necessité de changer non
seulement les infrastructures, mais aussi tous les terminaux, avec les inévitables
rechutes negatives sur la continuité du service.
Tout cela si, en meme temps, l’avance irrésistible des systèmes publiques de III
génération (UMTS) et suivants n’aura pas rendu disponibles des services « données »
tellement efficaces à des couts si bas de renvoyer le passage au digital.
En effets il est indispensable que dans les systèmes radiomobiles, pour les urgences,
le canal phonique doit etre absolument de propriété et toujours disponible, tandis que
les services de trasmission des données peuvent meme tolérer les retards dans l’accès
ou les couvertures non optimales propres des systèmes publiques.
Dans ce « scenario » le canal analogique, techonologiquement amélioré continuerait à
fournir le support en phonie pour une période plus longue respect à celui supposé en
avant, et serait completé de l’emploi des systèmes publiques (UMTS et similaires) pour
la trasmission des données.
En meme temps la modulation digitale pourrait etre prete pour remplacer graduellement
celle analogique, en permettant de maintenir l’architecture et les caractères foncionnels
de réseaux désormais consolidés et qui ont démontrés d’etre les plus indiqués à
satisfier les exigences des services, les zones de couverture radio meme de localités
lointaines, avec simplicité opérative (canal ouvert), et économie de canaux radio.
Gestione francese
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