Realisation de la cartographie du bruit à l'échelle de la ville de Saint ...

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3 Atlas du bruit de l’espace Stéphanois, à dominante urbaine : 3.1 Quelles méthodes pour quelles analyses : La première démarche de cette étude est de mettre en place les bases de données nécessaires à la réalisation de l’étude. Il est question de regrouper les thèmes entre eux par plusieurs logiques combinatoires comme l’emploi de scripts mentionnés en annexe 3. Après, il faut réaliser des micros tests pour vérifier en premier temps le bon fonctionnement des données, car de nombreux « bugs » existent sous GipSynoise. En plus, la base de données doit être correctement édifiée pour répondre aux attentes du logiciel. Ainsi, la fin de l’annexe 4 explique des solutions employées pour pallier à ces erreurs. L’autre point important de cette étude est de vérifier la compatibilité des logiciels entre eux, ceci n’étant pas toujours le cas en fonction des versions. Dans le même laps de temps il faut justifier de l’attribution d’un ordinateur plus puissant pour coller avec la configuration minimum nécessaire au fonctionnement du logiciel : Cadna/A 3.6, très gourmant envers la charge CPU. Tout cela contribue à s’interroger sur à la réalisation des cartes et le choix du découpage de la ville pour obtenir une cartographie calquant la réalité. Au début de l’étude, l’option du découpage de l’entité Stéphanoise s’appuie sur un maillage de 500x500 mètres, ce qui faisait environ 324 mailles et autant de manipulation pour obtenir des résultats peu crédibles lors de la concaténation des diverses entités. Lors de l’élaboration de la cartographie ce qui compte le plus dans la phase de calcul est la distance choisie des rayons entre le point récepteur et le point émetteur. Plus la recherche des nuisances sonores a une portée élevée plus la carte est précise. Néanmoins, s’applique une controverse à ce phénomène, la carte est effectivement plus réaliste mais le traitement de l’information n’en est que plus important. C’est pourtant cette solution que nous avons décidé de retenir. La ville se retrouve découpée en 10 zones distinctes. Ce découpage se base sur la limite des quartiers regroupés entre eux pour former des espaces ayant des superficies à peu près similaires. Pour information, le calcul d’une zone d’environ 5 km² avec pour sources d’émissions sonores les voies ferrées et routières dure environ une semaine avec la configuration matérielle mentionnée plus haut dans ce rapport. Toutes erreurs ou coupures de courant durant la phase de calcul entraîne inexorablement la perte de toutes les données en cours d’évaluation. Une fois les surfaces calculées, pour chaque entité est créé un thème ponctuel matérialisant des récepteurs. Dans ce thème, on retrouve une table où toutes les valeurs utiles à l’étude sont mentionnées. Chaque entité sonore a été calculée distinctement puis regroupée par concaténation des données. La méthode ayant consisté à ne prendre que les valeurs supérieures d’une source par rapport à l’autre pour les reporter dans un nouveau champ. Pour le bruit industriel diverses distinctions ont été établies pour appréhender correctement cette thématique. Le thème bâti doit subir quelques modifications. Chaque bâtiment lié à l’industrie doit être retiré du thème bâti pour ne pas influencer la divulgation des ondes sonores venant de l’intérieur de ces structures. Le regroupement des divers espaces de la ville a été réalisé en créant un macro-projet par l’intermédiaire de GIpSynoise. En découle dès lors le panel cartographique en relation avec la convention liant la « ville de Saint-Etienne » et « Saint-Etienne Métropole ». Dans cet accord six cartes doivent faire l’objet d’une cession : les cartes Lden et Ln pour l’industrie, la voirie et le réseau ferroviaire, soit 6 cartes. Pour la rédaction de ce rapport, il a été décidé de rajouter les cartes de bruits diffusés auprès du public ainsi que les cartes de conflits. Cependant pour des questions techniques, il nous est impossible de présenter dans ce rapport l’intégralité de la cartographie liée aux nuisances sonores d’origines ferroviaires. En conséquence pour cette partie une simple ébauche de la constitution de celle-ci est présentée. Néanmoins celle-ci sera réalisée pour la date prévu lors de la cessation des cartes à Saint-Etienne Métropole. Master 2 SIG & Gestion de l’espace 27 Saint-Étienne 2006/2007

3.2 Cartographie du bruit journalier (Lden), soit sur 24 h : 3.2.1 Analyse du bruit routier : Figure 16 : Carte technique du bruit routier sur 24 h (Lden) Master 2 SIG & Gestion de l’espace 28 Saint-Étienne 2006/2007

3.2 Cartographie <strong>du</strong> <strong>bruit</strong> journalier (L<strong>de</strong>n), soit sur 24 h :<br />

3.2.1 Analyse <strong>du</strong> <strong>bruit</strong> routier :<br />

Figure 16 : Carte technique <strong>du</strong> <strong>bruit</strong> routier sur 24 h (L<strong>de</strong>n)<br />

Master 2 SIG & Gestion <strong>de</strong> l’espace 28<br />

<strong>Saint</strong>-Étienne 2006/2007

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