Caroline Raffin : Réception d'une écriture de la rue - Le Fourneau
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Dans un <strong>de</strong>rnier mouvement d’ensemble, les courtisans <strong>de</strong> ces ombrelles<br />
reprennent <strong>la</strong> déambu<strong>la</strong>tion en ouvrant le chemin aux poupées. <strong>Le</strong>s spectateurs<br />
assis se relèvent pour reprendre <strong>la</strong> marche. Ombrelles levées, les personnages<br />
gravitent en courant autour <strong>de</strong>s six poupées. Ils avancent vers un nouvel endroit,<br />
offrant l’image d’une queue <strong>de</strong> comète. Ce lieu accueille le sixième mirage, « <strong>Le</strong>s<br />
tôles guerrières ». De <strong>la</strong> même façon, les poupées font volte-face pour se<br />
positionner au fond du nouvel espace. <strong>Le</strong> schéma suivant nous permet <strong>de</strong><br />
constater un aménagement <strong>de</strong> l’espace <strong>de</strong>s coulisses, simi<strong>la</strong>ire à celui du mirage<br />
<strong>de</strong>s ombrelles. Cependant, l’entrée en scène <strong>de</strong>s comédiens marque le point <strong>de</strong><br />
départ d’une déambu<strong>la</strong>tion.<br />
<strong>Le</strong>s personnages disparaissent <strong>de</strong>rrière les poupées pour réapparaître<br />
porteurs <strong>de</strong>s « tôles guerrières ». On retrouve à nouveau <strong>de</strong>s tôles mais sous une<br />
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