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Je veux juste vous lire les chapitres 15 et suivants de l’Apocalypse. A partir du chapitre 15, vous montez dans la cinquième demeure. Si vous avez du mal pour l’oraison avec ce passage de la quatrième à la cinquième, prenez l’Apocalypse et lisez tranquillement, doucement, mais sans vous arrêter, du chapitre 15 jusqu’au chapitre 19. Ce sont des mots qui viennent d’En-haut et qui réalisent ce qu’ils signifient. Ayant lu – ça vous prendra probablement environ vingt-et-une minutes et trente secondes de lire les chapitres 15, 16, 17, 18 et 19 tranquillement – laissez les vingt-deux minutes et quelques secondes suivantes et vous serez dans la cinquième demeure, il n’y a pas de problème, parce que l’Apocalypse, c’est la guérison, la délivrance de l’espérance finale. Il faut plonger ses deux mains dans le Saint des Saints des chapitres 15, 16, 17, 18 et 19 de l’Apocalypse, c’est merveilleux. Alors, nous allons juste en lire un petit morceau, si vous voulez. Vous pouvez prendre, chacun. Si vous ne l’avez pas chez vous, prenez L’Apocalypse. Je vis sept anges portant sept plaies, puisqu’ils doivent consommer la colère de Dieu. Et je vis aussi une mer cristalline mêlée de feu. C’est trop fort ! Quand vous lisez l’Apocalypse lentement, vous vous enfoncez dans la réalité qui est ainsi pénétrante, pénétrée, et enveloppante dans ce qui est mangé. (…) C’est un pavement (…) transparent et flamboyant qui porte la lumière d’Adonaï. Donc : Et je vis cette mer cristal mêlée de feu, c’est-à-dire tous ceux qui ont trimphé de la Bête, de son image et du chiffre de son nom, debout dans cette mer de cristal. S’accompagnant des harpes de Dieu, ils chantaient le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de l’Agneau, et ils clamaient : « Grandes et merveilleuses sont tes œuvres, Dieu Maître de tout, justes et droites sont tes voies, ô Roi des nations. Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom ? Car tu es seul saint, tous les goïm viendront se prosterner en toi devant ta face Parce que tu as fait éclater tes jugements. » Et voici que ma vision alla plus loin encore. Dans le ciel s’ouvrit le temple. Du temple émanèrent les sept anges aux sept plaies, vêtus de robes de lin pur, éblouissantes, serrées à la taille par des ceintures en or. Puis celui des quatre Vivants qui est le premier remit aux sept anges sept coupes en or pleines de la colère du Dieu qui vit dans les siècles des siècles. Ici il y a des petites parenthèses. Si vous ne savez pas ce que ça veut dire, c’est très simple, chaque mot est expliqué et vous savez exactement ce qu’il y a derrière le mot. Par exemple : « Le texte dit : « celui des quatre vivants qui est le premier » parce qu’il est traduit à partir du grec. Or saint Jean n’était pas grec, il était araméen. Des quatre vivants (le lion, l’aigle, la victime du taureau et le visage de ressemblance de l’homme), le vivant premier montre le surgissement du lion, c’est-à-dire le vivant erhad, dans l’unité d’Adonaï. Et tu le vois ici. Le lion, c’est le Roi de la vie : c’est le Règne du Sacré-Cœur qui apparaît dans le Christ. » Quand ce dernier ciel s’ouvre, dedans la mer de cristal, dedans la plénitude accomplie de la grâce de Marie dans toute l’Eglise, ça s’ouvre et dedans il y a cette vision de (…) : Regarde ! Qui est-ce qui va apparaître ? Ce Règne du Sacré-Cœur va précéder (…) pour montrer qui ? Saint Joseph. C’est ce qui s’est passé à Fatima, vous vous rappelez de ça. Mais ça c’est autre chose, donc je continue : Celui des vivants qui est le premier remit aux sept anges… 420

Le messager parfait. Angelos, c’est le messager. Sept : absolu. Le messager absolu. Parce que Joseph se reçoit du Christ glorieux comme messager. Joseph se reçoit du Christ dans le Règne du Sacré-Cœur comme messager du Monde nouveau. La Paternité de Dieu à travers lui va faire entendre la voix du Règne du Sacré-Cœur de manière absolue. C’est bien commode, dans ce livret, vous avez non seulement le texte, mais en plus l’explication. (…). Donc vous rentrez dedans en mangeant non seulement le texte, mais en plus l’explication. Et puis après, (…) dans la louange vitale, la gloire silencieuse, etc. Ça va aller très très vite, la mutation du flux et du reflux du corps originel accompli dans le corps spirituel venu d’En-haut, l’installation dans le corps spirituel. Le Règne du Sacré-Cœur sera là. (…) … les sept coupes en or pleines de la colère du Dieu qui vit dans les siècles des siècles. Vous voyez, ça se lit comme du bon pain. La coupe – je passe bien-sûr les explications, c’est le texte de l’Apocalypse qui nous intéresse ici, mais – la coupe c’est la paternité. Dans la liturgie juive, la Bible, la Sainte Ecriture, le calice, la coupe, le vase, la cuve, ça représente le cœur glorieux du père. Il n’y a qu’une seule personne humaine pour exprimer dans Sa paternité incréée la première Personne de la Très Sainte Trinité. Donc la coupe représente la paternité. C’est comme ça dans l’enseignement de Moïse sur la quatrième coupe, la troisième coupe, la deuxième coupe, la première coupe du repas pascal messianique, du repas de la Pâques qui a été vécu de Moïse jusqu’à Jésus. Jésus prend les quatre coupes pendant la Cène. A la fin du repas, après avoir lavé les pieds de ses disciples, Il prend la quatrième coupe et Il dit : « Ceci est la coupe de mon sang. » A la fin du repas, Il prend la coupe. Au terme de Sa mort, au terme de Son sacrifice, Il prend la coupe. Au terme de Son expiration éternelle dans la croix, Il prend la mort de saint Joseph avec la Sienne et Il proclame la consécration eucharistique. Il trempe et Il donne la bouchée à Judas. C’est beau vous savez, c’est quand même quelque chose ! Donc la coupe représente la paternité. Je ne vais pas vous lire les Midrash rabbiniques, je préfère vous lire ce que dit saint Jean. Alors le Temple s’emplit d’une qabod, d’une gloire, d’une fumée produite par la gloire de Dieu et par sa puissance, en sorte que personne ne put pénétrer dedans avant que ne soit consommé totalement l’accomplissement des sept fléaux des sept anges. Le mal va subir un châtiment jusqu’à l’accomplissement de la destruction totale du mal. Personne ne pourra pénétrer tout à fait en saint Joseph glorieux avant l’accomplissement des sept fléaux qui s’opère par le versement de la coupe, l’intervention de saint Joseph, l’ouverture du Monde nouveau, l’ouverture du cinquième sceau. Et alors j’entendis une voix [une présence] qui de l’intérieur du Temple criait aux sept anges : « Allez et répandez sur la terre les sept coupes de la colère de Dieu. » Il y a une présence du père, saint Joseph. Allez, répandez sur la terre [sur le corps spirituel] les sept coupes de la colère de Dieu. Et le premier s’en alla répandre sa coupe sur la terre. Alors ce fut un ulcère mauvais et pernicieux sur les gens qui portaient la marque de la bête et se prosternaient devant son image. Un ulcère mauvais et pernicieux, ça fait mal, ça suppure, vous avez beau mettre tous les médecins du monde dessus, ça ne s’arrange pas. Job prenait un tesson de bouteille pour gratter jusqu’à l’os. Ça fait très mal. On ne souhaiterait pas un ulcère même à son pire ennemi. Les gens qui vivent dans le ressenti métapsychique des énergies christiques, ce ne sera pas drôle pour eux, c’est sûr. Si c’est ça leur vie, ce ne sera pas drôle. Heureusement que nous avons renoncé depuis longtemps à tout ça pour rentrer dans la nuit de la foi de l’Eglise toute pure en croyant avec Marie, directement, sans 421

Je veux juste vous lire les chapitres 15 et suivants de l’Apocalypse. A partir <strong>du</strong> chapitre 15, vous<br />

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quatrième à la cinquième, prenez l’Apocalypse et lisez tranquillement, doucement, mais sans vous<br />

arrêter, <strong>du</strong> chapitre 15 jusqu’au chapitre 19. Ce sont des mots qui viennent d’En-haut et qui réalisent<br />

ce qu’ils signifient. Ayant lu – ça vous prendra probablement environ vingt-et-une minutes et trente<br />

secondes de lire les chapitres 15, 16, 17, 18 et 19 tranquillement – laissez les vingt-deux minutes et<br />

quelques secondes suivantes et vous serez dans la cinquième demeure, il n’y a pas de problème,<br />

parce que l’Apocalypse, c’est la guérison, la délivrance de l’espérance finale. Il faut plonger ses<br />

deux mains dans le Saint des Saints des chapitres 15, 16, 17, 18 et 19 de l’Apocalypse, c’est<br />

merveilleux.<br />

Alors, nous allons juste en lire un petit morceau, si vous voulez. Vous pouvez prendre, chacun. Si<br />

vous ne l’avez pas chez vous, prenez L’Apocalypse.<br />

Je vis sept anges portant sept plaies, puisqu’ils doivent consommer la colère de Dieu. Et je vis<br />

aussi une mer cristalline mêlée de feu.<br />

C’est trop fort ! Quand vous lisez l’Apocalypse lentement, vous vous enfoncez dans la réalité qui<br />

est ainsi pénétrante, pénétrée, et enveloppante dans ce qui est mangé. (…)<br />

C’est un pavement (…) transparent et flamboyant qui porte la lumière d’Adonaï. Donc :<br />

Et je vis cette mer cristal mêlée de feu, c’est-à-dire tous ceux qui ont trimphé de la Bête, de<br />

son image et <strong>du</strong> chiffre de son nom, debout dans cette mer de cristal. S’accompagnant des<br />

harpes de Dieu, ils chantaient le cantique de Moïse, serviteur de Dieu, et le cantique de<br />

l’Agneau, et ils clamaient :<br />

« Grandes et merveilleuses sont tes œuvres, Dieu Maître de tout,<br />

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Qui ne craindrait, Seigneur, et ne glorifierait ton nom ?<br />

Car tu es seul saint, tous les goïm viendront se prosterner en toi devant ta face<br />

Parce que tu as fait éclater tes jugements. »<br />

Et voici que ma vision alla plus loin encore. Dans le ciel s’ouvrit le temple. Du temple<br />

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taille par des ceintures en or. Puis celui des quatre Vivants qui est le premier remit aux sept<br />

anges sept coupes en or pleines de la colère <strong>du</strong> Dieu qui vit dans les siècles des siècles.<br />

Ici il y a des petites parenthèses. Si vous ne savez pas ce que ça veut dire, c’est très simple, chaque<br />

mot est expliqué et vous savez exactement ce qu’il y a derrière le mot. Par exemple : « Le texte dit :<br />

« celui des quatre vivants qui est le premier » parce qu’il est tra<strong>du</strong>it à partir <strong>du</strong> grec. Or saint Jean<br />

n’était pas grec, il était araméen. Des quatre vivants (le lion, l’aigle, la victime <strong>du</strong> taureau et le<br />

visage de ressemblance de l’homme), le vivant premier montre le surgissement <strong>du</strong> lion, c’est-à-dire<br />

le vivant erhad, dans l’unité d’Adonaï. Et tu le vois ici. Le lion, c’est le Roi de la vie : c’est le<br />

Règne <strong>du</strong> Sacré-Cœur qui apparaît dans le Christ. »<br />

Quand ce dernier ciel s’ouvre, dedans la mer de cristal, dedans la plénitude accomplie de la grâce de<br />

Marie dans toute l’Eglise, ça s’ouvre et dedans il y a cette vision de (…) : Regarde ! Qui est-ce qui<br />

va apparaître ? Ce Règne <strong>du</strong> Sacré-Cœur va précéder (…) pour montrer qui ? Saint Joseph. C’est ce<br />

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