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prêtres français de célébrer la Messe dans le Saint des Saints à la place du Pape pour que le Pape
puisse célébrer la Messe à travers eux dans le Saint des Saints au moment où il y aurait la Messe de
son enterrement. Tu te rends compte ? C’est dingue ! Parce qu’il fallait que de son Samedi Saint, de
sa Croix glorieuse, avec Marie, il puisse pénétrer à travers une trinité sacerdotale française.
Il y avait trente-trois participants, nous sommes rentrés dans le Qadosh Ha Qadesh. Il n’est plus à
Jérusalem, il est à Rome maintenant, le Qadosh Ha Qadesh. C’est le lieu où le Grand Prêtre de
l’univers célèbre la Messe seul pour l’absolution du monde. Seul le Pape peut célébrer la Messe là.
Jamais un archevêque, un évêque, un cardinal n’a célébré la Messe sur cet autel, jamais, c’est
strictement interdit. Et je ne sais pas ce qui s’est passé, le Monsignor de Saint Jean de Latran est
devenu fou, je l’ai vu, c’est sous mes yeux que ça s’est passé, Jean-Paul II l’a complètement…, il
lui a dit : « Il faut que je célèbre la Messe dans le Saint des saints ! », et j’étais là, j’ai dit : « Je veux
bien, celui qui vous parle, c’est lui. » Et la mission de l’Eglise de Rome, ça a été…
Je ne mens pas, je vous assure, je ne mens pas. J’étais là pour concélébrer sur la Place Saint Pierre
et donc (…). Je célébrais pendant ce temps-là dans le Saint des Saints la Messe avec deux autres
prêtres français, et nous étions trente-trois, trente plus trois. Nous avons célébré la Messe. Le but,
c’était que Jean-Paul II passe dans cette trinité sacerdotale, traverse le Saint des Saints, pénètre le
Saint des Saints et demande pardon au Père pour l’Abomination de la Désolation.
Au moment du « Domine non sum dignus », à ce moment-là, à cet instant-là – vous avez peut-être
vu à la télé, on a vu son cercueil, il y avait le livre ouvert, à cette époque-là il était ouvert dehors sur
la Place Saint Pierre, il y avait un petit vent, suffisant pour faire bouger un peu les feuilles – à
l’instant où dans le Saint des Saints le Saint-Père dit : « Je ne suis pas digne », c’est à cet instant-là
que le livre s’est fermé. Vous avez vu la lourdeur de ce livre ? Tout le monde l’a vu à la télévision,
tout le monde. C’est à cet instant-là qu’il y a eu la transplantation cardiaque céleste. A cet instant-là,
les deux prêtres qui étaient à mes côtés ont vu pour la première fois le Pape Jean-Paul II dans une
vision surnaturelle intellectuelle pure. Ils l’ont vu dans le fond du fond du fond du fond des enfers,
et la Vierge est venue le chercher et elle est glorieusement repartie avec lui pour l’emmener au Ciel.
Ils étaient ébranlés, les deux prêtres !
Vous le saviez ça ?
- [Plusieurs participants] Non.
- Vous ne le saviez pas ? Tu ne le savais pas toi ?
- Ah non !
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