Agape2010-2011enSess.. - Catholique du net

Agape2010-2011enSess.. - Catholique du net Agape2010-2011enSess.. - Catholique du net

catholiquedu.free.fr
from catholiquedu.free.fr More from this publisher
05.09.2014 Views

des lustres et des lustres, depuis des milliers d’années, par milliards, ceux qui ont peur du moindre mouvement parce qu’ils sont dans leurs mouvements de peur : « N’ayez pas peur ! N’ayez pas peur ! », le « N’ayez pas peur » crié par les anges avec la voix de Marie dans la Croix glorieuse de Jésus, « Ouvrez toutes grandes les portes aux Christ ! »… Et il fallait faire quelque chose pour soulever le… quand la méta-tentation dont il a parlé a sauté le voile du troisième millénaire et que la méta-tentation s’est transformée en Shiqoutsim Meshomem devant lui, que l’arbre de la vie a été éventré devant lui. Il a attendu son Samedi Saint pour demander pardon, il a attendu l’instant après sa mort. Ça, nous en sommes témoins, vous avez devant vous quelques-uns qui sont témoins de ça. Bien sûr, on a vu la petite sœur qui a été guérie (…). J’ai dit à Stanislas, le ‘jumeau’ du Saint-Père, qui était tout le temps avec lui – je suis allé le voir à Cracovie – je lui ai dit : « Ce n’est pas sérieux de béatifier le Saint-Père sur cette guérison. » Pourquoi est-ce que je lui ai dit ça ? Je lui ai dit : « Vous savez, pendant le Samedi Saint du Saint-Père, le Saint-Père a demandé pardon, j’en suis témoin, dans le Saint des Saints, dans le Qadosh Ha Qadesh de l’univers tout entier à Rome. » A l’instant de son enterrement, pendant que les feuilles couraient librement sur le livre au-dessus de son cercueil, il a été convoqué pour célébrer la Messe tandis qu’il avait encore le pouvoir des clés dont parle Jésus aujourd’hui dans l’Evangile. Ça me plaît beaucoup que Jésus donne le pouvoir des clés pour dessouder, ouvrir au Ciel et sur la terre, fermer au Ciel et sur la terre. Le pouvoir d’ouvrir et de fermer, le pouvoir de libérer et de délivrer du Ciel à la terre et de la terre au Ciel qui est donné par Jésus ressuscité, il est dans les mains de Pierre et des successeurs de Pierre, les pontifes romains. Et quand il meurt il est encore entre les mains du Saint-Père jusqu’à l’ouverture, c’est ça le (…), jusqu’à l’ouverture du conclave suivant. Donc le pouvoir de lier et de délier était entre les mains du Saint-Père qui était mort, quand il était dans son Samedi Saint, jusqu’à l’ouverture du conclave qui a eu lieu à peu près sept jours après son enterrement. Et nous savons, pas seulement par science infuse, par témoignage direct, que le Saint- Père a réalisé son œuvre pontificale, celle qui était inscrite dans sa mission – il était devenu Pape pour ça – faire ce qui s’est passé dans le Samedi Saint : demander pardon. Pour soulever quelque chose de la mutation de la méta-tentation universelle en Shiqoutsim Meshomem, il fallait que cette demande de pardon soit faite dans le Saint des Saints, dans le Qadosh Ha Qadesh. Parce que le Qadosh Ha Qadesh, le Saint des Saints de l’univers tout entier, c’est dans ce lieu-là et cet instant-là que l’éventration de l’Arbre de Vie se fait. Donc il fallait que sur le plan sacramentel, liturgique, ce soit fait de la Croix glorieuse, avec le pouvoir des clés de Pierre, dans la mission pontificale. Ça a été son acte le plus extraordinaire. A l’instant où ça a été fait, à la seconde où ça a été fait par lui à travers… Il y avait trois prêtres dans le Saint des Saints. Alors il y a eu une petite, une petite qui depuis qu’elle était née avait un gros trou dans le cœur. Elle n’était pas morte parce qu’on avait réussi, de mois en mois, à faire une opération chirurgicale. Elle avait environ quarante ans, elle s’était convertie au catholicisme seulement depuis quarante jours. A la place du trou dans le cœur, elle avait des agrafes, un téflon, du plastique. A la mort de Jean-Paul II, son artère a grossi, grossi, grossi : diamètre 1 centimètre, puis 2 centimètres, 3 centimètres, 4 centimètres. On commence la Messe d’enterrement. Son artère grossit : 5 centimètres, vous voyez ce que c’est ? Et puis à ce moment-là son artère est sortie de son cœur pas artificiel mais trafiqué. Et nous pendant ce temps nous étions là dans le Saint des Saints. Elle a vu une image de Jean-Paul II que Didier lui avait donnée, et au moment où elle meurt elle dit à Jean-Paul II : « Ah moi je ne veux pas mourir, je ne veux pas aller avec toi, tu te débrouilles. » Elle meurt, on l’amène à l’hôpital de la Salpêtrière à Paris, elle se revoit dans l’ascenseur où elle se réveille. Dans l’ascenseur il y avait un infirmier en 390

lanc, elle lui demande : « Tu t’appelles comment toi ? » et l’infirmier lui dit : « Moi je m’appelle Jésus. » On la met dans l’IRM, on regarde. Comment se fait-il qu’elle ne soit pas morte ? Elle avait un cœur tout frais d’une petite jeune fille de quatorze ans. Transplantation cardiaque céleste ! C’est quand même plus grand qu’une espèce de miracle dans une bonne-sœur. Alors j’ai dit : « Quand même ! » [Rires] - [Une participante] C’était trop gros ? - [Une autre participante] Pas présentable pour tout le monde. - Comment ça, ce n’est pas présentable ? Ce n’est pas présentable, une transplantation cardiaque céleste ? - Pour tout le monde. - Bien-sûr que c’est présentable à tout le monde, une transplantation cardiaque céleste. Avec tous les dossiers qu’on a pu faire, il n’y a aucun doute, il n’y a pas le moindre doute scientifique làdessus. - Mais ils ont perdu certainement le dossier. - Pas du tout, ils n’ont pas perdu le dossier, pas du tout. Je ne veux pas critiquer la Cause de Postulation de Rome. Comprenez. Quand nous sommes entre nous, nous nous disons les petits secrets. Et ça, c’est un petit secret. Pourquoi l’Eglise est-elle si discrète ? L’Eglise est tellement humaine qu’elle dit : « Voilà, la guérison miraculeuse du Saint-Père pour sa béatification est celle d’une religieuse consacrée d’Aix-en-Provence. » L’Eglise a considéré que c’était plus grand qu’une transplantation cardiaque céleste. Et pourquoi pas ? C’est sûrement vrai. Parce qu’une religieuse consacrée dans une congrégation française qui demande au Pape une guérison sainte, c’est un plus grand miracle qu’une transplantation céleste d’un cœur sur une femme qui vient de se convertir. C’est tout à fait exact. Parce que, qu’un consacré de France puisse obtenir du Saint-Père une petite guérison, c’est un plus grand miracle qu’une multiplication des pains pendant huit siècles. C’est vrai, l’Eglise a raison. Parce que la France était arrivée à un état de désespoir dans sa vie consacrée, de déchéance. Et la transformation surnaturelle de la confiance qui revient dans le monde consacré, l’amour qui revient dans le monde spirituel, c’est ce que le Saint-Esprit a fait grâce à Jean-Paul II. Donc il faut toujours se dire : « Pourquoi l’Eglise dit-elle que c’est plus grand ? » Pourquoi ? Alors tu réfléchis. Mais oui, bien-sûr, l’Eglise ! Quelle splendeur que l’enseignement de l’Eglise ! Oui, la détresse d’un cœur bleu, c’est quand même beaucoup moins grand, dans sa réparation, que la détresse du cœur de l’Eglise consacrée entièrement livrée à la méta-tentation muée en désolation métaphysique. Le monde spirituel est plus que le monde biologique, c’est-sûr. Je dis ça. Et je tiens aussi à dire une chose, c’est que le Saint-Père, à ce moment-là, c’était au moment de sa mort, c’était au moment de la guérison de cette petite – enfin cette petite, elle n’est pas petite – à cet instant-là, c’était le moment où on disait dans le Saint des Saints de l’univers – nous étions trentetrois dans le Qadosh Ha Qadesh – le prêtre disait : « Domine, non sum dignus », il le disait… Le pontife romain, le successeur de Pierre, est évêque de Rome, et donc sa cathédrale, c’est Saint Jean de Latran, à Rome. Et c’est dans la cathédrale de l’évêque de Rome, à Saint Jean de Latran, qu’il y a le Saint des Saints où seul le Saint-Père peut célébrer la Messe. Depuis la fondation de l’Eglise c’est comme ça, jamais aucun... Et donc ce qui s’est passé par une espèce de miracle, évidemment, incroyablement grand, il y a quelque chose qui s’est passé – parce qu’il faut savoir ce que c’est que les Monsignors romains – c’est que les Monsignors romains ont demandé a trois 391

des lustres et des lustres, depuis des milliers d’années, par milliards, ceux qui ont peur <strong>du</strong> moindre<br />

mouvement parce qu’ils sont dans leurs mouvements de peur : « N’ayez pas peur ! N’ayez pas<br />

peur ! », le « N’ayez pas peur » crié par les anges avec la voix de Marie dans la Croix glorieuse de<br />

Jésus, « Ouvrez toutes grandes les portes aux Christ ! »…<br />

Et il fallait faire quelque chose pour soulever le… quand la méta-tentation dont il a parlé a sauté le<br />

voile <strong>du</strong> troisième millénaire et que la méta-tentation s’est transformée en Shiqoutsim Meshomem<br />

devant lui, que l’arbre de la vie a été éventré devant lui. Il a atten<strong>du</strong> son Samedi Saint pour<br />

demander pardon, il a atten<strong>du</strong> l’instant après sa mort. Ça, nous en sommes témoins, vous avez<br />

devant vous quelques-uns qui sont témoins de ça.<br />

Bien sûr, on a vu la petite sœur qui a été guérie (…). J’ai dit à Stanislas, le ‘jumeau’ <strong>du</strong> Saint-Père,<br />

qui était tout le temps avec lui – je suis allé le voir à Cracovie – je lui ai dit : « Ce n’est pas sérieux<br />

de béatifier le Saint-Père sur cette guérison. » Pourquoi est-ce que je lui ai dit ça ? Je lui ai dit :<br />

« Vous savez, pendant le Samedi Saint <strong>du</strong> Saint-Père, le Saint-Père a demandé pardon, j’en suis<br />

témoin, dans le Saint des Saints, dans le Qadosh Ha Qadesh de l’univers tout entier à Rome. »<br />

A l’instant de son enterrement, pendant que les feuilles couraient librement sur le livre au-dessus de<br />

son cercueil, il a été convoqué pour célébrer la Messe tandis qu’il avait encore le pouvoir des clés<br />

dont parle Jésus aujourd’hui dans l’Evangile. Ça me plaît beaucoup que Jésus donne le pouvoir des<br />

clés pour dessouder, ouvrir au Ciel et sur la terre, fermer au Ciel et sur la terre. Le pouvoir d’ouvrir<br />

et de fermer, le pouvoir de libérer et de délivrer <strong>du</strong> Ciel à la terre et de la terre au Ciel qui est donné<br />

par Jésus ressuscité, il est dans les mains de Pierre et des successeurs de Pierre, les pontifes<br />

romains. Et quand il meurt il est encore entre les mains <strong>du</strong> Saint-Père jusqu’à l’ouverture, c’est ça le<br />

(…), jusqu’à l’ouverture <strong>du</strong> conclave suivant.<br />

Donc le pouvoir de lier et de délier était entre les mains <strong>du</strong> Saint-Père qui était mort, quand il était<br />

dans son Samedi Saint, jusqu’à l’ouverture <strong>du</strong> conclave qui a eu lieu à peu près sept jours après son<br />

enterrement. Et nous savons, pas seulement par science infuse, par témoignage direct, que le Saint-<br />

Père a réalisé son œuvre pontificale, celle qui était inscrite dans sa mission – il était devenu Pape<br />

pour ça – faire ce qui s’est passé dans le Samedi Saint : demander pardon. Pour soulever quelque<br />

chose de la mutation de la méta-tentation universelle en Shiqoutsim Meshomem, il fallait que cette<br />

demande de pardon soit faite dans le Saint des Saints, dans le Qadosh Ha Qadesh. Parce que le<br />

Qadosh Ha Qadesh, le Saint des Saints de l’univers tout entier, c’est dans ce lieu-là et cet instant-là<br />

que l’éventration de l’Arbre de Vie se fait. Donc il fallait que sur le plan sacramentel, liturgique, ce<br />

soit fait de la Croix glorieuse, avec le pouvoir des clés de Pierre, dans la mission pontificale.<br />

Ça a été son acte le plus extraordinaire. A l’instant où ça a été fait, à la seconde où ça a été fait par<br />

lui à travers… Il y avait trois prêtres dans le Saint des Saints. Alors il y a eu une petite, une petite<br />

qui depuis qu’elle était née avait un gros trou dans le cœur. Elle n’était pas morte parce qu’on avait<br />

réussi, de mois en mois, à faire une opération chirurgicale. Elle avait environ quarante ans, elle<br />

s’était convertie au catholicisme seulement depuis quarante jours. A la place <strong>du</strong> trou dans le cœur,<br />

elle avait des agrafes, un téflon, <strong>du</strong> plastique. A la mort de Jean-Paul II, son artère a grossi, grossi,<br />

grossi : diamètre 1 centimètre, puis 2 centimètres, 3 centimètres, 4 centimètres. On commence la<br />

Messe d’enterrement. Son artère grossit : 5 centimètres, vous voyez ce que c’est ? Et puis à ce<br />

moment-là son artère est sortie de son cœur pas artificiel mais trafiqué. Et nous pendant ce temps<br />

nous étions là dans le Saint des Saints. Elle a vu une image de Jean-Paul II que Didier lui avait<br />

donnée, et au moment où elle meurt elle dit à Jean-Paul II : « Ah moi je ne veux pas mourir, je ne<br />

veux pas aller avec toi, tu te débrouilles. » Elle meurt, on l’amène à l’hôpital de la Salpêtrière à<br />

Paris, elle se revoit dans l’ascenseur où elle se réveille. Dans l’ascenseur il y avait un infirmier en<br />

390

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!