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Agape2010-2011enSess.. - Catholique du net

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Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous,<br />

Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.<br />

Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,<br />

maintenant et à l’heure de notre mort.<br />

Amen.<br />

Nota Bene. Quand Dieu nous crée, aussitôt nous partons dans la liberté <strong>du</strong> don – si vous voulez<br />

savoir, ça <strong>du</strong>re quarante jours à peu près : dix-neuf jours à fond, quarante jours assez fort –, il y a<br />

une perception aussi de l’intériorité angélique dans son oui. Ça explique beaucoup de choses sur la<br />

splendeur de l’âme dans le visage d’un bébé d’homme et la splendeur <strong>du</strong> visage d’un bébé d’un<br />

phoque. Ça explique aussi beaucoup la manière différente, sur le plan embryologique, dont les<br />

cellules se multiplient : ce ne sont pas <strong>du</strong> tout les mêmes phénomènes de multiplication mitotiques.<br />

Les cellules staminales embryonnaires<br />

Une chose est sûre – c’est le Professeur Mancuso qui avait découvert ça en Italie en 1993-94 – c’est<br />

que l’embryon, à fur et à mesure qu’il multiplie dans son oui spirituel ontologique en présence de<br />

cette Intériorité créatrice paternelle de Dieu dans laquelle il est dans un oui qui per<strong>du</strong>re bien-sûr, qui<br />

se multiplie en quantité, pas en intensité mais en quantité, dans la lumière, l’amour, dans la<br />

conscience d’amour qui est très très forte, très ravissante, très étonnante, l’état de commotion<br />

admirative est très grand, et cette envie de donner se tra<strong>du</strong>it même sur le plan <strong>du</strong> corps<br />

embryonnaire, si bien qu’il déleste des cellules de son corps habitées par sa manière à lui de<br />

s’exprimer dans la Memoria Dei, il déleste des cellules staminales embryonnaires dans le corps de<br />

sa mère, et il en déleste beaucoup.<br />

Ces cellules staminales embryonnaires ont une <strong>du</strong>rée de vie de quarante-trois à quarante-sept ans,<br />

disons entre quarante et cinquante ans de vie. Donc les mères, notre maman, les mamans qui sont<br />

ici, portent encore des cellules vivantes qui sont en lien – parce qu’il y a quelque chose de<br />

métaphysique dans la mémoire ontologique, la lumière demeure et c’est encore vivant – avec<br />

chacun de ses enfants. Ce n’est pas de son A.D.N. à elle. Et c’est l’âme de la mère qui continue à<br />

faire vivre la mémoire spirituelle dans ce corps spirituel originel de chacun de ses enfants. Donc elle<br />

est en vase communiquant physiquement et ontologiquement avec chacun de ses enfants cinquante<br />

ans après leur naissance. S’ils sont morts en fausse-couche, c’est une des raisons scientifiques et<br />

métaphysiques pour lesquelles ils ne peuvent pas aller au Ciel, puisqu’il y a encore des cellules<br />

vivantes de leur corps. Or l’âme, lorsqu’elle est séparée, par exemple un avortement, puisque le<br />

Concile de Vienne a dit que l’âme spirituelle est la forme substantielle <strong>du</strong> corps 2 , comme le corps<br />

2 Concile de Vienne, quinzième concile œcuménique, assemblé par le Pape Clément V en 1311 : « Le premier<br />

capitule <strong>du</strong> concile de Vienne est une profession de foi qui dit : « Le Fils de Dieu existe de toute éternité avec le Père, et<br />

de la même substance que le Père : il s’est revêtu de toute notre nature qu’il a prise entièrement, savoir le corps passible<br />

et l’âme raisonnable. Celle-ci est essentiellement la forme <strong>du</strong> corps humain. Le Fils de Dieu, revêtu de la nature<br />

humaine, a voulu opérer le salut de tous les hommes, et pour cela être crucifié, mourir sur la croix et ensuite être percé<br />

au côté d’une lance ; tel est le récit de l’évangéliste saint Jean, où nous déclarons avec l’approbation <strong>du</strong> concile que<br />

saint Jean a suivi l’arrangement des faits. Le concile décide ensuite qu’on doit regarder comme hérétiques ceux qui<br />

soutiendront que l’âme n'est pas essentiellement la forme <strong>du</strong> corps humain ; qu’il faut reconnaître un seul baptême,<br />

qui est le moyen de parvenir au salut, tant pour les a<strong>du</strong>ltes que pour les enfants ; que l’opinion de ceux qui croient que,<br />

par ce sacrement la grâce sanctifiante et l’habitude des vertus sont infuses dans l’âme des enfants est la plus probable, et<br />

qu’il faut la suivre. » Extrait <strong>du</strong> Dictionnaire universel et complet des conciles (deux tomes) <strong>du</strong> chanoine Adolphe-<br />

Charles Peltier, publié dans l’Encyclopédie théologique de l’abbé Jacques-Paul Migne (1847), dont il constitue les<br />

tomes 13 et 14.<br />

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